Transfert en cours..., vous êtes sur le "nouveau" serveur data.abuledu.org dont l'hébergement est financé par l'association abuledu-fr.org grâce à vos dons et adhésions !
Vous pouvez continuer à soutenir l'association des utilisateurs d'AbulÉdu (abuledu-fr.org) ou l'association ABUL.
Suivez la progression de nos travaux et participez à la communauté via la liste de diffusion.
loup, Gravure, Renards, Ésope (0620?-0560? av. J.-C.), Fables antiques, Singes, Procès, Isaac de Benserade (1613-1691), Versailles (Yvelines) -- Château -- Jardins -- Labyrinthe
Fables d'Ésope par Bensérade, 1678, pour le labyrinthe de Versailles : Le singe juge.
"Débat sur les langues lors de la première Assemblée législative du Bas-Canada le 21 janvier 1793", par Charles Huot (1855-1930). Le "Débat sur les langues" fut un des premiers débats de la Chambre d'assemblée du Bas-Canada (aujourd'hui, le Québec), tenu le 21 janvier 1793. À cette occasion, il fut décidé de tenir le procès-verbal de la Chambre en français et en anglais, sans préséance de la seconde langue (pourtant langue du pouvoir britannique) sur la première. On peut admirer au Salon bleu de l'Assemblée nationale du Québec cette toile représentant le débat peinte par Charles Huot et inaugurée en 1913.
Dessins et plans, Arts du langage, Linguistique, Roman Jakobson (1896-1982), Analyse de contenu (communication), Approche communicative (enseignement des langues), Linguistique structurale
Schéma de la communication verbale, d'après Jacobson. À chacun des six facteurs inaliénables de la communication correspond une des six fonctions du langage (entre parenthèses). D'après Roman Jakobson, « le langage doit être étudié dans toutes ses fonctions ». C'est-à-dire que le linguiste doit s'attacher à comprendre à quoi sert le langage, et s'il sert à plusieurs choses. « Pour donner une idée de ses fonctions, un aperçu sommaire portant sur les facteurs constitutifs de tout procès linguistique, de tout acte de communication verbale, est nécessaire ». Les voici : 1) Le message lui-même 2) Le destinateur envoie un message au destinataire ; 3) Le destinataire est censé recevoir le message ; 4) Pour être opérant, le message requiert d'abord un contexte auquel il renvoie (c'est ce qu'on appelle aussi, dans une terminologie quelque peu ambiguë, le "référent"), contexte saisissable par le destinataire, et qui est soit verbal, soit susceptible d'être verbalisé ; 4) le message requiert un code, commun, en tout ou au moins en partie, au destinateur et au destinataire (ou, en d'autres termes, à l'encodeur et au décodeur du message) ; 5) le message requiert un contact, un canal physique et une connexion psychologique entre le destinateur et le destinataire, contact qui leur permet d'établir et de maintenir la communication. Les fonctions du langage sont les suivantes : 1) fonction expressive (expression des sentiments du locuteur), 2) fonction conative (fonction relative au récepteur), 3) fonction phatique (mise en place et maintien de la communication), 4) fonction référentielle (le message renvoie au monde extérieur), 5) fonction métalinguistique (le code lui-même devient objet du message), 6) fonction poétique (la forme du texte devient l'essentiel du message).
Gravure, Miel, guêpes, Abeilles, Jean de La Fontaine (1621-1695), Frelon, Fables classiques, Procès d'animaux
Les Frelons et les Mouches à miel. Source : Cent fables de Jean de La Fontaine (1621-1695) illustrées par P. J. Billinghurst (Gutenberg), 1901. "On fait tant à la fin, que l’huiſtre est pour le Juge, Les écailles pour les plaideurs."
