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Dessins et plans | Orbites | Astronomie | Photographie | Lune | Planètes -- Orbites | Terre -- Orbite | Dinosaures | Phases de la lune | Ellipses (mathématiques) | Johannes Kepler (1571-1630) | Oryctolagus cuniculus cuniculus | Arnaud Pérat | Biologie animale | Organes sensoriels | soleil | RyXéo | Guetteurs | Vision binoculaire | Vision chez les animaux | ...
Astronaute en orbite. Source : http://data.abuledu.org/URI/503a227a-astronaute-en-orbite

Astronaute en orbite

L'astronaute Stephen K. Robinson, ancré par les pieds au bras Canadarm2 de la Station Spatiale Internationale, participe à la troisiemme session extravehiculaire (EVA) de la mission. En arrière plan, la noirceur de l'espace et l'horizon terrestre.

Deux lignes d'univers. Source : http://data.abuledu.org/URI/52c43553-deux-lignes-d-univers

Deux lignes d'univers

Deux exemples de lignes d'univers : En physique, la ligne d'univers d'un objet est la trajectoire d'un objet lorsqu'il voyage à travers l'espace-temps en 4 dimensions. Le concept de ligne d'univers se distingue du concept de l'« orbite » ou de la « trajectoire » (tel que l'orbite d'un corps dans l'espace ou la trajectoire d'un camion sur une route) par la dimension temporelle. L'idée des lignes d'univers trouve son origine dans la physique et Einstein en fut le pionnier. Le terme est maintenant utilisé le plus souvent dans les théories de la relativité (générale ou restreinte, par exemple). Cependant, les lignes d'univers sont une manière de représenter le cours des événements. Son utilisation n'est pas liée à une théorie spécifique. Dans un usage général, une ligne d'univers est un chemin séquentiel d'événements (avec le temps et l'endroit comme dimensions) qui marquent l'histoire d'un objet. Le carnet de bord d'un navire est une description de sa ligne d'univers, pour autant qu'il comprenne une « étiquette de temps » attachée à chaque position. Il en va de même pour la vitesse d'un navire selon une mesure de distance (appelée métrique) appropriée à la courbe de la surface de la Terre.

Les éléments orbitaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b0a5a0-les-elements-orbitaux

Les éléments orbitaux

Diagramme de Kepler des éléments orbitaux. F périapse, H apoapse, la ligne rouge entre eux est la ligne des apsides. Apsides, en astronomie, désigne les deux points extrêmes de l'orbite d'un objet céleste pour lesquels la distance est minimale (apside inférieure, ou périapside ou périapse) ou maximale (apside supérieure, ou apoapside, ou apoapse) par rapport au foyer de cette orbite. Le mot s'emploie plus rarement au singulier pour désigner l'un ou l'autre des deux points. La ligne qui relie le périapside et l'apoapside d'une orbite donnée est appelée ligne des apsides. C'est l'axe principal de l'ellipse, la ligne la plus longue qui joint les deux points les plus éloignés.

Modèle de l'orbite lunaire en 1557. Source : http://data.abuledu.org/URI/533b163f-modele-de-l-orbite-lunaire-en-1557

Modèle de l'orbite lunaire en 1557

Modèle de l'orbite lunaire de 1557 ayant appartenu à Vincenzo Viviani (1622-1703), disciple de Galilée ; Musée Galilée, Florence.

Orbite de la comète de Hale-Bopp. Source : http://data.abuledu.org/URI/52f96536-orbite-de-la-comete-de-hale-bopp

Orbite de la comète de Hale-Bopp

Orbite de la comète Hale-Bopp. La position de la comète et des planètes sont données au 1er avril 1997, le périhélie. Basé sur les données d'éphémérides de "horizons" par la NASA.

Orbite lunaire elliptique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50707777-orbite-lunaire-elliptique

Orbite lunaire elliptique

Illustration du rythme anomalistique dû à l'orbite lunaire elliptique. L'orbite elliptique de la Lune détermine un passage à une distance minimale de la Terre (environ 360000 Km) ou périgée (Pg) et maximale nommée apogée (Ag) situé à environ 406000 Km de la Terre. Ce rythme dure environ 27,55 jours.

