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Instruments à cordes | Musique | Photographie | Instruments à cordes pincées | Cithare | Instruments de musique | Odilon Redon (1840-1916) | Symbolisme dans l'art | Symbolisme (mouvement artistique) | Têtes coupées | Mythologie grecque | Corps flottants | Noyades | Cordes (instruments de musique) | Sandouri | Santour | Santouri | Instruments de musique -- Grèce | Gravure | Orphée | ...
Cithare. Source : http://data.abuledu.org/URI/53232de1-cithare

Cithare

Si son origine remonte à la Grèce antique, de nos jours, la cithare (en allemand, Zither) est un instrument de musique à cordes pincées faisant partie du folklore autrichien ou germanique, répandu aussi en Suisse, en Slovénie et en France. La caisse de résonance a une forme trapézoïdale, relativement plate. La table d'harmonie a une grosse ouïe centrale et des décorations y sont souvent appliquées. La cithare possède autant de cordes que de notes jouables (par la main droite) pour la mélodie, et quelques chœurs, ensembles de quatre cordes assurant les accords de l'accompagnement (qui sont joués de la main gauche). Les cordes mélodiques sont fines et décroissent en longueur de la gauche vers la droite, c’est-à-dire des sons graves vers les sons aigus. Les chœurs consistent en groupes de quatre cordes approximativement de même longueur mais de grosseurs très différentes pour produire des accords montants lorsqu'elles sont grattées de la droite vers la gauche. Des chevilles en métal assurent fixation et accord. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Cithare.

Autoharpe américaine. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ebad73-autoharpe-americaine

Autoharpe américaine

Autoharpe, cithare américaine. L'autoharpe a une forme trapézoidale, une ouïe centrale circulaire et généralement 36 cordes (certaines auto harpes en ayant jusqu'à 48) y sont tendues dans le sens de la longueur de l'instrument. Les cordes sont fixées à la base par des pointes et accordées en haut par des chevilles en métal qui permettent de régler la hauteur du son de chaque corde à l'aide d'une clé en métal. La caractéristique de cet instrument qui le différencie des autres cithares est un boîtier posé au-dessus des cordes dans le sens de la largeur de l'instrument. Ce boîtier contient un jeu de barres (dont le nombre varie en fonction de l'instrument) équipées d'étouffoirs qui neutralisent la vibration de cordes choisies à l'avance et permet ainsi d'obtenir des accords avec les autres cordes libres. On les met en action en appuyant sur des boutons et elles reviennent à leur emplacement initial grâce à un système de ressorts. Les noms des accords obtenus par ces barres sont inscrits avec la notation anglo-saxonne A B C D E F G (respectivement la si do ré mi fa sol) sur le boîtier. Les accords disponibles sont des accords mineurs, majeurs et de septième. Les modèles les plus courants possèdent un jeu de 12 accords et un nombre plus important pour les instruments plus élaborés. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Autoharpe

Joueur de bandoura. Source : http://data.abuledu.org/URI/53728883-joueur-de-bandoura

Joueur de bandoura

Ostap Kindraczuk jouant de la bandoura dans une rue du vieux marché de Poznan en Pologne.

Kantele Finlandais. Source : http://data.abuledu.org/URI/5331a7c5-kantele-finlandais

Kantele Finlandais

Le kantele (prononcé [ˈkɑntele] en finnois) est le principal instrument de musique traditionnel finlandais. Instrument à cordes pincées, il est également appelé cithare finlandaise, ou parfois psaltérion finlandais. Il est en bois et comporte traditionnellement 5 cordes. Les modèles plus récents (du XXe siècle principalement) peuvent comporter un nombre variable de cordes, de 5 à 40. Le joueur de kantele pose son instrument à plat sur ses genoux ou sur une table. Pour les petits kantele de 5 à 15 cordes, on positionne l'instrument de façon à ce que les cordes graves soit les plus éloignées de soi, à l'inverse des kantele de concert à plus de 30 cordes. Les cordes sont pincées avec les doigts pour jouer des arpèges ou des mélodies, ou bien grattées à l'aide d'un plectre pour jouer des accords, les doigts de la main libre bloquant les cordes ne faisant pas partie de l'accord désiré.

