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Nuage de mots clés

Botanique | Photographie | Printemps | Peinture | Plantes de jardins | Arbres | Fleurs | Dessins et plans | Aquarellistes | Aquarelles | Fleurs dans l'art | Jules Eudes (1856-1938) | Flore | Sapins | hiver | Jardins botaniques | Saxifrages | Séneçons | Arbres remarquables par leur histoire | Séquoias | ...
Salicorne en Bretagne. Source : http://data.abuledu.org/URI/5412f933-salicorne-en-bretagne

Salicorne en Bretagne

Salicorne (Salicornia europea) dans le nord Finistère.

Salicornes sur le littoral. Source : http://data.abuledu.org/URI/5412f9cd-salicornes-sur-le-littoral

Salicornes sur le littoral

Salicornes (Salicornia europaea) en bord de mer.

Sanguinaires du Canada. Source : http://data.abuledu.org/URI/53adbb87-sanguinaires-du-canada

Sanguinaires du Canada

Sanguinaires du Canada, Jules Eudes (1856-1938), aquarelliste français qui signait ses œuvres JEUDES, dans : A. Guillaumin, "Les Fleurs de Jardins", tome I, Les fleurs de printemps, Paul Lechevalier, 1929.

Sapin rouge. Source : http://data.abuledu.org/URI/536bb73e-sapin-rouge

Sapin rouge

Sapin rouge (Abies magnifica). Il s'agit d'un arbre à feuilles persistantes qui s'élève à 40/60 mètres de hauteur et dont le tronc mesure environ deux mètres de diamètre. Les individus les plus grands mesurent jusqu'à 76 mètres. Les aiguilles mesurent 2 à 3,5 cm de long. Les cônes poussent verticalement et mesurent entre 9 et 21 cm. Le sapin rouge pousse dans les milieux de haute altitude, généralement entre 1400 et 2700 mètres. Son nom provient de la couleur que prend le tronc lorsque l'arbre vieillit. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Sapin_rouge

Sapin sous la neige. Source : http://data.abuledu.org/URI/536bbeb9-sapin-sous-la-neige

Sapin sous la neige

Sapin (Abies alba) sous la neige en Corse.

Sapins chinois dans le brouillard. Source : http://data.abuledu.org/URI/536bb654-sapins-chinois-dans-le-brouillard

Sapins chinois dans le brouillard

Sapins (Abies fabri), près du temple de Jieyindian, Emei Shan, Sichuan, Chine. Cet arbre à croissance lente mesure de 20 à 35 mètres de hauteur dans son habitat naturel. Son tronc est gris foncé. Ses aiguilles sont de couleur verte et brillantes. Ses inflorescences solitaires sont en forme de pignes terminales et dressées qui fructifient en cônes cylindriques de 10 à 20 cm de longueur et de 3 à 5 cm de largeur. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Abies_forrestii

Sarrasin au temps de la récolte. Source : http://data.abuledu.org/URI/54ba934f-sarrasin-au-temps-de-la-recolte

Sarrasin au temps de la récolte

Sarrasin mûr (Fagopyrum esculentum) prêt à être récolté.

Sarrasin dans le jardin botanique de Prague. Source : http://data.abuledu.org/URI/54ba90ec-sarrasin-dans-le-jardin-botanique-de-prague

Sarrasin dans le jardin botanique de Prague

Plants de sarrasin (Fagopyrum esculentum) dans le jardin botanique de Prague, Charles University, en République tchèque.

Sauge des prés. Source : http://data.abuledu.org/URI/5071d048-sauge-des-pres

Sauge des prés

Planche botanique N°260 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, 1894 : Sauge des prés (Salvia pratensis). Elle est commune dans les prairies en terrain calcaire. C'est une plante ornementale vendue comme vivace ou en bouquets.

Sauge officinale. Source : http://data.abuledu.org/URI/51b5cd62-sauge-officinale

Sauge officinale

Sauge officinale en fleur, pollinisée par un Gazé (Piéride de l'aubépine, Aporia crataegi). Juin 2013, Lot.

Saule au printemps. Source : http://data.abuledu.org/URI/590981b0-saule-au-printemps

Saule au printemps

Saule au printemps, 09-04-2013.

