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Photographie, Araignées, insectes predateurs, Biologie, Prédation (biologie), Proies et prédateurs, Mantes religieuses, Araignées -- Toiles, Mantes (insectes)
Une Mante religieuse adulte mâle (Mantis religiosa) prise dans les filets d'une toile d'araignée, (environ 400m d'altitude) en Saône et Loire (71, France) Septembre 2008.
Mante religieuse (Mantis religiosa) déposant ses oeufs dans l'oothèque qui va les protéger accroché à un support.
Photographie, Abeilles, Insectes, Biologie, Prédation (biologie), Mantes religieuses, Saitama (Japon. - préfecture)
Mante religieuse mangeant une abeille à Saitama au Japan. La mante religieuse est un insecte diurne de 5 à 8 centimètres de long. Ses yeux protubérants et très écartés lui donnent une excellente vision en relief (ce qui donne une vision humaine mais jusqu'à 20 m). Contrairement aux autres insectes, la mante peut faire pivoter sa tête à 180 °, ce qui lui permet de suivre les déplacements de ses proies sans bouger le corps. Elle possède deux yeux composés (ou à facettes) et trois ocelles (yeux simples) entre les antennes.
Mante religieuse adulte mâle (Stagmomantis carolina) posée sur un doigt. Le mâle est plus petit que la femelle de 2 ou 3 cm mais son caractère très fluet donne souvent l'impression d'une disparité allant du simple au double. Ses antennes sont plus longues, son abdomen est plus fin, et on compte huit sternites pour le mâle contre six pour la femelle. L'extrémité de l'abdomen est différente car, si le mâle porte deux cerques comme la femelle, on observe, entre ceux-ci, deux styles et l'absence d'oviscapte.
Schéma des différentes parties de l'estomac, vu de l'extérieur, légendé en français.
Dessins et plans, Anatomie humaine, Biologie, Dendrites (anatomie), Neurones, Circuits électriques, Synapses, Système nerveux
Anatomie des neurones. Les neurones sont des cellules traitant et transmettant l'information dans le système nerveux sous la forme d'excitations électriques. Chez les vertébrés, les neurones sont le composant clé du cerveau, de la moelle épinière et des nerfs périphériques.
Photographie, Insectes -- Observation, Cercopidés, Photographie en gros plan, Insectes -- Larves, Mousses, Biologie, Entomologie -- Observation
Nid de larves de cercope des prés (Philaenus spumarius). Le cercope des prés ou philène spumeuse est un petit insecte commun en Europe dans les plantes herbacées et ligneuses, de la famille des Cercopidae ; sa larve s'entoure complètement d'une mousse qu'elle sécrète. Cette mousse est communément appelée crachat de coucou. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Philaenus_spumarius
Oothèque de mante religieuse (Hierodula patellifera) coupée en deux après éclosion des oeufs. En septembre, octobre ou novembre, la femelle pond 200 à 300 œufs. Elle dépose une soie blanche, proche de la mousse de polyuréthane, sur un support comme une tige forte, une pierre ou un mur. Émise sous une forme blanche et crémeuse, cette soie est brassée et agencée par les valves génitales et prend la forme d'une structure en lamelles. Une fois durcie et brunie par oxydation, elle protège les œufs jusqu'au printemps. Cette structure s'appelle l'oothèque. Les œufs sont jaunes, très allongés, et régulièrement disposés au fur et à mesure de l'élaboration de l'oothèque. Ils n'occupent que la partie centrale, et sont logés dans des cellules très étroitement accolées qui forment une sorte de noyau dense et résistant. Le reste de l'oothèque est essentiellement lamellaire, très aéré, nettement moins rigide.
Dessins et plans, Biologie, Symbiose (biologie), Eucaryotes (cellules), Endosymbiose, Lynn Margulis (1938-2011), Hypothèse Gaïa
Origine des eucaryotes selon la théorie endosymbiotique de Lynn Margulis (1938-2011).
Photographie, Anatomie humaine, Oreille, Oreille externe, Biologie, Huit (le nombre), Audition (physiologie), Numéros
Pavillon auriculaire numéroté de l'oreille droite : 1) Conche, 2) Hélix, 3) Anti-hélix, 4) Tragus, 5) Anti-tragus, 6) Lobule, 7) Fosse triangulaire, 8) Scapha.
