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Nuage de mots clés

Princes | Peinture | Gravure | Princesses | Contes de fées | La Belle au bois dormant - Charles Perrault (1628-1703) | Contes | Hans Christian Andersen (1805-1875) | Histoire | Dix-neuvième siècle | Photographie | Harry Clarke (1889-1931) | Dessins et plans | Contes anglais | Seizième siècle | Collections de costumes | Châteaux | Comtesse de Ségur (1799-1874) | Fées | Enfants | ...
Blanche-Neige 7. Source : http://data.abuledu.org/URI/513d122f-blanche-neige-7

Blanche-Neige 7

Franz Jüttner (1865–1925), illustration de Blanche-Neige (Sneewittchen), 1905.

La Belle au Bois dormant. Source : http://data.abuledu.org/URI/5081b9b8-la-belle-au-bois-dormant

La Belle au Bois dormant

Illustration de « La Belle au Bois dormant » de Charles Perrault (1628-1703) par Harry Clarke (1889-1931), 1922 : le prince demande au vieil homme l'histoire du château.

La Belle au Bois dormant. Source : http://data.abuledu.org/URI/5081ba7a-la-belle-au-bois-dormant

La Belle au Bois dormant

Illustration de « La Belle au Bois dormant » de Charles Perrault (1628-1703) par Harry Clarke (1889-1931), 1922.

La Belle au Bois Dormant. Source : http://data.abuledu.org/URI/528d1e9f-la-belle-au-bois-dormant

La Belle au Bois Dormant

Briar Rose, la Belle au bois dormant, in Contes de Grimm, traduction par Marian Edwardes, 1912, illustrée par Robert Anning Bell (1863-1933). La Belle au bois dormant - Charles Perrault (1628-1703) : le prince.

La Belle au Bois Dormant. Source : http://data.abuledu.org/URI/528d2042-la-belle-au-bois-dormant

La Belle au Bois Dormant

La Belle au bois dormant, 1899, illustration Henry Meynell Rheam (1859–1920). La Belle au bois dormant - Charles Perrault (1628-1703) : le prince et la belle endormie.

La Belle au Bois Dormant. Source : http://data.abuledu.org/URI/528d245b-la-belle-au-bois-dormant

La Belle au Bois Dormant

Groupe statuaire de la fontaine des contes à Wuppertal en Allemagne : La Belle au bois dormant - Charles Perrault (1628-1703) : le prince et la belle endormie.

La Belle au Bois Dormant. Source : http://data.abuledu.org/URI/528d3496-la-belle-au-bois-dormant

La Belle au Bois Dormant

Le baiser du prince, illustration par Walter Crane (1845-1915), Sleeping Beauty (légendé en anglais). La Belle au bois dormant - Charles Perrault (1628-1703).

La Belle au Bois Dormant (3). Source : http://data.abuledu.org/URI/51804887-la-belle-au-bois-dormant-3-

La Belle au Bois Dormant (3)

Illustration de La Belle au Bois Dormant, 1922, par Harry Clarke (1889-1931) : le prince et le vieux bûcheron.

La Belle au Bois Dormant (4). Source : http://data.abuledu.org/URI/51804902-la-belle-au-bois-dormant-4-

La Belle au Bois Dormant (4)

Illustration de La Belle au Bois Dormant, 1922, par Harry Clarke (1889-1931).

La Belle au Bois Dormant 04. Source : http://data.abuledu.org/URI/51c61e3d-la-belle-au-bois-dormant-04

La Belle au Bois Dormant 04

Illustration pour Charles Perrault "La Belle au Bois Dormant" : Histoires ou Contes du Temps passé, Les Contes de ma Mère l'Oye, 1697, par Gustave Doré, 1867.

