Transfert en cours..., vous êtes sur le "nouveau" serveur data.abuledu.org dont l'hébergement est financé par l'association abuledu-fr.org grâce à vos dons et adhésions !
Vous pouvez continuer à soutenir l'association des utilisateurs d'AbulÉdu (abuledu-fr.org) ou l'association ABUL.
Suivez la progression de nos travaux et participez à la communauté via la liste de diffusion.

Votre recherche ...

Nuage de mots clés

Photographie | guêpes | Dessins et plans | Entomologie | Biologie animale | Colonnes | Insectes sociaux | Plaques commémoratives | Djarach (Jordanie) | Gerasa (ville ancienne) | Nids | Gravure | Architecture romaine | Monumentalité (architecture) | Peinture | Colonnes ioniques | Biologie marine | Ordre dorique | Monumentalité urbaine | Français (langue) | ...
Géométrie pratique en 1702. Source : http://data.abuledu.org/URI/52a717be-geometrie-pratique-en-1702

Géométrie pratique en 1702

Formes géométriques surmontées d'une vue de la Petite Écurie, où Manesson Mallet enseignait les mathématiques. "Des cylindres, hémisphères, colonnes, segmens, ou portions de sphères, cônes, etc." par Allain Manesson-Mallet, La Géométrie pratique, t. I, Paris, Anisson, 1702. (Géométrie pratique, t. 1, planche XXXIX).

Grotte de lave. Source : http://data.abuledu.org/URI/524da06e-grotte-de-lave

Grotte de lave

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, manuel scolaire, édition de 1904 : UNE GROTTE DE LAVE. - Dans la lave sortie autrefois des volcans se creusent des grottes avec des colonnes, dont quelques-unes ont les formes les plus curieuses.

Guêpe et colonie. Source : http://data.abuledu.org/URI/5417ff15-guepe-et-colonie

Guêpe et colonie

Une jeune reine de l'espèce de guêpes sociales (Polistes dominulus) en train de fonder une nouvelle colonie. Le nid est constitué de fibre végétales et de salive. Les œufs ont été fertilisés avec du sperme conservé depuis l'année précédente. La reine nourrit sa progéniture avant l'émergence des premières ouvrières. Le temps écoulé entre la première et la dernière photo est d'environ un mois. 1) Le nid avec seulement quelques alvéoles. 2) De nouvelles alvéoles sont faites avec des fibres machées et de la salive. 3) Une chenille est utilisée pour nourrir les larves. 4) La reine nourrit les larves. 5) La reine bat des ailes pour rafraichir les larves. 6) La reine protège sa progéniture. Photomontage.

Habitation de Champlain à Quebec. Source : http://data.abuledu.org/URI/511530ec-habitation-de-champlain-a-quebec

Habitation de Champlain à Quebec

Habitation de Québec : A) Le magazin. B) Colombier. C) Corps de logis où sont nos armes, & pour loger les ouvriers. D) Autre corps de logis pour les ouvriers. E) Cadran. F) Autre corps de logis où est la forge, & artisans logés. G) Galeries tout au tour des logemens. H) Logis de sieur de Champlain. I) La porte de l'habitation, où il y a pont-levis. L) Promenoir autour de l'habitation concernant 10 pieds de large jusques sur le bort du fossé. M) Fossés tout autour de l'habitation. N) Plattes formes, en façon de tenaille pour mettre le canon. O) Jardin du sieur de Champlain. Q) Place devant l'habitation sur le bort de la rivière. R) La grande rivière de sainct Lorens. vers 1608. Source : "The works of Samuel de Champlain in six volumes", Toronto, The Champlain Society, 1925, reprinted 1971 by University of Toronto press, volume II, p. 39. Samuel Champlain fonde Québec en 1608, mandaté par Pierre Dugua de Mons, « là où le fleuve se rétrécit », selon l'appellation algonquienne, et il en fait la capitale de la Nouvelle-France aussi dite le « Canada ». Québec sera, jusqu'aujourd'hui, le premier lieu habité à l'année de façon continue par des Français et leurs descendants, en Amérique du Nord. Champlain remonte aussi le fleuve en 1615 jusqu'au-delà du Sault Saint-Louis (rapides de Lachine), à la baie Georgienne (partie ouest du lac Huron) et navigue sur les eaux de la rivière Richelieu jusqu'à ce qui est aujourd'hui le lac Champlain. Tout au long de son périple en Nouvelle-France, il établit notamment avec les Innus-Montagnais, les Algonquins et les Hurons-Wendats, d'excellentes relations diplomatiques et commerciales, et agit, d'office (non en titre), comme premier gouverneur de la Nouvelle-France. Cependant, les colons européens apportent de nombreuses maladies qui, par les routes commerciales, se propagent rapidement au sein des populations autochtones, faisant des ravages parmi celles-ci. Les colons français, arrivant souvent très malades dans des bateaux qui ne sont pas très sains, sont sauvés par les remèdes amérindiens. Ainsi, pour soigner le scorbut, les Iroquoiens du Saint-Laurent proposent à Cartier des décoctions d'écorce de cèdre blanc, appelé annedda.

