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Nuage de mots clés

Photographie | Dessins et plans | Gravure | Peinture | Architecture | Galeries marchandes | Paris (France) | Géologie | Géographie | Forêts | Angers (Maine-et-Loire) | Histoire | Dix-huitième siècle | Galeries souterraines | Carrières souterraines (exploitations minières) | Dolmens | Coupoles | Dix-neuvième siècle | Préhistoire | Dolmens à galerie | ...
Malt. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b616e9-malt

Malt

Le malt est une céréale germée, en général de l'orge, qui est caramélisée, pour qu'elle dégage tous ses arômes.

Abeille maçonne. Source : http://data.abuledu.org/URI/51c5d9ab-abeille-maconne

Abeille maçonne

Une abeille maçonne (Osmia ribifloris) sur des fleurs de vinettier (Berberis vulgaris) : Osmia est un genre regroupant des espèces d'abeilles solitaires parfois appelées abeilles maçonnes et jouant un rôle important dans la pollinisation. Leur mode de nidification dans des cavités est très varié. Certaines aménagent des galeries préexistantes construites par certains insectes, d'autres creusent le sol, le bois, des tiges sèches de ronce ou de roseau, ou construisent leurs cellules à l'air libre. Elles utilisent des matériaux de construction de nature très variée : argile, petits cailloux, fragments de feuilles. Certaines construisent leur nids dans des coquilles d'escargot vides. Le Vinettier ou l’Épine-vinette (Berberis vulgaris) est un arbuste de la famille des Berbéridacées. En France, à partir du XIXe siècle, l'épine-vinette était fréquemment éradiquée car c'est un hôte intermédiaire dans le cycle de la rouille noire du blé, un champignon pathogène des céréales. Elle a donc quasiment disparu d'Europe occidentale et ne subsiste guère qu'en montagne.

Ancien château d'eau de Lasva. Source : http://data.abuledu.org/URI/53dfb2e3-ancien-chateau-d-eau-de-lasva

Ancien château d'eau de Lasva

Ancien château d'eau de Lasva en Estonie transformé en galerie d'art.

Ancienne saucière en forme de poisson. Source : http://data.abuledu.org/URI/53819f6a-ancienne-sauciere-en-forme-de-poisson

Ancienne saucière en forme de poisson

Ancienne saucière italienne en forme de poisson. Galerie de la céramique, Musée UBC d'Anthropologie de Vancouver, Canada.

Angers, Galerie David D'Angers. Source : http://data.abuledu.org/URI/562fde96-angers-galerie-david-d-angers

Angers, Galerie David D'Angers

Angers (Maine-et-Loire, France), Galerie David d'Angers dans l'ancienne abbatiale Toussaint datant du XIIe siècle, et complètement restructurée en 1984.

Assemblage par tenon et mortaise d'une trière. Source : http://data.abuledu.org/URI/5209cf34-assemblage-par-tenon-et-mortaise-d-une-triere

Assemblage par tenon et mortaise d'une trière

Principe d'assemblage des bordages des navires antiques grecs par mortaises et tenons chevillés, probablement utilisé pour la construction des coques des trières. Époque : Système déjà utilisé aux temps homériques. Source : Jean Taillardat, La Trière athénienne et la guerre sur mer aux Ve et IVe siècles, 1968, in : Jean-Pierre Vernant, Problèmes de la guerre en Grèce ancienne, Éditions de l'École des Hautes Études en Sciences Sociales, coll. Points, 1999.

Attaque d'un galion. Source : http://data.abuledu.org/URI/51855921-attaque-d-un-galion

Attaque d'un galion

Attaque d'un galion, 1921. Illustration par Howard Pyle (1853-1911). Un galion, à l'origine galeon, présent en 1600 de la mer noire à la méditerranée, désigne un navire à plusieurs ponts, mû à la fois par voiles et rames comme les autres galères. Il évolua en pur voilier, et fut utilisé en Europe et particulièrement en Espagne du XVIe siècle au XVIIIe siècle.

Audience au Palais de Topkapi. Source : http://data.abuledu.org/URI/511395b2-audience-au-palais-de-topkapi

Audience au Palais de Topkapi

Le Sultan Ahmed III entouré par ses courtisans et ses conseillers. Miniature ottomane de "Surname-i Vehbi",exposée au Palais de Topkapi à Istanbul, dans l'ancien dortoir des pages, transformé en galerie des miniatures et des portraits (Müzesi Müdüriyeti).

Augustin Fresnel. Source : http://data.abuledu.org/URI/518e38d1-augustin-fresnel

Augustin Fresnel

Buste d'Augustin Fresnel (1788-1827), "membre de l'Institut" par le sculpteur David d'Angers (1788-1856), exposé dans la Galerie David d'Angers à Angers.

