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Photographie, Ardoise, Carrières (exploitations minières), Carrières d'ardoise, Trélazé (Maine-et-Loire)
Ancienne carrière d'ardoise de Trelazé, visite du 18 février 2017.
Photographie, Ardoise, Carrières (exploitations minières), Carrières d'ardoise, Vieux métiers, Trélazé (Maine-et-Loire)
Espaces extérieurs du musée de l'ardoise de Trélazé (Maine-et-Loire, France), entre la maison de l'Union et l'aire de démonstration.
Photographie, Ethnologie -- Musées, Carrières (exploitations minières), Lordat (Ariège), Talc, Eugène Trutat (1840-1910), Télébennes
Benne de la carrière de talc de Luzenac en 1900, par Eugène Trutat (1840-1910). Source : Bibliothèque de Toulouse.
Ouvrier forant des trous dans une carrière de gabbro pour détacher un bloc. Il peut être utilisé comme source de métaux, pierre de taille. Son utilisation dans les brises-lames semble offrir de meilleurs résultats pour la recolonisation du substrat par les coraux que le béton.
Carrière de talc à ciel ouvert de Trimouns, Luzenac, France : La carrière de talc de Trimouns est située sur le massif de Tabe (ou massif du saint Barthélémy) dans le département de l'Ariège, en région Midi-Pyrénées (France), et est partagée entre les territoires des communes de Lordat, Vernaux et Bestiac. De la carrière est tiré le talc de Luzenac, l'usine de transformation se trouvant sur cette commune. C'est l'une des plus importantes carrières de talc du monde, assurant 8 % de la production mondiale. Le nom de Trimouns vient de l'occitan Tres monts (« Trois monts ») et désigne les trois sommets présents sur le site avant l'exploitation industrielle du minerai de talc.
Photographie, Cathédrales, Contreforts, Carrières (exploitations minières), Art chrétien (Moyen âge), Architecture, Ressources minérales, Paris (France) -- Notre-Dame de Paris
Matériaux utilisés pour la construction de Notre Dame de Paris : "À l'inspection des monuments élevés pendant le moyen âge, il est aisé de reconnaître qu'alors, plus encore que pendant la période gallo-romaine, on exploitait une quantité considérable de carrières qui depuis ont été abandonnées, qu'on savait employer les pierres exploitées en raison de leur qualité, mais avec une économie scrupuleuse ; c'est-à-dire qu'on ne plaçait pas dans un parement, par exemple, une pierre de qualité supérieure convenable pour faire des colonnes monolithes, des corniches, des chéneaux ou des meneaux. Ce fait est remarquable dans un de nos édifices bâti avec un luxe de matériaux exceptionnel: nous voulons parler de la cathédrale de Paris. Là les constructeurs ont procédé avec autant de soin que d'économie dans l'emploi des matériaux. Les pierres employées dans la cathédrale de Paris proviennent toutes des riches carrières qui existaient autrefois sous la butte Saint-Jacques, et qui s'étendent sous la plaine de Montrouge jusqu'à Bagneux et Arcueil. La façade est entièrement construite en roche et en haut banc pour les parements, en liais tendre pour les grandes sculptures (banc qui avait jusqu'à 0m,90 de hauteur) et en cliquart pour les larmiers, chéneaux, colonnettes (banc de 0m,45 de hauteur au plus). Le liais tendre des carrières Saint-Jacques se comporte bien en délit, aussi est-ce avec ces pierres qu'ont été faites les arcatures à jour de la grande galerie sous les tours. Les cliquarts ont donné des matériaux incomparables pour la rose et pour les grandes colonnettes de la galerie, ainsi que pour tous les larmiers des terrasses. Parmi ces matériaux, on rencontre aussi dans les parements et pour les couronnements des contre-forts des tours l'ancien banc royal de Bagneux, qui porte 0m,70, et le gros banc de Montrouge, qui porte 0m,65 : ces dernières pierres se sont admirablement conservées. Dans les fondations, nous avons reconnu l'emploi des lambourdes de la plaine, et surtout de la lambourde dite ferme, qui porte jusqu'à un mètre ; quelquefois, mais rarement, du banc vert." Eugène Viollet-le-Duc. "Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle".
Photographie, Pyrite, Géographie, Carrières (exploitations minières), Chimie, Lordat (Ariège), Talc, Pyrite -- Gisements
Cristaux de Pyrite de la mine de talc de Trimouns à Luzenac dans l'Ariège.