Inscription en latin de Gergovie. Source : http://data.abuledu.org/URI/50910499-inscription-en-latin-de-gergovie

Inscription en latin de Gergovie

Inscription en latin sur un monument élevé à la gloire de Vercingétorix en 1900 à l’initiative de l’Académie des Sciences, Belles Lettres et Arts de Clermont-Ferrand, en pierre de Volvic : il est composé de trois colonnes rustiques, surmontées d’un casque ailé. Haut de 26 mètres, le monument montre sur la face ouest de son socle une inscription en latin : GERGOVIA - IN HIS LOCIS DUX ARVENORUM VERCINGETORIX COESAREM INVADENTEM PROFLIGAVIT = Gergovie - En ces lieux le chef des Arvernes, Vercingétorix, a battu César l'envahisseur.

Inscription kufique à Kairouan. Source : http://data.abuledu.org/URI/52b57140-inscription-kufique-a-kairouan

Inscription kufique à Kairouan

Inscription kufique en relief datée de 1011, gravée sur une colonne du portique occidental de la cour de la Grande Mosquée de Kairouan, en Tunisie : écriture arabe calligraphiée datant du premier tiers du XIe siècle,

L'extrémité nord du Cardo à Jerash. Source : http://data.abuledu.org/URI/54b533a7-l-extremite-nord-du-cardo-a-jerash-

L'extrémité nord du Cardo à Jerash

Extrémité du Cardo avec la porte Nord à l'extrémité, Jerash en Jordanie, le 8 novembre 2014 : la rue est étroite et bordée de portiques de colonnes ioniques basses.

La chaussée des Géants en Irlande. Source : http://data.abuledu.org/URI/50951084-la-chaussee-des-geants-en-irlande

La chaussée des Géants en Irlande

Détail de la chaussée des géants (en anglais : Giant's Causeway ; en irlandais : Clochán na bhFómharach, ce qui signifie « Le petit tas de pierre des Fomoires ») : formation volcanique située sur la côte d'Irlande du Nord. Située à 3 km au nord de la ville de Bushmills dans le Comté d'Antrim, à l'extrémité septentrionale du plateau d'Antrim, elle se caractérise par environ 40 000 colonnes hexagonales verticales juxtaposées (colonnes ou orgues basaltiques). L'ensemble, érodé par l'action de la mer, évoque un pavage qui débute de la base de la falaise et disparait dans la mer. Les colonnes sont visibles sur l'estran mais aussi dans la falaise haute de 28 mètres, qui constitue la bordure du plateau d'Antrim. Le site est inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 1986. Classé réserve naturelle nationale en 1987 par le Département de l'Environnement d'Irlande du Nord, le site et sa côte ont également intégré le réseau "Area of Outstanding Natural Beauty" en 1989. Le site appartient et est entretenu par le National Trust.

La colonne de Blanchard à Guînes. Source : http://data.abuledu.org/URI/51606bda-la-colonne-de-blanchard-a-guines

La colonne de Blanchard à Guînes

Colonne de Blanchard à Guînes : "Sous le règne de Louis XVI, 1785, Jean-Pierre Blanchard des Andelys en Normand accompagné de Jean Jefferies anglais partit du château de Douvres dans un aérostat. Le VII janvier à une heure un quart, traversa le premier les airs au-dessus du Pas-de-Calais et descendit à trois heures trois quarts dans le lieu même où les habitants de Guînes ont élevé cette colonne à la gloire des deux voyageurs. Ces aéronautes ont été reçus à leur descente par P. Eliz Cazin d'Honnincthun et Louis Marie Dufossé et conduits au château de M. le Vicomte de Sandrouin chambellan de l'empereur qui a posé la pierre de cette colonne le 25 mai 1785."

