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Gravure, Caricatures et dessins humoristiques, Humour, Champignons, Dessin en noir et blanc, Français (langue), France (Révolution) -- Républiques soeurs (1789-1799), Saint-Pétersbourg (Russie. - région)
Champignons républicains en 1799. Saint Pétersbourg, Berlin et Vienne encerclés par les champignons des républiques : 1) Le roi de Prusse, "Dieu, comme ça pousse, c'est effrayant !" 2) L'empereur de Russie, "Ce serait bien agréable à manger !" 3) L'empereur d'Autriche, "N'y touchez pas compère, c'est vénéneux !"
Gravure, Partitions (musique), Théophile Alexandre Steinlen (1859–1923), Aristide Bruant (1851-1925), Chansonniers (compositeurs), Chansons réalistes, Quartier du Petit-Montrouge (Paris, France)
Affiche de la chanson "à Montrouge" d'Aristide Bruant (1851-1925) avec partition pour piano, par Théophile Alexandre Steinlen (1859–1923).
Meule de charbon de bois, "Leçons élémentaires de chimie" (B.Bussard, H.Dubois), 1906, page 37.
Georges Rochegrosse & Eugène Decisy, Charles Baudelaire et ses fantômes, frontispice des fleurs du mal.
Gravure, Géographie, Dix-huitième siècle, Jean-Jacques de Boissieu (1736-1810), Sainte-Croix-en-Jarez (Loire), Rive-de-Gier (Loire. - région)
Le château et le village de Châteauneuf près de Rive-de-Gier, par Jean-Jacques de Boissieu (1736-1810), peintre, dessinateur et graveur à l'eau-forte, conseiller du Roi, trésorier de finances au bureau des finances de la généralité de Lyon.
Alfred Moquin-Tandon (1804-1863), alias Alfred Frédol, "Le monde de la mer" en 1866. planche XXXIV. Chasse aux morses.
Gravure, Pâques, Décorations de Pâques, Allemagne, Dix-neuvième siècle, Fêtes gourmandes, Oeufs de Pâques
La chasse aux oeufs, image page 205 de "Die Gartenlaube", 1880, hebdomadaire familial illustré de Saxe, de l'Empire allemand, puis de l'Allemagne de la première moitié du XXe siècle, fondé en 1853 par Ferdinand Stolle. Sa diffusion était de 382 000 exemplaires en 1876, lorsqu'il était édité par Ernst Keil. Il fit appel à de nombreux illustrateurs et graveurs de l'époque et fit paraître les premières photographies de la presse allemande.
Gravure, Antarctique -- Découverte et exploration, Jules Dumont d'Urville (1790-1842), Chasseurs de phoques
Chasse aux phoques le 6 février 1838. Atlas pittoresque, planche 21. Voyage au Pôle Sud et dans l'Océanie sur les corvettes L'Astrolabe et La Zélée, Jules Dumont d'Urville, Gide Paris, 1846. Exemplaire de la bibliothèque patrimoniale de Gray.70100 France.
Gravure, Dix-neuvième siècle, Chasse, Flèches (armes), Ornithologie, Naturalistes, Camouflage, Arcs (armes), Chasse -- Matériel, Paradisiers, Archipel malais, Aru (Indonésie. - îles), Ethnosciences
Natif d'Aru, chassant des oiseaux du paradis, camouflé sous un nid, par T. W. Wood, "The Malay Archipelago" d'Alfred Russel Wallace, 1869.
Chats, Gravure, Chats domestiques, Comportement agressif chez les animaux, Charles Darwin (1809-1882), Agressivité chez les animaux, Animaux -- Comportement territorial, Émotions chez les animaux, L'expression des émotions chez l'Homme et les animaux, Animaux -- Comportement
Charles Darwin, "The Expression of the Emotions in Man and Animals", 1872, fig. 15 : un chat prêt à l'attaque, dessin de T. W. Wood (1839-1910).
