Transfert en cours..., vous êtes sur le "nouveau" serveur data.abuledu.org dont l'hébergement est financé par l'association abuledu-fr.org grâce à vos dons et adhésions !
Vous pouvez continuer à soutenir l'association des utilisateurs d'AbulÉdu (abuledu-fr.org) ou l'association ABUL.
Suivez la progression de nos travaux et participez à la communauté via la liste de diffusion.
Photographie, Biodiversité, Diversité des espèces, Organisation des Nations Unies, Hyderabad (Inde), Diversité végétale, Diversité biologique
Conference des Partis (COP-11), Convention sur la biodiversité, 2012, Hyderabad en Inde. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Conf%C3%A9rence_d%27Hyderabad_sur_la_diversit%C3%A9_biologique
Dessins et plans, Méiose, Cycle de la vie, Biologie animale, Insectes -- Reproduction, Animaux -- Fécondation, Aspect génétique, Diversité biologique, Gamètes
Cycle sexuel de la reproduction sexuée sur le plan génétique : La reproduction sexuée est un mode de reproduction qui fait intervenir des organismes de sexe complémentaires. Ce mode de reproduction est caractérisé par un cycle de vie alternativement haploïde et diploïde. Les paires de chromosomes parents sont séparés durant la formation des gamètes (méiose) puis recombinés en un nouvel organisme singulier lors de la fécondation. Ce brassage génétique conduit à l'échelle de l'espèce la diversité génétique, multipliant ainsi les possibilités d’adaptation à l'environnement. Dans le règne animal ce brassage génétique est associé à des stratégies comportementales permettant notamment une sélection en fonction de divers critères. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Sexualit%C3%A9
Dessins et plans, Actions réelles, Conservation des ressources naturelles -- Coopération internationale, Diversité biologique -- Conservation des ressources, Eau -- Conservation des ressources, Ressources agricoles, Ressources aquatiques, Ressources en eau, Ressources non-renouvelables, Ressources renouvelables
Représentation graphique très visuelle des interrelations entre domaines (ou enjeux) du développement durable : ACTIONS, RESSOURCES, OBJECTIFS. Ce diagramme décrit la nécessité de gérer, restaurer et protéger des ressources vitales (eau, air, sol, produites ou entretenues par la biodiversité via les écosystèmes, et qui sont des ressources pas, peu, difficilement, coûteusement ou lentement renouvelables), ceci pour des objectifs qui sont à la fois sociaux, économiques et donc environnementaux. Les intersections entre les sphères ou groupes de sphères représentent les interfaces deux à deux, ou trois à trois des items de base. Ce type de représentation permet de garder une vue globale d'un problème (une étude d'impact, un projet, un agenda 21, une situation individuelle ou collective, etc.) et peut -pour partie - servir de "check list" dans l'exploration d'un problème avec une approche écosystémique ou systémique. Autre avantage, ce diagramme est facile à mémoriser.
Vue depuis la Montagne de Kaw - Guyane Française. Située dans une des régions les plus humides de Guyane, elle accueille une riche diversité biologique et de nombreuses espèces endémiques. Elle abrite de nombreux abris sous roche favorables au coq de roche orange, espèce emblématique et endémique du Plateau des Guyanes. Le massif est aussi connu pour sa flore et son entomofaune, sans oublier les reptiles et l’avifaune. La plaine mais également la montagne de Kaw sont connues pour leur fort endémisme mais également pour leur biodiversité exceptionnelle. En effet, la forêt de la Montagne de Kaw possède la plus forte pluviométrie de la Guyane, ce qui expliquerait qu'elle aurait servi de refuge pour la faune et la flore lors des périodes de grandes sécheresses de l’ère du Pléistocène. Le projet très controversé de la société CBJ Caïman, filiale du groupe canadien Iamgold, d’ouvrir une mine d’or à ciel ouvert au cœur de l’un des haut-lieux de la biodiversité guyanaise avait mobilisé contre lui de larges secteurs de la société civile locale. À l'issue du Grenelle Environnement, le 30 janvier 2008 le président de la République a décidé de ne pas donner suite au projet d’exploitation aurifère sur la montagne de Kaw en Guyane.
Dessins et plans, Cartes du monde, Reptiles, Géographie, Biologie, Répartition géographique des animaux
Répartition mondiale du nombre d'espèces de reptiles par continents. Les reptiles sont présents sur quasiment l'intégralité de la surface du globe, à l'exception des zones trop froides à proximité des pôles. Comme ce sont des animaux à sang froid, ils préfèrent tout de même les températures assez élevées, et leur présence et leur diversité deviennent plus importante à proximité des tropiques. Ainsi, les continents les plus riches en reptiles sont l'Asie, l'Afrique et l'Amérique du Sud. Les reptiles peuvent s'adapter à des habitats très différents. On les trouve très présents dans les forêts tropicales, avec une très forte diversité d'espèces, mais ils peuplent également les déserts, où l'on retrouve des lézards et des serpents qui s'abritent durant la journée et sortent la nuit. Dans les zones montagneuses les lézards aiment se cacher dans des amas de pierres, et certains serpents se sont spécialisés dans les zones d'altitude comme la Vipère d'Orsini (Vipera ursinii) que l'on trouve dans les hautes montagnes d'Europe à des altitudes avoisinant 2 000 m. Certains reptiles sont dits fouisseurs et passent une partie de leur vie sous la terre comme les amphisbènes. Les reptiles ont également colonisé les milieux aquatiques : les crocodiliens, certaines tortues comme la Cistude d'Europe et certains serpents comme l'anaconda, le Mocassin d'eau et les couleuvres sont à leur aise dans les rivières et lacs d'eau douce, quand les tortues marines sont présentes dans tous les océans du monde, et ne rejoignent la terre ferme que pour se reproduire. Les serpents marins représentent un niveau d'adaptation supérieur, puisqu'ils ne retournent plus du tout à terre pour la plupart d'entre eux, et ont adopté un cycle de vie exclusivement marin. De nombreuses espèces ont des mœurs arboricoles, comme les serpents ou les lézards. Certains peuvent se déplacer d'arbre en arbre en « planant » comme les dragons volants et dans une moindre mesure certains serpents comme les couleuvres volantes.
Réseau trophique en eaux côtières. Un réseau trophique (ou chaîne tropho-dynamique) se définit comme un ensemble de chaînes alimentaires reliées entre elles au sein d'un écosystème et par lesquelles l'énergie et la matière circulent (échanges d'éléments tel que le flux de carbone et d'azote entre les différents niveaux de la chaîne alimentaire, échange de carbone entre les végétaux autotrophes et les hétérotrophes). Le terme trophique se rapporte à tout ce qui est relatif à la nutrition d'un tissu vivant ou d'un organe. Par exemple, une relation trophique est le lien qui unit le prédateur et sa proie dans un écosystème. Dans un écosystème, la structure des réseaux trophiques (les types et réseaux de relations alimentaires entre organismes) influence fortement la quantité, la diversité, la stabilité et la qualité de la biomasse et de la matière organique résiduelle (excrétions, nécromasse) produites par les écosystèmes. La qualité d'un réseau trophique et de ses interactions a un lien direct avec la stabilité et résilience des populations qui en font partie.