Photographie, Musées -- Aspect éducatif, Musées historiques, Pointe-à-Pitre (Guadeloupe), Victor Schoelcher (1804-1893), Henry Sidambarom (1863-1952), Histoire locale -- Musées, Immigration professionnelle, Indiens (de l'Inde), Musée Schoelcher. Pointe-à-Pitre, Guadeloupe, Musées ethnologiques, Politique de l'immigration
Entrée du musée Schœlcher de Pointe-à-Pitre. Au lendemain de l’abolition de l'esclavage en 1848, les planteurs guadeloupéens, à la recherche de main-d’œuvre étrangère explorent plusieurs possibilités. Napoléon III signe la Convention sur l’immigration indienne le 1er juillet 1861. Le «Bombay Gazette» du 15 juin 1858 décrit les individus confinés dans les dépôts comme des pauvres, ignorants et illettrés pour l’essentiel, «nés dans la liberté, prêts à être déportés dans des colonies où l’esclavage a été aboli mais où ils deviendront esclaves». Ce commerce humain est une affaire lucrative pour la Compagnie générale maritime signataire d'un contrat rémunérateur avec le Ministère de la Marine. Leurs conditions de vie misérables deviennent vite dramatiques, et sont qualifiées de « New system of slavery » par le gouvernement britannique, qui, conscient des sévices commis sur ses sujets aux Antilles françaises signe le 1er novembre 1888 l’arrêt de ce mouvement migratoire. Il existe une énorme surmortalité, soit 61,4 pour mille entre 1855 et 1885. Victor Schoelcher déclare que « l’immigration consomme presque autant de créatures humaines que l’esclavage ». Le rapatriement au terme du contrat est rare au début. En 1923, suite à un long procès 1904-1923, Henry Sidambarom (1863-1952), défenseur de la cause des travailleurs indiens, obtient la nationalisation pour les indiens de la Guadeloupe. En 1925, Raymond Poincaré, Président du Conseil, décide d'octroyer définitivement la nationalité française aux ressortissants indiens ainsi que le droit de vote.
Textes, France (Révolution) (1789-1799), France (Chute des Girondins) ( 30 mai-2 juin 1793), France (1793), Guillotine, Girondins (1793), Procès des
Ordre d'exécution de Madame Roland, Marie-Jeanne Roland de la Platiere, par le Tribunal révolutionnaire et signé par Antoine Quentin Fouquier-Tinville. Source : Hector Fleischmann, "La guillotine en 1793", Paris : Librairie des Publications Modernes, 1908. Manon Roland, ou Jeanne Marie, ou Manon Phlipon, communément appelée Madame Roland, devenue par mariage vicomtesse Roland de la Platière, née le 17 mars 1754 à Paris et morte guillotinée le 8 novembre 1793 à Paris, est une figure de la Révolution française. Elle joua un rôle considérable au sein du parti girondin, et poussa son mari au premier plan de la politique.
Gravure, France (Révolution) (1789-1799), France (1793-1794), Terreur (5 septembre 1793-27 juillet 1794), Deuxième, Montagnards (Histoire de France), Hébertistes (histoire de France), Hébertistes (histoire de France. - 1794), Procès des, Jacques-René Hébert (1757-1794), Terreur (10 août-20 septembre 1792), Première
Portrait de Jacques-René Hébert. Source : Léonard Gallois, "Histoire des journaux et des journalistes de la révolution française", Paris, Bureau de la Société de l'industrie fraternelle, 1845. Hébert (1757-1794), rédacteur du Père Duchesne, le journal des sans-culottes, se veut le successeur de Marat. Les Hébertistes veulent renforcer l'économie dirigée et radicaliser la terreur. Ils dirigent le mouvement sans-culotte et contrôlent le club des Cordeliers, le ministère de la Guerre dont le secrétaire général est Vincent et l’armée révolutionnaire parisienne, dont le chef est Ronsin. Autre appui : la Commune dont le maire Pache, le procureur Chaumette et le commandant de la garde nationale Hanriot leur sont favorables.
Photographie, Tribunaux, Inventions, Ecclésiastiques, ABCD, ABCD-inventions, Galileo Galilei (1564-1642), Bible, Église -- Inquisition
Procès de Galilée par l'Inquisition en 1633 à Rome : Galilée à genoux repousse la Bible.
Peinture, Montgolfières, Paris (France) -- Jardin des Tuileries, Paris (France) -- Palais des Tuileries, Physiciens français, Baromètres, Jacques Charles (1746-1823), Chromolithographie, Altimètres, Exploits sportifs, Nesles-la-Vallée (Val-d'Oise)
Premier voyage aérien exécuté dans un aérostat à gaz hydrogène par Charles et Robert le 1er décembre 1783, départ des Tuileries. Le ballon vole pendant deux heures et se pose à Nesles-la-Vallée après avoir parcouru 35 kilomètres. Le duc de Chartres et le duc de Fitz-James suivent le ballon à cheval et signent le procès-verbal. Noël Robert une fois descendu, le ballon repart avec une vitesse ascensionnelle élevée et monte à une altitude de 3 300 m, mesurée avec précision à l'aide d'un baromètre : Charles avait également inventé l'altimètre. Saisi par le froid glacial, il redescend et atterrit dans la nuit dans les environs de Nesles-la-Vallée. Cet exploit vaut à Jacques Charles une grande popularité, mais il ne volera plus.