Orphée à la surface de l'eau. Source : http://data.abuledu.org/URI/5116dbf6-orphee-a-la-surface-de-l-eau

Orphée à la surface de l'eau

La tête d'Orphée, flottant à la suface de l'eau, 1881, par Odilon Redon (1840-1916). La légende d'Orphée, une des plus singulières de la mythologie grecque, est liée à la religion des mystères ainsi qu'à une littérature sacrée. Aède mythique de Thrace, fils du roi Œagre et de la muse Calliope, il savait par les accents de sa lyre charmer les animaux sauvages et parvenait à émouvoir les êtres inanimés. Il fut comblé de dons multiples par Apollon, et on raconte qu'il ajouta deux cordes à la traditionnelle lyre à sept cordes que lui donna le dieu, en hommage aux neuf muses, auxquelles appartenait sa mère. Il passe pour être l'inventeur de la cithare. Héros voyageur, il participa à l'expédition des Argonautes. Il y faisait office de chef de nage c'est-à-dire qu'il donnait par son chant la cadence aux coups de rame des autres héros. Son chant permit également à l'expédition de résister au danger du chant des sirènes dont il parvint à surpasser le pouvoir de séduction. Il se rendit jusqu'en Égypte, puis revint en Grèce. À la fin de son périple, il rentra en Thrace, dans le royaume de son père. Sa femme, Eurydice (une dryade) fut, lors de leur mariage, mordue au pied par une vipère. Elle mourut et descendit au royaume des Enfers. Orphée put, après avoir endormi de sa musique enchanteresse Cerbère, le monstrueux chien à trois têtes qui en gardait l'entrée, et les terribles Euménides, approcher le dieu Hadès. Il parvint, grâce à sa musique, à le faire fléchir, et celui-ci le laissa repartir avec sa bien-aimée à la condition qu'elle le suive et qu'il ne se retourne ni ne lui parle tant qu'ils ne seraient pas revenus tous deux dans le monde des vivants. Alors qu'Orphée s'apprêtait à sortir des Enfers, il ne put résister à la tentation de contempler sa bien-aimée, et Eurydice disparut définitivement.

Santouri grec. Source : http://data.abuledu.org/URI/533c2a10-sandouri-grec

Santouri grec

Santouri grec datant de 1940-1960. Le santouri est un instrument de musique iranien, diffusé par tout le Moyen-Orient appartenant à la famille des cithares sur table. On en joue à l'aide de deux petits marteaux placés entre les doigts. Il est imposant par sa taille (100 cm × 60 cm × 10 cm avec angle à 70°) et par la disposition des cordes offrant six sections de jeu. La caisse de résonance est en érable, en hêtre ou en bois de rose laminé ; les côtés sont coupés en deux et recollés en inversant le fil du bois afin d'assurer une meilleure stabilité. La table d'harmonie en épicéa ou en sapin est percée de deux grosses ouïes hexagonales avec sept trous ronds (ou deux grosses rosaces rondes) placées au centre et à gauche de la série de chevalets médians. Il a environ 115 cordes (en acier, en bronze et en cuivre fileté) disposées en chœurs de 2, 3, 4 ou 5 sur cinq séries de chevalets (non amovibles, reliés par des sillets en métal) composés de barres de soutien creusées pour permettre leurs passages. L'accord est complexe et rend le jeu difficile du fait des croisements lors des changements de série de chevalets. Les chevilles filetées sont placées sur le dessus, à droite, à côté de la table d'harmonie, et non pas sur le côté de la caisse de résonance. Là aussi il faut des calibres de cordes différents pour assurer le rendu correct des harmoniques de l'échelle chromatique. Les mailloches sont imposantes (25 cm), lourdes, toujours entourées d'étoupe à l'extrémité, afin de feutrer le son, et jouées avec les poignets, bien que tenues penchées, entre deux ou trois doigts (autrefois on en jouait aussi avec les avant-bras, d'un peu plus loin, avec les baguettes tenues droites, dans lesquelles étaient creusés des trous pour les index). Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Santour