Transfert en cours..., vous êtes sur le "nouveau" serveur data.abuledu.org dont l'hébergement est financé par l'association abuledu-fr.org grâce à vos dons et adhésions !
Vous pouvez continuer à soutenir l'association des utilisateurs d'AbulÉdu (abuledu-fr.org) ou l'association ABUL.
Suivez la progression de nos travaux et participez à la communauté via la liste de diffusion.

Votre recherche ...

Nuage de mots clés

Histoire | Gravure | Dessins et plans | Seizième siècle | Peinture | Médecine | Histoire de la médecine | Médecine -- Histoire | Gravures sur bois en couleurs | Incunables | Illustration des livres (15e siècle) | Estampe en couleurs | Médecine antique | Hippocrate (0460-0377 av. J.-C.) | Médecins | Lithographie française | Ambroise Paré (1509?-1590) | Livres illustrés (Renaissance) | Livre des chroniques - Hartmann Schedel (1440-1514) | Erfurt (Allemagne) | ...
Ambulance du dix-neuvième siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/530cddb1-ambulance-du-dix-neuvieme-siecle

Ambulance du dix-neuvième siècle

Ambulance du dix-neuvième siècle, dite "ambulance volante" de Larrey, utilisée pour évacuer les blessés d'un champ de bataille. Dominique-Jean Larrey (1766-1842), chirurgien en chef de la Grande Armée, il suivit Napoléon Ier dans toutes ses campagnes et fut un précurseur en matière de secours aux blessés sur les champs de bataille, pratiquant les soins sur le terrain le plus tôt possible, grâce à des ambulances chirurgicales mobiles. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Dominique-Jean_Larrey.

Le Jardin du roi en 1636. Source : http://data.abuledu.org/URI/5103e5d5-le-jardin-du-roi-en-1636

Le Jardin du roi en 1636

"Vue cavalière du Jardin du Roi", aquarelle de Frédéric Scalberge (1542-1640) : Source : Bibliothèque du Muséum national d'histoire naturelle. Publiée en frontispice de la "Description du Jardin royal des Plantes médicinales" par Guy de La Brosse, médecin ordinaire de Louis XIII et fondateur du Jardin des Plantes. Créé en 1635, le Jardin du roi présente dès le début le dessin général de l'actuel jardin. Il sera à la Révolution rebaptisé Jardin des plantes de Paris. C’est l’un des plus anciens organismes scientifiques officiels français puisqu’il a ouvert un siècle après le Collège royal (1530) mais avant l’Académie des sciences (1666) et l’Observatoire de Paris (1672). C’est dès 1633 que Guy de la Brosse (1586-1641), par son insistance auprès de Louis XIII dont il est le médecin, et grâce au soutien de Jean Héroard (1550-1628), et de Richelieu (1585-1642), obtient la création d’un jardin botanique à vocation médicale à Paris. Le roi acquiert un terrain dans ce que l'on appelle alors le faubourg St-Victor et de la Brosse commence les premiers travaux et ensemencements. Mais l’Édit qui l’instaure n’est publié qu’en 1635 et le jardin n’est officiellement inauguré qu’en 1640 sous le nom de Jardin royal des plantes médicinales. Le projet suscite de nombreuses oppositions notamment de la part de la faculté de médecine de l’Université de Paris qui y voit un concurrent à son propre enseignement, d’autant que les cours sont ouverts à tous et donnés non en latin, mais en français. Ce n’est pas la seule nouveauté : certains sujets, comme la circulation du sang, y sont enseignés alors qu’ils sont encore critiqués par la faculté. Des enseignants viennent de l’Université de Montpellier, grande rivale de l’Université de Paris. Pour apaiser un peu les tensions, Louis XIII décide d’autoriser l’enseignement mais ne permet pas au Jardin d’y dispenser de diplômes, et le Jardin ne comptera, à la Révolution, que trois postes de professeurs : botanique, anatomie et chimie.

