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Dessins et plans | Photographie | Écosystèmes | Écologie | Géographie | Biologie marine | Biosphère | Herbiers | Biologie | Biomes | Posidonies | Étoiles de mer | Réseaux trophiques | Chaînes alimentaires | Botanique | Poséidon | ADN | Hawaii (États-Unis) | Biogéographie | Îles -- Maurice | ...
Carte climatique de l'Australie. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e2aba7-carte-climatique-de-l-australie

Carte climatique de l'Australie

Cartes des zones de climat en Australie. Légende : équatorial, tropical, subtropical, tempéré ; prairie et savane, désert. Territoire du Nord, Quuesland, Australie occidentale et méridionale, Nouvelles Galles du Sud, Victoria, Territoire de la capitale australienne, île de Tasmanie. Huit écozones : 1) Forêt tropicale humide, 2) Forêts tempérées caducifoliées de la Tasmanie (à eucalyptus), 3) Prairies, savanes et brousses tropicales et subtropicales localisées sur les côtes Nord, 4) zones semi-arides : steppes herbacées, savanes et brousses tempérées, 5) Dans le sud et le sud-ouest, forêts, bois et broussailles méditerranéens (proches de la faune du Gondwana), 6) Déserts et broussailles xérophytes, 7) La toundra sur l'île Macquarie, 8) Prairie et broussaille de montagnes.

Carte des écosystèmes d'Hawaï. Source : http://data.abuledu.org/URI/5093a4af-carte-des-ecosystemes-d-hawai

Carte des écosystèmes d'Hawaï

Carte des écosystèmes de l'île de Hawaii : écosystème originel subsistant, écosystème importé (terres transformées par l'activité humaine, viviers, mangrove).

Diatomées vues au microscope. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b7e92d-diatomees-vues-au-microscope

Diatomées vues au microscope

Diatomées, groupe phytoplanctonique le plus répandu. Les Bacillariophyta (diatomées) sont des microalgues unicellulaires planctoniques (de 2 μm à 1 mm) présentes dans tous les milieux aquatiques (avec une préférence pour les eaux froides) et enveloppées par un squelette externe siliceux. Elles peuvent vivre isolées ou en colonie, être libres ou fixées. Les formes pélagiques appartiennent au phytoplancton, les formes benthiques appartiennent au microphytobenthos. Les diatomées sont un constituant majeur du phytoplancton et jouent donc un rôle primordial dans la vie des écosystèmes marins, à l'origine des réseaux alimentaires de nombreuses espèces. Environ 100 000 espèces sont répertoriées, mais elles pourraient être bien plus nombreuses. À l'inverse des écosystèmes terrestres, la productivité des écosystèmes océaniques est principalement assurée par les algues avec une faible contribution des plantes vasculaires. Les algues englobent une grande variété d'organismes allant de simples organismes unicellulaires à des organismes plus complexes comme les macroalgues. Les plantes vasculaires se limitent aux herbiers. La majorité de la productivité océanique est assurée par le phytoplancton. On estime qu'il est à lui seul responsable de 75% de la production primaire océanique3, les autres autotrophes (herbiers et macroalgues) étant souvent limités à des zones restreintes de l'océan : les zones côtières où les eaux sont peu profondes et suffisamment lumineuses.

Écosystème originel de l'île de Hawaï. Source : http://data.abuledu.org/URI/5093a637-ecosysteme-originel-de-l-ile-de-hawai

Écosystème originel de l'île de Hawaï

Carte de l'écosystème originel terrestre et marin de l'île de Hawaï : avant la colonisation humaine se trouvaient une savane aujourd'hui disparue, et une grande forêt de plaine dont il ne subsiste que quelques fragments.

Les moustiques dans la chaîne alimentaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/52991221-les-moustiques-dans-la-chaine-alimentaire

Les moustiques dans la chaîne alimentaire

Schéma de la place des moustiques dans la chaîne alimentaire.

Niveau d'Organisation et d'Intégration du Vivant. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b7f09c-niveau-d-organisation-et-d-integration-du-vivant

Niveau d'Organisation et d'Intégration du Vivant

Graphique représentant les différents niveaux d'organisation ou d'intégration du vivant. Il ne s'agit pas d'une hiérarchie, mais d'une présentation simplifiée, des niveaux étudiés par les biologistes et écologues : biosphère, biomes, paysages, écosystèmes, biocénoses, communautés, populations, individus, organes, cellules, molécules/ADN.