Saules en hiver. Source : http://data.abuledu.org/URI/5907a504-saules-en-hiver

Saules en hiver

Saules en hiver, 09-12-2013.

Saxifrages. Source : http://data.abuledu.org/URI/53adbd6c-saxifrages

Saxifrages

Saxifrages, Jules Eudes (1856-1938), aquarelliste français qui signait ses œuvres JEUDES, dans : A. Guillaumin, "Les Fleurs de Jardins", tome I, Les fleurs de printemps, Paul Lechevalier, 1929.

Saxifrages en fleurs. Source : http://data.abuledu.org/URI/54b2d034-saxifrages-en-fleurs

Saxifrages en fleurs

Fleurs de saxifrages (Saxifraga × arendsii). Le mot saxifrage vient du latin saxum, le rocher et frangere, briser. Ces plantes rupicoles sont en effet connues pour leur capacité à s'installer dans des fissures de rochers. Elles se font d'ailleurs parfois appeler Casse-pierre ou Perce-pierre. Elles produisent des fleurs étoilées.

Saxifrages en pot. Source : http://data.abuledu.org/URI/54b2d113-saxifrages-en-pot

Saxifrages en pot

Saxifrages en pot.

Scarabée sur fleur de mors du diable. Source : http://data.abuledu.org/URI/58a0bde8-scarabee-sur-fleur-de-mors-du-diable

Scarabée sur fleur de mors du diable

Scarabée (Trichius fasciatus) sur fleur de mors du diable (Succisa pratensis).

Schéma d'un grain du maïs. Source : http://data.abuledu.org/URI/5288c5d1-schema-d-un-grain-du-mais

Schéma d'un grain du maïs

Schéma d'un grain de maïs : 1-Embryon, 2-Albumen (Amidon farineux), 3-Couche à aleurone (amidon corné ou vitreux), 4-péricarpe, 5-zone de transfert. Le grain de maïs est en fait un caryopse, formé de trois parties d’origines différentes : 1) l’embryon, couramment appelé « germe », situé à la base du grain qui comprend l’embryon proprement dit ou « gemmule » et le scutellum, c’est-à-dire le cotylédon, organe de réserve dans lequel la plantule puise son énergie initiale ; l’embryon est issu de l’œuf formé à la suite de la fusion du noyau d’un spermatozoïde et de l’oosphère, il est diploïde ; 2) l’albumen, tissu de réserve (blanc ou jaune), essentiellement composé de grains d’amidon, sauf la couche périphérique située sous le péricarpe qui contient des grains d’aleurone (incolore, rouge ou violet) riches en protéines ; ce tissu est issu de la fusion du noyau d’un spermatozoïde et des deux noyaux de la cellule centrale, c’est donc un tissu triploïde (à 3n chromosomes) ; 4) l’enveloppe extérieure, fine membrane (incolore, rouge ou violette) translucide et fibreuse, issue du péricarpe de l’ovaire (donc en réalité une partie du fruit et non pas de la graine).

Schéma de fleur. Source : http://data.abuledu.org/URI/50df6b49-schema-de-fleur

Schéma de fleur

Schéma théorique d'une fleur : 1. Réceptacle floral, 2. Sépale, 3. Pétale, 4. Étamine, 5. Pistil ou gynécée.

Schéma de fleur épanouie. Source : http://data.abuledu.org/URI/52913265-schema-de-fleur-epanouie

Schéma de fleur épanouie

Schéma de fleur épanouie, légendé en français.

Schéma non légendé de fleur épanouie. Source : http://data.abuledu.org/URI/529132ab-schema-non-legende-de-fleur-epanouie

Schéma non légendé de fleur épanouie

Schéma non légendé de fleur épanouie.

Scilles de jardins. Source : http://data.abuledu.org/URI/53adbde5-scilles-de-jardins

Scilles de jardins

Scilles, Jules Eudes (1856-1938), aquarelliste français qui signait ses œuvres JEUDES, dans : A. Guillaumin, "Les Fleurs de Jardins", tome I, Les fleurs de printemps, Paul Lechevalier, 1929.