La Fille du Roi et le Crapaud. Source : http://data.abuledu.org/URI/50dc8184-la-fille-du-roi-et-le-crapaud

La Fille du Roi et le Crapaud

Le conte de la princesse qui a peur du crapaud et que son père force à tenir ses promesses. Deux comptines-ritournelles. (1073 mots)

La légende du prince Yamato Take. Source : http://data.abuledu.org/URI/557094ee-la-legende-du-prince-yamato-take

La légende du prince Yamato Take

Le Prince Yamato Take supplie son épouse de l'aider à se déguiser en femme. Couverture de "The Japanese Fairy Book", 1908, par Kakuzō Fujiyama. Source : http://commons.wikimedia.org/wiki/File:The_Japanese_Fairy_Book.djvu

La petite sirène. Source : http://data.abuledu.org/URI/5110f3f9-la-petite-sirene

La petite sirène

Conte d'Andersen, "La Petite Sirène", traduction David Soldi, 1876 (Hachette, wikisource). 7414 mots.

La petite sirène d'Andersen. Source : http://data.abuledu.org/URI/5110f54c-la-petite-sirene-d-andersen

La petite sirène d'Andersen

Illustration par Bertall de "La petite sirène" d'Andersen, 1876 (wikisource) : "En dehors des portes s’élevaient de grands palmiers, et dans les jardins croissaient des orangers et des citronniers ; non loin de cet endroit, la mer formait un petit golfe, s’allongeant jusqu’à un rocher couvert d’un sable fin et blanc. C’est là que la sirène déposa le prince, ayant soin de lui tenir la tête haute et de la présenter aux rayons du soleil."

La plume de l'oiseau de feu. Source : http://data.abuledu.org/URI/52bbff7d-la-plume-de-l-oiseau-de-feu

La plume de l'oiseau de feu

La plume de l'oiseau de feu par l'artiste russe Elena Konstantinovna Gorokhova, 1979. Dans les contes de fées, l'oiseau de feu est typiquement l'objet difficile à trouver dans une quête. La quête débute habituellement par la découverte par le héros d'une plume perdue (de la queue de l'oiseau), à partir de laquelle le héros se met en route pour trouver et capturer l'oiseau vivant. Le mot russe птица (ptitsa) étant féminin, l'Oiseau de feu est envisagé par les Russes comme un être féminin, raison pour laquelle on traduit parfois par « l'Oiselle de feu ». (Source : wikipedia).

La princesse Rosette, chapitre IV. Source : http://data.abuledu.org/URI/5313881b-la-princesse-rosette-chapitre-iv

La princesse Rosette, chapitre IV

La princesse Rosette, chapitre IV, seconde journée, conte de la Comtesse de Ségur (1799-1874), illustré par Virginia Frances Sterrett (1900–1931) : Les applaudissements et l'enthousiasme pour Rosette devinrent si bruyants, que pour s'y soustraire elle se réfugia dans le jardin, ou Charmant la suivit ; ils se promenèrent le reste de la soirée et s'entretinrent de leurs projets d'avenir, si la fée Puissante permettait à Rosette d'unir sa vie à celle de Charmant. Les diamants de Rosette brillaient d'un tel éclat que les allées où ils marchaient, les bosquets où ils s'asseyaient, semblaient éclairés par mille étoiles.

La princesse Rosette, chapitre V. Source : http://data.abuledu.org/URI/5313893e-la-princesse-rosette-chapitre-v

La princesse Rosette, chapitre V

La princesse Rosette, chapitre V, Troisième et dernière journée, conte de la Comtesse de Ségur (1799-1874), illustré par Virginia Frances Sterrett (1900–1931) : Charmant resta ébloui de la beauté de Rosette. La fée le tira de son extase en lui disant : "Vite, vite, marchons ; je n'ai plus qu'une demi-heure, après laquelle je dois me rendre près de la reine des fées, où je perds toute ma puissance pendant huit jours. Nous sommes toutes soumises à cette loi dont rien ne peut nous affranchir."

Le conte de Casse-noisette. Source : http://data.abuledu.org/URI/50817e1b-le-conte-de-casse-noisette

Le conte de Casse-noisette

Illustration du conte de fées anglais, "Casse-Noisette" (Kate Crackernuts) de Joseph Jacobs, 1892, par Batten : Pendant que le prince danse avec les fées, Kate, cachée derrière la porte, attire l'enfant en lui lançant des noisettes, pour récupérer sa baguette magique.