Pyramide écologique. Source : http://data.abuledu.org/URI/588c807f-pyramide-ecologique

Pyramide écologique

Pyramique écologique légendée en anglais

Acanthaser à épines courtes. Source : http://data.abuledu.org/URI/557c7258-acanthaser-a-epines-courtes

Acanthaser à épines courtes

L’acanthaser à épines courtes (Acanthaster brevispinus) est une étoile de mer assez rare, proche parente de la célèbre espèce invasive « couronne d'épines » (Acanthaster planci) dont elle partage parfois le surnom. On la trouve principalement sur la Grande Barrière de corail, mais elle semble exister dans tous les écosystèmes coralliens de l'indo-pacifique. grosse étoile de mer aux couleurs variables avec de nombreux bras, généralement entre 8 et 16 (5 à l'origine). Elle est couverte de petites épines généralement peu pointues, et protégées par des pédicellaires. Le corps est en forme de disque, d'où rayonnent les bras séparés par des traits de couleur claire, et est assez mobile pour pouvoir être préhensile, grâce à de puissants podia. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Acanthaster_brevispinus

Acanthaster pourpre. Source : http://data.abuledu.org/URI/541985e4-acanthaster-pourpre

Acanthaster pourpre

L’acanthaster pourpre (Acanthaster planci) est une espèce d’étoile de mer de couleurs vives, de la famille des Acanthasteridae, espèce nocturne d'étoile de mer se nourrissant des polypes du corail (récemment devenue espèce invasive là où elle a été introduite). On constate que cette espèce progresse sur les récifs exploités, et ne progresse pas ou progresse moins, là où la biodiversité est restée élevée, ou dans les réserves naturelles. Cette espèce carnassière vit dans les écosystèmes coralliens de la zone tropicale du bassin Indo-Pacifique ; elle se nourrit presque exclusivement de corail. De dimensions imposantes, de couleurs et de morphologie variables, elle est dotée de piquants dont le venin, qui provoque la nécrose des tissus, est toxique pour un grand nombre d’espèces, l’homme y compris, ce qui lui fait craindre peu de prédateurs. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Acanthaster_planci

Ascension au Mont Ventoux 1. Source : http://data.abuledu.org/URI/520cbfaa-ascension-au-mont-ventoux-1

Ascension au Mont Ventoux 1

Une ascension au Mont Ventoux (1), Souvenirs entomologiques – Première série, Jean-Henri Fabre (1823-1915), Chapitre XIII : notion d'étagement de la végétation selon l'altitude. (261 mots, description).

Barrière dunaire à Cape Cod. Source : http://data.abuledu.org/URI/5484309b-barriere-dunaire-a-cape-cod

Barrière dunaire à Cape Cod

Barrière dunaire pour freiner l'érosion marine de la presqu'île, Sandy Neck Beach, West Barnstable, Mass.

Cartographie forestière. Source : http://data.abuledu.org/URI/513a1f80-cartographie-forestiere

Cartographie forestière

Transect dans une forêt mesuré par la technologie "Field-Map": Field-Map est une technologie utilisée pour la cartographie, collecte et le traitement des données de terrain. Il est principalement utilisé pour la cartographie des écosystèmes forestiers en temps réel et la collecte des données lors des examens sur le terrain. L'application travaille avec la base de données relationnelle multi-niveaux et fournit également une bonne communication avec des périphériques externes tels que le GPS, le télémètre laser et l'inclinomètre. Le transect (diagramme en profil) est une ligne virtuelle qui montre le profil du terrain ainsi que les profils des arbres et couronnes.

Côte du Danemark. Source : http://data.abuledu.org/URI/582cc3d3-cote-du-danemark

Côte du Danemark

Côte du Danemark à Nørre Vorupør.