Semis de maïs. Source : http://data.abuledu.org/URI/5288c9e5-semis-de-mais

Semis de maïs

Semis de maïs Subito. Le semis se fait à l’aide de semoirs de précision, permettant de contrôler tant la profondeur (3 à 5 cm), l’écartement des lignes que la densité sur les lignes. L'implantation optimale pour les cultivars de maïs cornés modernes (grains et fourrage) est composée de rangs espacés de 75 cm (pour un bon ensoleillement) avec un plant tous les 13 cm (pour une bonne irrigation et un bon développement racinaire) soit 102 500 plants/hectare. On obtient ainsi de beaux épis, peu de verse et une bonne tolérance à la sécheresse. Plus on augmente la densité du semis, plus les plants sont grands mais avec une tige plus fine et de plus petits épis plus ou moins développés.

Séneçon cinéraire. Source : http://data.abuledu.org/URI/549fcc3a-senecon-cineraire

Séneçon cinéraire

Séneçon cinéraire (Jacobaea maritima).

Séneçon cinéraire corse. Source : http://data.abuledu.org/URI/549fd405-senecon-cineraire-corse

Séneçon cinéraire corse

Séneçon cinéraire (Senecio cineraria), Calvi, Corse. La cinéraire maritime est une plante à port buissonnant, très ramifié, pouvant atteindre 1 mètre de hauteur. Ses feuilles sont lobées à profondes échancrures, couvertes d'un fin duvet blanc lui donnant une apparence argentée au soleil. Sa brève floraison est constituée de groupes de petits capitules jaunes vifs. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/S%C3%A9ne%C3%A7on_cin%C3%A9raire

Séneçon cinéraire en fleurs. Source : http://data.abuledu.org/URI/549fcd13-senecon-cineraire-en-fleurs

Séneçon cinéraire en fleurs

Séneçon cinéraire en fleurs. Sa brève floraison est constituée de groupes de petits capitules jaunes vifs.

Séquoia d'Ottrott. Source : http://data.abuledu.org/URI/5312683d-sequoia-d-ottrott

Séquoia d'Ottrott

Séquoia du parc des Frères de la Charité du Windeck à Ottrott (Bas-Rhin), le deuxième plus gros arbre d'Alsace avec plus de 10 m de tour de tronc à 1,50 m du sol.

Sequoia géant. Source : http://data.abuledu.org/URI/53126a5e-sequoia-geant

Sequoia géant

Sequoia géant (Sequoiadendron giganteum) au Tyler Arboretum : Media, comté du Delaware, Pennsylvanie (USA).

Séquoia géant. Source : http://data.abuledu.org/URI/53943f14-sequoia-geant

Séquoia géant

Séquoia géant (Sequoiadendron giganteum) au Jardin du Pré-Catelan, Bois de Boulogne. Le chef indien Sequoyah le Cherokee, de son véritable nom George Guess, inventeur de l'alphabet cherokee, a donné son nom à l'arbre en raison de sa force et de sa persévérance. Cette dédicace fut faite par le botaniste autrichien Stephan Ladislaus Endlicher. Le Séquoia géant n'est pas l'arbre le plus haut ni le plus large du monde. Il est tout simplement le plus volumineux de la planète. Il atteint habituellement une hauteur de 50 à 85 m pour un diamètre de 6 à 8 m. Le Séquoia géant se caractérise également par sa longévité puisqu'il peut atteindre plus de 3 000 ans. Sa croissance initiale est vigoureuse et verticale avec une forme conique caractéristique. Au-delà de 100 ans, il a tendance à se développer plutôt en diamètre et son sommet s'arrondit. S'il ne pousse pas en situation isolée, il perd rapidement ses branches basses à cause de l'ombrage provoqué par les arbres voisins, ce qui explique l'absence de branches sur une hauteur de 20 à 50 m. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/S%C3%A9quoia_g%C3%A9ant

Silènes de jardin. Source : http://data.abuledu.org/URI/53adbf99-silenes-de-jardin