Orbite Terre-Soleil dans un référentiel géocentrique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50dab87e-orbite-terre-soleil-dans-un-referentiel-geocentrique

Orbite Terre-Soleil dans un référentiel géocentrique

Orbite Terre Soleil dans un référentiel géocentrique (c'est-à-dire la Terre étant fixe au centre de la figure et le Soleil orbitant autour de la Terre) : illustration des étapes nécessaires pour qu'un méridien terrestre donné retourne face au Soleil d'un jour au suivant. 1) une rotation complète (360°) de la Terre sur elle-même pour passer de 1 à 2 ; 2) ce faisant, le Soleil a avancé sur son orbite autour de la Terre, et de ce fait la Terre montre ce même méridien non pas face au Soleil mais face aux étoiles lointaines, point 2 ; 3) une rotation complémentaire de la Terre sur elle-même est alors nécessaire pour que le méridien soit à nouveau face au Soleil, point 3.

Phases lunaires. Source : http://data.abuledu.org/URI/51afa86b-phases-lunaires

Phases lunaires

Orbite de la Lune et phases vues depuis la Terre.

Acanthostomatops vorax. Source : http://data.abuledu.org/URI/563b2c0c-acanthostomatops-vorax

Acanthostomatops vorax

Reconstitution d'un Acanthostomatops vorax. Les Zatrachydidae ou zatrachydidés sont une famille de temnospondyles ayant vécu à la fin du Carbonifère et au début du Permien en Amérique du Nord et en Europe. Ils se reconnaissent par les protubérances osseuses latérales du quadratojugal et une grande ouverture dans le palais. Le crâne est aplati, avec de petites orbites placées loin en arrière. L'ouverture dans le palais peut avoir servi à loger une glande produisant une substance collante pour engluer la proie sur la langue. Si cela était, cela montrerait que ces animaux passaient une grande partie de leur temps sur terre. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Zatrachydidae

Coordonnées d'un satellite. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ade30e-coordonnees-d-un-satellite

Coordonnées d'un satellite

Paramètres orbitaux d'un satellite artificiel terrestre : ascension droite du nœud ascendant ☊, inclinaison i, argument du périgée ω. Six paramètres sont utilisés pour fournir la position et la trajectoire d'un satellite dans l'espace : 1) l'orbite d'un satellite est un plan. Si on ne tient pas compte des perturbations naturelles auxquelles elle est soumise et en l'absence de manœuvres du satellite, le plan d'orbite est fixe dans l'espace. Ce plan peut être défini par deux paramètres : l'inclinaison i et la longitude (ou ascension droite) du nœud ascendant ☊ ; 2) trois paramètres – l'excentricité e et le demi-grand axe a de l'ellipse ainsi que l'argument du périgée ω – permettent de décrire la trajectoire en forme d'ellipse dans le plan d'orbite ; 3) un dernier paramètre permet de situer le satellite sur son orbite : on peut par exemple prendre le temps t écoulé depuis le passage au périgée.

Crane fossile de Sclerocephalus. Source : http://data.abuledu.org/URI/563b2d0b-crane-fossile-de-sclerocephalus

Crane fossile de Sclerocephalus

Crane fossile de Sclerocephalus : Les échancrures otiques sont des invaginations situées sur le bord postérieur du sommet du crâne, à l'arrière des orbites. Ces échancrures se retrouvent chez les labyrinthodontes et certains de leurs ancêtres immédiats mais pas chez leurs descendants reptiliens. L'absence ou la présence de ces échancrures est l'un des traits utilisés pour distinguer les amniotes des amphibiens. Ces échancrures sont parfois considérées comme faisant partie de la structure auditive et semblent avoir souvent tenu un rôle similaire à celui des tympans des anoures actuels. L'étude de la columelle (l'équivalent de l'étrier chez les amphibiens et les reptiles) des labyrinthodontes montre qu'elle ne pouvait pas être fonctionnelle dans la transmission des vibrations de basse énergie, ce qui les rendait inefficaces dans la transmission sonore aérienne. Les échancrures otiques devaient servir de stigmates, du moins dans leurs formes primitives.