Le conte de la fille de Seigneur Mar. Source : http://data.abuledu.org/URI/508076ef-le-conte-de-la-fille-de-seigneur-mar

Le conte de la fille de Seigneur Mar

Illustration du conte anglais "La fille de Seigneur Mar" (Earl Mar's Daughter) de Joseph Jacobs, 1892, par Batten : Le prince Florentin, transformé par sa mère en autour des palombes, attache le prétendant à un arbre pour libérer la fille de Seigneur Mar du mariage décidé par son père.

Le conte de la fille de Seigneur Mar. Source : http://data.abuledu.org/URI/5080788c-le-conte-de-la-fille-de-seigneur-mar

Le conte de la fille de Seigneur Mar

Illustration du conte anglais "La fille de Seigneur Mar" (Earl Mar's Daughter) de Joseph Jacobs, 1892, par Batten : Un des vingt-quatre hérons de la suite du prince Florentin attaque les soldats du cortège pour libérer la fille de Seigneur Mar du mariage décidé par son père.

Le conte des crapauds et des diamants - 5. Source : http://data.abuledu.org/URI/53309122-le-conte-des-crapauds-et-des-diamants-5

Le conte des crapauds et des diamants - 5

Le conte des crapauds et des diamants, 1870 : Le fils du roi, qui revenait de la chasse, la rencontra et, la voyant si belle, lui demanda ce qu'elle faisait là toute seule et ce qu'elle avait à pleurer ! "Hélas, Monsieur, c'est ma mère qui m'a chassée du logis." Le fils du roi, qui vit sortir de sa bouche cinq ou six perles et autant de diamants, lui pria de lui dire d'où cela lui venait. Charles Perrault, Les fées.

Le prince aux lys de Knossos. Source : http://data.abuledu.org/URI/5360f122-le-prince-aux-lys-de-knossos

Le prince aux lys de Knossos

Fresque reconstituée par l'archéologue anglais Arthur Evans (1851-1941), connue sous le nom "Prince aux lis".

Le prince de la princesse au petit pois. Source : http://data.abuledu.org/URI/54af0a8d-le-prince-de-la-princesse-au-petit-pois

Le prince de la princesse au petit pois

Illustration des contes de fées d'Hans Andersen, 1913) par William Heath Robinson (1872-1944) : page 214, La princesse au petit pois.

Le prince de la Princesse au petit pois. Source : http://data.abuledu.org/URI/54c11d5a-le-prince-de-la-princesse-au-petit-pois

Le prince de la Princesse au petit pois

Illustration par W. H. Robinson (1872-1944) des Contes de fées de Hans Andersen, 1913, page 214.

Le prince du conte refuse toutes les princesses. Source : http://data.abuledu.org/URI/54c11a3b-le-prince-du-conte-refuse-toutes-les-princesses

Le prince du conte refuse toutes les princesses

Illustration des contes d'Andersen par Helen Stratton (1867-1961), p. 188 : La princesse au petit pois.

Le prince et le fakir. Source : http://data.abuledu.org/URI/51968e23-le-prince-et-le-fakir

Le prince et le fakir

Le prince et le fakir, illustration par John Dickson Batten (1860-1932). Source : Joseph Jacobs (1854-1916) "Fairy tales of India", 1892.

Le prince grenouille. Source : http://data.abuledu.org/URI/511251f9-le-prince-grenouille

Le prince grenouille

Illustration par Anne Anderson (1874-1930) du conte de Grimm "Le prince grenouille" : le repas.

Le prince grenouille. Source : http://data.abuledu.org/URI/51125283-le-prince-grenouille

Le prince grenouille

Illustration par Anne Anderson (1874-1930) du conte de Grimm, "Le prince grenouille" : le puits.