Silènes de jardin

Silènes de jardin, Jules Eudes (1856-1938), aquarelliste français qui signait ses œuvres JEUDES, dans : A. Guillaumin, "Les Fleurs de Jardins", tome I, Les fleurs de printemps, Paul Lechevalier, 1929. Ce sont des plantes à feuilles opposées, glabres ou duveteuses. Les fleurs sont en grappes lâches. Le calice est tubulaire portant de 10 à 30 nervures et se termine par 5 dents. Les 5 pétales sont bilobés ou finement divisés en lanières. il y a 10 étamines, et 3 (parfois 5) styles. Plusieurs espèces ont ou peuvent avoir des fleurs unisexuées. Dans ce cas le calice des fleurs femelles est généralement plus enflé que celui des fleurs mâles. Le fruit est une capsule à 5 loges, portée par un "pied". Il faut enlever le calice qui est persistant pour le voir. C'est une baie dans l'espèce S. baccifera. Le nom du genre est certainement lié au personnage de Silène, père adoptif et précepteur de Dionysos, toujours représenté avec un ventre enflé semblable aux calices de nombreuses espèces, par exemple S. vulgaris (le Silène enflé) ou S. conica au calice en outre, telle la panse de Silène. À partir du tissu placentaire de fruits de Silene stenophylla stockés par des écureuils il y a plus de 32 000 ans et retrouvés dans du pergélisol en Sibérie, des chercheurs ont réussi à régénérer cette plante. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Sil%C3%A8ne_%28plante%29

Six types différents de racines. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ac8dd2-six-types-differents-de-racines

Six types différents de racines

Racines : divers types. Source : Gaston Bonnier, Éléments de Botanique ; Paul Dupont éditeur, 1886.

Sophora du Japon en été. Source : http://data.abuledu.org/URI/53122658-sophora-du-japon-en-ete

Sophora du Japon en été

Sophora du Japon (Styphnolobium japonicum), originaire de Chine, naturalisé ou cultivé ailleurs. Circonférence en cm mesurée à 1m50 du sol: 306 cm (2007) ; position exacte : Tervueren (Belgique) – Parc du musée royal de l’Afrique centrale.

Sous-bois autrichien au printemps. Source : http://data.abuledu.org/URI/5652bd45-sous-bois-autrichien-au-printemps

Sous-bois autrichien au printemps

Sous-bois autrichien au printemps, à Gallitzinberg, Vienne.

Sous-bois dans le parc du Bourgailh. Source : http://data.abuledu.org/URI/5826cd0f-sous-bois-dans-le-parc-du-bourgailh

Sous-bois dans le parc du Bourgailh

Sous-bois dans le parc du Bourgailh, Pessac-33.

Sous-bois de figuiers des banians. Source : http://data.abuledu.org/URI/53b998ed-sous-bois-de-figuiers-des-banians

Sous-bois de figuiers des banians

Sous-bois de figuiers des banians (Ficus benghalensis).

Sous-bois de molinie. Source : http://data.abuledu.org/URI/594a84fc-sous-bois-de-molinie

Sous-bois de molinie

Sous-bois de molinie dans une réserve naturelle allemande.

Sphinx du pissenlit. Source : http://data.abuledu.org/URI/514cb80a-sphinx-du-pissenlit

Sphinx du pissenlit

Le sphinx du pissenlit (Amata phegea) est un lépidoptère appartenant à la famille des Arctiidae. Répartition : Europe. Envergure du mâle : de 17 à 19 mm. Période de vol : de juin à août, imagos actifs le jour. Habitat : lieux secs et ensoleillés. Plantes-hôtes : Pissenlit (Taraxacum), Plantago, Scabiosa.

Structure d'un chloroplaste. Source : http://data.abuledu.org/URI/529061e2-structure-d-un-chloroplaste