Banderole publicitaire sur façade historique. Source : http://data.abuledu.org/URI/533f96f4-banderole-publicitaire-sur-facade-historique

Banderole publicitaire sur façade historique

Deux inscriptions sur la façade de la Caisse d'épargne (10, rue Paul Séramy) de Fontainebleau (Seine-et-Marne) en Île-de-France : Caisse d'épargne et affichage sur une banderole pour une manifestation culturelle contemporaine, "Street'Art in Fontainebleau" à la Galerie 17 arts du 12 mai au 30 juin 2012. Une banderole est un drapeau rectangulaire visible de loin : la banderole est un outil de communication événementielle. elle se compose d'un visuel ou logo imprimé sur matière tissu ou PVC et est fixé par des œillets ou des sandows. Son emploi est habituel lors de manifestations. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Banderole

Bobine d'Alexander Calder à Canberra. Source : http://data.abuledu.org/URI/541ee466-bobine-d-alexander-calder-a-canberra

Bobine d'Alexander Calder à Canberra

"Bobine", sculpture d'Alexander Calder à la Galerie Nationale de Canberra en Australie : C'est avec une bobine et des tenailles que Calder réalisa in situ ses premières expositions à New York dans les années 1930.

Borne d'arcade contemporaine. Source : http://data.abuledu.org/URI/52c1ded1-borne-d-arcade-contemporaine

Borne d'arcade contemporaine

Borne d'arcade contemporaine "Solar Assault" où l'on joue assis. Au contraire du jeu sur console où on achète d'abord la console puis le jeu, permettant un jeu à volonté, l'arcade propose un accès libre et gratuit à la totalité du matériel. Il est par contre nécessaire de payer pour pouvoir jouer car la durée ou le nombre de parties sont limités. Il est donc indispensable de rajouter des pièces quand la partie est terminée, ceci constitue le principe même de l'arcade. Le jeu d'arcade possède comme caractéristique principale l'impossibilité pour le joueur de gagner. L'univers de l'arcade possède ses propres codes, ses habitudes, et sa propre histoire. En plus des cafés/bars et des salles d'arcade, les jeux d'arcade sont également présents dans les halls de bowling, les salles de cinéma, les galeries marchandes, les aéroports, les aires de repos autoroutières, les hôtels, les fêtes foraines ; en bref, dans des lieux ouverts au public où les gens sont susceptibles d'être en attente de quelque chose. Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Jeu_d%27arcade.

Catacombes de Paris. Source : http://data.abuledu.org/URI/5142f18b-catacombes-de-paris

Catacombes de Paris

Le passage dit des doubles carrières dans les Catacombes de Paris. Près de trois cents kilomètres de galeries s'étalent sous Paris intra-muros, sur parfois trois niveaux de carrières. La profondeur moyenne est d'environ vingt mètres sous le niveau du sol naturel. Lorsque ces carrières étaient actives, on en extrayait de la pierre à bâtir, qui a permis pendant plusieurs siècles de construire les bâtiments de Paris sans importer d'autre matériau de construction. On assimile abusivement les Catacombes à l'ensemble des carrières de la capitale, bien qu'elles n'en représentent en réalité qu'une infime fraction.

Colbert visitant les Gobelins en 1665. Source : http://data.abuledu.org/URI/548b58cf-colbert-visitant-les-gobelins-en-1665

Colbert visitant les Gobelins en 1665

Colbert visitant les Gobelins en 1665, par Sébastien Leclerc (1637–1714) : La galerie de l'hostel royal des Gobelins où l'on fait voir à Monseigneur Colbert, Marquis de Villacerf et de Payens, Seigneur de St Mémin, Courlange, La Cour, St Phal, Fontaine et autres lieux ; Conseiller du roi en ses conseils, Premier Maistre d'Hostel de la feue reine, Surintendant et Ordonnateur général des bastimens, jardins, arts et manufactures de sa majesté. Quelques actions d'Alexandre représentées en Tapisseries sur les Tableaux de Monsieur Le Brun.

Colonnes rostrales à Bordeaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/55476276-colonnes-rostrales-a-bordeaux

Colonnes rostrales à Bordeaux

Colonnes rostrales, Place des Quinconces à Bordeaux, Gironde (base Mérimée|PA33000075). Les deux colonnes rostrales (21 mètres de haut) situées face à la Garonne, ont été construites par Pierre-Alexandre Poitevin en 1829. Chaque colonne est ornée au tiers inférieur de quatre proues de galères prolongées de rostres formés de deux faisceaux de trois glaives, œuvre de l’ornemantiste d’origine italienne N. Bonino. Les rostres rappellent la victoire des flottes romaines sur celles de Carthage et, depuis l’Antiquité, signifient la maîtrise triomphale des mers. Le chapiteau supporte un édicule circulaire couvert d’une coupole supportant deux statues du sculpteur Monsau, à l'origine en terre cuite, avant d'être remplacées par des copies de fonte : l'une symbolise le Commerce et l'autre la Navigation. Le décor, finement sculpté par Bonino sur le fût, copie les proues et les ancres figurant sur le modèle de référence du musée du Capitole, mais Poitevin y a ajouté le caducée de Mercure et l’étoile qui guide le marin, attributs du Commerce et de la Navigation. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Place_des_Quinconces