La colonne Vendôme renversée. Source : http://data.abuledu.org/URI/5946a595-la-colonne-vendome-renversee

La colonne Vendôme renversée

La colonne Vendôme renversée pendant la commune de Paris, 1871.

Le Cardo nord à Jerash. Source : http://data.abuledu.org/URI/54b53baf-le-cardo-nord-a-jerash

Le Cardo nord à Jerash

Colonnes ioniques de chaque côté du Cardo à proximité de la porte nord, Jerash en Jordanie, novembre 2014.

Le goéland argenté en Europe. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f72ae5-le-goeland-argente-en-europe

Le goéland argenté en Europe

Aire de répartition du goéland argenté (Larus argentatus) européen. En vert, Zone de nidification ; en bleu, Zone d'hivernage après dispersion ; en jaune : Zone d'hivernage après migration. Bon voilier et bon marcheur, le goéland est un omnivore opportuniste à tendance carnivore, qui n'hésite pas à devenir charognard, ou à pratiquer le cleptoparasitisme, voire le cannibalisme. Oiseau sociable, il niche en colonie et produit chaque année deux ou trois oisillons qui, s'ils parviennent à l'âge adulte, auront une probabilité de survie particulièrement élevée. Comme chez la plupart des oiseaux de mer, la saison de reproduction s'étale sur une longue période. La reproduction proprement dite, c'est-à-dire la ponte et l'élevage de la nichée, se déroule d'avril à juillet ; mais elle est précédée par une longue phase d'appropriation des territoires et de formation des couples. Les dates d'arrivée aux sites de nidification varient avec la latitude : elles sont plus précoces au sud. Ainsi, les goélands argentés sont observés sur leurs territoires au plus tard dès décembre dans le Finistère et au cap Blanc-Nez, début janvier en mer d'Irlande et début mars dans le sud de la Baltique. Les retours sont même signalés dès novembre au pays de Galles. Schématiquement, les mois précédant la ponte proprement dite, c'est-à-dire approximativement de janvier à avril, sont consacrés à l'appropriation et à la délimitation des territoires, à la formation des couples et à l'accouplement, enfin à la construction du nid. Mai est le mois des pontes et de l'incubation pour la majorité des couples, juin et juillet ceux de l'élevage des jeunes. Les oiseaux quittent progressivement les sites de reproduction dans le courant du mois d'août, les colonies étant pratiquement désertes à la fin de ce mois.

Le nain assis sur sa colonne. Source : http://data.abuledu.org/URI/51e8671e-le-nain-assis-sur-sa-colonne

Le nain assis sur sa colonne

Le nain stylite assis sur sa colonne (Słupnik), à Wrocław ul. Oławska, en Pologne.

Les colonnes d'Hercule. Source : http://data.abuledu.org/URI/50563734-les-colonnes-d-hercule

Les colonnes d'Hercule

Tableau du XVIème siècle représentant Hercule rapportant les colonnes du détroit de Gibraltar. Elles symbolisaient la frontière entre le monde civilisé et un monde inconnu ou dangereux.

Maison carrée au crépuscule en 2016. Source : http://data.abuledu.org/URI/56daa8c3-maison-carree-de-face-au-crepuscule-3-mars-2016-jpg

Maison carrée au crépuscule en 2016

La Maison carrée de Nîmes au crépuscule avec un ciel dégagé et une couleur chaude des lumières artificielles posées par la ville (3 mars 2016).

Maison de Gogol à Rome. Source : http://data.abuledu.org/URI/52c34342-maison-de-gogol-a-rome

Maison de Gogol à Rome

Plaque commémorative bilingue (en russe et en italien) sur la maison de Gogol à Rome de 1832 à 1848, apposée en 1901 par la colonie russe de Rome.

Marbre cipolin. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a2ae9a-marbre-cipolin

Marbre cipolin

Fût d’une colonne en marbre cipolin, conservé à la Basilique de Massenzio au Forum Romain, à Rome. Le marbre cipolin est une variété de marbre utilisée par les Romains. Le nom moderne correspond en latin à "marmor carystium" (c.à.d. « marbre de Karystos »). Il était extrait de nombreuses carrières situées sur la côte sud-occidentale de l'île d’Eubée, en Grèce, entre l’actuelle cité de Styra et Karystos. Certaines de ces carrières antiques conservent des cavités d’extraction longues de plus de 100 m. Il s'agit d'un marbre avec un fond blanc-vert, parcouru par d’épaisses nervures ondulées vert, tendant au bleuté et traversé par d'épaisses couches de mica. La couleur de fond des veines a tendance à s'assombrir en fonction de la situation géographique de la carrière d'origine du sud au nord. Du point de vue pétrographique, c’est une roche métamorphique, marbre saccharoïde cristalline (cristaux entre 0,2 et 0,6 mm), avec des stries colorées par l’épidote et la chlorite.