Lapin aux aguets. Source : http://data.abuledu.org/URI/535ae7d0-lapin-aux-aguets

Lapin aux aguets

Lapin aux aguets (Oryctolagus cuniculus). On considère généralement que chacun des deux yeux du lapin a un champ de vision de 192°, voire plus. Au total, le champ de vision du lapin est de 360°, et la zone de vision binoculaire est de 24° devant lui et 30 ° au-dessus de la tête. En cas d'alerte, le lapin peut accroître cette vision binoculaire à 30° vers l'avant et 8 à 10° vers l'arrière en modifiant la position de ses yeux dans leurs orbites. C'est en effet uniquement dans la zone de vision binoculaire que l'animal peut évaluer la distance à laquelle se trouvent les éléments. Les oreilles seules peuvent obstruer la vision des lapins. Par ailleurs, il existe un angle mort une dizaine de cm devant le nez. Dans cette zone ce sont les vibrisses de l'animal qui permettent de percevoir les éléments placés devant lui. Les cellules de la rétine sensibles à la lumière sont peu denses chez le lapin, qui perçoit de ce fait une image floue. Il est donc plus sensible au mouvement des choses qu'à leur forme ; il peut percevoir les choses avec une très faible quantité de lumière, il peut donc voir dans l'obscurité. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Oryctolagus_cuniculus

Orbites elliptiques de Kepler. Source : http://data.abuledu.org/URI/55a283b9-orbites-elliptiques

Orbites elliptiques de Kepler

Orbites elliptiques de Kepler.

Phases lunaires. Source : http://data.abuledu.org/URI/5209da97-phases-lunaires

Phases lunaires

Orbite de la Lune et phases vues depuis la Terre.

Sinus paranasaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/5291c036-sinus-paranasaux

Sinus paranasaux

Sinus paranasaux: 1) Sinus frontaux, 2) Sinus éthmoïdaux (cellules éthmoïdales), 3) Sinus Sphénoïdaux, 4) Sinus maxillaires.Les sinus paranasaux sont des cavités remplies d'air où l'orifice d'entrée de l'air et celui de sortie ne font qu'un, contenues dans les os crâniens. On les divise en quatre groupes : 4) les sinus maxillaires (2), situés sous chacune des deux orbites dans les os maxillaires ; 1) les sinus frontaux (2) au-dessus des yeux et du nez, dans l'os frontal, formant la partie dure du front ; 2) les sinus ethmoïdaux (10 à 20) entre les cavités nasales et les orbites au sein de l'os éthmoïde ; 3) les sinus sphénoïdaux (2) au centre de la base crânienne dans l'os sphénoïde. Les sinus paranasaux sont reliés aux fosses nasales par des petits orifices appelés ostia. Ces derniers peuvent s'obstruer facilement par l'inflammation allergique ou le gonflement causé par un rhume. Le drainage normal du mucus sinusal est alors interrompu, et une sinusite peut apparaître.

Squelette d'Eryops megacephalus. Source : http://data.abuledu.org/URI/541d97c3-squelette-d-eryops-megacephalus

Squelette d'Eryops megacephalus

Eryops megacephalus à la Galerie de Paléontologie, MNHN, Paris : Ces tétrapodes étaient caractérisés par un crâne massif aux orbites placés très postérieurement. Les anciennes conceptions évolutives qualifiaient Eryops "d'amphibien primitif", impliquant qu'il représentait une forme transitionnelle par laquelle les "vertébrés plus évolués" seraient passés pour effectuer la sortie des eaux et ainsi quitter le grade "poisson". Ces visions sont aujourd'hui révolues. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Eryops

Temps de parcours du GPS. Source : http://data.abuledu.org/URI/50aa9870-temps-de-parcours-du-gps

Temps de parcours du GPS

Temps de parcours du GPS. Positions limites du récepteur en vert, Émissions des signaux par le satellite en rouge : 67ms pour 20200km et 86ms pour 26000km. Les horloges des satellites étant synchronisées sur une source commune (le "temps GPS"), il suffit de recevoir des signaux de quatre satellites pour disposer de quatre "pseudo-distances", calculées en multipliant le temps de parcours entaché de l'erreur de synchronisation de l'horloge du récepteur par la vitesse de propagation ; la résolution du système de quatre équations à quatre inconnues permet d'accéder à celles-ci : les trois coordonnées du récepteur et le décalage de son horloge par rapport aux horloges des satellites.