Les cygnes sauvages d'Andersen. Source : http://data.abuledu.org/URI/51112ea0-les-cygnes-sauvages-d-andersen

Les cygnes sauvages d'Andersen

Illustration par Bertall du conte d'Andersen, Les cygnes sauvages, 1876 : "Élisa fut réveillée par le bruit des ailes des cygnes qui s’envolaient au-dessus d’elle. Ses frères, transformés de nouveau, s’éloignaient en traçant de grands cercles dans les airs. L’un d’eux seulement, le plus jeune, resta auprès d’elle. Il posa sa tête dans le giron de la pauvre fille, qui caressait ses blanches ailes, et ils passèrent ainsi toute la journée ensemble. Après ce soir, les autres revinrent, et, lorsque le soleil se fut couché, ils reprirent leur figure naturelle."

Abbaye de Royaumont. Source : http://data.abuledu.org/URI/50578b56-abbaye-de-royaumont

Abbaye de Royaumont

Vue cavalière de l'abbaye de Royaumont, d'après un dessin (H. Duclos, tome 1, p. 267-68) offert au prince de Lorraine, comte de Harcourt, avec les armes de l'abbaye et celles des princes de Lorraine. Vue depuis le sud, montrant plusieurs bâtiments aujourd'hui disparus.

Bataille de Fleurus. Source : http://data.abuledu.org/URI/50af9810-bataille-de-fleurus

Bataille de Fleurus

Bataille de Fleurus, victoire française du général Jourdan, le 26 juin 1794, contre l'armée autrichienne menée par les princes de Cobourg et d'Orange. A gauche de Jourdan, Saint-Just en mission, à droite Marceau, Kléber et Championnet. 1837 - 4m,65 × 5m,43 daté, signé. (Château de Versailles) commande de Louis-Philippe.

Bayan russe. Source : http://data.abuledu.org/URI/53397737-bayan

Bayan russe

Le bayan ou accordéon à basses chromatiques, est l'accordéon chromatique de concert russe, apparu vers 1850 et dont l’usage s’est développé au début du XXe siècle. Il doit son nom au légendaire vieux chanteur et narrateur russe (ou slave) Bayan (ou Boyan) qui se produisit devant plusieurs princes au XIe siècle. Le bayan est doté d’un clavier de 105 boutons disposés sur 5 rangées (pour la main droite), et d’un clavier de 120 boutons disposés sur 6 rangées (pour la main gauche). Le système main gauche est caractérisé par un "déclencheur" permettant de convertir le clavier traditionnel à basses composées (un bouton correspond à un accord) en un clavier chromatique à basses libres (un bouton correspond à une note). Le bayan donne toutes les notes de la gamme chromatique tempérée, et la disposition des touches permet de jouer dans n’importe quelle tonalité sans changer de doigté. Grâce à l’étendue qu’offre l’instrument et la qualité de son timbre, ce modèle complet d'instrument permet d'aborder tous types de musiques de l'époque baroque à nos jours ; il est souvent utilisé par des virtuoses qui interprètent aussi bien de la musique classique que de la musique contemporaine. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Bayan_%28instrument%29

Boule de senteur. Source : http://data.abuledu.org/URI/51dfa9ec-boule-de-senteur

Boule de senteur

Détail d'un tableau du XVIème siècle montrant une boule de senteur nommée Pomander en 1518. Portrait of Jan Gerritz van Egmond van de Dijenborgh, par Jacob CORNELISZ VAN OOSTSANEN (1472-1533). Les grands pomanders se portent accrochés à la ceinture ou en pendentif autour du cou. Les plus petits, parfois pas plus grands qu'un dé à coudre et reliés par une chaînette à une bague, se tiennent en permanence au creux de la main. D'autres se fixent en breloque à un bracelet, un collier ou servent de bouton à une cape. Pendant les huit siècles de leur histoire, les pomanders adoptèrent des formes très variées : crânes, crucifix, escargots, pommes, œufs, noix ou fleurs, chacune ayant une signification symbolique et ésotérique particulière. Les monogrammes, inscription ou motifs allégoriques dont ils étaient ornés, étaient supposés renforcer leur pouvoir. Transmis de génération en génération, les pomanders étaient en effet bien plus que des objets à parfumer : on leur prêtait des vertus magiques protégeant des forces du mal et de la maladie. Les princes et les nobles en faisaient grand usage, comme les prêtres et les médecins qui comptaient sur leur présence pour se préserver de la contagion. La fin du XVIIe siècle voit ces pouvoirs tournés en dérision. Ils ne sont plus portés que par coquetterie et leurs senteurs lourdes et entêtantes sont supposées servir l'art de la séduction. Ils passent de mode au milieu de XVIIIe siècle.

