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France (Révolution) (1789-1799) | Photographie | Gravure | Histoire | Dix-huitième siècle | Peinture | Maximilien de Robespierre (1758-1794) | Montagnards (Histoire de France) | Textes | Guillotine | Terreur (5 septembre 1793-27 juillet 1794), Deuxième | Georges-Jacques Danton (1759-1794) | La Révolution française et le XIXème siècle | Révolutionnaires | France (9 et 10 Thermidor) ( 27-28 juillet 1794) | Quatorze juillet | Année 1789 | Paris (France) -- Bastille | Louis-Antoine-Léon Saint-Just (1767-1794) | Géographie | ...
Mandat d'arrêt de Danton. Source : http://data.abuledu.org/URI/50afa850-mandat-d-arret-de-danton

Mandat d'arrêt de Danton

Mandat d'arrêt de Danton et de ses amis par le Comité de Salut public, 30 mars 1794. Archives Nationales, Paris.

Montre à gousset révolutionnaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/50afcafe-montre-a-gousset-revolutionnaire

Montre à gousset révolutionnaire

Montre gousset à heures dodécacimales, et jours du mois et de la semaine en calendrier révolutionnaire. Exposée au musée d'Art et d'Histoire de Neuchâtel.

Nuit du 4 août 1789 et abolition des privilèges. Source : http://data.abuledu.org/URI/53e1ebde-nuit-du-4-aout-1789-et-abolition-des-privileges

Nuit du 4 août 1789 et abolition des privilèges

L'Abolition des privilèges, nuit du 4 août 1789. Haut-relief en bronze, "Monument à la République" à Paris, par Léopold Morice (1846-1919) en 1883.

Ordre d'exécution de Manon Roland. Source : http://data.abuledu.org/URI/50afba00-ordre-d-execution-de-manon-roland

Ordre d'exécution de Manon Roland

Ordre d'exécution de Madame Roland, Marie-Jeanne Roland de la Platiere, par le Tribunal révolutionnaire et signé par Antoine Quentin Fouquier-Tinville. Source : Hector Fleischmann, "La guillotine en 1793", Paris : Librairie des Publications Modernes, 1908. Manon Roland, ou Jeanne Marie, ou Manon Phlipon, communément appelée Madame Roland, devenue par mariage vicomtesse Roland de la Platière, née le 17 mars 1754 à Paris et morte guillotinée le 8 novembre 1793 à Paris, est une figure de la Révolution française. Elle joua un rôle considérable au sein du parti girondin, et poussa son mari au premier plan de la politique.

Pièce de 10 centimes de 1816 de l'Isle de Bourbon. Source : http://data.abuledu.org/URI/521b73e5-piece-de-10-centimes-de-1816-de-l-isle-de-bourbon

Pièce de 10 centimes de 1816 de l'Isle de Bourbon

Pièce de 10 centimes de 1816 de l'Isle de Bourbon : Inscription "10 cent. 1816 Isle de Bourbon". L'isle de Bourbon fut escale de la Compagnie française des Indes orientales sur la route des Indes puis, à partir des années 1710, véritable colonie pratiquant la culture du café ; devenue une société de plantation, elle passe ensuite sous le contrôle direct du roi de France dans les années 1760 avant d'être réaffectée à l'industrie de la canne à sucre au terme des Guerres napoléoniennes.

Plan de l'abbaye cistercienne de Morimond en 1789. Source : http://data.abuledu.org/URI/5701256f-plan-de-l-abbaye-cistercienne-de-morimond-en-1789

Plan de l'abbaye cistercienne de Morimond en 1789

Plan de l'abbaye de Morimond d'après une planche de 1789 : abbatiale, palais abbatial, scriptorium, cloitre, cuisine, hotellerie, infirmerie, noviciat, porterie, église paroissiale, blanchisserie, abreuvoir, jardin, verger, étang, ateliers, écuries.

Plan de Paris en 1789. Source : http://data.abuledu.org/URI/51422df9-plan-de-paris-en-1789

Plan de Paris en 1789

Carte de Paris en 1789. Source : William R. Shepherd, "Atlas historique".

Plaque de Robespierre. Source : http://data.abuledu.org/URI/50afc3ba-plaque-de-robespierre

Plaque de Robespierre

Plaque apposée au n° 398 de la rue de Saint-Honoré, Paris 1 : "Ici a séjourné Maximilien Robespierre du 17 juillet 1791 jusqu'à sa mort le 28 juillet 1794 (10 thermidor an II)."