Gravure, Charles Darwin (1809-1882), Dessin en noir et blanc, Agressivité chez les animaux, Chat sauvage d'Europe
Chat sauvage prêt à l'attaque, chapitre II, Darwin, "The Expression of the Emotions in Man and Animals", Londres, John Murray, 1872.
Gravure, Charles Darwin (1809-1882), Animaux -- Agressivité, Animaux -- Combativité, Animaux -- Comportement territorial, L'expression des émotions chez l'Homme et les animaux, Animaux -- Émotions, Animaux -- Lutte pour la vie, Chat sauvage
Charles Darwin, "The Expression of the Emotions in Man and Animals", 1872, fig. 9 : chat sauvage prêt à l'attaque, dessin de T. W. Wood (1839-1910).
Château d'Aboukir en 1799, James BRUCE, "Voyage aux sources du Nil", planche V.
Gravure, Renaissance, Seizième siècle, Architecture -- Dessins et plans, Châteaux de la Loire (France), Architecture de la Renaissance, Amboise (Indre-et-Loire) -- Château, France (Charles VIII) (1483-1498)
Vue sur le Château d'Amboise avant son démantèlement, desssin de Jacques I Androuet du Cerceau (1515-1585).
Esch-sur-Sûre en Luxembourg, village et château, par G. Vanderhecht, circa 1860.
Château de Béon et pigeonnier, 1926, par Raymond de Saint-Martin-Beyrie. Fonds Ancely (1876 - 1966), Bibliothèque municipale de Toulouse.
Gravure, Architecture, Art islamique -- Iran, Téhéran (Iran), Art persan, Pascal-Xavier Coste (1787–1879)
Plan et coupe, Château de Kasr-i-Kadjar, Téhéran, par Pascal-Xavier Coste (1787–1879), architecte, envoyé en mission archéologique en Perse par l'Académie des beaux-arts en 1840. "Monuments modernes de la Perse mesurés, dessinés et décrits", éd. Morel, 1867. fa|روبرو، قصر قاجار
Gravure, Renaissance, Architecture -- Dessins et plans, Architecture de la Renaissance, Beauregard (Loir-et-Cher), Château de, Cellettes (Loir-et-Cher) -- Château de Beauregard
Le château de Beauregard, datant du XVIe siècle, est situé dans la commune de Cellettes dans le Loir-et-Cher à une dizaine de kilomètres au sud de Blois. Ce château a été décrit et dessiné dans l'ouvrage d'Androuet du Cerceau, "Des plus excellens bâtiments de France" (Second Volume, 1579).
Chef patagon en costume de guerre, Patagon et Patagone, détroit de Magellan. Atlas pittoresque, planche 14. Voyage au Pôle Sud et dans l'Océanie sur les corvettes L'Astrolabe et La Zélée, Jules Dumont d'Urville, Gide Paris, 1846. Exemplaire de la bibliothèque patrimoniale de Gray.70100 France.
Chemin de fer intérieur de l'exposition de 1889 par l'ingénieur Alphand : 1. Station de la Concorde ; 2. Station de la Tour Eiffel ; 3. Le tunnel de 106 mètres ; 4. Station du palais des machines ; 5. Une locomotive.
