Transfert en cours..., vous êtes sur le "nouveau" serveur data.abuledu.org dont l'hébergement est financé par l'association abuledu-fr.org grâce à vos dons et adhésions !
Vous pouvez continuer à soutenir l'association des utilisateurs d'AbulÉdu (abuledu-fr.org) ou l'association ABUL.
Suivez la progression de nos travaux et participez à la communauté via la liste de diffusion.

Votre recherche ...

Nuage de mots clés

Peinture | Dix-neuvième siècle | Lecteurs de livres | Claude Monet (1840-1926) | Haies végétales | Peintres impressionnistes | Art nouveau (décoration) | Octave Uzanne (1851–1931) | Manuscrits à enluminures | Soleil -- Lumière | Printemps | Art contemporain | Fauteuils | Karl-Heinz Goedtke (1915-1995) | Sculpteurs allemands | Photographie | Eutin (Allemagne) | Ombres |
La lectrice d'Eutin. Source : http://data.abuledu.org/URI/521e4c91-la-lectrice-d-eutin

La lectrice d'Eutin

Sculpture de la lectrice assise sur un fauteuil, par Karl-Heinz Goedtke (1915-1995).

Le printemps de Monet. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fb13c2-le-printemps-de-monet

Le printemps de Monet

Tableau peint par Claude Monet en 1872, après son déménagement à Argenteuil en décembre 1871, représentant une lectrice assise à l'ombre d'une haie.

Son altesse la femme. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d96160-son-altesse-la-femme-p3

Son altesse la femme

Illustration du livre d'Octave Uzanne (1851–1931), Son altesse la femme (page 3) : "Le Vray Miroüer de Sorcellerie. Ô précieulx mirouer qu’entre tous biens j’estime ! (vielx poesies) Ores, Sachez en temps et heure — opportune et guise de presation, Messiores Gruditi, Drolis — simi, Curiosissimi Savantissimi vous friquets, Damoiseaux et musquins, Lecteurs gaubrégeux Pantagruelistes de tous estages ëtres Lunatiques, hétéroclytes poëtes esventés — . Advocats baraguineux, grimauds espantés, vous plus que tout, cointes et frisques lectrices dont le ioli bec affylé est ià non moins affriandé que la rose oreille, vous quy sçavez ouïr et garber les ioyeulx proupos, retenez in globo, sans lantiponner davantaige, que la docte histoyre que ie m’en vay vous iabotter cy-aprèz n’est point espécialement inventée pour vous faire esclaffer des mandibules et rire à gueule bée, comme la fente d’un royal pourpoinct."