Boule de senteur. Source : http://data.abuledu.org/URI/51dfa9ec-boule-de-senteur

Boule de senteur

Détail d'un tableau du XVIème siècle montrant une boule de senteur nommée Pomander en 1518. Portrait of Jan Gerritz van Egmond van de Dijenborgh, par Jacob CORNELISZ VAN OOSTSANEN (1472-1533). Les grands pomanders se portent accrochés à la ceinture ou en pendentif autour du cou. Les plus petits, parfois pas plus grands qu'un dé à coudre et reliés par une chaînette à une bague, se tiennent en permanence au creux de la main. D'autres se fixent en breloque à un bracelet, un collier ou servent de bouton à une cape. Pendant les huit siècles de leur histoire, les pomanders adoptèrent des formes très variées : crânes, crucifix, escargots, pommes, œufs, noix ou fleurs, chacune ayant une signification symbolique et ésotérique particulière. Les monogrammes, inscription ou motifs allégoriques dont ils étaient ornés, étaient supposés renforcer leur pouvoir. Transmis de génération en génération, les pomanders étaient en effet bien plus que des objets à parfumer : on leur prêtait des vertus magiques protégeant des forces du mal et de la maladie. Les princes et les nobles en faisaient grand usage, comme les prêtres et les médecins qui comptaient sur leur présence pour se préserver de la contagion. La fin du XVIIe siècle voit ces pouvoirs tournés en dérision. Ils ne sont plus portés que par coquetterie et leurs senteurs lourdes et entêtantes sont supposées servir l'art de la séduction. Ils passent de mode au milieu de XVIIIe siècle.

Costumes français de la fin du seizième siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/5308dfb9-costumes-francais-de-la-fin-du-seizieme-siecle

Costumes français de la fin du seizième siècle

Planche 70, Costumes français de la fin du seizième siècle, Costumes of All Nations (Londres, 1882) par Albert Kretschmer, peintre du théâtre de la Cour Royale de Berlin, et Dr. Carl Rohrbach : 1, Un garde sous Charles IX et Henri III ; 2, garde suisse ; 3, soldat ; 4-5, courtisans ; 6, Louise de Lorraine, consort de Henri III ; 7, chancelier ; 8, président du parlement ; 9, Docteur en médecine ; 10, Margaret de Lorraine ; 11, Henri III (mort en 1589) ; 12-13, Courtisans de l'époque de Henri IV ; 14, Henri IV autour de 1600.

Costumes médiévaux allemands du XIIIème siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/53074670-costumes-medievaux-allemands-du-xiiieme-siecle

Costumes médiévaux allemands du XIIIème siècle

Planche 36, Treizième siècle allemand, Costumes of All Nations (Londres, 1882) par Albert Kretschmer, peintre du théâtre de la Cour Royale de Berlin, et Dr. Carl Rohrbach : 1, 4, chevaliers ; 2, médecin ; 3, fauconnier ; 5-6, juifs ; 7, chevalier de l'Ordre des Teutons ; 8-11, dames de haut rang ; 12, Impératrice Anne (morte en 1281) ; 13, Duc Henri de Breslaw ; 14-16, comtes ; 17, Empereur Frédéric II (mort en 1250).

Évolution de la bicyclette, le vélo de course. Source : http://data.abuledu.org/URI/50edbb5c-evolution-de-la-bicyclette-le-velo-de-course

Évolution de la bicyclette, le vélo de course

Après la Première Guerre mondiale, le terme vélo devient le mot populaire pour décrire la bicyclette utilisée par les ouvriers, paysans et enfants). Les systèmes à plusieurs vitesses commencent à être utilisés dans les compétitions de vélo dans les années 1930. Pendant l'Occupation en France, les voitures sont restreintes à l'usage des médecins, de la police ou de la milice, la bicyclette devenant la reine des transports (ravitaillement et marché noir, trajets pour le travail ou aller voir des proches, développement de vélo taxis dans les grandes villes), succès des compétitions de cyclisme. Les dérailleurs se développent durant les années 1950.

Fresque de l'histoire de la médecine. Source : http://data.abuledu.org/URI/56c71a6d-fresque-de-l-histoire-de-la-medecine-

Fresque de l'histoire de la médecine

Fresque de l'histoire de la médecine, (amphithéâtre à Paris), montrant cinquante-six médecins célèbres, dont Ambroise Paré, autour d'Hippocrate. Lithographie par N. Legrand, 1908, à partir de U. Bourgeois, 1895.

La ville d'Erfurt en 1493. Source : http://data.abuledu.org/URI/52952775-la-ville-d-erfurt-en-1493

La ville d'Erfurt en 1493

Une page de l'édition allemande des Chroniques, illustrant la ville d'Erfurt par Hartmann Schedel (1440-1514), médecin allemand, connu notamment comme humaniste. Son ouvrage le plus célèbre sont les Chroniques de Nuremberg (Liber Chronicorum), réalisées avec de nombreux collaborateurs et publiées en 1493. Elles sont un des incunables allemands les plus importants, à la fois en raison de l'ampleur du projet éditorial et de la qualité de sa réalisation. Les Chroniques sont une histoire illustrée du Monde, depuis la création jusqu'aux années 1490. Elles ont été compilées par Hartmann Schedel, illustrées et gravées par Michael Wohlgemuth et Wilhelm Pleydenwurff, et imprimées et publiées par Anton Koberger.