Photographie, Optique, Lentilles (optique), Photographie en gros plan, Physique, Gouttes, Gouttes -- Dimensions, Biologie, Art et photographie, Paysages naturels, Perception des paysages, Réserves naturelles, Onze (le nombre), Equisetum, Photographes européens, Prêles, Végétaux
Guttation sur une prêle des eaux (Equisetum fluviatile) en Belgique dans la réserve naturelle "Marie Mouchon". Les gouttes d’eau comme la rosée peuvent être une forme de lentille naturelle. De petites tailles, elles ont la forme d'une calotte sphérique. Plus grosses, elles se déforment sous leur propre poids. La valeur limite est de quelques millimètres pour l'eau. La rosée sur les végétaux ne doit pas être confondue avec le phénomène biologique de guttation, dans lequel les végétaux eux-mêmes produisent le liquide qui se retrouve ensuite sous forme de gouttelettes. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Lentille_optique
Planche Deyrolle de mammifères de l'ère tertiaire.
Planche tirée du Thesaurus, 1734, d'Albertus Seba, savant hollandais (1665-1736) représentant divers hérissons.
Les poissons-clowns (Amphiprion ocellaris) sont remarquables à plusieurs titres. Ils sont principalement connus pour la relation mutualiste qu’ils forment avec dix espèces d’anémones de mer (Heteractis magnifica) — normalement mortelles pour les poissons. Ils se distinguent également des autres espèces de demoiselles par leur hermaphrodisme successif protandre quand les autres espèces sont généralement protogynes. Cette particularité définit une structure sociale particulière au sein d’une anémone. L’individu dominant est la femelle, plus grosse que le reste du groupe. Elle forme un couple stable avec un mâle sexuellement actif, un peu plus petit. Les autres individus du groupe sont des mâles immatures qui n’interviennent pas dans la reproduction.
Les poissons-clowns (Amphiprion ocellaris) sont remarquables à plusieurs titres. Ils sont principalement connus pour la relation mutualiste qu’ils forment avec dix espèces d’anémones de mer (Heteractis magnifica) — normalement mortelles pour les poissons. Ils se distinguent également des autres espèces de demoiselles par leur hermaphrodisme successif protandre quand les autres espèces sont généralement protogynes. Cette particularité définit une structure sociale particulière au sein d’une anémone. L’individu dominant est la femelle, plus grosse que le reste du groupe. Elle forme un couple stable avec un mâle sexuellement actif, un peu plus petit. Les autres individus du groupe sont des mâles immatures qui n’interviennent pas dans la reproduction.
Les poissons-clowns (Amphiprion ocellaris) sont remarquables à plusieurs titres. Ils sont principalement connus pour la relation mutualiste qu’ils forment avec dix espèces d’anémones de mer (Heteractis magnifica) — normalement mortelles pour les poissons. Ils se distinguent également des autres espèces de demoiselles par leur hermaphrodisme successif protandre quand les autres espèces sont généralement protogynes. Cette particularité définit une structure sociale particulière au sein d’une anémone. L’individu dominant est la femelle, plus grosse que le reste du groupe. Elle forme un couple stable avec un mâle sexuellement actif, un peu plus petit. Les autres individus du groupe sont des mâles immatures qui n’interviennent pas dans la reproduction.
Les poissons-clowns (Amphiprion ocellaris) sont remarquables à plusieurs titres. Ils sont principalement connus pour la relation mutualiste qu’ils forment avec dix espèces d’anémones de mer (Heteractis magnifica) — normalement mortelles pour les poissons. Ils se distinguent également des autres espèces de demoiselles par leur hermaphrodisme successif protandre quand les autres espèces sont généralement protogynes. Cette particularité définit une structure sociale particulière au sein d’une anémone. L’individu dominant est la femelle, plus grosse que le reste du groupe. Elle forme un couple stable avec un mâle sexuellement actif, un peu plus petit. Les autres individus du groupe sont des mâles immatures qui n’interviennent pas dans la reproduction.
Les poissons-clowns (Amphiprion ocellaris) sont remarquables à plusieurs titres. Ils sont principalement connus pour la relation mutualiste qu’ils forment avec dix espèces d’anémones de mer (Heteractis magnifica) — normalement mortelles pour les poissons. Ils se distinguent également des autres espèces de demoiselles par leur hermaphrodisme successif protandre quand les autres espèces sont généralement protogynes. Cette particularité définit une structure sociale particulière au sein d’une anémone. L’individu dominant est la femelle, plus grosse que le reste du groupe. Elle forme un couple stable avec un mâle sexuellement actif, un peu plus petit. Les autres individus du groupe sont des mâles immatures qui n’interviennent pas dans la reproduction.