Carte de la France en 1477. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d00173-carte-de-la-france-en-1477

Carte de la France en 1477

Carte de la France à la fin du XVème siècle. Maisons capétiennes, Autres maisons, Maison de Bourgogne ; Possessions anglaises, Possessions de l'Eglise, Villes libres d'Europe.

Circonférence de la base d'un hêtre. Source : http://data.abuledu.org/URI/505a35d4-circonference-de-la-base-d-un-hetre

Circonférence de la base d'un hêtre

Photographie de Hêtre pourpre (Fagus sylvatica - Cultivar Purpurea). dont la base est mesurée par un enfant en bleu et une femme. Arbre remarquable de par sa taille et l'ampleur de ses branches. Circonférence en cm mesurée à 1m50 du sol : 808 cm (en 2007). Historique : proviendrait d’un des jeunes plants ramenés de la Forêt Noire au XVII e siècle par Claire-Marie de Nassau. Position exacte : Beloeil (Belgique) – Parc de l’orangerie du château des princes de Ligne.

Costumes allemands du onzième siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/530b10fb-costumes-allemands-du-onzieme-siecle

Costumes allemands du onzième siècle

Planche 30, Costumes allemands du onzième siècle, in Costumes of All Nations (Londres, 1882) par Albert Kretschmer, peintre du théâtre de la Cour Royale de Berlin, et Dr. Carl Rohrbach : 1,2, soldats ; 3-7, 10-11, aristocrates et princes en 1100 ; 8, Empereur Henri II (mort en 1024) ; 9, Cunégonde, consort ; 12, évêque du douzième siècle ; 13, Rodolphe de Souabie, prétendant au trône (mort en 1080).

Costumes français du quinzième siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/53078b79-costumes-francais-du-quinzieme-siecle

Costumes français du quinzième siècle

Planche 55, Quinzième siècle, Costumes of All Nations (Londres, 1882) par Albert Kretschmer, peintre du théâtre de la Cour Royale de Berlin, et Dr. Carl Rohrbach : 1, 3, 7, 9, simples citoyens ; 2, Charles VII ; 4-5, aristocrates ; 6, savant ; 8, page ; 10, hérault ; 11-12, princes ; 13, chevalier de la Toison d'Or ; 14, 16, 19, princesses ; 15, citoyenne ; 17, roi ; 18, Philippe le Bon, duc de Bourgogne.

Costumes médiévaux du douzième siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/53073d7a-costumes-medievaux-du-douzieme-siecle

Costumes médiévaux du douzième siècle

Planche 32, Douzième siècle en Allemagne, Costumes of All Nations (Londres, 1882) par Albert Kretschmer, peintre du théâtre de la Cour Royale de Berlin, et Dr. Carl Rohrbach : 1, Empereur Barberousse ; 2, Princesse ; 3 Prince consort Henri le lion ; 7, roi ; 4-8, nobles ; 9, évêque ; 10-14, soldats ; 15-16, princesses.