Commanderie des Vieux-joncs. Source : http://data.abuledu.org/URI/506e8e24-commanderie-des-vieux-joncs

Commanderie des Vieux-joncs

Commanderie des vieux-Joncs à Oude Biesen (Belgique). Source : Bibliotheca regia Monacensis. Une description précise accompagne cette gravure : Entre les villes de Tongres, Bilsen et Maestricht on trouve un terrain inégal et varié, qui ne tient ni de l'aridité de la Campine, ni de l'uniformité de la Hesbaye. Dans cet agréable lieu, les bois n'ont rien de sauvage, et les collines, loin de ressembler aux rochers de la Meuse, ne sont composées que d'une terre douce et fertile, qui, sans attendre les soins de l'habitant, se couvre partout d'une riante verdure dont ce paysage tire son plus grand agrément. Le sommet d'une de ces collines, creusé par les mains de la nature, forme un vaste bassin, au fond duquel est bâti un grand et magnifique château, environné d'un parc fermé de murailles, qui sert de retraite à plusieurs espèces de bêtes fauves. Une longue avenue de haute futaie le traverse de part en part, et mène à une porte d'une belle architecture par où on entre dans une vaste cour, plantée de sapins d'une hauteur étonnante. On y voit à gauche une galerie en portiques, qui communique à une grande chapelle d'une architecture noble et bien entendue; le côté gauche est borné par divers bâtiments qui lui sont communs avec une seconde cour très-vaste, destinée aux usages rustiques. En face on trouve l'accès d'une troisième cour, qui borde un large fossé revêtu de maçonnerie et plein d'eau. Un semblable fossé fait l'enceinte du donjon, qui est carré et flanqué de quatre grosses tours rondes. Ce grand édifice renferme une quatrième cour carrée, belle et spacieuse, où l'on entre par deux ponts-levis, dont l'un regarde les cours et l'autre un parterre et d'autres jardins très agréables situés à l'occident. Les appartements y sont en grand nombre et remarquables, tant par la grandeur et l'élégance qui y brille, que par la richesse des meubles et la commodité des dégagements.

Contreforts en pierre de Notre Dame. Source : http://data.abuledu.org/URI/51439cae-contreforts-en-pierre-de-notre-dame

Contreforts en pierre de Notre Dame

Matériaux utilisés pour la construction de Notre Dame de Paris : "À l'inspection des monuments élevés pendant le moyen âge, il est aisé de reconnaître qu'alors, plus encore que pendant la période gallo-romaine, on exploitait une quantité considérable de carrières qui depuis ont été abandonnées, qu'on savait employer les pierres exploitées en raison de leur qualité, mais avec une économie scrupuleuse ; c'est-à-dire qu'on ne plaçait pas dans un parement, par exemple, une pierre de qualité supérieure convenable pour faire des colonnes monolithes, des corniches, des chéneaux ou des meneaux. Ce fait est remarquable dans un de nos édifices bâti avec un luxe de matériaux exceptionnel: nous voulons parler de la cathédrale de Paris. Là les constructeurs ont procédé avec autant de soin que d'économie dans l'emploi des matériaux. Les pierres employées dans la cathédrale de Paris proviennent toutes des riches carrières qui existaient autrefois sous la butte Saint-Jacques, et qui s'étendent sous la plaine de Montrouge jusqu'à Bagneux et Arcueil. La façade est entièrement construite en roche et en haut banc pour les parements, en liais tendre pour les grandes sculptures (banc qui avait jusqu'à 0m,90 de hauteur) et en cliquart pour les larmiers, chéneaux, colonnettes (banc de 0m,45 de hauteur au plus). Le liais tendre des carrières Saint-Jacques se comporte bien en délit, aussi est-ce avec ces pierres qu'ont été faites les arcatures à jour de la grande galerie sous les tours. Les cliquarts ont donné des matériaux incomparables pour la rose et pour les grandes colonnettes de la galerie, ainsi que pour tous les larmiers des terrasses. Parmi ces matériaux, on rencontre aussi dans les parements et pour les couronnements des contre-forts des tours l'ancien banc royal de Bagneux, qui porte 0m,70, et le gros banc de Montrouge, qui porte 0m,65 : ces dernières pierres se sont admirablement conservées. Dans les fondations, nous avons reconnu l'emploi des lambourdes de la plaine, et surtout de la lambourde dite ferme, qui porte jusqu'à un mètre ; quelquefois, mais rarement, du banc vert." Eugène Viollet-le-Duc. "Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle".