Enjeux du Développement Durable. Source : http://data.abuledu.org/URI/506a2749-enjeux-du-developpement-durable

Enjeux du Développement Durable

Représentation graphique très visuelle des interrelations entre domaines (ou enjeux) du développement durable : ACTIONS, RESSOURCES, OBJECTIFS. Ce diagramme décrit la nécessité de gérer, restaurer et protéger des ressources vitales (eau, air, sol, produites ou entretenues par la biodiversité via les écosystèmes, et qui sont des ressources pas, peu, difficilement, coûteusement ou lentement renouvelables), ceci pour des objectifs qui sont à la fois sociaux, économiques et donc environnementaux. Les intersections entre les sphères ou groupes de sphères représentent les interfaces deux à deux, ou trois à trois des items de base. Ce type de représentation permet de garder une vue globale d'un problème (une étude d'impact, un projet, un agenda 21, une situation individuelle ou collective, etc.) et peut -pour partie - servir de "check list" dans l'exploration d'un problème avec une approche écosystémique ou systémique. Autre avantage, ce diagramme est facile à mémoriser.

Érosion éolienne et hydrique dans l'île Maurice. Source : http://data.abuledu.org/URI/509552dc-erosion-eolienne-et-hydrique-dans-l-ile-maurice

Érosion éolienne et hydrique dans l'île Maurice

Phénomène d'érosion éolienne et hydrique sur sol dévégétalisé, Ile Maurice (Colline, Chamarel). Dans la zone intertropicale, l'altération des roches feldspathiques par lessivage permet la formation de latérites, roches rouges ou brunes constituées d'hydroxydes d'aluminium et de fer et qui forment une véritable cuirasse à la surface des plateaux des régions chaudes et humides. L'érosion éolienne attaque les roches en enlevant des particules (déflation,abrasion) ou en polissant la surface. Elle est d'autant plus efficace que les obstacles sont inexistants et que le vent est puissant, régulier et chargé de poussières. Elle conduit à une dégradation environnementale sévère par l’appauvrissement des sols et le déplacement de volumes élevés de particules par le vent. L’érosion éolienne est le principal facteur physique d’épuisement des terres agricoles et, par l’ensablement, constitue une des gênes majeures dans les aires urbaines et oasiennes des écosystèmes secs.

Falaise d'Heligoland. Source : http://data.abuledu.org/URI/58ced312-falaise-d-heligoland

Falaise d'Heligoland

Falaise d'Heligoland, Allemagne.

Forêt de bambous à Taïwan. Source : http://data.abuledu.org/URI/513af3ef-foret-de-bambous-a-taiwan

Forêt de bambous à Taïwan

Forêt de bambous près de Shizhuo (Comté de Shiayi à Taïwan). Cette île est située au sud-est de la Chine continentale, au sud du Japon et au nord des Philippines, et bordée à l’est par l’océan Pacifique, au sud par la mer de Chine méridionale, à l’ouest par le détroit de Taïwan et au nord par la mer de Chine orientale. Elle sera longtemps connue en français sous le nom de Formose et Formosa dans la majorité des autres langues européennes (ceci durant toute la période antérieure aux années 1960), puisque les marins portugais l’appelaient Ilha Formosa, la « belle île ». Le bambou est une graminée ligneuse. Il peut fixer 30 % de plus de CO2 que les arbres feuillus, jusqu'à 12 tonnes de CO2/ha/an (3 tonnes pour une forêt de feuillus). Il libère donc 30 % d'oxygène de plus que des arbres. L'étroitesse de ses feuilles améliore l'infiltration de l'eau dans le sol (deux fois plus qu'une forêt de feuillus). Il limite l'érosion des sols (grâce à son réseau racinaire très dense sur 60 centimètres de profondeur) et restaure des sols appauvris. On l'utilise pour l’élimination de certaines toxines du sol (phyto-remédiation), et sa culture ne nécessite peu ou pas d'engrais, ni de produits phytosanitaires. Mais les bambous sont répertoriés parmi les espèces invasives. Certaines espèces, par leurs aptitudes à s'étendre via leurs rhizomes, peuvent porter un réel préjudice à la biodiversité des écosystèmes, à l'échelle locale. Le tronc du bambou est utilisé pour sa résistance et sa légèreté pour les échafaudages des gratte-ciel. Parmi les dix plus hauts du monde, ceux du Two International Finance Center (416 m) et Central Plaza (374 m) de Hong Kong, la Jin Mao Tower (421 m) de Shanghai, le Shun Hing Square (384 m) Shenzhen ou le Citic Plaza (391 m) de Guangzhou (Canton), en Chine, ont notamment utilisé ce matériau.