Plaque de Thomas Paine à Paris. Source : http://data.abuledu.org/URI/507287c6-plaque-de-thomas-paine-a-paris

Plaque de Thomas Paine à Paris

Plaque apposée au n° 10 de la rue de l'Odéon, Paris Thomas Paine (1737-1809) : Anglais de naissance, Américain d'adoption, Français par décret, a vécu dans cet immeuble de 1797 à 1802. Il mit sa passion de la liberté au service de la Révolution française, fut député à la Convention et écrivit ''Les Droits de l'Homme'' : « Lorsque les opinions sont libres, la force de la vérité finit toujours par l'emporter. » Ses écrits, parmi lesquels figure "Les Droits de l'Homme" (Rights of Man 1791), ont exercé une grande influence sur les acteurs de la Révolution française : il est élu député à l’assemblée nationale en 1792. Considéré par les Montagnards comme un allié des Girondins, il est progressivement mis à l’écart, notamment par Robespierre, puis emprisonné en décembre 1793. Après la Terreur, il est relâché et connaît un certain succès grâce à son livre "Le Siècle de la raison" (The Age of Reason, 1793-1794) qui analyse le christianisme et milite en faveur du déisme. Dans "La justice agraire" (Agrarian Justice, 1795), il analyse les origines du droit de propriété et introduit le concept de Revenu de base, proche du revenu minimum. Thomas Paine resta en France jusqu’en 1802, période pendant laquelle il critique l’ascension de Napoléon Bonaparte, qualifiant le Premier Consul de « charlatan le plus parfait qui eût jamais existé ». Sur l’invitation du président Thomas Jefferson, il revient aux États-Unis où il meurt à 72 ans.

Portrait d'Hébert. Source : http://data.abuledu.org/URI/50afa5d8-portrait-d-hebert

Portrait d'Hébert

Portrait de Jacques-René Hébert. Source : Léonard Gallois, "Histoire des journaux et des journalistes de la révolution française", Paris, Bureau de la Société de l'industrie fraternelle, 1845. Hébert (1757-1794), rédacteur du Père Duchesne, le journal des sans-culottes, se veut le successeur de Marat. Les Hébertistes veulent renforcer l'économie dirigée et radicaliser la terreur. Ils dirigent le mouvement sans-culotte et contrôlent le club des Cordeliers, le ministère de la Guerre dont le secrétaire général est Vincent et l’armée révolutionnaire parisienne, dont le chef est Ronsin. Autre appui : la Commune dont le maire Pache, le procureur Chaumette et le commandant de la garde nationale Hanriot leur sont favorables.

Portrait de Gaspard Monge. Source : http://data.abuledu.org/URI/524d91df-portrait-de-gaspard-monge

Portrait de Gaspard Monge

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.108 ; manuel scolaire, édition de 1904 : Gaspard MONGE (1746-1818), mathématicien français dont l'œuvre considérable mêle géométrie descriptive, analyse infinitésimale et géométrie analytique. En parallèle à ses travaux de recherche, il enseigne une grande partie de sa vie et a comme élèves beaucoup des futurs grands mathématiciens français du XIXe siècle. Il joue un grand rôle dans la Révolution française, tant du point de vue politique que du point de vue de l'instauration d'un nouveau système éducatif : il participe à la création de l'École normale de l'an III et de l'École polytechnique (en 1794), deux écoles où il enseigne la géométrie. Il concourt également avec Berthollet, Chaptal et Laplace à la création de l'École d'arts et métiers. Il est également membre de la commission des sciences et des arts lors de la campagne d'Italie (1796-1797), et chargé de mission dans l'expédition d'Égypte (1798-1799). Le 12 décembre 1989, ses cendres ont été transférées au Panthéon.