Corbeau sur une branche. Source : http://data.abuledu.org/URI/521afd8e-corbeau-sur-une-branche

Corbeau sur une branche

Maruyama Okyo (1733-1795), Corbeau sur une branche, Galerie Janette Ostier, Paris. Maruyama Ōkyo, de son vrai nom: Maruyama Masataka, surnom : Chūsen, noms familiers : Iwajirō et Mondo, noms de pinceau : Sensai, Isshō, Kaun, Untei, Senrei, Rakuyō-Sanjin et Seishūkan, est un peintre japonais du XVIIIe siècle. Il est né le 12 juin 1733 à Tamba (près de Kyoto) et mort le 31 août 1795. Il est le contemporain de Nagasawa Rosetsu.

Coupe géologique du secteur de Bure (Meuse). Source : http://data.abuledu.org/URI/50957e29-coupe-geologique-du-secteur-de-bure-meuse-

Coupe géologique du secteur de Bure (Meuse)

Coupe géologique du secteur de Bure. Coupe NO-SE au niveau du Laboratoire de recherche souterrain de Meuse/Haute-Marne : réseau de galeries souterraines localisé sous le territoire de la commune de Bure (Meuse). Dans le cadre des recherches sur le stockage des déchets radioactifs en couche géologique profonde, ce laboratoire de recherche souterrain est exploité par l’Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra) afin d'évaluer les propriétés de confinement de la formation géologique située à 500 mètres de profondeur. La construction du laboratoire débute en 2000 dans le cadre de la loi Bataille relative aux recherches sur la gestion des déchets radioactifs de haute activité. Une première phase de construction (des expériences sont menées en parallèle) s'achève en 2007 et des travaux d'extension sont en cours depuis 2008.

Coupole du Printemps. Source : http://data.abuledu.org/URI/5171a095-coupole-du-printemps

Coupole du Printemps

Coupole du Printemps, boulevard Haussmann à Paris. En 1907, Laguionie se lance à la construction d'un nouveau bâtiment qui, en 1908, ouvre déjà plusieurs de ses nouvelles galeries à l'angle des rues Caumartin et de Provence. Il est relié au magasin plus ancien par un sous-sol. C'est en avril 1910 qu'a lieu l'inauguration de ce qui est appelé les Nouveaux Magasins. À l'époque ils occupent environ la moitié de la surface des magasins actuels du Printemps Haussmann. Le style du nouveau bâtiment, coiffé d'une coupole et d'une terrasse, est assez proche de celui du magasin de Sédille pour conserver une certaine homogénéité. Mais une fois de plus, les innovations architecturales ne passent pas inaperçues : le nouveau hall octogonal est perçu comme audacieux, la ferronnerie des balcons et des rampes d'escalier est une réalisation de style art nouveau, l'éclairage du nouveau bâtiment étonne, et les trois nouveaux ascenseurs rapides émerveillent les visiteurs.

Coupole en cours de restauration à Arcachon. Source : http://data.abuledu.org/URI/54a2d03e-coupole-en-cours-de-restauration-a-arcachon

Coupole en cours de restauration à Arcachon

Coupole en cours de restauration à Arcachon (Gironde), Nouvelles Galeries : photo prise le 20141225.

Crâne de rhinocéros noir. Source : http://data.abuledu.org/URI/5367b6f5-crane-de-rhinocero-noir

Crâne de rhinocéros noir

Crâne de Rhinocéros noir. Galerie de Paléontologie et Anatomie Comparée, Musée National d'Histoire Naturelle, Paris. Ce spécimen historique (avec le squelette entier) ont été recueillis en Afrique australe.

Croquis de voile latine sur un petit bateau. Source : http://data.abuledu.org/URI/52618036-croquis-de-voile-latine-sur-un-petit-bateau

Croquis de voile latine sur un petit bateau

Croquis de voile latine sur un petit bateau. Apparue au IXe siècle, d'inspiration arabe, elle est surtout répandue en Méditerranée. Sa grande vergue se nomme antenne. Pour qu'elle soit efficace sur les deux amures, il est nécessaire de la changer de côté à chaque virement. Cette manœuvre consiste à gambeyer. Elle remplaça vite les voiles carrées utilisées depuis le temps des Romains, tant sur les navires marchands (tartanes) que militaires (galères, chébecs) car plus adaptée aux régimes de vent de cette région où elle perdure toujours sur des embarcations comme les pointus méditerranéens.

Cycle de vie d'un coléoptère. Source : http://data.abuledu.org/URI/55eaae51-cycle-de-vie-d-un-coleoptere

Cycle de vie d'un coléoptère

Relation de mutualisme : 1 - Le scolyte adulte creuse des galeries dans le bois pour pondre ses œufs et libère des spores de champignons. 2 - La larve se nourrit du champignon, qui en digérant le bois, contient ses éléments nutritifs. 3 - La larve devient une nymphe puis émerge en adulte.

David d'Angers, buste de Balzac. Source : http://data.abuledu.org/URI/562fed22-david-d-angers-buste-de-balzac

David d'Angers, buste de Balzac

Buste d'Honoré de Balzac par le sculpteur David d'Angers, (1844), exposé dans la Galerie David d'Angers, Angers.

