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Cour du musée des arts décoratifs de Bordeaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/58270d49-cour-du-musee-des-arts-decoratifs-de-bordeaux

Cour du musée des arts décoratifs de Bordeaux

Cour arrière du musée des arts décoratifs et du design de Bordeaux.

Musée allemand de marionnettes de Lübeck. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e9b6d3-musee-allemand-de-marionnettes-de-lubeck

Musée allemand de marionnettes de Lübeck

Musée allemand de Lübeck : le théâtre de marionnettes.

Musée des santons à Marseille. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e8e8fe-musee-des-santons-a-marseille

Musée des santons à Marseille

Musée des santons de Provence Marcel Carbonel (collection privée marcel Carbonel). Architecte d'intérieur, Maurice Padovani, Marseille : Marcel Carbonel, né à Lyon le 25 juillet 1911, décédé à Marseille le 25 mai 2003 à l'âge de 92 ans, est un santonnier marseillais, doyen de sa profession. Pour fabriquer le moule original d'une nouvelle création appelé « moule-mère », il utilise du plâtre de Paris de couleur jaunâtre; ses particularités sont la finesse de l'empreinte, sa densité et sa solidité. Pour les moules de reproduction, il utilise un plâtre moins dur qui permet de démouler plus facilement le sujet. La forme des moules de reproduction est importante ; elle est arrondie en haut du moule afin de faciliter l'estampage en série. Ensuite, il laisse sécher le santon et le cuit dans un four électrique à une température qui atteint progressivement 980 °C. Il décore ses santons avec des gouaches de sa propre fabrication. Grâce à sa formation de lithographe, il met au point ses propres gouaches en broyant manuellement des pigments avec de la gomme arabique dure, dite « Kitir », qu'il décante lui-même. Il utilise 19 pigments de base (ocre rouge, ocre jaune, terre de sienne, terre de sienne brûlée, rouge hélios, rouge d'alizarine, rose tyrien, vert de chrome, vert valentine, violet d'alizarine, jaune hansa, jaune de chrome, bleu de cobalt, bleu de manganèse, bleu outremer, bleu de prusse, noir d'ivoire, blanc de titane, blanc de lithopone, qu'il mélange pour créer sa propre palette de 124 couleurs répertoriées et dosées. Ce procédé, d'après son expérience, permet en effet d'obtenir des couleurs plus vives et éclatantes que les gouaches en tube du commerce auxquelles ont généralement recours les autres santonniers. En 1961, la discipline santonnière rentre à la Sorbonne où Marcel Carbonel sera le premier santonnier à être distingué Meilleur ouvrier de France ; cette discipline est toujours en vigueur. Le 9 mai 2003, il est fait chevalier de la Légion d'honneur. Sa collection privée est constituée de pièces originales faites d'argile (cuite ou crue), papiers mâchés, bois sculpté et précieux, verre filé de Murano, plâtre, céramique, porcelaine, polychrome, maïs, liège, tissus (santons habillés). En 1997, cette collection est mise en valeur au travers d'un musée permettant aux visiteurs d'explorer cet artisanat. De la collection privée de Marcel Carbonel de plus de quatre mille cinq cents pièces, seules 2 421 pièces sont exposées.

Musée Soumaya à México. Source : http://data.abuledu.org/URI/58dc4180-musee-soumaya-a-mexico

Musée Soumaya à México

Musée Soumaya, Plaza Carso, Nuevo Polanco, México au Mexique, par l'architecte Fernando Romero, inauguré en 2011.

Plan du musée de Grenoble. Source : http://data.abuledu.org/URI/534c40e6-plan-du-musee-de-grenoble

Plan du musée de Grenoble

Plan du niveau 0 du musée de Grenoble : accueil ; cafétéria ; du 13ème au 17ème siècles ; 17ème siècle ; 18ème siècle ; 19ème siècle ; 19ème siècle ; cabinet des dessins ; 20ème siècle ; bassin d'eau ; expositions temporaires ; réserves ; ateliers. Le musée de Grenoble est un musée municipal des beaux-arts et antiquités de la ville de Grenoble en Isère. Situé place Lavalette, il est considéré, tant pour ses collections d'art ancien que pour ses collections d'art moderne et contemporain, comme l'un des plus prestigieux musées en Europe. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Mus%C3%A9e_de_Grenoble

Panneau de présentation de l'Église de l'Évêque Isaïe à Jerash. Source : http://data.abuledu.org/URI/54b30e1b-panneau-de-presentation-de-l-eglise-de-l-eveque-isaie-a-jerash

Panneau de présentation de l'Église de l'Évêque Isaïe à Jerash

Panneau de présentation de l'Église de l'Évêque Isaïe à Jerash en Jordanie, 8 novembre 2014 : Église de l'évêque Isaïe, 558/559 après J.C. - 749 après J.C. Cette église, découverte en 1983, est l'une des vingt-trois églises d'époque byzantine actuellement connues à Gerasa. Construite "... au temps de l'évêque Isaïe", selon un plan à trois nefs séparées par des rangées de colonnes ioniques provenant d'édifices d'époque romaine, elle est surtout remarquable par ses riches pavements de mosaïque. Ces derniers ont souffert des crises iconoclastes du VIIIe siècle et la plupart des figures animales et humaines ont été détruites. À l'ouest, un atrium (cour entourée de portiques, non fouillée) précédait les trois entrées de la façade principale du monument. Tardivement, ces portes ont été murées, l'entrée principale de l'église étant reportée sur sa face sud où existait une autre cour à portiques. L'ambon et le chancel, partiellement conservés au moment des fouilles, n'ont pas été restaurés. Le bâtiment était en travaux (réparations) lorsqu'il fut détruit par le séisme de 749 ap. J.C. Tout porte donc à croire que cet édifice, comme la plupart des églises de Gerasa, était encore en usage par des membres de la communauté chrétienne à la fin de l'époque omeyyade.