Mosquée de Kairouan. Source : http://data.abuledu.org/URI/50814b33-mosquee-de-kairouan

Mosquée de Kairouan

Grande Mosquée de Kairouan en Tunisie : Série d'arcs reposant sur des colonnes,

Ordre dorique en architecture. Source : http://data.abuledu.org/URI/5102a091-ordre-dorique-en-architecture

Ordre dorique en architecture

Ordre dorique en architecture : 1) Tympan du fronton, 2) Acrotère, 3) Cimaise (du fronton), 4) Corniche, 5) Mutule, 6) Geison, 7) Frise, 8) Triglyphe, 9) Métope, 10) Larmier, 11) Goutte, 12) Réglet (ou Regula), 13) Architrave, 14) Chapiteau, 15) Abaque, 16) Échine, 17) Colonne, 18) Cannelures, 19) Stylobate. Le prototype de la colonne dorique est une colonne de bois surmontée d'une pierre lisse ou granuleuse, qui deviendra le chapiteau (à Olympie, Pausanias, voyageur du IIe siècle, a vu des colonnes originales en bois du temple d'Héra encore en place). Les colonnes doriques les plus anciennes étaient très trapues (premier temple d'Aphaia à Égine), puis elles s'affinent avec le temps. De même le chapiteau, très aplati, se redresse et, à l'époque hellénistique, s'écarte à peine du fût. La hauteur de la colonne, comparée au diamètre inférieur, varie entre 4 diamètres et 5 diamètres 3/4 ; la dimension des entrecolonnements est de 1 diamètre environ ; le rapport de l'entablement à la colonne est à peu près de 1 à 3 ; la hauteur de l'architrave est généralement de 3/4 de diamètre ; celle de la frise, de un diamètre ; celle de la corniche, d'1/4 de diamètre ; celle du chapiteau, y compris l'échine, le tailloir et les filets, d'1/2 diamètre. Le nombre de cannelures du fût varie de seize à vingt-quatre. Chaque triglyphe tombe à l'aplomb du milieu de chaque colonne et du milieu de chaque entrecolonnement, excepté le triglyphe de chaque extrémité, qui se trouve rapporté à l'angle de l'entablement. Outre ces différences dans les proportions et les divisions, l'ordre dorique a connu, en Grèce, des variations assez remarquables de caractère et de style. La frise du Parthénon est ornée de bas-reliefs. La plus belle application qui ait été faite de ce système d'architecture se voit à Athènes, dans les Propylées et le Parthénon. L'ordre dorique est l'ordre par excellence, celui dont les autres ordres ne sont que des émanations. Ce fut le système d'architecture que les Grecs employèrent dans le plus grand nombre de leurs monuments.

Orgues basaltiques en Bohême. Source : http://data.abuledu.org/URI/50950eb5-orgues-basaltiques-en-boheme

Orgues basaltiques en Bohême

"Kamenné varhany" dans la petite ville de Kamenický Šenov au nord de la Bohême (20 km Est de Děčín et 10 km NWest de Česká Lípa). Les orgues (par analogie avec l'instrument) ou les colonnes basaltiques sont une formation géologique composée de colonnes régulières. Elle résulte de la solidification et de la contraction thermique d'une coulée basaltique peu de temps après son émission. La partie inférieure, qui se refroidit ou s'assèche plus lentement, se fracture de la surface vers la profondeur sous forme de prismes sub-verticaux à section hexagonale d'ordre décimétrique. Ces colonnes sont surmontées d'une zone de petits prismes moins réguliers (ou « faux prismes ») pouvant s'associer en gerbes.

Panneau informatif de l'église de l'évêque Isaïe à Jerash. Source : http://data.abuledu.org/URI/54b30f19-panneau-informatif-de-l-eglise-de-l-eveque-isaie-a-jerash

Panneau informatif de l'église de l'évêque Isaïe à Jerash

Panneau informatif de l'église byzantine de l'évêque Isaïe, à Jerash en Jordanie, 8 novembre 2014 : photo de la mosaïque située entre les colonnes de la nef.

