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Dix-neuvième siècle | Véhicules hippomobiles | Brest (Biélorussie) | Écartement des lignes | Biélorussie | Bogies | Pologne | Transports ferroviaires -- Appareils et matériel | Technologie ferroviaire | Chemins de fer -- Voitures | Voitures de chemin de fer | Illustration des périodiques | Illustrations humoristiques | Transports publics par omnibus | Grandville (1803-1847) | Artistes français | Gravure | Humour par l'image | Locomotives | Voitures à cheval | ...
La malle-poste de Londres. Source : http://data.abuledu.org/URI/520e45ef-la-malle-poste-de-londres

La malle-poste de Londres

La malle-poste, 1849, par Jacques Laurent Agasse (1767-1849), peintre animalier suisse installé en Angleterre.

Ambulance du dix-neuvième siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/530cddb1-ambulance-du-dix-neuvieme-siecle

Ambulance du dix-neuvième siècle

Ambulance du dix-neuvième siècle, dite "ambulance volante" de Larrey, utilisée pour évacuer les blessés d'un champ de bataille. Dominique-Jean Larrey (1766-1842), chirurgien en chef de la Grande Armée, il suivit Napoléon Ier dans toutes ses campagnes et fut un précurseur en matière de secours aux blessés sur les champs de bataille, pratiquant les soins sur le terrain le plus tôt possible, grâce à des ambulances chirurgicales mobiles. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Dominique-Jean_Larrey.

Changement des bogies. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d6ee88-changement-des-bogies

Changement des bogies

Changement des bogies d'une voiture à Brest, à la frontière entre la Pologne (voie normale) et la Biélorussie (voie large de 1 524 mm). Un bogie (ou boggie) est un chariot situé sous un véhicule ferroviaire, sur lequel sont fixés les essieux (et donc les roues). Il est mobile par rapport au châssis du véhicule (locomotive, wagon ou voiture) et destiné à s'orienter convenablement dans les courbes. Le mot bogie est un mot d'origine anglaise qui signifie cabriolet, c'est-à-dire un attelage hippomobile se guidant facilement. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Bogie.

Trajet en omnibus en 1828. Source : http://data.abuledu.org/URI/514edebd-trajet-en-omnibus-en-1828

Trajet en omnibus en 1828

Le trajet en omnibus en 1828, par Jean Ignace Isidore Gérard, mieux connu sous son pseudonyme de J. J. Grandville (1803-1847), célèbre pour ses illustrations de journaux comme "La Silhouette," "L'Artiste," "La Caricature," et "Le Charivari." Ce dessin illustre une pièce de musique de "Une Course d'Omnibus" de Charles Henri Plantade (1764-1839). Un omnibus (du latin omnibus, signifiant « pour tous ») est un véhicule à traction hippomobile inspiré des diligences et assurant un service de transport public. Un omnibus circule à des horaires déterminés sur des lignes fixes, ce qui le distingue des fiacres, ancêtres des taxis, qui, loués par une personne ou une famille, se rend à la destination choisie par ses clients. Par ailleurs, il circule sur la chaussée, sans être guidés par des rails, ce qui les distingue des tramways. Il n'a pas nécessairement de points d'arrêts fixes. Le mot « omnibus », d'où viennent « autobus » et « bus », est apparu en relation avec la ligne créée à Nantes en 1826, la première en France, au XIXe siècle. L'âge d'or des omnibus est cependant le XIXe siècle, lorsque les villes commencent à s'étendre sous la pression d'une forte croissance démographique et industrielle, l'amélioration de la voirie, et à une époque où la petite bourgeoisie, qui pouvait économiquement payer des places, se développe. Lorsque Stanislas Baudry (1777-1830) décide de créer le même service à Paris, il crée une nouvelle entreprise à qui il donne le nom d'Entreprise générale des omnibus (EGO) ; il y est associé avec d'autres hommes d'affaires (Boitard et Saint-Céran). Le 30 janvier 1828, l'EGO obtient du préfet de police de Paris, Louis-Maurice Debelleyme, l'autorisation d'exploiter une entreprise de « voitures destinées à transporter à bas prix les habitants de certains points de la ville à d'autres points également fixés et en suivant des itinéraires fixés par la ville », avec au plus cent voitures. Les omnibus de l'EGO, tractés par trois chevaux, comptent 14 places assises réparties en trois classes. Après une phase de succès, l'EGO subit une crise dès l'hiver 1830 et est mise en faillite.