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Gravure, Cartes topographiques, Dix-septième siècle, Cartes, Relations amoureuses, Cartes anciennes, Cartes cognitives, Cartes heuristiques, Cartes linguistiques, Cartes mentales, Clélie, histoire romaine - Madeleine de Scudéry (1607-1701), Géographie historique -- Cartes, Précieuses, Tendresse
La Carte de Tendre est la carte d’un pays imaginaire appelé « Tendre » imaginé au XVIIe siècle et inspiré par "Clélie, Histoire romaine" de Madeleine de Scudéry, par différentes personnalités dont Catherine de Rambouillet. On y retrouve tracées, sous forme de villages et de chemins, dans cette représentation topographique et allégorique, les différentes étapes de la vie amoureuse selon les Précieuses de l'époque : par grande estime, par reconnaissance et par inclination.
Images d'Épinal, 1880, La Petite aux grelots : Belle Orange suivit le char qui emportait son père, laissant la fée Rousse furieuse et occupée à rebâtir son palais. Dès qu’elle fut rentrée elle reprit sa première forme et courut se jeter dans les bras de son père qui l’attendait. Depuis elle a conservé ses grelots et les petits bâtons qui lui rappelaient la peine que lui avait coûté sa tendresse filiale dont elle resta le modèle. Source : http://fr.wikisource.org/wiki/La_Petite_aux_grelots
Dessins et plans, Pantoufles, Fauteuils, Noël, Tendresse, Poupées, Chloé, Arnaud Pérat, Pyjamas, Câlins
Le Noël de Chloé (04), bande dessinée d'Arnaud Pérat, scénario de Jean-Louis Frucot (Ryxéo, février 2013) : Chloé fait un câlin à sa poupée dans le grand fauteuil.
Dessins et plans, Jardins, Contes de fées, Éducation des enfants, Fillettes, Pères et filles, Curiosité, Comtesse de Ségur (1799-1874)
Le conte de la petite souris grise de la Comtesse de Ségur (1799-1874), illustré par Virginia Frances Sterrett (1900–1931), chapitre I, La maisonnette : Le père de Rosalie avait de la fortune ; il vivait dans une grande maison qui était à lui : la maison était entourée d'un vaste jardin où Rosalie allait se promener tant qu'elle voulait. Elle était élevée avec tendresse et douceur, mais son père l'avait habituée à une obéissance sans réplique. Il lui défendait d'adresser des questions inutiles et d'insister pour savoir ce qu'il ne voulait pas lui dire. Il était parvenu, à force de soin et de surveillance, à presque déraciner en elle un défaut malheureusement trop commun, la curiosité. Rosalie ne sortait jamais du parc, qui était entouré de murs élevés.