Panneau informatif sur la porte nord et l'extrémité nord du Cardo à Jerash. Source : http://data.abuledu.org/URI/54b51db9-panneau-informatif-sur-la-porte-nord-et-l-extremite-nord-du-cardo-a-jerash

Panneau informatif sur la porte nord et l'extrémité nord du Cardo à Jerash

Panneau informatif sur la porte nord et l'extrémité nord du Cardo à Jerash en Jordanie, 115 après J.C. - 749 après J.C. (Cliché du 2 novembre 2014). Cette porte à une seule baie, par où passaient piétons, cavaliers et véhicules, marquait l'entrée principale de la ville au nord. Plus ancienne que la Porte Sud, comme le rappellent les deux inscriptions, encastrées dans les façades nord et sud, au-dessus de la rue, elle fut élevée en 115 de notre ère, en l'honneur de l'empereur Trajan "fondateur de la cité". Le plan très particulier de l'arc, trapézoïdal, permettait d'assurer un changement harmonieux d'orientation entre l'axe du Cardo et celui de la voie Gerasa/Adraa. Elle est, comme la Porte Sud, un arc inclus à posteriori dans l'enceinte de la ville. Cet arc marquait l'extrémité nord du Cardo, très différent de sa partie méridionale, dans sa structure et son décor. La rue est ici beaucoup plus étroite et bordée de portiques de colonnes plus basses, d'ordre ionique, semblables à celles de la Place Ovale. De fait, la rue apparaît ici sous son aspect ancien, alors que la partie sud a été plus tardivement élargie et embellie avec des colonnes d'ordre corinthien. Implantée sur un terrain vallonné, cette partie du Cardo a été établie sur de très importants remblais pour la rendre horizontale.

Paon du jour butinant un chaton de saule mersault. Source : http://data.abuledu.org/URI/50981da6-paon-du-jour-butinant-un-chaton-de-saule-mersault

Paon du jour butinant un chaton de saule mersault

Paon du jour (Inachis io) butinant le nectar d'un chaton de saule marsault (Salix caprea), photo prise au Speichersee, Allemagne. Ce saule est réputé comme plante mellifère car ses potentiels nectarifères et pollinifères sont élevés (> 100 kg/ha). Sa floraison précoce constitue par ailleurs un atout supplémentaire, car les besoins alimentaires des colonies d'abeilles sont importants à cette période de l'année. Il fournit un miel jaune d'or, irisé de vert, qui prend ensuite des teintes brun clair à beige. Il est de saveur légèrement boisée et florale. C'est un miel relativement rare, produit principalement dans l'ouest de la France.

Périple de Hannon en Afrique. Source : http://data.abuledu.org/URI/53b401d5-periple-de-hannon-en-afrique

Périple de Hannon en Afrique

Carte du trajet de Hannon, le navigateur carthaginois qui a exploré une partie des côtes africaines. Vers 500 av. J.-C., le suffète (archonte) Hannon est chargé par Carthage de franchir les Colonnes d'Hercule avec une flotte de soixante navires de cinquante rameurs chacun et 30 000 personnes à bord à débarquer à chaque étape pour y fonder des colonies (ou peupler des comptoirs déjà existants) et, une fois atteint le dernier comptoir, de poursuivre sa route pour une expédition d'exploration. Son périple a été transcrit sur une stèle déposée dans le temple de Ba'al-Hammon à Carthage. L'original punique ne nous est pas parvenu, mais nous en possédons une version grecque intitulée "Récit du voyage du roi des Carthaginois Hannon autour des contrées qui sont au-delà des Colonnes d'Hercule", gravé sur des plaques suspendues dans le temple de Kronos. Selon le récit qui nous est parvenu, il se décompose comme suit en cinq étapes étudiées par Jérôme Carcopino : 1) De Gadès (Cadix) à Thymatérion (embouchure de l’oued Sebou, près de l'actuelle Kénitra), 2) De Thymatérion au Soloeis (cap Cantin, le cap Beddouza actuel, proche de Safi) et au Mur Carrien (Safi), puis retour par étapes vers Gytté et Melitta (anciennes colonies de Cotté et Melissa, vers Tanger) et enfin un long arrêt à Lixus (Larache, sur l’actuel oued Loukkos) ; 3) De Lixus à l’île de Cerné (baie de Rio de Oro) ; 4) Expédition de reconnaissance de Cerné jusqu'à l’intérieur du delta du fleuve Sénégal et retour à Cerné ; 5) De Cerné au fond du golfe de Guinée, sur les rivages du Cameroun. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Hannon_%28navigateur%29