Costumes slaves du seizième siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/53086f9f-costumes-slaves-du-seizieme-siecle

Costumes slaves du seizième siècle

Planche 74, Costumes slaves du seizième siècle, Costumes of All Nations (Londres, 1882) par Albert Kretschmer, peintre du théâtre de la Cour Royale de Berlin, et Dr. Carl Rohrbach : 1, marchand russe ; 2-3, notables russes ; 4-5, habitants de Strelitz ; 6-7, 13, chefs hongrois ; 8, 15, princes hongrois ; 9, notable polonais ; 10, soldat russe ; 11, roi de Pologne ; 12, chef polonais ; 14, 16, soldats hongrois.

Fable du roi des corbeaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/521b1b1a-fable-du-roi-des-corbeaux

Fable du roi des corbeaux

Le Livre de Kalila et Dimna (version du Pañchatantra), chapitre des hiboux et des corbeaux, Le roi des corbeaux et ses conseillers. Le Pañchatantra (du sanskrit पंचतंत्र Paṃchataṃtra signifiant « Le Livre d’instruction en cinq parties ») est un ancien recueil de contes et de fables (probablement le plus ancien qui nous soit parvenu). Ce livre écrit sous forme d’apologues racontant l’histoire des chacals Karataka (करतक) et Damanaka (दमनक). Sa compilation est traditionnellement attribuée à un brahmane nommé Vishnusharman (विष्णुषर्मन), qui l’aurait produite au Ve siècle ou au VIe siècle, à la demande d’un râja, comme un guide de gouvernement à destination des princes. Le Pañchatantra a eu une riche postérité littéraire via le "Kalîla wa Dimna" arabo-persan. Le Kalîla wa Dimna a été joliment enluminé, en particulier par l’école de miniature persane de Hérat en Afghanistan (à laquelle se rattache le grand peintre miniaturiste Behzad) au XVe siècle.

Frêne commun en Belgique. Source : http://data.abuledu.org/URI/53132783-frene-commun-en-belgique

Frêne commun en Belgique

Frêne élevé ou frêne commun (Fraxinus excelsior), circonférence mesurée à 1m50 du sol: 424 cm (2007) ; hauteur : 46m (1999) ; particularité : arbre à feuilles caduques le plus élevé de Belgique. Position exacte : Le Roeulx (Belgique) – Château des princes de Croÿ (propriété privée).

La Belle et la Bête, conte de Grimm. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d35bc3-la-belle-et-la-bete-conte-de-grimm

La Belle et la Bête, conte de Grimm

La Belle et la Bête, illustration par John Batten, du conte de Joseph Jacobs extrait de "Europa's fairy book », 1916 : scène finale.

La Cité des dames. Source : http://data.abuledu.org/URI/513fda93-la-cite-des-dames

La Cité des dames

La Cité des dames est un récit allégorique de Christine de Pizan (1363-1431) paru à Paris en 1405. Christine de Pizan est une philosophe et poétesse française de naissance italienne considérée comme la première femme de lettres française ayant vécu de sa plume. Son érudition la distingue des écrivains de son époque, hommes ou femmes. Veuve et démunie, elle dut gagner sa vie en écrivant. Elle composa des traités de politique et de philosophie, et des recueils de poésie. On lui doit, entre autres, "Cent ballades d'amant et de dame" et "la Cité des dames". Son travail majeur a été accompli entre 1400 et 1418. Christine est d'abord une poétesse. Et pour cause : c'est le premier moyen de se faire remarquer en bien par les princes mécènes, car leur cour se plaît particulièrement aux jeux poétiques de la littérature courtoise. Elle chante des amours plutôt malheureux en fin d'histoire, mais n'en abuse pas car elle sait que ses lecteurs préfèrent le chant amoureux comblé. C'est par la poésie qu'elle a fondé son autorité d'écrivaine, la manière la plus efficace de se faire admettre dans le monde littéraire pour une femme de la haute société. "La cité des dames" est un des premiers ouvrages féministes de la littérature, en ce sens qu'il ne reprend pas les tropes usés du débat rhétorique utilisés par les auteurs masculins pour attaquer ou défendre la femme, mais se place délibérément dans une perspective nouvelle, la narratrice prenant conscience de ce que sa vision d'elle-même est en fait déterminée par les clichés qui circulent sur les femmes et leur infériorité "naturelle". Christine de Pizan décrit une société allégorique, où la dame est une femme dont la noblesse est celle de l'esprit plutôt que de la naissance. L'ouvrage cite une série de figures féminines du passé que Christine de Pizan donne comme exemple de la façon dont les femmes peuvent mener une existence pleine de noblesse tout en apportant leur contribution à la société. Le Maître de la Cité des dames est un nom de convention désignant un enlumineur actif à Paris entre 1400 et 1415. Collaborateur de Christine de Pisan dans la réalisation de ses manuscrits, il doit son nom de convention des manuscrits de La Cité des dames qu'il a enluminés.

