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Dessins et plans | Photographie | Biologie | Anatomie humaine | Gravure | Anatomie | Biologie animale | Abdomen | Oesophage | Estomac | Crevettes | Antarctique | Diaphragme (anatomie) | Krill | Rate | Insectes pollinisateurs | Biologie marine | Botanique | Aristoloches | Plantes | ...
Bulle auditive Grande Sauterelle Verte. Source : http://data.abuledu.org/URI/549df642-bulle-auditive-grande-sauterelle-verte

Bulle auditive Grande Sauterelle Verte

Patte de grande sauterelle verte (Tettigonia viridissima) avec bulle auditive (organe de l’audition) sur la patte antérieure droite.

Niveau d'Organisation et d'Intégration du Vivant. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b7f09c-niveau-d-organisation-et-d-integration-du-vivant

Niveau d'Organisation et d'Intégration du Vivant

Graphique représentant les différents niveaux d'organisation ou d'intégration du vivant. Il ne s'agit pas d'une hiérarchie, mais d'une présentation simplifiée, des niveaux étudiés par les biologistes et écologues : biosphère, biomes, paysages, écosystèmes, biocénoses, communautés, populations, individus, organes, cellules, molécules/ADN.

Anatomie de la main. Source : http://data.abuledu.org/URI/52cf1c88-anatomie-de-la-main

Anatomie de la main

Les mains (du latin manus, pl. manūs) sont deux organes complexes et préhensiles situés à l'extrémité des bras des primates et munis de doigts. Elles sont les principaux organes utilisés pour saisir et manipuler des objets pris dans l'environnement, de la façon la plus brutale (brandir un gourdin) à la plus fine (enfiler une aiguille). L'extrémité des doigts contient l'une des plus fortes concentrations de terminaisons nerveuses du corps humain, ce qui fait de la main l'un des organes principaux du sens du toucher. Comme pour d'autres organes allant par paires, comme les yeux ou les oreilles, chaque main est principalement contrôlée par l'hémisphère opposé du cerveau. La main utilisée préférentiellement est l'aspect le plus visible de la latéralisation de chaque individu.

Anatomie de la main. Source : http://data.abuledu.org/URI/52cf1d1b-anatomie-de-la-main

Anatomie de la main

Anatomie de la main, avec légende. Les mains (du latin manus, pl. manūs) sont deux organes complexes et préhensiles situés à l'extrémité des bras des primates et munis de doigts. Elles sont les principaux organes utilisés pour saisir et manipuler des objets pris dans l'environnement, de la façon la plus brutale (brandir un gourdin) à la plus fine (enfiler une aiguille). L'extrémité des doigts contient l'une des plus fortes concentrations de terminaisons nerveuses du corps humain, ce qui fait de la main l'un des organes principaux du sens du toucher. Comme pour d'autres organes allant par paires, comme les yeux ou les oreilles, chaque main est principalement contrôlée par l'hémisphère opposé du cerveau. La main utilisée préférentiellement est l'aspect le plus visible de la latéralisation de chaque individu.

Anatomie du krill antarctique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e462ed-anatomie-du-krill-antarctique

Anatomie du krill antarctique

Anatomie du krill antarctique, schéma de Uwe_Kils/klages/part1 Kils & Klages 1979 légendé en français : intestin, hépatopancréas, oeil composé ; telson, pléopodes, thoracopodes ; organes bioluminescents, branchies, soies.

Anatomie humaine. Source : http://data.abuledu.org/URI/56c5f343-anatomie-humaine

Anatomie humaine

Organes humains de l'abdomen : 1) Oesophage, 2) Diaphragme, 3) Estomac, 4) Foie, 5) Vésicule biliaire, 6) Duodénum, 7) Pancréas, 8) rate.