Perspective sous le métro aérien de Paris. Source : http://data.abuledu.org/URI/53e282f1-perspective-sous-le-metro-aerien-de-paris

Perspective sous le métro aérien de Paris

Perspective sous le métro aérien à Paris (Ligne 6), entre les stations "Nationale" et "Chevaleret" (que l'on aperçoit au fond). Notez les colonnes et structures métalliques, ainsi que la voûte en brique.

Petite otarie de Kerguelen. Source : http://data.abuledu.org/URI/537293ba-petite-otarie-de-kerguelen

Petite otarie de Kerguelen

Petite otarie (Arctocephalus gazella). Ses colonies de reproduction sont situées sur les îles sub-antarctiques situées à proximité de la convergence antarctique. Environ 95 % de la population mondiale se reproduit en Géorgie du Sud. À la naissance, les nouveau-nés pèsent entre 4,5 et 6,5 kg et mesurent entre 60 et 73 cm. Ils ont une fourrure laineuse brune à presque noire, qu'ils conservent pendant 2-3 mois. Ensuite l'otarie présente un pelage argenté qui dure jusqu'à l'âge adulte. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Otarie_de_Kerguelen

Phiale de Tmoutarakan. Source : http://data.abuledu.org/URI/51f30f3d-phiale-de-tmoutarakan

Phiale de Tmoutarakan

Phiale de Tmoutarakan (en russe Тмутаракань), auparavant Hermonassa (en grec Ἑρμώνασσα), une ancienne cité qui contrôlait la Tauride. Elle était située sur la péninsule de Taman, dans l'actuel kraï de Krasnodar, en face de Kertch. La ville était à l'origine une colonie grecque du nom d’Hermonassa qui, avec les cités de Phanagoria et Panticapaeum, constituait un des principaux centres de négoce du royaume du Bosphore.

Pile de Volta. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c26d20-pile-de-volta

Pile de Volta

Pile de Volta : La pile à colonne de Volta, ou pile voltaïque, ou encore pile Volta, fut la première pile électrique. Elle a été inventée par Alessandro Volta, qui publia un article à ce sujet en 1800. La pile voltaïque comporte un empilement de ronds de drap, puis de cuivre (ou d'argent), puis de zinc, groupe répété plusieurs fois et imprégné d'eau acidulée.

Planche de Siphonophorae. Source : http://data.abuledu.org/URI/5543a5bc-planche-de-siphonophorae

Planche de Siphonophorae

Planche de Siphonophorae, 1904, Kunstformen der Natur (1904), planche 37, par Ernst Haeckel (1834–1919) : au centre, Discolabe quadrigata (Haeckel) = Physophora hydrostatica Forskål, 1775, colonie ; en haut à gauche, Discolabe quadrigata (Haeckel) = Physophora hydrostatica Forskål, 1775 ; en haut à droite, Discolabe quadrigata (Haeckel) = Physophora hydrostatica Forskål, 1775 ; en bas à gauche, Discolabe quadrigata (Haeckel) = Physophora hydrostatica Forskål, 1775 ; en bas à droite, Discolabe quadrigata (Haeckel) = Physophora hydrostatica Forskål, 1775.

Plaque de la colonne Blanchard à Guînes. Source : http://data.abuledu.org/URI/516d9f5d-plaque-de-la-colonne-blanchard-a-guines

Plaque de la colonne Blanchard à Guînes

Plaque de la colonne Blanchard à Guînes relatant l'atterrissage du ballon le 7 janvier 1785 après la traversée de la Manche, de Douvres à Guînes en 2 heures 25 minutes, à bord d’un ballon gonflé à l’hydrogène. Jean-Pierre Blanchard (1753-1809) est un aéronaute français qui s’illustra dans la conquête des airs en ballon.

Plaque en cuivre mississipienne. Source : http://data.abuledu.org/URI/51211334-plaque-en-cuivre-mississipienne

Plaque en cuivre mississipienne

Plaque en cuivre repoussé funéraire représentant un oiseau : civilisation mississipienne à Etowah en Géorgie (USA). Elle peut être rattachée à la culture des "Mound Builders", car elle a produit de grands tertres funéraires. Elle a commencé à s'épanouir dans la vallée du Mississippi, d'où son nom. Il semble qu'elle ait complètement disparu avant l'arrivée des colons européens en Amérique du Nord.