Les poissons-clowns (Amphiprion ocellaris) sont remarquables à plusieurs titres. Ils sont principalement connus pour la relation mutualiste qu’ils forment avec dix espèces d’anémones de mer (Heteractis magnifica) — normalement mortelles pour les poissons. Ils se distinguent également des autres espèces de demoiselles par leur hermaphrodisme successif protandre quand les autres espèces sont généralement protogynes. Cette particularité définit une structure sociale particulière au sein d’une anémone. L’individu dominant est la femelle, plus grosse que le reste du groupe. Elle forme un couple stable avec un mâle sexuellement actif, un peu plus petit. Les autres individus du groupe sont des mâles immatures qui n’interviennent pas dans la reproduction.
Les poissons-clowns (Amphiprion ocellaris) sont remarquables à plusieurs titres. Ils sont principalement connus pour la relation mutualiste qu’ils forment avec dix espèces d’anémones de mer (Heteractis magnifica) — normalement mortelles pour les poissons. Ils se distinguent également des autres espèces de demoiselles par leur hermaphrodisme successif protandre quand les autres espèces sont généralement protogynes. Cette particularité définit une structure sociale particulière au sein d’une anémone. L’individu dominant est la femelle, plus grosse que le reste du groupe. Elle forme un couple stable avec un mâle sexuellement actif, un peu plus petit. Les autres individus du groupe sont des mâles immatures qui n’interviennent pas dans la reproduction.
Les poissons-clowns (Amphiprion ocellaris) sont remarquables à plusieurs titres. Ils sont principalement connus pour la relation mutualiste qu’ils forment avec dix espèces d’anémones de mer (Heteractis magnifica) — normalement mortelles pour les poissons. Ils se distinguent également des autres espèces de demoiselles par leur hermaphrodisme successif protandre quand les autres espèces sont généralement protogynes. Cette particularité définit une structure sociale particulière au sein d’une anémone. L’individu dominant est la femelle, plus grosse que le reste du groupe. Elle forme un couple stable avec un mâle sexuellement actif, un peu plus petit. Les autres individus du groupe sont des mâles immatures qui n’interviennent pas dans la reproduction.
Photographie, Cigognes, Cigogne noire, Poissons-chats, Tanzanie, Biologie, Prédation (biologie), Jabiru d'Afrique, Lacs -- Tanzanie
Poisson-chat dans le bec d'une cigogne noire (Jabiru, Ephippiorhynchus senegalensis) en Tanzanie. La prédation est parfois l'occasion de transferts importants de matière organique, d'énergie et de nutriments d'une milieu vers un autre (ici du milieu aquatique vers le milieu terrestre). Le prédateur contribue alors éventuellement à déseutrophiser le milieu.
Les poissons-clowns (Amphiprion ocellaris) sont remarquables à plusieurs titres. Ils sont principalement connus pour la relation mutualiste qu'ils forment avec dix espèces d'anémones de mer (Heteractis magnifica) — normalement mortelles pour les poissons. Ils se distinguent également des autres espèces de demoiselles par leur hermaphrodisme successif protandre quand les autres espèces sont généralement protogynes. Cette particularité définit une structure sociale particulière au sein d'une anémone. L'individu dominant est la femelle, plus grosse que le reste du groupe. Elle forme un couple stable avec un mâle sexuellement actif, un peu plus petit. Les autres individus du groupe sont des mâles immatures qui n'interviennent pas dans la reproduction.
Dessins et plans, Terre, Océans, Biomasse -- Analyse, Biologie, Biomasse, Production primaire (biologie), Productivité primaire (biologie)
Image composite donnant une indication de l'importance et de l'origine de la productivité primaire, océanique (mg/m3 chlorophyll et terrestre de septembre 1997 à août 1998 ; estimée en tant que biomasse autotrophe, c'est un indicateur approximatif de la production primaire potentielle. Document fourni par : SeaWiFS Project, NASA/Goddard Space Flight Center et ORBIMAGE (http://oceancolor.gsfc.nasa.gov/SeaWiFS/BACKGROUND/Gallery/index.html).
Pyramide trophique légendée en anglais. 1) Sols, décomposeurs ; 2) Photosynthèse, producteurs primaires ; 3) Herbivores, consommateurs primaires ; 4) Carnivores, consommateurs secondaires, Omnivores ; 5) Grands carnivores, consommateurs tertiaires.