Aristoloche clématite. Source : http://data.abuledu.org/URI/506f1f0a-aristoloche-clematite

Aristoloche clématite

Planche botanique N° 284 de l'Atlas des PLantes de France de Masclef, 1894 : Aristoloche clématite (Aristolochia clematitis). C'est une plante herbacée (20 à 80 cm) à tige dressée et anguleuse. Les feuilles sont larges et cordiformes (en forme de cœur). Le fruit de 5 cm de diamètre est une petite capsule en forme de poire. L'Aristoloche clématite possède également des stolons souterrains. Les fleurs de l'Aristoloche clématite sont jaunes et dégagent une odeur désagréable. Elles forment un tube d'environ 3 cm, par lequel les insectes pénètrent, attirés par le nectar. Le « piège » ainsi formé contient le pistil et les étamines, organes mâles et femelles de la plante. Les insectes pollinisateurs sont principalement des petites mouches. Une fois dans le réceptacle, les pollinisateurs ne peuvent s'échapper à cause des poils du conduit orientés vers le bas. Ces insectes vont donc se charger du pollen contenu dans les anthères. Les poils se fanent alors, ce qui libère les insectes. Ceux-ci véhiculent à leur insu les gamètes mâles de la plante vers un autre individu, et assurent ainsi la reproduction de l'espèce. L'Aristoloche clématite possède de l'acide aristolochique au niveau de ses parties souterraines. Cette molécule est toxique pour l'homme avec de multiples conséquences.

Cervelle. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b63329-cervelle

Cervelle

Cervelles d'agneaux. Les abats ou la triperie constituent un ensemble de produits alimentaires qui comportent tous les viscères comestibles d'animaux. Ce sont les glandes et les organes internes tel le foie, les reins, le cœur, le thymus, l'intestin… mais aussi le pied ou la joue. Ils sont généralement considérés comme des parties accessoires, non nobles, d'animaux abattus pour la consommation. Ils s'opposent à la viande rouge ou blanche, qui correspond aux muscles, qu'il s'agisse de volailles, de bovins, d'ovins, etc.

Cinématique de l'étau limeur. Source : http://data.abuledu.org/URI/52accb9f-etau-limeur-cinematique

Cinématique de l'étau limeur

Etau limeur : cinématique de la course du coulisseau et de l'avance table. L’étau limeur est une machine à raboter mais travaillant à l’inverse d’une raboteuse, dans le sens que la pièce reste immobile pendant la passe alors que l’outil effectue le mouvement de coupe rectiligne. L’architecture d’un étau limeur est constituée de : 1) le bâti en fonte contenant les organes mécaniques (moteur électrique, hydraulique ou pneumatique ; boîte de vitesse ; système bielle-manivelle ; mécanisme d’avance de la table porte-pièce) ; 2) le coulisseau qui se déplace horizontalement sur le dessus du bâti et qui porte le chariot porte-outil ; 3) la table porte pièce qui coulisse sur une glissière horizontale, qui elle-même coulisse sur une autre glissière verticale. Cette table, selon les modèles, peut pivoter selon un axe parallèle à la trajectoire du coulisseau et être soutenue en bout par bretelle (ou béquille) ; 4) un socle fixé au sol et supportant l’ensemble.

Cours à l'école de médecine au XIXème siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/524f106d-cous-a-l-ecole-de-medecine-au-xixeme-siecle

Cours à l'école de médecine au XIXème siècle

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.287 : manuel scolaire, édition de 1904. UN COURS A L'ECOLE DE MÉDECINE. - Les médecins doivent connaître le corps humain avec tous ses organes, qu'ils auront plus tard à soigner. Les professeurs montrent aux élèves sur les squelettes tous les os qui composent la charpente de notre corps. Dans la salle de dissection ils leur montrent les muscles et les nerfs. La science des diverses parties du corps s'appelle anatomie.

Cycle de vie de la fougère. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e6aa6d-cycle-de-vie-de-la-fougere

Cycle de vie de la fougère

Fougères - schéma complet de développement. Source : Le Monde végétal, Ernest Flammarion, 1907 : la génération sexuée est figurée en blanc (de la spore à l'oeuf), la génération asexuée est figurée en gris (de l'oeuf à la spore). Les fougères ne produisent pas de graines, contrairement aux spermatophytes (gymnospermes et angiospermes), mais se reproduisent grâce à des spores. Les spores sont produites par des organes spécialisés. Le plus souvent, il s'agit de spores, qui sont des amas de sporanges, situés sous le limbe des frondes ou regroupés en épi ou panicule sur des frondes fertiles (cas des Osmunda et Ophioglossum). Un amas contient 80 sporanges dans lesquels il y a 64 spores. Les Hydropteridales ne portent pas de spores, mais des sporocarpes. Les spores peuvent être de forme variée : linéaire, circulaire ou en forme de U (ou réniforme). Elles peuvent être ou non protégées par une indusie. Les fougères disposent d'un mécanisme original d'éjection des spores, qui sont projetés par une sorte de fronde microscopique.