Principe de Pascal appliqué à un tonneau. Source : http://data.abuledu.org/URI/51db5e35-principe-de-pascal-applique-a-un-tonneau

Principe de Pascal appliqué à un tonneau

Principe de Pascal : éclatement d'un tonneau sous la pression d'une colonne d'eau.

Puits artésien de Grenelle à Paris. Source : http://data.abuledu.org/URI/509fdca7-puits-artesien-de-grenelle-a-paris

Puits artésien de Grenelle à Paris

Colonne du puits artésien de Grenelle construite sur la place de Breteuil à Paris : C'est l'ingénieur Louis-Georges Mulot, aidé de François Arago, qui dirigea les travaux de 1831 à 1843 : son nom a été donné à la place où se trouve la fontaine. L'eau fut trouvée à 548 mètres. Le captage, véhiculé dans une conduite souterraine, jaillissait à une tour métallique monumentale de 42 mètres de hauteur, édifiée en 1858 sur la place de Breteuil, à quelques centaines de mètres de là. Elle fut détruite en 1903.

Solon, le législateur. Source : http://data.abuledu.org/URI/505efccb-solon-le-legislateur

Solon, le législateur

Chapiteau du portique du Palais ducal de Venise : Colonne 36 - "Chapiteau de la Justice", donné à Pietro Lamberti et Giovanni di Martino da Fiesole. Inscription en italien : "SALo UNO DEI SETE SAVI DI GRECIA CHE DIÈ LEGE" = Solon, un des sept sages de Grèce, qui fut législateur.

Squelette humain de dos. Source : http://data.abuledu.org/URI/5383ac58-squelette-humain-de-dos

Squelette humain de dos

Squelette de femme vu de dos légendé en français : crâne, atlas, mandibule ; colonne vertébrale, vertèbres cervicales, thoraciques et lombaires, sacrum, coccyx ; clavicule, manubrium, omoplate, sternum, côtes, humérus, cubitus, radius, ceinture pelvienne, carpes, métacarpes, phalanges, fémur, tibia, péroné, tarses, métatarses, phalanges, calcanéum. Les lignes rouges correspondent à des os uniques (noms au singulier) ; les lignes bleues correspondent à des ensembles d'os (noms au pluriel). Traduction en français par Berrucomons, correction Christophe Catarina.

Squelette humain légendé. Source : http://data.abuledu.org/URI/5382f1d0-squelette-humain-legende

Squelette humain légendé

Squelette humain légendé en français : crâne, mandibule : colonne vertébrale, vertèbres cervicales, thoraciques et lombaires, sacrum, coccyx ; clavicule, manubrium, omoplate, sternum, côtes, humérus, cubitus, radius, os iliaque, carpes, métacarpes, phalanges, fémur, rotule, tibia, péroné, tarses, métatarses, phalanges.

Stromatolithes en Australie. Source : http://data.abuledu.org/URI/52152259-stromatolithes-en-australie

Stromatolithes en Australie

Les cyanobactéries comptent parmi les formes les plus anciennes de vies en colonies capables de construire des récifs. Les stromatolithes construits par certaines espèces existaient il y a plus de 3,5 milliards d'années. On en trouve encore quelques formations, dont ici dans l'ouest de l'Australie, dans le parc national de Yalgorup.

Temple de Concordia à Agrigente en Sicile. Source : http://data.abuledu.org/URI/54de6708-temple-de-concordia-a-agrigente-en-sicile

Temple de Concordia à Agrigente en Sicile

Temple de Concordia à Agrigente en Italie : temple de style dorique élevé en 430 av. J.-C. Ceinturé de trente-quatre colonnes, il était recouvert de stuc. Il a été converti en basilique en 579. Au VIe siècle, l'évêque Grégoire y vécut en ermite. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Vall%C3%A9e_des_Temples#Temple_de_la_Concorde_.28Temple_F.29

Tunnel de fourmis légionnaires. Source : http://data.abuledu.org/URI/534b8cea-tunnel-de-fourmis-legionnaires

Tunnel de fourmis légionnaires

Colonne de fourmis légionnaires (Dorylus), Chogoria, Mont Kenya.