Photographie, Poisson, Poissons de mer, Biologie, Poissons, Raies (poissons), Mer Rouge, Mer Rouge (région), Taeniura lymma, abcd-six-minutes-pour-la-mer-rouge
La raie pastenague à taches bleues ou pastenague queue à ruban (Taeniura lymma) est une raie de la famille des Dasyatidae. L'espèce est présente de la zone intertidale jusqu'à une profondeur de 30 m. Elle est fréquente dans les habitats côtiers ou à proximité de récifs coralliens des océans Indien et Pacifique occidental. Cette raie assez petite ne mesure pas plus de 35 cm de largeur : le disque pectoral est ovale et largement régulier, les grands yeux sont protubérants, la queue courte et épaisse surmonte un repli encaissé dans la nageoire. Le poisson est facilement reconnaissable à son éclatant jeu de couleurs qui consiste en de nombreux points bleus électriques sur un fond jaunâtre avec une queue striée de deux bandes bleues. Source; https://fr.wikipedia.org/wiki/Raie_pastenague_%C3%A0_taches_bleues
Photographie, Poisson, Poissons de mer, Biologie, Poissons, Raies (poissons), Mer Rouge, Mer Rouge (région), Taeniura lymma, abcd-six-minutes-pour-la-mer-rouge
La raie pastenague à taches bleues ou pastenague queue à ruban (Taeniura lymma) est une raie de la famille des Dasyatidae. L'espèce est présente de la zone intertidale jusqu'à une profondeur de 30 m. Elle est fréquente dans les habitats côtiers ou à proximité de récifs coralliens des océans Indien et Pacifique occidental. Cette raie assez petite ne mesure pas plus de 35 cm de largeur : le disque pectoral est ovale et largement régulier, les grands yeux sont protubérants, la queue courte et épaisse surmonte un repli encaissé dans la nageoire. Le poisson est facilement reconnaissable à son éclatant jeu de couleurs qui consiste en de nombreux points bleus électriques sur un fond jaunâtre avec une queue striée de deux bandes bleues. Source; https://fr.wikipedia.org/wiki/Raie_pastenague_%C3%A0_taches_bleues
Photographie, Poisson, Poissons de mer, Biologie, Poissons, Raies (poissons), Mer Rouge (région), Taeniura lymma
La raie pastenague à taches bleues ou pastenague queue à ruban (Taeniura lymma) est une raie de la famille des Dasyatidae. L'espèce est présente de la zone intertidale jusqu'à une profondeur de 30 m. Elle est fréquente dans les habitats côtiers ou à proximité de récifs coralliens des océans Indien et Pacifique occidental. Cette raie assez petite ne mesure pas plus de 35 cm de largeur : le disque pectoral est ovale et largement régulier, les grands yeux sont protubérants, la queue courte et épaisse surmonte un repli encaissé dans la nageoire. Le poisson est facilement reconnaissable à son éclatant jeu de couleurs qui consiste en de nombreux points bleus électriques sur un fond jaunâtre avec une queue striée de deux bandes bleues. Source; https://fr.wikipedia.org/wiki/Raie_pastenague_%C3%A0_taches_bleues
Photographie, Poisson, Poissons de mer, Biologie, Poissons, Raies (poissons), Mer Rouge (région), Taeniura lymma
La raie pastenague à taches bleues ou pastenague queue à ruban (Taeniura lymma) est une raie de la famille des Dasyatidae. L'espèce est présente de la zone intertidale jusqu'à une profondeur de 30 m. Elle est fréquente dans les habitats côtiers ou à proximité de récifs coralliens des océans Indien et Pacifique occidental. Cette raie assez petite ne mesure pas plus de 35 cm de largeur : le disque pectoral est ovale et largement régulier, les grands yeux sont protubérants, la queue courte et épaisse surmonte un repli encaissé dans la nageoire. Le poisson est facilement reconnaissable à son éclatant jeu de couleurs qui consiste en de nombreux points bleus électriques sur un fond jaunâtre avec une queue striée de deux bandes bleues. Source; https://fr.wikipedia.org/wiki/Raie_pastenague_%C3%A0_taches_bleues
Photographie, Poisson, Poissons de mer, Biologie, Poissons, Raies (poissons), Mer Rouge (région), Taeniura lymma
La raie pastenague à taches bleues ou pastenague queue à ruban (Taeniura lymma) est une raie de la famille des Dasyatidae. L'espèce est présente de la zone intertidale jusqu'à une profondeur de 30 m. Elle est fréquente dans les habitats côtiers ou à proximité de récifs coralliens des océans Indien et Pacifique occidental. Cette raie assez petite ne mesure pas plus de 35 cm de largeur : le disque pectoral est ovale et largement régulier, les grands yeux sont protubérants, la queue courte et épaisse surmonte un repli encaissé dans la nageoire. Le poisson est facilement reconnaissable à son éclatant jeu de couleurs qui consiste en de nombreux points bleus électriques sur un fond jaunâtre avec une queue striée de deux bandes bleues. Source; https://fr.wikipedia.org/wiki/Raie_pastenague_%C3%A0_taches_bleues