Le voleur de Bagdad en 1924. Source : http://data.abuledu.org/URI/535fd696-le-voleur-de-bagdad-en-1924

Le voleur de Bagdad en 1924

Affiche du Voleur de Bagdad, 1924, avec Douglas Fairbanks (1883-1939), de Raoul Walsh (acteur, producteur et scénariste) : Le voleur, Ahmed, tombe amoureux d'une princesse. Pour obtenir sa main il se fait passer pour un prince, et doit concourir auprès de trois autres princes. Il devra aussi lutter contre les machinations du prince mongol. Contrairement à ce qui est souvent reporté, l'histoire n'est pas adaptée d'un conte des Mille et une nuits mais a été écrite spécialement pour ce film. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Voleur_de_Bagdad_%28film,_1924%29

Miroir de toilette de princesse en 1786. Source : http://data.abuledu.org/URI/5394bdc7-miroir-de-toilette-de-princesse-en-1786

Miroir de toilette de princesse en 1786

Nécessaire de toilette de la Princesse de Deux-Ponts, 1786, par Johann Jacob Kirstein (1733-1816, maître en 1760), orfèvre : Argent doré, glace au mercure et noyer ; H. 96,5 cm ; l. 56,6 cm ; P. 7,2 cm. Musée des Arts décoratifs, Strasbourg. Le miroir fait partie du nécessaire offert par Maximilien Joseph de Deux-Ponts, colonel-propriétaire du régiment d’Alsace à Strasbourg, à Augusta Wilhelmine de Hesse-Darmstadt (1765-1796), fille du comte Georges Guillaume de Hesse-Darmstadt et de Marie Albertine Louise de Linange-Heidesheim, à l’occasion de la naissance de leur fils ainé.

Plan du harem de Topkapi. Source : http://data.abuledu.org/URI/51139858-plan-du-harem-de-topkapi

Plan du harem de Topkapi

Harem : 1) La porte des Carrosses et le trésor du harem/Dôme des Placards 2) Salle des Ablutions ou Vestibule avec Şadırvan, ou Şadırvanlı Sofa 3) Cour et dortoirs des eunuques du harem - Quartiers du chef des eunuques et école des princes - porte de la volière (sortie du harem) 4) Porte principale du harem et sentinelle 5) Cour de la sultane - Quartiers des princes consorts, des princes, de la servante en chef, du superintendant et des serviteurs 6) Cour des concubines et des épouses - quartier de la famille du sultan - dortoirs et bain 7) Quartiers de la sultane 8) Hammam du sultan et de la sultane. Appartements privés du sultan : 9) Salle Impériale - Les appartements d'Abdülhamid I, Selim III et Osman III 10) Salle avec cheminée - Salle avec fontaine 11) Chambre privée de Murad III - Bibliothèque d'Ahmed I et salle à manger d'Ahmed III 12) Pavillon double (appartements des princes de la couronne) 13) Terrasse et appartements des favorites / antichambre entre quartier des hommes et quartier des femmes 14) Route dorée.