Plan général du Palais de Topkapi. Source : http://data.abuledu.org/URI/51138cd6-plan-general-du-palais-de-topkapi

Plan général du Palais de Topkapi

A. Première cour B. Anciens jardins, près du mur le long de la mer de Marmara. C. Cinquième cour, aujourd'hui partie du parc de Gülhane, s'étendant jusqu'à la Corne d'Or à Seraglio. D. Anciens jardins, aujourd'hui parc de Gülhane, s'étend jusqu'à la ligne de chemin de fer. E. Niveau où se trouvent le Pavillon des Tuiles et d'autres musées. 1) Fontaine du bourreau 2) Porte du milieu, entrée du musée 3) Deuxième Cour 4) Selâm ou pierre de bienvenue 5) Sommet de la citerne byzantine 6) Vieux puits 7) Fontaine 8) Porte de la Mort 9) Mosquée de Haci Beşir Ağa 10) Porte de la mosquée) 11) Porte extérieure de la Mort 12) Écuries impériales 13) Dortoirs des hallebardiers à tresses 14) Terrasse 15) Arcades avec inscriptions anciennes 16) Porte des Carrosses, vers le harem 17) Chambre du Conseil impérial 18) Chambre des scribes 19) Chambre du grand Vizir 20) Trésor impérial 21) Pierre cible 22) Monument à Sukhum 23) Porte vers les pompes du palais 23a) Pompes 24) Cuisine des sultans, des princes et de la sultane validé 26) Cuisine des femmes du harem 27) Cuisine des sentinelles 28) Cuisines du divan 29) Cuisine des pages 30) Cuisine des serviteurs 31) Cuisine des femmes servant le harem 32) Cuisine pour les servants civils du divan, pièce du fabricant de café et pâtisserie 33) Mosquée des cuisiniers) 34) Dortoir des apprentis cuisiniers et plongeurs 35) fonderie d'étain 36) zone utilisée par les serviteurs de la cuisine 37) Porte de la Félicité 38) Troisième Cour 39) Salle d'audience 40) Librairie d'Ahmed III 41) Quartiers des eunuques blancs 42) Porte de la volière 43) Cuisine privée du sultan 44) Rue de marbre du pavillon du manteau sacré à la salle du trône 45) Mosquée des Ağas 46) Mosquée du harem 47) Chapelle 48) Dortoirs des pages de la chambre forte sacrée 49) Chambre forte sacrée 50) Salle du foulard 51) Pavillon du manteau sacré 51a) Antichambre de la chambre forte sacrée 51b) Salle du manteau sacré 52) Pierre où s'arrêtait le sultan 53) Fontaine 54) Trésor des reliques sacrées (anc. Trésor des armures) 55) Dortoir des pages du trésor 56) Dortoir des pages du commissariat 57) Passage souterrain de la troisième à la quatrième cour 58) Trésor impérial 59) Dortoir des pages royaux 60) Conservatoire 61) Quartiers des eunuques blancs 62) Corridor à piliers 63) Porte vers le harem et la route dorée 64) Salle des circoncisions 65) Pavillon d'Erevan 66) Quatrième Cour (jardin des tulipes) 67) Fontaine à étages 68) Piscine avec jets sur la terrasse 69) Terrasse de marbre 70) Jardins Iftariye 71) Porte des éléphants ou du jardin 72) Pavillon de Bagdad 73) Pavillon sur la terrasse et pavillon de Mustafa pacha 74) Salle du médecin principal 75) Jardin de la quatrième cour 76) Porte des jardins privés, reliant la quatrième et la cinquième cour, aujourd'hui partie du Parc Gülhane 77) Guérites 78) Grand Pavillon 79) Mosquée sur la terrasse 80) Garde-robe 81) Piscine sculptée de thèmes marins.

Portrait de Sir Alexander Fleming en 1945. Source : http://data.abuledu.org/URI/559ef402-portrait-de-sir-alexander-fleming-en-1945

Portrait de Sir Alexander Fleming en 1945

Portrait de Sir Alexander Fleming (1881-1955) en 1945 à la remise du Prix Nobel, vue d'artiste. Médecin et bactériologue. - Prix Nobel de médecine avec Ernst Boris Chain et Howard Florey (1945). Source : https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Alexander_Fleming_1945.jpg