Descriptif bilingue du château de Chenonceau. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f11e77-descriptif-bilingue-du-chateau-de-chenonceau

Descriptif bilingue du château de Chenonceau

Descriptif bilingue du château de Chenonceau, val de Loire : Charles Bohier, receveur des finances de Charles VII, Louis XII et François Ier, fit édifier l'actuel château sur les piles d'un moulin situé sur le Cher. Catherine Briçonnet, son épouse, dirigea les travaux. François Ier confisqua le château pour éponger les dettes de son trésorier. Il l'offrit à Diane de Poitiers qui fit construire un pont reliant le château à l'autre rive du Cher. À la mort d'Henry II tué au cours d'un tournoi, la reine Marie de Médicis, pas jalousie, obligea la belle Diane à échanger Chenonceau contre le château de Chaumont. Des fêtes fastueuses y furent données pour François II et Marie Stuart, puis Charles IX et Henry III. Lorsque ce dernier fut assassiné, Louise de Lorraine, sa veuve inconsolable, y finit ses jours dans une chambre tendue de noir. On peut admirer le plafond à caissons de la chambre de Louise de Lorraine dans la grande Galerie sur le Cher. Racheté par le Fermier Général Dupin, son épouse y reçut les artistes et intellectuels de son époque. Jean-Jacques Rousseau, précepteur de son fils, y rédigea un traité d'éducation, "L'Émile". La bonne Mme Dupin ne fut pas inquiétée pendant la Révolution et son château demeura intact. Elle est enterrée dans le parc. Le château fut transformé en hôpital militaire pendant la 1ère guerre mondiale.

Dessin d'escargot. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fa7df0-dessin-d-escargot

Dessin d'escargot

L'escargot, réalisé pour les enfants avec des logiciels, par Salvatore Di Giovanna : Né en 1955 à Roccamena (Italie), peint et vit en France. Après avoir vécu et voyagé dans quelques pays d'Europe et du Moyen-Orient, il revient en France (Paris) pour étudier la peinture, le dessin, la gravure et la restauration de tableaux. Fort de cette expérience professionnelle liée à l'art (portraitiste, restaurateur, cours de peinture), il réalise sa première exposition en 1997 dans plusieurs galeries. Depuis, il participe à de différents salons internationaux et obtient de nombreux prix : médailles d'Argent, médailles d'Or, diplômes, etc..

Dolmen. Source : http://data.abuledu.org/URI/524db0fc-dolmen

Dolmen

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.136 ; manuel scolaire, édition de 1904 : dolmen (UN AUTEL DES ANCIENS GAULOIS. - On trouve dans certaines contrées de la France, et surtout en Bretagne, des sortes de grandes tables de pierre qui, construites depuis les temps les plus reculés, servaient d'autels aux Gaulois, nos ancêtres. C'est sur ces tables qu'ils sacrifiaient leurs victimes, et ces victimes étaient parfois des hommes, des prisonniers de guerre, des esclaves. On appelle ces monuments de pierre des dolmens.)

Dolmen de la Madeleine à Gennes. Source : http://data.abuledu.org/URI/53837c01-dolmen-de-la-madeleine-a-gennes

Dolmen de la Madeleine à Gennes

Le dolmen de la Madeleine, l'un des dolmens que l'on trouve à Gennes en Maine-et-Loire.

Eau chaude au Moyen Age. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c8c825-eau-chaude-au-moyen-age

Eau chaude au Moyen Age

Eau chaude au Moyen Age : dans une galerie à arcades, une servante accroupie lave les jambes de sa maîtresse dont les pieds trempent dans une bassine d'eau chaude. On aperçoit le foyer par une porte ouverte. Source : Le Tacuinum sanitatis, manuel médiéval sur la santé, basé sur le Taqwin al‑sihha تقوين الصحة (Tableaux de santé), un traité médical arabe écrit par Ibn Butlan (v. 1001-1066), médecin irakien. Ses travaux traitent de l'hygiène, de la diététique et de l'exercice physique. Il a souligné les avantages d'une prise en compte attentive du bien-être physique et mental de la personne.

Exposition de la manufacture de Sèvres en 1879. Source : http://data.abuledu.org/URI/58704209-exposition-de-la-manufacture-de-sevres-en-1879

Exposition de la manufacture de Sèvres en 1879

Exposition de la manufacture de Sèvres dans la Galerie d'Iéna, Palais du Champ-de-Mars, Foire internationale de 1878 à Paris. Charles Baude, 1879. Source : de Vandière, Simon. L' Exposition universelle de 1878 illustrée, Paris: Calmann Lévy, 1879.

Exposition universelle à Paris en 1889. Source : http://data.abuledu.org/URI/56309c2b-exposition-universelle-a-paris-en-1889

Exposition universelle à Paris en 1889

Galerie des machines, Exposition universelle internationale de 1889 à Paris.