Plan général du Palais de Topkapi. Source : http://data.abuledu.org/URI/51138cd6-plan-general-du-palais-de-topkapi

Plan général du Palais de Topkapi

A. Première cour B. Anciens jardins, près du mur le long de la mer de Marmara. C. Cinquième cour, aujourd'hui partie du parc de Gülhane, s'étendant jusqu'à la Corne d'Or à Seraglio. D. Anciens jardins, aujourd'hui parc de Gülhane, s'étend jusqu'à la ligne de chemin de fer. E. Niveau où se trouvent le Pavillon des Tuiles et d'autres musées. 1) Fontaine du bourreau 2) Porte du milieu, entrée du musée 3) Deuxième Cour 4) Selâm ou pierre de bienvenue 5) Sommet de la citerne byzantine 6) Vieux puits 7) Fontaine 8) Porte de la Mort 9) Mosquée de Haci Beşir Ağa 10) Porte de la mosquée) 11) Porte extérieure de la Mort 12) Écuries impériales 13) Dortoirs des hallebardiers à tresses 14) Terrasse 15) Arcades avec inscriptions anciennes 16) Porte des Carrosses, vers le harem 17) Chambre du Conseil impérial 18) Chambre des scribes 19) Chambre du grand Vizir 20) Trésor impérial 21) Pierre cible 22) Monument à Sukhum 23) Porte vers les pompes du palais 23a) Pompes 24) Cuisine des sultans, des princes et de la sultane validé 26) Cuisine des femmes du harem 27) Cuisine des sentinelles 28) Cuisines du divan 29) Cuisine des pages 30) Cuisine des serviteurs 31) Cuisine des femmes servant le harem 32) Cuisine pour les servants civils du divan, pièce du fabricant de café et pâtisserie 33) Mosquée des cuisiniers) 34) Dortoir des apprentis cuisiniers et plongeurs 35) fonderie d'étain 36) zone utilisée par les serviteurs de la cuisine 37) Porte de la Félicité 38) Troisième Cour 39) Salle d'audience 40) Librairie d'Ahmed III 41) Quartiers des eunuques blancs 42) Porte de la volière 43) Cuisine privée du sultan 44) Rue de marbre du pavillon du manteau sacré à la salle du trône 45) Mosquée des Ağas 46) Mosquée du harem 47) Chapelle 48) Dortoirs des pages de la chambre forte sacrée 49) Chambre forte sacrée 50) Salle du foulard 51) Pavillon du manteau sacré 51a) Antichambre de la chambre forte sacrée 51b) Salle du manteau sacré 52) Pierre où s'arrêtait le sultan 53) Fontaine 54) Trésor des reliques sacrées (anc. Trésor des armures) 55) Dortoir des pages du trésor 56) Dortoir des pages du commissariat 57) Passage souterrain de la troisième à la quatrième cour 58) Trésor impérial 59) Dortoir des pages royaux 60) Conservatoire 61) Quartiers des eunuques blancs 62) Corridor à piliers 63) Porte vers le harem et la route dorée 64) Salle des circoncisions 65) Pavillon d'Erevan 66) Quatrième Cour (jardin des tulipes) 67) Fontaine à étages 68) Piscine avec jets sur la terrasse 69) Terrasse de marbre 70) Jardins Iftariye 71) Porte des éléphants ou du jardin 72) Pavillon de Bagdad 73) Pavillon sur la terrasse et pavillon de Mustafa pacha 74) Salle du médecin principal 75) Jardin de la quatrième cour 76) Porte des jardins privés, reliant la quatrième et la cinquième cour, aujourd'hui partie du Parc Gülhane 77) Guérites 78) Grand Pavillon 79) Mosquée sur la terrasse 80) Garde-robe 81) Piscine sculptée de thèmes marins.

Prince. Source : http://data.abuledu.org/URI/5027844e-prince
Projet de vitrail Justicia à Berne. Source : http://data.abuledu.org/URI/52123dbc-projet-de-vitrail-justicia-a-berne

Projet de vitrail Justicia à Berne

Projet de vitrail Justicia à Berne au seizième siècle par Hans Rudolf Manuel, en 1558 : la Justice ailée chevauche les têtes des princes dont les symboles de puissance sont détruits, thème commun à l'époque de la Réforme.