Cycle de vie des Angiospermes. Source : http://data.abuledu.org/URI/50df6199-cycle-de-vie-des-angiospermes

Cycle de vie des Angiospermes

Cycle de vie d'une Angiosperme. La division Magnoliophyta, ou angiospermes, regroupe les plantes à fleurs, et donc les végétaux qui portent des fruits. Angiosperme signifie « graine dans un récipient » en grec par opposition aux gymnospermes (graine nue). Ils représentent la plus grande partie des espèces végétales terrestres, avec de 250 000 à 300 000 espèces. Les angiospermes diffèrent cependant des autres plantes à graines par la présence des caractères suivants : 1) la condensation des organes reproducteurs en une fleur ; 2) la présence d'un ovaire enveloppant les ovules, et qui se développera pour donner un fruit ; 3) la double fécondation de l'ovule, qui donnera l'embryon et son tissu nourricier, l'albumen. La fleur et le fruit, qui sont propres à ce groupe, entraînent, pour de nombreuses espèces, une interaction avec les animaux dans la reproduction (pollinisation par les insectes, zoochorie...). Les angiospermes dominent les paysages naturels terrestres tropicaux et tempérés, comme la savane ou la forêt. Ils laissent la place aux résineux (Pinophytes) et aux lichens dans les biotopes les plus froids. Ils sont aussi présents dans les milieux aquatiques (Zoostère...).

Electrorécepteurs d'une tête de requin. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d83be6-electrorecepteurs-d-une-tete-de-requin

Electrorécepteurs d'une tête de requin

Electrorécepteurs de tête de requin, avec Ampoules de Lorenzini (ichtyologue italien du XVII° siècle) et canaux latéraux. Les requins possèdent des organes sensitifs spéciaux appelés ampoules de Lorenzini pouvant détecter des champs électromagnétiques aussi bien que des gradients de la température (ce gradient étant la direction où la température augmente le plus). Ils fournissent aux requins et aux raies un véritable sixième sens. Chaque ampoule se compose d'un canal rempli d'une sorte de gelée s'ouvrant sur la surface par un pore dans la peau et se terminant dans un faisceau de petites poches pleines de cellules électroréceptrices. Les ampoules sont la plupart du temps groupées en paquets à l'intérieur du corps, chaque faisceau ayant des ampoules reliées avec différentes parties de la peau, mais gardant une symétrie gauche/droite. La longueur des canaux change selon chaque animal, mais la distribution des pores semble spécifique à l'espèce. Les pores se présentent comme des taches foncées sur la peau.

Fleurs d'aristoloche clématite. Source : http://data.abuledu.org/URI/506f1fce-fleurs-d-aristoloche-clematite

Fleurs d'aristoloche clématite

Fleurs d'aristoloche clématite (Aristolochia clematitis) : Les fleurs de l'Aristoloche clématite sont jaunes et dégagent une odeur désagréable. Elles forment un tube d'environ 3 cm, par lequel les insectes pénètrent, attirés par le nectar. Le « piège » ainsi formé contient le pistil et les étamines, organes mâles et femelles de la plante.

Jean Macé franc-maçon. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f42dee-jean-mace-franc-macon