Photographie, Dolomite, Géographie, Carrières (exploitations minières), Chimie, Lordat (Ariège), Talc
Dolomite (en haut à gauche) et Talc (en bas au centre) de la carrière de talc de Trimouns, Luzenac, Ariège, Midi-Pyrénées (10x6.2cm).
Photographie, Ardoise, Carrières (exploitations minières), Carrières d'ardoise, Vieux métiers, Friches industrielles, Trélazé (Maine-et-Loire)
Site ardoisier autour de la Maison de l'Union, musée de l'ardoise de Trélazé (Maine-et-Loire, France). Friche industrielle composée de buttes de déchets ardoisiers et de vieux fonds.
Grottes de sables de Piusa dans le sud de l'Estonie, septembre 2011.
Peinture, Carrières (exploitations minières), Paris (France) -- Quartier Montmartre, Vincent van Gogh (1853-1890)
Les carrières de Montmartre en 1887, par Vincent Van Gogh (1853-1890).
Photographie, Marbre, Colonnes, Roches métamorphiques, Carrières (exploitations minières), Chlorites, Épidotes, Eubée (Grèce)
Fût d’une colonne en marbre cipolin, conservé à la Basilique de Massenzio au Forum Romain, à Rome. Le marbre cipolin est une variété de marbre utilisée par les Romains. Le nom moderne correspond en latin à "marmor carystium" (c.à.d. « marbre de Karystos »). Il était extrait de nombreuses carrières situées sur la côte sud-occidentale de l'île d’Eubée, en Grèce, entre l’actuelle cité de Styra et Karystos. Certaines de ces carrières antiques conservent des cavités d’extraction longues de plus de 100 m. Il s'agit d'un marbre avec un fond blanc-vert, parcouru par d’épaisses nervures ondulées vert, tendant au bleuté et traversé par d'épaisses couches de mica. La couleur de fond des veines a tendance à s'assombrir en fonction de la situation géographique de la carrière d'origine du sud au nord. Du point de vue pétrographique, c’est une roche métamorphique, marbre saccharoïde cristalline (cristaux entre 0,2 et 0,6 mm), avec des stries colorées par l’épidote et la chlorite.
Photographie, Ardoise, Carrières (exploitations minières), Carrières d'ardoise, Vieux métiers, Trélazé (Maine-et-Loire)
Mobilier industriel du musée de l'ardoise de Trélazé.
Plouguerneau : paysage de l'Île Vierge (ancienne carrière ayant servi pour la construction du grand phare).
Photographie, Géographie, Carrières (exploitations minières), Chlorites, Chimie, Cristallographie, Lordat (Ariège), Macles (cristallographie), Rutile
Rutile (macle en genou) et Clinochlore : Mine de talc de Trimouns à Luzenac, Ariège, Midi-Pyrénées.
Photographie, Physique, Carrières (exploitations minières), Treuils, Ardoisières, Carrières d'ardoise, Galles (GB), Pays de
Abri aménagé pour les tambours de treuil d'ardoisière à Dinorwig (Pays de Galles). Au XIXème siècle, les carrières de Caernarfon s'industrialisent : en 1870, De Winton à la carrière de Dinorwig.
Téléphérique transportant le talc depuis les carrières vers l'usine de Luzenac dans la vallée (Ariège).
Photographie, Cheval, Physique, Chevaux de travail, Dix-neuvième siècle, Carrières (exploitations minières), Treuils, Carrières, Carrières souterraines (exploitations minières), Traction animale, Cheval domestique, Cheval -- Utilisation
Treuil de carrière à traction animale utilisé au XIXème siècle à Châtillon (Hauts-de-Seine, France) dans la carrière souterraine d'Auboin (quartier des Boulottes) : restauration à l'occasion des journées du patrimoine 2009. Ce treuil à manège avait été construit à l'aplomb du puits d’une carrière de pierre calcaire souterraine située à 35 mètres de profondeur. Actionné par un cheval de trait, il permettait de hisser à la surface des blocs de pierre de plusieurs tonnes. Il a été arrêté au début du XXe siècle. Une association membre de l'union Rempart l'a restauré à partir de 1983. Des démonstrations de son fonctionnement sont organisées chaque année lors des Journées européennes du patrimoine.