Portrait de Saint-Just. Source : http://data.abuledu.org/URI/50af9a7d-portrait-de-saint-just

Portrait de Saint-Just

Louis Antoine Léon de Saint-Just, né le 25 août 1767 à Decize, mort guillotiné le 10 thermidor an II (28 juillet 1794) à Paris, est un homme politique français de la Révolution française, un des plus jeunes élus à la Convention nationale, membre du groupe des Montagnards, soutien indéfectible de Robespierre avec qui il est emporté dans sa chute du 9 thermidor. D'une éloquence remarquée, il se distingue par la rigidité de ses principes prônant l'égalité et la vertu ainsi que par l'efficacité de ses missions au cours desquelles il redresse la situation de l'armée du Rhin et participe à la victoire des armées républicaines à Fleurus. Combattant politiquement les Girondins, les Hébertistes puis les Indulgents, il fait voter la confiscation des biens des ennemis de la République au profit des patriotes pauvres. Il est notamment l'inspirateur de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1793.

Prise de la Bastille, le 14 juillet. Source : http://data.abuledu.org/URI/5043c396-prise-de-la-bastille-le-14-juillet

Prise de la Bastille, le 14 juillet

Tableau repésentant la prise de la Bastille le 14 juillet 1789.

Prise de la Bastille, le 14 juillet 1789. Source : http://data.abuledu.org/URI/5043c444-prise-de-la-bastille-le-14-juillet-1789

Prise de la Bastille, le 14 juillet 1789

Gravure représentant la prise de la Bastille le 14 juillet 1789 pendant la Révolution Française.

Prise des Tuileries en 1792. Source : http://data.abuledu.org/URI/50accfb7-prise-des-tuileries-en-1792

Prise des Tuileries en 1792

Tableau de DUPLESSIS-BERTAUX Jean : PRISE DU PALAIS DES TUILERIES, COUR DU CARROUSEL, 10 AOUT 1792.

Réforme des droits féodaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/53e1ea40-reforme-des-droits-feodaux

Réforme des droits féodaux

"Réforme de différents droits féodaux et de la dîme. Le 11 août 1789." Un représentant du Tiers état, à la campagne, offre une bourse à un membre du Clergé qui refuse de la main droite mais tend la main gauche : "Hé prenés toujours Mr. le Curé, tel, refuse d'une main, qui voudroit tenir de l'autre, mais c'est la dernière fois."

Robespierre. Source : http://data.abuledu.org/URI/50efd708-robespierre

Robespierre

Portrait de Maximilien de Robespierre (1758-1794).

Robespierre exécutant le bourreau. Source : http://data.abuledu.org/URI/50afc48a-robespierre-executant-le-bourreau

Robespierre exécutant le bourreau

Caricature de Robespierre qui, n'ayant plus personne à exécuter, guillotine le bourreau. Source : "La Guillotine en 1793", par H. Fleischmann (1908), page 269.

Robespierre, Danton et Marat. Source : http://data.abuledu.org/URI/50afaa0e-robespierre-danton-et-marat

Robespierre, Danton et Marat

Maximilien de Robespierre, Danton et Jean-Paul Marat, par Alfred Loudet, 1882.

Rue Danton à Dijon. Source : http://data.abuledu.org/URI/59268ecd-rue-danton-a-dijon

Rue Danton à Dijon

Plaque Danton à Dijon-21.

Saint-Just. Source : http://data.abuledu.org/URI/50efd99c-saint-just

Saint-Just

Louis Antoine de Saint-Just, portrait de Pierre-Paul Prud'hon (1793), exposé Musée des beaux-arts de Lyon (France).

Séance de la Convention. Source : http://data.abuledu.org/URI/50afb2a5-seance-de-la-convention

Séance de la Convention

Séance de la Convention, 1897, extrait de "La France illustrée", géographie, histoire, administration, statistique, etc., tome I, par V.-A. Malte-Brun. La Convention a fondé plusieurs institutions aujourd'hui célèbres : l’École polytechnique, le Conservatoire national des arts et métiers, l’École normale supérieure, le système métrique, le Conservatoire de musique, le Muséum d’histoire naturelle, l’École spéciale des Langues orientales (30 mars 1795). La Convention nationale a supprimé toutes les universités le 15 septembre 1793. Elle groupa sous le nom d’Institut les anciennes Académies (qu’elle avait préalablement dissoutes au cours de l’été 1793 sous l’influence de Marat, qui les accusait d’être des repaires d’aristocrates) et celles qu’elle fonda elle-même.

Serment du jeu de Paume du 20 juin 1789. Source : http://data.abuledu.org/URI/53e28dc4-serment-du-jeu-de-paume-tennis-du-20-juin-1789

Serment du jeu de Paume du 20 juin 1789

Le serment du Jeu de paume, 20 juin 1789, haut-relief en bronze, socle du "Monument à la République", Place de la République, Paris, par Léopold Morice, 1883.