Façade des Nouvelles Galeries à Bordeaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/503d2690-facade-des-nouvelles-galeries-a-bordeaux

Façade des Nouvelles Galeries à Bordeaux

Photographie de la façade des anciennes "Dames de France", rue Sainte-Catherine à Bordeaux. Décoration sculptée style fin de siècle, belle époque, de Gaston Schnegg (1866-1953). Photo prise le 28 août 2012

Femme et enfant de La Feuillée. Source : http://data.abuledu.org/URI/585886be-femme-et-enfant-de-la-feuillee

Femme et enfant de La Feuillée

"Femme et enfant de La Feuillée", faïence de Quimper, avant 1930, musée de Locronan. Inspiré d'un dessin de François Hippolyte Lalaisse dans "La Galerie armoricaine".

Forêt de bouleaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/50983f69-foret-de-bouleaux

Forêt de bouleaux

Antonín Slavíček (1870–1910), "Atmosphère de bouleau", 1897, peinture à l'huile sur toile (91,5 × 114,5 cm), Galerie nationale à Prague. Poème de Sergueï Essénine (poète russe), 1913 : Белая берёза Под моим окном Принакрылась снегом Точно серебром (...) = Le bouleau blanc Sous ma fenêtre Se couvre de neige On dirait de l'argent.

Forêt galerie. Source : http://data.abuledu.org/URI/513a313f-foret-galerie

Forêt galerie

Forêt galerie (Comté de Putnam, Ohio, Lac Erié) : Les ripisylves de deux cours d'eau se rejoignent ici pour former une forêt-galerie. On parle de forêt-galerie lorsque la canopée est jointive au-dessus d'une rivière ou d'un petit fleuve, ou d'une zone humide (la présence de l'eau pouvant éventuellement être temporaire). Du point de vue de l'écologie du paysage, la forêt-galerie constitue un type particulier de corridor biologique ; à la fois forestier et aquatique ou palustre). Elle contribue par sa canopée jointive à faciliter la traversée de cours d'eau à un certain nombre d'espèces, soit par la canopée (écureuils, petits mammifères, insectes), soit via les nombreux troncs d'arbres morts ou vivants qui font "pont" au-dessus de la rivière. La forêt galerie entretient un microclimat plus tempéré au-dessus de la rivière.

Forêt galerie au Venezuela. Source : http://data.abuledu.org/URI/5383a845-foret-galerie-au-venezuela

Forêt galerie au Venezuela

Vue panoramique sur un des bras qui relient le Río Arauca au Río Apure, la forêt galerie qui le borde, et la savane qu'il traverse. Photo prise dans le Modulo Chititera, dans les plaines (Llanos) de l'État d'Apure (Venezuela).

Formation d'un abri sous roche. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f47629-formation-d-un-abri-sous-roche-

Formation d'un abri sous roche

Formation d'un abri sous roche par coupe d'une galerie karstique. Source : dessin de J.P. Texier pour le Pôle International de la Préhistoire. Un abri sous roche (ou abri-sous-roche) est une cavité peu profonde s'enfonçant dans une paroi rocheuse, souvent à la base de celle-ci car cette partie froide et humide est plus sensible à la cryoclastie. De tels abris sont particulièrement fréquents dans les massifs calcaires, en contexte karstique, où ils sont creusés au cours des millénaires par la gélifraction (érosion par le gel et le dégel) et/ou l'érosion chimique (dissolution).

Francois I et le sultan Soliman autour de 1530. Source : http://data.abuledu.org/URI/53088602-francois-i-et-le-sultan-soliman-autour-de-1530

Francois I et le sultan Soliman autour de 1530

François Ier et Soliman le Magnifique, 1530, par Le Titien (1489?-1576). En 1542, François Ier chercha à renouveler l'alliance avec l'Empire ottoman pour lutter contre les Habsbourg. Soliman envoya cent galères menées par Barberousse pour aider les Français dans l'ouest de la Méditerranée. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Soliman_le_Magnifique.

Fronton du Muséum de Paris. Source : http://data.abuledu.org/URI/53e28236-fronton-du-museum-de-paris

Fronton du Muséum de Paris

Frontn au-dessus de l'entrée de la galerie de minéralogie et de géologie au Muséum National d'Histoire Naturelle de Paris : Minéralogie - Bibliothèque.

Galerie d'anatomie comparée. Source : http://data.abuledu.org/URI/541d96bb-galerie-d-anatomie-comparee

Galerie d'anatomie comparée

Galerie de paléontologie et d'anatomie comparée à Paris.