Jean Macé franc-maçon

Tablier brodé et cordon de maître franc-maçon de Jean Macé (exposition temporaire au Musée historique de Strasbourg, prêt de la mairie de Beblenheim). Fils d’ouvriers, Jean Macé a reçu une grande éducation au collège Stanislas de Paris et travaille entre autres pour le journal "La République". Il quitte la capitale après le coup d’État du 2 décembre 1851 de Louis-Napoléon Bonaparte. Enseignant, il a l’idée d’écrire pour les enfants des ouvrages de vulgarisation scientifique comme "L’Histoire d’une bouchée de pain, lettres à une petite fille sur nos organes et nos fonctions", publié en 1861 et qui connaît un grand succès. Il écrit alors des articles dans "L'Économiste français", hebdomadaire économique fondé en 1862 par Jules Duval (1813-1870). Il œuvre pour l’instruction des masses en fondant "Le Magasin d'éducation et de récréation" en 1864 avec l'éditeur Pierre-Jules Hetzel, puis en créant "la Ligue de l'enseignement" en 1866 qui se bat pour l’instauration d’une école gratuite, obligatoire et laïque. C'est à cette époque qu'il se lie d'amitié avec l'officier Louis-Nathaniel Rossel (futur délégué à la guerre de la Commune de Paris), partisan de l'éducation des classes ouvrières, puis Maurice Berteaux, député de Seine-et-Oise. Il est élu sénateur inamovible en 1883. Jean Macé était franc-maçon. Il fut actif aux loges de la Parfaite Harmonie de Mulhouse et de la Fidélité de Colmar et membre des Frères Réunis à Strasbourg. Suite à la défaite de 1870, il influença le Grand Orient de France en un sens patriote et chauvin.

L'abdomen humain et ses organes. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c791a0-l-abdomen-humain-et-ses-organes

L'abdomen humain et ses organes

Schéma non légendé des organes de l'abdomen : 1-œsophage ; 2-diaphragme du thorax ; 3-estomac ; 4-foie ; 5-vésicule biliaire ; 6-duodénum ; 7-pancréas ; 8-rate.

Lapin aux aguets. Source : http://data.abuledu.org/URI/535ae7d0-lapin-aux-aguets

Lapin aux aguets

Lapin aux aguets (Oryctolagus cuniculus). On considère généralement que chacun des deux yeux du lapin a un champ de vision de 192°, voire plus. Au total, le champ de vision du lapin est de 360°, et la zone de vision binoculaire est de 24° devant lui et 30 ° au-dessus de la tête. En cas d'alerte, le lapin peut accroître cette vision binoculaire à 30° vers l'avant et 8 à 10° vers l'arrière en modifiant la position de ses yeux dans leurs orbites. C'est en effet uniquement dans la zone de vision binoculaire que l'animal peut évaluer la distance à laquelle se trouvent les éléments. Les oreilles seules peuvent obstruer la vision des lapins. Par ailleurs, il existe un angle mort une dizaine de cm devant le nez. Dans cette zone ce sont les vibrisses de l'animal qui permettent de percevoir les éléments placés devant lui. Les cellules de la rétine sensibles à la lumière sont peu denses chez le lapin, qui perçoit de ce fait une image floue. Il est donc plus sensible au mouvement des choses qu'à leur forme ; il peut percevoir les choses avec une très faible quantité de lumière, il peut donc voir dans l'obscurité. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Oryctolagus_cuniculus

Le krill antarctique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e45ec7-le-krill-antarctique

Le krill antarctique

Photo en gros plan du krill antarctique (Euphausia superba). Le site ecoscope propose un microscope virtuel qui permet d'explorer les divers organes de ce krill. Krill est le nom générique d’origine norvégienne de petites crevettes des eaux froides, de l'ordre des euphausiacés. Le krill est un maillon important du réseau trophique des océans, pour les zones nord et sud de la planète. On regroupe sous ce terme au minimum 85 espèces dont les adultes vivent en « essaims » gigantesques dans les couches supérieures de l'océan, les œufs et larves étant trouvés jusqu'à plus de 1 000 m de profondeur. Les essaims forment parfois des bancs de deux millions de tonnes s'étendant sur 450 km² ; estimations de quelque 650 millions de tonnes au niveau de la planète. Dans l'océan austral, le krill antarctique est principalement constitué d’Euphausia superba, sans courbure dorsale et possédant des yeux noirs de grande taille. Pélagique, il constitue la première source d'alimentation des cétacés à fanons (mysticètes ; dont grands rorquals et baleines franches), avec un rendement très faible pour les cétacés, puisque pour grossir de 1 kg, ils doivent en absorber 100 kg. Les baleines en mangent plusieurs tonnes par jour. Ainsi, le déplacement de ces minuscules crustacés entraîne-t-il à lui seul, la migration des géants des mers. Le krill et d'autres types de crevettes sont à l'origine de la coloration rose des flamands roses, et rose-orange de la chair du saumon sauvage. Il renferme en effet de l’astaxanthine, un caroténoïde rouge, une vitamine A anti-oxydante. Il fait l’objet d'une pêche industrielle, dont en Norvège et autour de l'Antarctique.