Herbier de posidonies en méditerranée. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e46a05-herbier-de-posidonies-en-mediterranee

Herbier de posidonies en méditerranée

Herbier de posidonies (Posidonia oceanica) en Méditerranée. Les posidonies (du genre Posidonia) sont des plantes aquatiques de la famille des Posidoniaceae. Bien qu'elles vivent sous l'eau, ce ne sont pas des algues, mais des plantes à fleurs (angiospermes) monocotylédones sous-marines. Comme toutes les plantes à fleurs, elles ont des racines, et se reproduisent grâce aux fruits qu'elles produisent. Dans les eaux moins chaudes de l'Atlantique nord européen elles sont remplacées par les zostères qui constituent des herbiers jouant les mêmes fonctions écologiques. Le nom générique "Posidonia" dérive de "Poséidon" (dieu des Mers et des Océans dans la mythologie grecque). Les fibres des feuilles de posidonies, difficilement dégradables, sont rassemblées par les mouvements de la mer en boule feutrées, appelées aégagropiles, souvent rejetées sur les plages de Méditerranée. Les herbiers qu'elle forme sont des lieux de frayère et de nurserie pour de nombreuses espèces animales. Elle constitue également une source de nourriture, parfois importante, pour certaines espèces herbivores (oursins, saupes, etc.). Une partie de la production de feuilles d'un herbier va se retrouver exportée, sous forme de litière, vers d'autres écosystèmes éloignés (plage, canyon sous-marin,...) où elle constituera une source de carbone importante pour le fonctionnement de ces écosystèmes. Elle permet de fixer les fonds marins grâce à l'entrelacement de ses rhizomes. Ceux-ci s'empilent d'une année sur l'autre, contribuant à augmenter progressivement le niveau du fond (environ un mètre par siècle. Elle « piège » des particules en suspension et du sédiment, contribuant ainsi au maintien de la clarté des eaux. Les herbiers à Posidonia oceanica sont considérés comme des formations essentielles dans le stockage du carbone atmosphérique et l'oxygénation du milieu.

Le réseau trophique dans la chaîne alimentaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b7e29b-le-reseau-trophique-dans-la-chaine-alimentaire

Le réseau trophique dans la chaîne alimentaire

Principes des flux et "pertes" d'énergie dans le réseau trophique (chaîne alimentaire). En écologie, le niveau trophique est le rang qu'occupe un être vivant dans un réseau trophique. Il se mesure en quelque sorte par la distance qui sépare cet être du niveau basique qui est celui de la production primaire autotrophe. Au dessus de ce niveau de base, chaque maillon (ou étage) d'une chaîne alimentaire correspond à un niveau trophique. C'est un concept théorique de l'Écologie qui permet de mieux cerner ou expliquer certaines relations entre espèces (relations prédateur-proie notamment), les cycles et flux d'énergie et de nutriments dans les écosystèmes, les réseaux trophiques ainsi que les phénomènes de bioconcentration dans la pyramide alimentaire, qui ont une grande importance en écotoxicologie.

Le vivant et la biodiversité. Source : http://data.abuledu.org/URI/588ca1ee-le-vivant-et-la-biodiversite

Le vivant et la biodiversité

Graphique représentant les différents niveaux d'organisation ou d'intégration du Vivant et de la Biodiversité. Il ne s'agit pas d'une hiérarchie, mais d'une présentation simplifiée des niveaux étudiés par les biologistes et écologues : ADN, cellules, organes, individus, populations, communautés, biocénoses, écosystèmes, paysages, biomes, biosphère.

Les 5 Piliers de la 3ème Révolution industrielle selon J. Rifkin. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cb2cd4-les-5-piliers-de-la-3eme-revolution-industrielle-selon-j-rifkin