Galerie de la mineuse du tremble. Source : http://data.abuledu.org/URI/5098308d-galerie-de-la-mineuse-du-tremble

Galerie de la mineuse du tremble

Feuille de peuplier tremble attaquée par une larve de mineuse (Phyllocnistis labyrinthella). Mineuse est un nom vernaculaire ambigu désignant en français des chenilles de lépidoptères, d'hyménoptères ou des asticots de diptères phytophages qui creusent dans le limbe des feuilles des galeries, entre les 2 épidermes du limbe d'une feuille, formant ce que l'on appelle une mine qui a la particularité de ne jamais se recouper. La géométrie de la mine (linéaire, ramifiée, en spirale, etc.) et la disposition du "frass" (excréments et vermoulure) permettent en général une détermination précise du ravageur. L'excavation s'élargit au fur et à mesure de leur croissance.

Galerie de mine d'extraction de manganèse. Source : http://data.abuledu.org/URI/54b85abf-galerie-de-mine-d-extraction-de-manganese

Galerie de mine d'extraction de manganèse

Galerie reconstituée de mine d'extraction de manganèse à Vielle-Aure. Cliché Mme Gomez, directrice de l'école Montesquieu de Pessac-33, dans le cadre de la semaine rousse de ses élèves de CE1-CE2 à Saint-Lary, octobre 2014.

Galerie des Machines à Paris en 1889. Source : http://data.abuledu.org/URI/56309cc2-galerie-des-machines-a-paris-en-1889

Galerie des Machines à Paris en 1889

Carte postale ancienne éditée par CLC N°528, PARIS : La Galerie des Machines. Au premier plan, tramways. Au loin, la Tour Eiffel. La "Galerie des Machines" a été construite pour l'Exposition universelle de Paris de 1889 par Charles-Louis Ferdinand Dutert, et démolie en 1909.

Galerie marchande à La Rochelle. Source : http://data.abuledu.org/URI/5821bff6-galerie-marchande-a-la-rochelle

Galerie marchande à La Rochelle

Galerie marchande à La Rochelle-17, rue des Dames.

Galerie marchande d'un grand magasin à Moscou. Source : http://data.abuledu.org/URI/5416ece9-galerie-marchande-d-un-grand-magasin-a-moscou

Galerie marchande d'un grand magasin à Moscou

La galerie marchande du GUM (Grand Magasin Universel) à Moscou, prise en son milieu, depuis le premier étage. Assemblage de quatre photos à l'aide de PTGui.

Galerie marchande de l'aéroport de Bangkok. Source : http://data.abuledu.org/URI/5373be9a-galerie-marchande-de-l-aeroport-de-bangkok

Galerie marchande de l'aéroport de Bangkok

Galerie marchande de l'aéroport de Bangkok.

Galerie photo à Salies-de-Béarn. Source : http://data.abuledu.org/URI/58662775-galerie-photo-a-salies-de-bearn

Galerie photo à Salies-de-Béarn

Galerie photo, office de tourisme de Salies-de-Béarn, 64.

Galeries Lafayette à Dijon. Source : http://data.abuledu.org/URI/5820523d-galeries-lafayette-a-dijon-

Galeries Lafayette à Dijon

Galeries Lafayette à Dijon.

Géologie d'une carrière parisienne. Source : http://data.abuledu.org/URI/514395af-geologie-d-une-carriere-parisienne