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La raie pastenague à taches bleues ou pastenague queue à ruban (Taeniura lymma) est une raie de la famille des Dasyatidae. L'espèce est présente de la zone intertidale jusqu'à une profondeur de 30 m. Elle est fréquente dans les habitats côtiers ou à proximité de récifs coralliens des océans Indien et Pacifique occidental. Cette raie assez petite ne mesure pas plus de 35 cm de largeur : le disque pectoral est ovale et largement régulier, les grands yeux sont protubérants, la queue courte et épaisse surmonte un repli encaissé dans la nageoire. Le poisson est facilement reconnaissable à son éclatant jeu de couleurs qui consiste en de nombreux points bleus électriques sur un fond jaunâtre avec une queue striée de deux bandes bleues. Source; https://fr.wikipedia.org/wiki/Raie_pastenague_%C3%A0_taches_bleues
Photographie, Poisson, Poissons de mer, Biologie, Poissons, Raies (poissons), Mer Rouge (région), Taeniura lymma
La raie pastenague à taches bleues ou pastenague queue à ruban (Taeniura lymma) est une raie de la famille des Dasyatidae. L'espèce est présente de la zone intertidale jusqu'à une profondeur de 30 m. Elle est fréquente dans les habitats côtiers ou à proximité de récifs coralliens des océans Indien et Pacifique occidental. Cette raie assez petite ne mesure pas plus de 35 cm de largeur : le disque pectoral est ovale et largement régulier, les grands yeux sont protubérants, la queue courte et épaisse surmonte un repli encaissé dans la nageoire. Le poisson est facilement reconnaissable à son éclatant jeu de couleurs qui consiste en de nombreux points bleus électriques sur un fond jaunâtre avec une queue striée de deux bandes bleues. Source; https://fr.wikipedia.org/wiki/Raie_pastenague_%C3%A0_taches_bleues
Photographie, Poisson, Poissons de mer, Biologie, Poissons, Raies (poissons), Mer Rouge (région), Taeniura lymma
La raie pastenague à taches bleues ou pastenague queue à ruban (Taeniura lymma) est une raie de la famille des Dasyatidae. L'espèce est présente de la zone intertidale jusqu'à une profondeur de 30 m. Elle est fréquente dans les habitats côtiers ou à proximité de récifs coralliens des océans Indien et Pacifique occidental. Cette raie assez petite ne mesure pas plus de 35 cm de largeur : le disque pectoral est ovale et largement régulier, les grands yeux sont protubérants, la queue courte et épaisse surmonte un repli encaissé dans la nageoire. Le poisson est facilement reconnaissable à son éclatant jeu de couleurs qui consiste en de nombreux points bleus électriques sur un fond jaunâtre avec une queue striée de deux bandes bleues. Source; https://fr.wikipedia.org/wiki/Raie_pastenague_%C3%A0_taches_bleues
Peinture, hiver, Neige, Renards, Corbeaux (oiseaux), Animaux -- Comportement alimentaire, Animaux sauvages, Biologie, Cadavres, Archibald Thorburn (1860-1935), Illustrateurs écossais, Ornithologie, Chevreuils, Comportement agressif chez les animaux, Écologie animale
Renard montrant les dents à un corbeau devant une dépouille de chevreuil, "Pas pour le garde-manger" (Not for the larder), par Archibald Thorburn (1860-935), illustrateur écossais spécialiste des oiseaux et de leur environnement naturel.
Répartition géographique du krill antarctique. Il contribue à la bioconcentration des toxiques dans la pyramide alimentaire, en particulier du mercure et d'autres polluants, qu'il contient cependant en proportion bien moindre que les prédateurs "supérieurs" (grands poissons (thon, marlin, espadon... et mammifères carnivores, tels que dauphin, orque ou cachalot)). Le krill fait l'objet d'une pêche industrielle qui alimente essentiellement le marché des aliments pour animaux en farine animale (ou krill lyophilisé), pêche dont les impacts ne sont pas finement mesurés. Le krill est un filtreur important des océans, dont il diminue la turbidité. Le krill par ses mouvements et migrations nocturne/diurne ou saisonnière, a probablement une importance significative, comme d'autres espèces de zooplancton en matière de mélange des couches thermiques et/ou plus ou moins salées dans les zones où il vit.