Les 5 Piliers de la 3ème Révolution industrielle selon J. Rifkin

Les 5 piliers nécessaires à la troisième révolution industrielle telle que présentée dans le projet de Jeremy Rifkin. Pour lui ces 5 piliers sont également indispensables et doivent être mis en œuvre ensemble. Un défaillance ou un retard de l'un des piliers empêcherait le développement des autres. L’expression « troisième révolution industrielle » (TRI), popularisée par Jeremy Rifkin désigne une nouvelle révolution industrielle et économique, peut-être déjà entamée. Elle est fondée sur une production d'énergie non plus « centralisée », mais « distribuée », l'énergie circulant dans le réseau de manière « intelligente », un peu comme l'information circule dans l'Internet. Des prospectivistes tels que J. Rifkin la jugent nécessaire et urgente pour notamment répondre à la diminution de la production de pétrole et pour une transition vers un développement plus soutenable nécessitant une « économie décarbonée » (produisant moins de gaz à effet de serre). L'enjeu est aussi la survie des écosystèmes et donc de l'humanité qui en dépend et Rifkin ne voit pas de « Plan B ». Elle a été récemment rendue possible par les progrès des Nouvelles technologies de l'information et de la communication (NTIC) mais reste à mettre en œuvre. En 2007, le Parlement européen a officiellement adopté cette vision. Ces 5 piliers sont : 1) La transition d'un régime d'énergies carbonées ou nucléaire vers les énergies renouvelables. 2) Reconfigurer les infrastructures et bâtiments (180 millions de bâtiments rien qu'en Europe) en mini-centrales électriques collectant in situ des énergies renouvelables ; au profit d’une production décentralisée d’énergies, proche des endroits où on en a besoin. 3) « installer dans chaque bâtiment et dans toute infrastructure de la société des technologies de l'hydrogène et d'autres moyens de stockage pour conserver l'énergie renouvelable intermittente et garantir la satisfaction de la demande par une offre fiable et continue d'électricité verte ». 4) le développement de "Smart grids" et "intergrids" grâce à une technologie inspirée d’Internet connectant les réseaux énergétiques et électriques (devenus bi-directionnels) en un réseau unique et intelligent. Le réseau électrique sera son propre réseau informationnel. Ceci implique que toutes les mini-centrales de productions d'énergie soient équipés d'un module électronique dans un esprit d'interopérabilité. 5) la transition des flottes de transport vers des véhicules hybrides ou à pile à combustible, pour tous les véhicules motorisés, chaque véhicule pouvant acheter et vendre de l'électricité en se connectant au réseau Smart grid. Ce réseau est continental et marin (hydrogène ou électricité produits par les éoliennes offshore eténergies marines. Il est ouvert et interactif ; chaque batterie ou réservoir d’hydrogène de véhicule ou navire y joue aussi potentiellement : 1) un rôle de réservoir « tampon » du réseau, et 2) un rôle de transporteur d'énergie. Tout véhicule connectable peut - selon les moments - prélever de l'énergie dans le réseau, ou lui en fournir (à partir de ses réserves inutilisées et/ou à partir de modules photovoltaïques.

Morse. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fe96f0-morse

Morse

Le morse est parfaitement reconnaissable à ses défenses, ses moustaches drues et son allure massive. Les mâles adultes du Pacifique peuvent peser jusqu'à deux tonnes et, parmi les membres de l'ancien sous-ordre des pinnipèdes, l'espèce n'est dépassée en taille que par les éléphants de mer. Le morse vit principalement dans les eaux peu profondes des plateaux continentaux, passant une part importante de son existence sur les blocs de glace ou les icebergs dérivant en mer. De ces plates-formes, il part à la recherche de sa nourriture de prédilection, les mollusques bivalves du benthos. C'est un animal sociable, à l'espérance de vie d'environ 40 ans, et considéré comme une espèce clé des écosystèmes marins de l'Arctique.

Plage à posidonies de Macinaggio. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d207a1-plage-a-posidonies-de-macinaggio

Plage à posidonies de Macinaggio

Macinaggio, marine de Rogliano, plage avec dépot de posidonies. Tirant son nom du dieu de la mer grec Poséidon, elle joue plusieurs rôles fondamentaux pour le milieu marin littoral. Les herbiers qu'elle forme sont des lieux de frayère et de nurserie pour de nombreuses espèces animales. Elle constitue également une source de nourriture, parfois importante, pour certaines espèces herbivores (oursins, saupes, etc.). Une partie de la production de feuilles d'un herbier va se retrouver exportée, sous forme de litière, vers d'autres écosystèmes éloignés (plage, canyon sous-marin,...) où elle constituera une source de carbone importante pour le fonctionnement de ces écosystèmes. Elle permet de fixer les fonds marins grâce à l'entrelacement de ses rhizomes. Ceux-ci s'empilent d'une année sur l'autre, contribuant à augmenter progressivement le niveau du fond (environ un mètre par siècle. Elle « piège » des particules en suspension et du sédiment, contribuant ainsi au maintien de la clarté des eaux. Les herbiers à Posidonia oceanica sont considérés comme des formations essentielles dans le stockage du carbone atmosphérique et l'oxygénation du milieu. Lorsque les herbiers de posidonie se développent au fond de criques de très faible profondeur, les plantes affleurent la surface et peuvent créer un récif barrière, par analogie aux récifs coralliens, contribuant à la formation d'un biotope particulier.