Structure d'un chloroplaste

Ultrastructure d'un chloroplaste : 1-membrane externe, 2-espace intermembranaire, 3-membrane interne (1+2+3 : enveloppe), 4-stroma (fluide aqueux), 5-lumière du thylakoïde, 6-membrane du thylakoïde, 7-granum (thylakoïdes accolés), 8-thylakoïde inter-granaire (lamelle), 9-grain d'amidon, 10-ribosome, 11-ADN, 12-plastoglobule (gouttelette lipidique). La taille des chloroplastes est de l'ordre du micromètre (µm). Ils prennent souvent la forme de disques aplatis de 2 à 10 µm de diamètre pour une épaisseur d'environ 1 µm. Le chloroplaste est un organite composé de deux membranes (1 et 3) séparées par un espace inter-membranaire (2). Il contient un réseau membraneux constitué de sacs aplatis nommés thylakoïdes (8) qui baignent dans le stroma (4) (liquide intra-chloroplastique). Les thylakoïdes sont composés d'un lumen (5) entouré d'une membrane (6), et contiennent de la chlorophylle (pigments verts) et des caroténoïdes (pigments jaune orange). Un empilement de thylakoïdes se nomme granum (7) (au pluriel : des grana). D'autre part, le stroma contient quelques réserves sous forme d'amidon (9), et des structures lipidiques dont le rôle est encore mal compris, les plastoglobules (12). De plus, ces organites contiennent de l'ADN regroupé en nucléoides (11). Les ribosomes (10) sont constitués d'ARNr, synthétisés dans les chloroplastes, et de protéines codées par les génomes nucléaires et chloroplastiques.

Structure de la chlorophylle a, b et d. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e41886-structure-de-la-chlorophylle-a-b-et-d

Structure de la chlorophylle a, b et d

Il existe plusieurs formes de chlorophylle différentiables selon leur structure chimique : 1) La chlorophylle a (symbole : « chla » ) est le pigment photosynthétique le plus commun du règne végétal. La mesure de sa concentration dans l'eau est utilisée comme indicateur de la quantité de plancton végétal (phytoplancton, base principale du réseau trophique aquatique). Les taux de l'eau en chlorophylle sont donnés en µg chla/L. 2) La chlorophylle b se trouve chez les cormophytes (végétaux supérieurs) et les chlorophycées (algues vertes). 3) La chlorophylle d, identifiée en 1943 et retrouvée chez certaines cyanobactéries (parfois dites algues bleues).

Sycomore en Ethiopie. Source : http://data.abuledu.org/URI/55365141-sycomore-en-ethiopie

Sycomore en Ethiopie

Sycomore (Ficus sycomorus) près de Abreha et Atsbeha en Ethiopie.

Syrphe ceinturé sur une pâquerette. Source : http://data.abuledu.org/URI/53adab9a-syrphe-ceinture-sur-une-paquerette

Syrphe ceinturé sur une pâquerette

Syrphe ceinturé (Episyrphus balteatus) sur une pâquerette. Ses œufs sont pondus dans des colonies de pucerons. Les larves qui en émergent se nourrissent alors uniquement de ces insectes. Les adultes, quant à eux se nourrissent de nectar et de miellat. On le confond souvent avec les guêpes, mais le syrphe est inoffensif. Son seul moyen de défense, est son extraordinaire rapidité, qui lui permet de s'éclipser en moins d'une seconde. On le retrouve près des conifères, tels que les pins et les sapins, il est commun dans les jardins. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Syrphe_ceintur%C3%A9

Tamarin des hauts. Source : http://data.abuledu.org/URI/521f9792-tamarin-des-hauts

Tamarin des hauts

Tamarin des hauts (Acacia heterophylla) à La Réunion, vieil arbre dans les pâturages de la Plaine des Cafres au mois de septembre. C'est une espèce d'arbre de la famille des Fabaceae, endémique de l'île de La Réunion. Il s'y développe entre 1 200 et 2 200 m d'altitude et peut constituer l'essence dominante de forêts appelés “tamarinaies”. Son bois est utilisé en ameublement et en ébénisterie. Le Tamarin des Hauts est un arbre qui dans de bonnes conditions de fertilité peut atteindre 20 à 25 m de hauteur, mais en raison de son enracinement superficiel, il est facilement renversé par les cyclones tout en ayant souvent la capacité de reprendre son développement, ce qui réduit la hauteur dominante de nombreuses tamarinaies à dix ou quinze mètres avec des arbres en partie couchés. Dans la végétation d'altitude, où l'espèce est présente de manière plus ou moins éparse, le port est celui d'un arbrisseau de quelques mètres de hauteur seulement.