Types d'espèces marines dans une colonne d'eau. Source : http://data.abuledu.org/URI/531b3adc-types-d-especes-marines-dans-une-colonne-d-eau

Types d'espèces marines dans une colonne d'eau

Concept de la colonne d'eau et les différents étages occupés par les espèces.

Une guêpe et sa colonie. Source : http://data.abuledu.org/URI/541b4f6e-une-guepe-et-sa-colonie

Une guêpe et sa colonie

Une jeune reine de l'espèce de guêpes sociales Polistes dominulus en train de fonder une nouvelle colonie. Ici, on voit la reine nourrir les larves.

Une guêpe et sa colonie - 01. Source : http://data.abuledu.org/URI/541b4ce5-une-guepe-et-sa-colonie-01

Une guêpe et sa colonie - 01

Une jeune reine de l'espèce de guêpes sociales (Polistes dominulus) est en train de fonder une nouvelle colonie. Le nid est constitué de fibres végétales et de salive. Ici, il ne comporte que quelques alvéoles. Les œufs ont été fertilisés avec du sperme conservé depuis l'année précédente. La reine nourrit sa progéniture avant l'émergence des premières ouvrières.

Une guêpe et sa colonie - 02. Source : http://data.abuledu.org/URI/541b4db4-une-guepe-et-sa-colonie-02

Une guêpe et sa colonie - 02

Une jeune reine de l'espèce de guêpes sociales Polistes dominulus en train de fonder une nouvelle colonie. Dans cette image, la future reine agrandit son nid constitué de fibres végétales et de salive.

Une guêpe et sa colonie - 03. Source : http://data.abuledu.org/URI/541b4eb5-une-guepe-et-sa-colonie-03

Une guêpe et sa colonie - 03

Une jeune reine de l'espèce de guêpes sociales Polistes dominulus en train de fonder une nouvelle colonie. De nouvelles alvéoles sont faites avec des fibres machées et de la salive. La reine nourrit sa progéniture avant l'émergence des premières ouvrières. Ici, elle apporte un chenille pour nourrir sa progéniture.

Une guêpe et sa colonie - 05. Source : http://data.abuledu.org/URI/541b5001-une-guepe-et-sa-colonie-05

Une guêpe et sa colonie - 05

Une jeune reine de l'espèce de guêpes sociales Polistes dominulus en train de fonder une nouvelle colonie : La reine bat des ailes pour rafraichir les larves.

Une guêpe et sa colonie - 06. Source : http://data.abuledu.org/URI/541b50a3-une-guepe-et-sa-colonie-06

Une guêpe et sa colonie - 06

Une jeune reine de l'espèce de guêpes sociales Polistes dominulus en train de surveiller et de protéger sa progéniture.

Vue de Berlin. Source : http://data.abuledu.org/URI/5461e2b7-vue-de-berlin

Vue de Berlin

Vue sur Berlin depuis la "Siegessäule" (colonne de la victoire), avec au premier plan la canopée du "Großer Tiergarten" (grand jardin aux animaux), au second plan au centre la porte de Brandebourg, et en arrière-plan à gauche la "Fernsehturm" (tour de télévision).

Vue du Fort Royal de la Martinique vers 1750. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f71eb7-vue-du-fort-royal-de-la-martinique-vers-1750

Vue du Fort Royal de la Martinique vers 1750

Vue de Fort Royal, Martinique. François Denis (1732-1817) : Le 15 septembre 1635, le flibustier Pierre Belain d'Esnambuc débarque dans la rade de Saint-Pierre avec 150 colons français qui ont été chassés de l'île Saint-Christophe. Il installe ainsi la première colonie dans l'île, pour le compte de la couronne de France et de la Compagnie des îles d'Amérique. Les premiers établissements français en Martinique sont Le Fort Saint-Pierre (actuelle ville de Saint-Pierre) fondé par d'Esnambuc, et la ville du Fort-Royal (actuellement Fort-de-France) fondée par les gouverneurs De Baas et Blenac. la lutte se concentre entre les Français et les Anglais (et, après 1707, date de la fondation du Royaume-Uni, les Britanniques). Tous les grands conflits européens ont leur composante caraïbe. C'est notamment le cas de la guerre de Sept Ans qui vaudra à la France la perte de nombreuses possessions au profit de la Grande-Bretagne. La Martinique deviendra ainsi, par deux fois, possession britannique, mais pour d'assez courtes périodes. Elle restera définitivement française après 1816.