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France (Révolution) (1789-1799) | Gravure | Peinture | Histoire | Maximilien de Robespierre (1758-1794) | Photographie | Sans-culottes | Paris (France) -- Palais des Tuileries | Guillotine | Vêtements | Dix-huitième siècle | La Révolution française et le XIXème siècle | Georges-Jacques Danton (1759-1794) | Révolutionnaires | Terreur (5 septembre 1793-27 juillet 1794), Deuxième | Exécutions capitales et exécuteurs | Montagnards (Histoire de France) | Portraits | Lyon (Rhône) | Pierre-Paul Prud'hon (1758-1823) | ...
Serment du jeu de Paume du 20 juin 1789. Source : http://data.abuledu.org/URI/53e28dc4-serment-du-jeu-de-paume-tennis-du-20-juin-1789

Serment du jeu de Paume du 20 juin 1789

Le serment du Jeu de paume, 20 juin 1789, haut-relief en bronze, socle du "Monument à la République", Place de la République, Paris, par Léopold Morice, 1883.

Un "Sans-culotte". Source : http://data.abuledu.org/URI/50fd3e3b-un-sans-culotte-

Un "Sans-culotte"

Louis-Léopold Boilly (1761–1845) est un artiste-peintre, miniaturiste, et graveur français, connu notamment pour ses scènes de la vie parisienne dans les années qui suivent la Révolution. Les sans-culottes sont des révolutionnaires issus du petit peuple de la ville et défenseurs d'une République égalitaire. Ils sont jugés par les autres révolutionnaires comme « radicaux » car ils prônent une démocratie directe, c'est-à-dire sans intermédiaires comme les députés. Ils se distinguent par leurs modes d'expression, en particulier vestimentaires. Leur tenue comporte un pantalon à rayures bleues et blanches, au lieu de la culotte courte et des bas, portés par les nobles et les bourgeois, ainsi qu'un bonnet phrygien rouge, et une tendance à la simplicité. Ce costume est un signe de protestation.

Un sans-culotte à la mort de Louis XVI. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fd4111-un-sans-culotte-a-la-mort-de-louis-xvi

Un sans-culotte à la mort de Louis XVI

Un sans-culotte brandit un drapeau "Fête du 21 Janvier" contre "Humanité"; à l'arrière-plan, scène de meurtre et de violence. Satire sur la mort de Louis XVI. Légende : "Un sans-culottte instrument de crimes, dansant au milieu des horreurs, vient outrager l'humanité pleurante auprès d'un cénotaphe. Il croit voir l'ombre de l'une des victimes de la Révolution, qui le saisit à la gorge. Cette effrayante apparition le suffoque et le renverse."

Uniforme d'un Représentant en mission. Source : http://data.abuledu.org/URI/50afb0f7-uniforme-d-un-representant-en-mission

Uniforme d'un Représentant en mission

Un représentant en mission, tableau de Jean-François Garneray, musée du Louvre : ce sont des députés de la Convention auxquels est confiée une mission temporaire. Le système est généralisé au printemps 1793. Les représentants sont deux pour se surveiller et pour se remplacer. Ils sont investis de la plénitude des pouvoirs. Ils ont le pouvoir de transformer les tribunaux criminels départementaux en juridiction révolutionnaire, composés de révolutionnaires qui vont juger avec une extrême sévérité les infractions politiques en même temps que les infractions de droit commun. Pour les infractions politiques, ils suivent la même procédure que le Tribunal révolutionnaire de Paris. Les représentants en mission sont parfois accompagnés d’une guillotine pour impressionner et assurer l’exécution rapide des condamnations. Ils ont aussi le pouvoir de créer des Commissions (populaires ou révolutionnaires) qui vont fonctionner essentiellement dans les départements qui se sont soulevés contre la Convention à partir de juin 1793.

Prise des Tuileries en 1792. Source : http://data.abuledu.org/URI/50accfb7-prise-des-tuileries-en-1792

Prise des Tuileries en 1792

Tableau de DUPLESSIS-BERTAUX Jean : PRISE DU PALAIS DES TUILERIES, COUR DU CARROUSEL, 10 AOUT 1792.

Robespierre. Source : http://data.abuledu.org/URI/50efd708-robespierre

Robespierre

Portrait de Maximilien de Robespierre (1758-1794).

Robespierre exécutant le bourreau. Source : http://data.abuledu.org/URI/50afc48a-robespierre-executant-le-bourreau

Robespierre exécutant le bourreau

Caricature de Robespierre qui, n'ayant plus personne à exécuter, guillotine le bourreau. Source : "La Guillotine en 1793", par H. Fleischmann (1908), page 269.

Robespierre, Danton et Marat. Source : http://data.abuledu.org/URI/50afaa0e-robespierre-danton-et-marat

Robespierre, Danton et Marat

Maximilien de Robespierre, Danton et Jean-Paul Marat, par Alfred Loudet, 1882.

Rue Danton à Dijon. Source : http://data.abuledu.org/URI/59268ecd-rue-danton-a-dijon

Rue Danton à Dijon

Plaque Danton à Dijon-21.

Saint-Just. Source : http://data.abuledu.org/URI/50efd99c-saint-just

Saint-Just

Louis Antoine de Saint-Just, portrait de Pierre-Paul Prud'hon (1793), exposé Musée des beaux-arts de Lyon (France).

Salle du Manège aux Tuileries. Source : http://data.abuledu.org/URI/50af9d27-salle-du-manege-aux-tuileries

Salle du Manège aux Tuileries

C'est dans la salle du Manège des Tuileries que se réunit la Convention jusqu’au 9 mai 1793.

Séance de la Convention. Source : http://data.abuledu.org/URI/50afb2a5-seance-de-la-convention

Séance de la Convention

Séance de la Convention, 1897, extrait de "La France illustrée", géographie, histoire, administration, statistique, etc., tome I, par V.-A. Malte-Brun. La Convention a fondé plusieurs institutions aujourd'hui célèbres : l’École polytechnique, le Conservatoire national des arts et métiers, l’École normale supérieure, le système métrique, le Conservatoire de musique, le Muséum d’histoire naturelle, l’École spéciale des Langues orientales (30 mars 1795). La Convention nationale a supprimé toutes les universités le 15 septembre 1793. Elle groupa sous le nom d’Institut les anciennes Académies (qu’elle avait préalablement dissoutes au cours de l’été 1793 sous l’influence de Marat, qui les accusait d’être des repaires d’aristocrates) et celles qu’elle fonda elle-même.