Géologie d'une carrière parisienne

Schéma en coupe (simplifié) des carrières de calcaire parisiennes. Vue simplifiée des bancs de roche qui composent la géologie des carrières de la rive gauche de Paris. En jaune, les bancs exploitables pour la construction. De bas en haut : Juste au-dessus des sables yprésiens, on trouve le lutétien inférieur. Celui-ci se reconnaît par un grand nombre de nummulites visibles à l'œil nu dans la roche, et se divise en deux bancs : 1) La base verdâtre, dont la couleur révèle la présence de glauconie et de quartz ; 2) Les forgets, petits bancs alternant calcaires durs (également glauconieux) et lits de sable. En raison de sa profondeur et du peu de pierre utilisable pour la construction, cette couche n'a pas été exploitée par les carriers. Encore au-dessus, le lutétien moyen constitue une strate de six mètres d'épaisseur. Il se divise en trois bancs : 1) Le banc à vérin des carriers, reconnaissable par les cérithes géants qui s'y trouvent et par une couleur jaune-rougeâtre. D'un grain serré, il n'a été exploité que dans sa partie supérieure et de façon épisodique. 2) Les lambourdes ou vergelets, banc gris, peu épais et tendre. Il ne contient pas d'eau, ce qui le rend « non gélif » (il ne peut pas geler) et utilisable pour la construction, bien que les traces de coquilles et de fossiles y soient très visibles. 3) Le banc royal, non gélif et homogène, qui fournit des pierres de grande qualité pour la construction. Le lutétien supérieur contient quant à lui les bancs les plus variés et les plus exploitables. Il se constitue de deux strates : le banc vert et les bancs francs. Le premier sépare les niveaux inférieurs et supérieurs en carrière, le second constitue le calcaire le plus souvent exploité, avec plusieurs bancs exploitables souvent séparés par des couches de sables plus ou moins marneuses appelées bousins. Ces bancs sont en partie composés d'argile et contiennent de l'eau, ce qui les rend gélifs, mais leur dureté et leur solidité les rend tout à fait aptes à la construction. Le banc vert, premier étage du lutétien supérieur, se divise en trois bancs : 1) le liais du bas, 2) le banc vert proprement dit (qui donne son nom générique aux deux couches qui l'entourent), composé d'un lit marneux, d'argile verte et de fossiles qui témoignent de son origine lacustre, et 3) le liais du haut, identique à celui du bas. Ce liais est appelé liais franc lorsqu'il est exploité, et banc de marche lorsqu'il constitue le sol de la carrière (et donc que les visiteurs marchent dessus). Les bancs francs, qui représentent les bancs les plus souvent visibles dans les galeries de carrière, se subdivisent en six sortes : 1) Le banc de laine, ou cliquart, ou banc des galets. D'une faible épaisseur, il contient peu de fossiles. Sa consistance varie selon les cas et ressemble à celle des lambourdes lorsqu'elle est tendre, du liais lorsqu'elle est dure ; 2) Le grignard, ou coquiller. Très riche en fossiles, ce banc est peu exploitable, car il est trop constellé de coquillages pour donner des blocs réellement solides. 3) Le souchet. Très tendre, peu compact, il va donner son nom au souchevage, une technique d'extraction de la pierre. En effet, pour commencer à exploiter les bancs situés juste au-dessus, les carriers extraient le souchet de manière à créer un espace vide horizontal, puis creusent des fentes sur le côté du bloc à extraire (ce que l'on appelle le défermage). Contenant quelquefois des galets et des fossiles, le souchet se délite facilement. 4) Le banc blanc, ou banc royal, ou liais franc, ou remise. D'un grain fin et serré, il donne des blocs de bonne qualité, qui se vendront à prix d'or pendant les chantiers du XVIIIe et du XIXe siècle. 5) Le banc franc, ou haut banc, ou banc royal, ou rustique. Il ressemble au banc blanc, et donne lui aussi des blocs de qualité, mais on l'en distingue par le fait qu'il contienne beaucoup moins de fossiles. 6) La roche, ou ciel de carrière. Cette couche, très dure et très coquillière, est souvent laissée en place pour servir de toit à la carrière (que l'on appelle ciel de carrière).

Habitation de Champlain à Quebec. Source : http://data.abuledu.org/URI/511530ec-habitation-de-champlain-a-quebec

Habitation de Champlain à Quebec

Habitation de Québec : A) Le magazin. B) Colombier. C) Corps de logis où sont nos armes, & pour loger les ouvriers. D) Autre corps de logis pour les ouvriers. E) Cadran. F) Autre corps de logis où est la forge, & artisans logés. G) Galeries tout au tour des logemens. H) Logis de sieur de Champlain. I) La porte de l'habitation, où il y a pont-levis. L) Promenoir autour de l'habitation concernant 10 pieds de large jusques sur le bort du fossé. M) Fossés tout autour de l'habitation. N) Plattes formes, en façon de tenaille pour mettre le canon. O) Jardin du sieur de Champlain. Q) Place devant l'habitation sur le bort de la rivière. R) La grande rivière de sainct Lorens. vers 1608. Source : "The works of Samuel de Champlain in six volumes", Toronto, The Champlain Society, 1925, reprinted 1971 by University of Toronto press, volume II, p. 39. Samuel Champlain fonde Québec en 1608, mandaté par Pierre Dugua de Mons, « là où le fleuve se rétrécit », selon l'appellation algonquienne, et il en fait la capitale de la Nouvelle-France aussi dite le « Canada ». Québec sera, jusqu'aujourd'hui, le premier lieu habité à l'année de façon continue par des Français et leurs descendants, en Amérique du Nord. Champlain remonte aussi le fleuve en 1615 jusqu'au-delà du Sault Saint-Louis (rapides de Lachine), à la baie Georgienne (partie ouest du lac Huron) et navigue sur les eaux de la rivière Richelieu jusqu'à ce qui est aujourd'hui le lac Champlain. Tout au long de son périple en Nouvelle-France, il établit notamment avec les Innus-Montagnais, les Algonquins et les Hurons-Wendats, d'excellentes relations diplomatiques et commerciales, et agit, d'office (non en titre), comme premier gouverneur de la Nouvelle-France. Cependant, les colons européens apportent de nombreuses maladies qui, par les routes commerciales, se propagent rapidement au sein des populations autochtones, faisant des ravages parmi celles-ci. Les colons français, arrivant souvent très malades dans des bateaux qui ne sont pas très sains, sont sauvés par les remèdes amérindiens. Ainsi, pour soigner le scorbut, les Iroquoiens du Saint-Laurent proposent à Cartier des décoctions d'écorce de cèdre blanc, appelé annedda.