Le vivant et la biodiversité. Source : http://data.abuledu.org/URI/588ca1ee-le-vivant-et-la-biodiversite

Le vivant et la biodiversité

Graphique représentant les différents niveaux d'organisation ou d'intégration du Vivant et de la Biodiversité. Il ne s'agit pas d'une hiérarchie, mais d'une présentation simplifiée des niveaux étudiés par les biologistes et écologues : ADN, cellules, organes, individus, populations, communautés, biocénoses, écosystèmes, paysages, biomes, biosphère.

Monsieur et Madame Garnerin en 1803. Source : http://data.abuledu.org/URI/5399c707-monsieur-et-madame-garnerin-en-1803

Monsieur et Madame Garnerin en 1803

Portrait d'André-Jacques et Jeanne Geneviève Garnerin, son élève puis son épouse, par Christoph Haller von Hallerstein (1771-1839). Le 12 octobre 1799, son élève et future épouse, Jeanne Geneviève Labrosse, est la première femme à sauter en parachute. Le 11 octobre 1802, elle dépose au nom de son mari un brevet sur l'"appareil dit parachute, destiné à ralentir la chute de la nacelle d'un ballon après l'explosion de celui-ci. Ses organes essentiels sont une calotte d'étoffe supportant la nacelle et un cercle de bois qui se trouve en dessous et à l'extérieur du parachute et servant à le tenir un peu ouvert lors de l'ascension : il doit faciliter son développement au moment de la séparation avec le ballon, en y maintenant une colonne d'air."

Organes de l'abdomen. Source : http://data.abuledu.org/URI/52b0c7d6-organes-de-l-abdomen

Organes de l'abdomen

Organes de l'abdomen : 1) Oesophage, 2) diaphragme thoracique, 3) Estomac, 4) Foie, 5) Vésicule biliaire, 6) Duodénum, 7) Pancréas, 8) Rate

Planche d'Anthoméduses en 1904. Source : http://data.abuledu.org/URI/535cef18-planche-d-anthomeduses-en-1904

Planche d'Anthoméduses en 1904

Ernst Haeckel (1834–1919), "Kunstformen der Natur" (1904), planche 46 : Anthomedusae. Gemmaria sagittaria, Rathkea fasciculata, Tiara pileata, Tiara pileata (organes internes), Stomotoca pterophylla (organes internes), Thamnostylus dinema.

Planche Deyrolle des organes de digestion. Source : http://data.abuledu.org/URI/56f85084-planche-deyrolle-des-organes-de-digestion

Planche Deyrolle des organes de digestion

Panche Deyrolle des organes de digestion.

Taupe à nez étoilé. Source : http://data.abuledu.org/URI/549defe4-taupe-a-nez-etoile

Taupe à nez étoilé

Taupe à nez étoilé du Canada (Condylura cristata, Linnaeus, 1758). Muséum de Toulouse. Le Condylure à nez étoilé est gris. Il a une longueur totale de 16,2 à 23,8 cm incluant une queue de 6 à 9,2 cm de long. Ses pieds mesurent entre 15 et 32 mm. Son museau qui mesure 1 cm de largeur a la forme d'un disque dénudé muni de 22 tentacules symétriques ; ceux-ci ne sont pas des organes d'odorat, mais plutôt des organes tactiles qui peuvent bouger dans tous les sens et qui servent à explorer l'environnement ou à chercher de la nourriture puisque la vue du Condylure à nez étoilé est très faible. De plus, le museau est doté de plus de 100 000 fibres nerveuses et 30 000 organes d'Eimer. Certains tentacules sont plus longs que d'autres, ce sont les premiers à entrer en contact avec la proie, alors que d'autres ne servent qu'à la diriger vers la bouche. D'autres encore peuvent être des électro-senseurs qui émettent des champs magnétiques. Les individus adultes ont un poids se situant entre 31,5 et 77 g tandis que les nouveau-nés pèsent 1,5 g. Les mâles et les femelles ont sensiblement la même taille. La longévité du Condylure à nez étoilé peut atteindre trois ans en milieu naturel. Il se nourrit de petits invertébrés aquatiques, de crustacés, de mollusques et de vers. Il lui arrive aussi de se nourrir de petits poissons. Il chasse dans ses galeries et perçoit ses proies grâce à son ouïe et son toucher, car il est dépourvu d'odorat. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Condylura_cristata