Producteurs primaires terrestres et océaniques. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b7e7c5-producteurs-primaires-terrestres-et-oceaniques

Producteurs primaires terrestres et océaniques

Répartition des producteurs primaires terrestres (de vert à marron) et océaniques (de bleu à violet), de Septembre 1997 au mois d'Août 2000. Estimée en tant que biomasse autotrophe, c'est un indicateur approximatif de la production primaire potentielle. Issu du projet SeaWiFS, de la NASA/Goddard Space Flight Center et de ORBIMAGE. La productivité primaire traduit la vitesse à laquelle se forme par unité de temps, une quantité donnée de matière organique à partir de matière minérale et d'un apport d'énergie. C'est un flux exprimé en masse de carbone assimilé par unité de temps1. Cette production de matière organique s'effectue principalement grâce à la photosynthèse (la chimiosynthèse étant beaucoup moins répandue). Dans un écosystème, la productivité primaire est réalisée par les producteurs primaires également appelés autotrophes. Il s'agit du premier maillon d'une chaine alimentaire dans un réseau trophique. Les producteurs primaires sont principalement des plantes dans les écosystèmes terrestres et des algues dans les écosystèmes aquatiques. On appelle production primaire l'énergie qui est accumulée par la productivité primaire.

Réseau trophique en eaux côtières. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f9d814-reseau-trophique-en-eaux-cotieres

Réseau trophique en eaux côtières

Réseau trophique en eaux côtières. Un réseau trophique (ou chaîne tropho-dynamique) se définit comme un ensemble de chaînes alimentaires reliées entre elles au sein d'un écosystème et par lesquelles l'énergie et la matière circulent (échanges d'éléments tel que le flux de carbone et d'azote entre les différents niveaux de la chaîne alimentaire, échange de carbone entre les végétaux autotrophes et les hétérotrophes). Le terme trophique se rapporte à tout ce qui est relatif à la nutrition d'un tissu vivant ou d'un organe. Par exemple, une relation trophique est le lien qui unit le prédateur et sa proie dans un écosystème. Dans un écosystème, la structure des réseaux trophiques (les types et réseaux de relations alimentaires entre organismes) influence fortement la quantité, la diversité, la stabilité et la qualité de la biomasse et de la matière organique résiduelle (excrétions, nécromasse) produites par les écosystèmes. La qualité d'un réseau trophique et de ses interactions a un lien direct avec la stabilité et résilience des populations qui en font partie.

Variétés de vers annélides sous-marins. Source : http://data.abuledu.org/URI/530dcd03-varietes-de-vers-annelides-sous-marins

Variétés de vers annélides sous-marins

Variétés de vers sous-marins par le botaniste allemand Matthias Jacob Schleiden (1804-1881). Les polychètes (Polychaeta) sont les vers annélides comportant le plus grand nombre d'espèces, soit plus de 10 000. Ce sont des animaux essentiellement marins ou estuariens. On les a divisés en deux groupes : 1) les Sédentaires (fixés au substrat). Les polychètes sédentaires sont principalement tubicoles ; 2) les Errants (capables de mouvements et donc, de se déplacer). Les polychètes errants, comme le genre Nereis, sont des prédateurs munis de mâchoires ou de dents plus ou moins visibles et marquées. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Polychaeta.

Volcan Dallol en Ethiopie. Source : http://data.abuledu.org/URI/553654e7-dallol

Volcan Dallol en Ethiopie

Volcan Dallol, flaque d'acide et formation de sel, soufre et autres minéraux. Zone saline dans le désert de la dépression du Danakil en Ethiopie.

Zones de vie. Source : http://data.abuledu.org/URI/51ca2068-zones-de-vie-

Zones de vie

Zones de vie holdridgiennes (classement des années 50), classées selon l'influence combinée des facteurs géographiques climatiques sur les écosystèmes (en réalité les écosystèmes influent aussi rétroactivement sur le climat et produisent du relief, sur le très long terme).