Statue de Bernardin de Saint-Pierre. Source : http://data.abuledu.org/URI/5103f00f-statue-de-bernardin-de-saint-pierre

Statue de Bernardin de Saint-Pierre

Statue de Jacques-Henri Bernardin de Saint-Pierre (1737-1814) au Jardin des plantes de Paris ; statue en bronze par Louis Holweck (1861-1935). Grand ami de Rousseau, il fut l'intendant du Jardin pendant un an. Quelques oeuvres peu connues de cet auteur : "Vœux d’un solitaire" (1789), qui tendent à concilier les principes nouveaux avec les idées anciennes ; "Mémoire sur la nécessité de joindre une ménagerie au Jardin national des plantes" (1792) ; "De la Nature de la morale" (1798) ; "Voyage en Silésie" (1807) ; "la Mort de Socrate", drame, précédé d’un "Essai sur les journaux" (1808) ; le "Café de Surate", conte satirique.

Triangle maçonnique du bicentenaire de la Révolution Française. Source : http://data.abuledu.org/URI/53e334ff-triangle-maconnique-du-bicentenaire-de-la-revolution-francaise

Triangle maçonnique du bicentenaire de la Révolution Française

Commémoration du bicentenaire de la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen, avec un trois points, un triangle, et un niveau gravé. On distingue également un "clou" portant un insigne avec un bonnet phrygien. Monument maçonnique du Champ-de-Mars à Paris.

Un "Sans-culotte". Source : http://data.abuledu.org/URI/50fd3e3b-un-sans-culotte-

Un "Sans-culotte"

Louis-Léopold Boilly (1761–1845) est un artiste-peintre, miniaturiste, et graveur français, connu notamment pour ses scènes de la vie parisienne dans les années qui suivent la Révolution. Les sans-culottes sont des révolutionnaires issus du petit peuple de la ville et défenseurs d'une République égalitaire. Ils sont jugés par les autres révolutionnaires comme « radicaux » car ils prônent une démocratie directe, c'est-à-dire sans intermédiaires comme les députés. Ils se distinguent par leurs modes d'expression, en particulier vestimentaires. Leur tenue comporte un pantalon à rayures bleues et blanches, au lieu de la culotte courte et des bas, portés par les nobles et les bourgeois, ainsi qu'un bonnet phrygien rouge, et une tendance à la simplicité. Ce costume est un signe de protestation.

Un sans-culotte à la mort de Louis XVI. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fd4111-un-sans-culotte-a-la-mort-de-louis-xvi

Un sans-culotte à la mort de Louis XVI

Un sans-culotte brandit un drapeau "Fête du 21 Janvier" contre "Humanité"; à l'arrière-plan, scène de meurtre et de violence. Satire sur la mort de Louis XVI. Légende : "Un sans-culottte instrument de crimes, dansant au milieu des horreurs, vient outrager l'humanité pleurante auprès d'un cénotaphe. Il croit voir l'ombre de l'une des victimes de la Révolution, qui le saisit à la gorge. Cette effrayante apparition le suffoque et le renverse."

Uniforme d'un Représentant en mission. Source : http://data.abuledu.org/URI/50afb0f7-uniforme-d-un-representant-en-mission

Uniforme d'un Représentant en mission

Un représentant en mission, tableau de Jean-François Garneray, musée du Louvre : ce sont des députés de la Convention auxquels est confiée une mission temporaire. Le système est généralisé au printemps 1793. Les représentants sont deux pour se surveiller et pour se remplacer. Ils sont investis de la plénitude des pouvoirs. Ils ont le pouvoir de transformer les tribunaux criminels départementaux en juridiction révolutionnaire, composés de révolutionnaires qui vont juger avec une extrême sévérité les infractions politiques en même temps que les infractions de droit commun. Pour les infractions politiques, ils suivent la même procédure que le Tribunal révolutionnaire de Paris. Les représentants en mission sont parfois accompagnés d’une guillotine pour impressionner et assurer l’exécution rapide des condamnations. Ils ont aussi le pouvoir de créer des Commissions (populaires ou révolutionnaires) qui vont fonctionner essentiellement dans les départements qui se sont soulevés contre la Convention à partir de juin 1793.