Quatre trains de la Ligne Saint-Étienne - Lyon : 1. train de voyageurs en traction équestre ; 2. train de marchandises en traction équestre ; 3. train de voyageurs en descente sans traction ; 4. train de houille, tiré par une locomotive du type d'avant de 1835. Le chemin de fer de Saint-Étienne à Lyon, par Saint-Chamond, Rive-de-Gier et Givors, fut incontestablement l'œuvre des frères Seguin, auxquels s'était joint Édouard Biot, le fils de Jean-Baptiste Biot, membre de l'Institut. Le père, savant physicien, devait d'ailleurs apporter un concours efficace dans les calculs du nivellement de la ligne. Les frères Seguin d'Annonay, ingénieurs civils et manufacturiers, formaient déjà une société patentée ayant pour objet toutes opérations industrielles. Marc, dit Seguin Aîné, était le chef écouté et suivi de cette association fraternelle où Camille, Jules, Paul et Charles apportaient une collaboration compétente (Jean Falaize, La Vie du Rail n° 1841, 29 avril 1982). Source : Activités des professeurs d'Histoire du lycée Claude Lebois à Saint-Chamond (42400, Loire), http://profshistoirelcl.canalblog.com/archives/2008/10/05/10855271.html
Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.244 : manuel scolaire, édition de 1904 : CHERBOURG ET SA DIGUE. - La rade de Cherbourg était une des plus belles de la Manche, mais elle était ouverte du côté de la mer, et exposée aux tempêtes et à l'attaque des ennemis. C'est pour la fermer qu'on a construit cette immense digue, oeuvre unique en son genre, qui est une sorte d'île faite de main d'homme et au milieu de laquelle s'élève un fort. Cherbourg (42 900 h.) est maintenant un des chefs-lieux des cinq arrondissements maritimes dans lesquels on a divisé nos côtes.
Gravure, Fouets, Dressage, Sabots (chaussures), Bottes, Couples, Caricaturistes, Grandville (1803-1847), Auges-abreuvoirs, Dessin en noir et blanc, Proverbes, Anthropomorphisme, Proverbes français
Grandville (1803-1847), "Cent Proverbes", 1845, "Jamais coup de pied de jument ne fit de mal à cheval".
Gravure, Peintres français, Cirques, Dix-neuvième siècle, Chevaux, Chevaux de spectacle, Henri de Toulouse-Lautrec (1864-1901)
Croquis de chevaux de cirque, 1899, par Henri de Toulouse-Lautrec (1864-1901). Dans son acception moderne, un cirque est une troupe d'artistes, traditionnellement itinérante, qui comporte le plus souvent des acrobates, des numéros de dressage et de domptage d’animaux, des spectacles de clowns, des tours de magie. La première représentation d’un cirque moderne date du 9 janvier 1768 et a été présentée par Philip Astley à Londres. Vétéran de retour d’Amérique, il décide de représenter surtout des spectacles équestres égayés par des bateleurs. Le mariage du monde équestre militaire et du monde forain autour du cercle est établi. Cette nouvelle forme de spectacle, fondée essentiellement sur des exercices équestres, fut ensuite introduite en France par Astley en 1774, puis reprise par Antonio Franconi et ses descendants. C'est seulement au XIXe siècle lors des vagues de colonisation que furent introduits en France et en Allemagne les premiers animaux sauvages.
Gravure, Anglais (langue), Humour, Dix-neuvième siècle, Relations entre hommes et femmes, Cheville (anatomie), Art victorien, Gentlemen, Hommes du monde
Illustration du dilemne victorien ("If we lift our skirts, they level their eye-glasses at our ankles." : Si nous relevons nos jupes, ils baissent les yeux) des promeneuses en robe longue, quand il y avait trop de boue dans la rue. Source : Family Friend, Vol. IX, page 321, 1854.
Chèvres, Gravure, Animaux sauvages, Littérature de jeunesse, Ernest Thompson Seton (1860-1946), Races de chèvres
Chèvres de montagne, "Les Américains à quatre-pattes et leur famille" (Four-footed Americans and their kin), 1898, par Ernest Thompson Seton (1860-1946).
Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.147 ; manuel scolaire, édition de 1904 : CHÈVRES EN STABULATION. - La chèvre est un des animaux qui s'accommodent le mieux du séjour de l'étable, quand l'étable est bien propre, bien tenue et point humide. On a calculé que vingt-quatre chèvres et un bouc peuvent rapporter par année, en lait, en fromage ou en jeunes chevreaux, jusqu'à 1 200 francs de bénéfice net.
Gravure, Anglais (langue), Journaux, Journaux -- Lecture, