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Gravure | Grandville (1803-1847) | Caricaturistes | Proverbes français | Dessin en noir et blanc | Humour | Mères et enfants | Mendicité | Horloges et montres | Foyers (cheminées) | Formules de politesse | Jardiniers | Pères et fils | Croissance humaine | Stature | Salutations | Mauvaises herbes | Mauvaises herbes -- Lutte contre | Pauvres en milieu urbain | Mendiants | ...
Mauvaise herbe croît toujours. Source : http://data.abuledu.org/URI/5350286a-mauvaise-herbe-croit-toujours

Mauvaise herbe croît toujours

Grandville (1803-1847), "Cent Proverbes", 1845, "Mauvaise herbe croît toujours".

Mendicité en ville en 1845. Source : http://data.abuledu.org/URI/53501719-mendicite-en-ville-en-1845

Mendicité en ville en 1845

Grandville (1803-1847), "Cent Proverbes", 1845, "La petite aumône est la bonne".

Ordonnances contre la mendicité. Source : http://data.abuledu.org/URI/53502ed0-ordonnances-contre-la-mendicite

Ordonnances contre la mendicité

Grandville (1803-1847), "Cent Proverbes", 1845, "Nécessité n'a point de loi."

Père et filles. Source : http://data.abuledu.org/URI/534fd593-pere-et-filles

Père et filles

Grandville (1803-1847), "Cent Proverbes", 1845, "Quand on a des filles on est toujours berger !" Sur le pas de la bergerie, un père surveille la sortie de ses trois filles, au museau de brebis, acompagnées du chien berger pendant que le loup à l'arrière-plan guette le bon moment.

Qui se ressemble s'assemble. Source : http://data.abuledu.org/URI/534fd91e-qui-se-ressemble-s-assemble

Qui se ressemble s'assemble

Grandville (1803-1847), "Cent Proverbes", 1845, "Dis moi qui tu hantes, je te dirai qui tu es".

Qui trop embrasse mal étreint. Source : http://data.abuledu.org/URI/534fd819-qui-trop-embrasse-mal-etreint

Qui trop embrasse mal étreint

Grandville (1803-1847), "Cent Proverbes", 1845, "Qui trop embrasse mal étreint !" : La soif de conquête est illustrée par la charge de cartes (Irlande, Chine, Inde, Nouvelle-Zélande, Gibraltar, Écosse).

Retour tardif du mari. Source : http://data.abuledu.org/URI/5350301d-retour-tardif-du-mari

Retour tardif du mari

Grandville (1803-1847), "Cent Proverbes", 1845, "Mieux vaut tard que jamais."

Tel maître tel valet. Source : http://data.abuledu.org/URI/53502751-tel-maitre-tel-valet

Tel maître tel valet

Grandville (1803-1847), "Cent Proverbes", 1845, "Tel maître tel valet."

Trajet en omnibus en 1828. Source : http://data.abuledu.org/URI/514edebd-trajet-en-omnibus-en-1828

Trajet en omnibus en 1828

Le trajet en omnibus en 1828, par Jean Ignace Isidore Gérard, mieux connu sous son pseudonyme de J. J. Grandville (1803-1847), célèbre pour ses illustrations de journaux comme "La Silhouette," "L'Artiste," "La Caricature," et "Le Charivari." Ce dessin illustre une pièce de musique de "Une Course d'Omnibus" de Charles Henri Plantade (1764-1839). Un omnibus (du latin omnibus, signifiant « pour tous ») est un véhicule à traction hippomobile inspiré des diligences et assurant un service de transport public. Un omnibus circule à des horaires déterminés sur des lignes fixes, ce qui le distingue des fiacres, ancêtres des taxis, qui, loués par une personne ou une famille, se rend à la destination choisie par ses clients. Par ailleurs, il circule sur la chaussée, sans être guidés par des rails, ce qui les distingue des tramways. Il n'a pas nécessairement de points d'arrêts fixes. Le mot « omnibus », d'où viennent « autobus » et « bus », est apparu en relation avec la ligne créée à Nantes en 1826, la première en France, au XIXe siècle. L'âge d'or des omnibus est cependant le XIXe siècle, lorsque les villes commencent à s'étendre sous la pression d'une forte croissance démographique et industrielle, l'amélioration de la voirie, et à une époque où la petite bourgeoisie, qui pouvait économiquement payer des places, se développe. Lorsque Stanislas Baudry (1777-1830) décide de créer le même service à Paris, il crée une nouvelle entreprise à qui il donne le nom d'Entreprise générale des omnibus (EGO) ; il y est associé avec d'autres hommes d'affaires (Boitard et Saint-Céran). Le 30 janvier 1828, l'EGO obtient du préfet de police de Paris, Louis-Maurice Debelleyme, l'autorisation d'exploiter une entreprise de « voitures destinées à transporter à bas prix les habitants de certains points de la ville à d'autres points également fixés et en suivant des itinéraires fixés par la ville », avec au plus cent voitures. Les omnibus de l'EGO, tractés par trois chevaux, comptent 14 places assises réparties en trois classes. Après une phase de succès, l'EGO subit une crise dès l'hiver 1830 et est mise en faillite.

Un brochet fait plus qu'une lettre de recommandation. Source : http://data.abuledu.org/URI/53502b89-un-brochet-fait-plus-qu-une-lettre-de-recommandation

Un brochet fait plus qu'une lettre de recommandation

Grandville (1803-1847), "Cent Proverbes", 1845, "Un brochet fait plus qu'une lettre de recommandation".