Téléphone. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d86074-telephone

Téléphone

Téléphone d'intérieur fixe à cadran. Le téléphone se compose historiquement de deux blocs : 1) un boîtier contenant les organes de transmission de la parole, très souvent un système de sonnerie pour signaler un appel et un cadran ou un clavier permettant un dialogue avec le central téléphonique. Ce dialogue est effectué en composant le numéro d'un autre abonné. Le commutateur du central y répond en envoyant des tonalités d'acceptation, de refus ou d'acheminement. En France, la tonalité d'acheminement a été supprimée le 18 octobre 1996 à 23 heures, en même temps que la numérotation est passée à dix chiffres ; 2) un combiné qui permet d'échanger les sons de la voix entre les deux interlocuteurs sur la ligne téléphonique. Le bloc combiné est composé de deux parties : une partie microphone qui se place devant la bouche et une partie haut-parleur qui se place à proximité de l'oreille. Le combiné est une invention relativement récente : dans les premiers temps, l'interlocuteur parlait devant une plaque de bois solidaire du boîtier ou, selon le cas, dans un petit entonnoir, en portant à son oreille l'écouteur relié au boîtier par un fil.

Vibrisses de lapin domestique. Source : http://data.abuledu.org/URI/535ae573-vibrisses-de-lapin-domestique

Vibrisses de lapin domestique

Gros plan sur le museau d'un lapin domestique : les nombreux poils longs appelés vibrisses présents sur la tête du lapin, notamment sur la lèvre supérieure et la partie antérieure de la joue, mais également au-dessus des yeux et dans la région temporale, ont un rôle essentiel dans la perception du toucher

Wagon couvert. Source : http://data.abuledu.org/URI/5116a8e0-wagon-couvert

Wagon couvert

Wagon couvert de type G de la DB (des années 1950) semblable au type 2 UIC mais avec des portes de seulement 1.80 m de large. Un wagon couvert est un type de wagon ferroviaire constitué d'une caisse, généralement en bois, couverte d'un matériau étanche permettant de transporter des marchandises craignant l'eau ou d'une certaine fragilité. Dans certaines circonstances, ces wagons furent amenés à transporter des hommes. Afin de permettre chargements et déchargements, ce type de wagon comporte une ou deux portes de grande largeur par côté. Certains wagons couverts pouvant être intégrés à des trains dits de messageries, ils disposent d'un châssis roulant et des organes de freinage apte à des vitesses pouvant aller jusqu'à 160 km/h. C'est le cas des wagons qui transportèrent pendant de nombreuses années les fruits et légumes du midi jusqu'aux halles parisiennes en formant le « Provence Express ». De nombreux autres wagons qui ont assuré le service des colis (SERNAM) jusque dans les années 1980 étaient aptes aux 120 km/h.

Wagon-tombereau ferroviaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/5116a72e-wagon-tombereau-ferroviaire

Wagon-tombereau ferroviaire

Wagon-tombereau à bogies, utilisé pour le transport de ballast. Malgré leurs diverses spécialités, les wagons-tombereaux sont constitués de la même manière. Outre le châssis et les organes de traction, ils comportent une « caisse » en bois (ou en métal pour la majorité d'entre eux actuellement, d'où leur nom de tombereau). Pour les opérations de manutention, ces wagons sont généralement équipés de portes à double-battant. Les wagons à essieux sont munis d'une porte par face et ceux à bogies, de deux. Tous les tombereaux disposent de crochets permettant de bâcher le wagon ou de fixer un filet. Les marchandises transportées sont assez diverses : de la ferraille aux déchets ménagers en passant par les copeaux de bois. Les wagons-tombereaux sont souvent adaptés à la marchandise transportée. Ainsi, les wagons à ballast, comme sur cette image, sont entièrement métalliques et disposent de renforts. Ils sont également relativement bas. Au contraire, les wagons à sciure sont plus hauts et disposent d'un système de bâchage.