Tamarin des Hauts renversé. Source : http://data.abuledu.org/URI/521fa07d-tamarin-des-hauts-renverse

Tamarin des Hauts renversé

Tamarin des hauts (Acacia heterophylla) renversé par le vent mais survivant au Fond de la Rivière de l'Est, La Réunion. Le Tamarin des Hauts est un arbre qui dans de bonnes conditions de fertilité peut atteindre 20 à 25 m de hauteur, mais en raison de son enracinement superficiel il est facilement renversé par les cyclones tout en ayant souvent la capacité de reprendre son développement, ce qui réduit la hauteur dominante de nombreuses tamarinaies à dix ou quinze mètres avec des arbres en partie couchés. Dans la végétation d'altitude, où l'espèce est présente de manière plus ou moins éparse, le port est celui d'un arbrisseau de quelques mètres de hauteur seulement.

Tamaris en bord de mer. Source : http://data.abuledu.org/URI/5453b0f4-tamaris-en-bord-de-mer

Tamaris en bord de mer

Tamaris (Tamarix gallica) sur la plage de Vic-la-Gardiole, dans l'Hérault.

Tamaris en fleurs sur les bords du bassin d'Arcachon. Source : http://data.abuledu.org/URI/5839ea1c--tamaris-en-fleurs-sur-les-bords-du-bassin-d-arcachon

Tamaris en fleurs sur les bords du bassin d'Arcachon

Tamaris en fleurs sur les bords du bassin d'Arcachon, automne 2016.

Tamaris pionnier dans les dunes de Capbreton. Source : http://data.abuledu.org/URI/582eb62d-tamaris-pionnier-dans-les-dunes-de-capbreton

Tamaris pionnier dans les dunes de Capbreton

Tamarix (Tamarix gallica), plante pionnière sur du sable et des rochers à Capbreton, Landes.

Tapis de cyclamen en fleurs. Source : http://data.abuledu.org/URI/5436b9df-tapis-de-cyclamen-en-fleurs

Tapis de cyclamen en fleurs

Tapis de cyclamen (Cyclamen persicum) en fleurs.

Tapis de mouron des champs rouge en fleurs en mai. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ed3bab-tapis-de-mouron-des-champs-rouge-en-fleurs-en-mai

Tapis de mouron des champs rouge en fleurs en mai

Tapis de Mouron des champs rouge (Anagallis arvensis) à Saint-Fuscien (Somme) le 19/05/2007. C'est une plante rampante à fleurs rouges, ou parfois bleues, qui pousse dans les cultures, les jardins... Les fruits sont des Pyxides produisant de nombreuses graines. Le nom latin du genre de cette plante Anagallis vient du grec anagelaô, « je ris », en raison de son utilisation ancienne dans le traitement de l'hypochondrie. Cette utilisation n'a plus cours aujourd'hui mais le mouron rouge est encore parfois utilisé comme expectorante pour le traitement de certaines maladies respiratoires. La plante présente aussi une certaine toxicité — en particulier pour les petits herbivores. Il était recommandé de ne pas en donner aux animaux d'élevage, en particulier aux lapins. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Mouron_rouge_%28plante%29

Taro et gouttes d'eau à Kadavoor en Inde. Source : http://data.abuledu.org/URI/55088b42-taro-et-gouttes-d-eau-a-kadavoor-en-inde

Taro et gouttes d'eau à Kadavoor en Inde

Colocasia esculenta est une plante de la famille des Aracées, généralement connue sous le nom vernaculaire générique de taro et cultivée dans les régions tropicales pour sa racine épaissie en gros tubercule farineux, à la chair de couleur crème à rose, de texture sèche et goût proche de celui de la patate douce. Les feuilles se préparent comme des épinards. Le terme désigne aussi le tubercule lui-même. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Colocasia_esculenta

Tas de bois en hiver. Source : http://data.abuledu.org/URI/59078c6b-tas-de-bois-en-hiver

Tas de bois en hiver

Tas de bois en hiver, 15-02-2015.

Tige de chanvre. Source : http://data.abuledu.org/URI/54a44b1e-tige-de-chanvre

Tige de chanvre

Tige de chanvre avec mise en évidence des fibres. Les fibres les plus travaillées sont issues de la partie périphérique de la tige. Les fibres de la chènevotte, tige centrale dépourvue de son écorce, ont une grande capacité d'absorption.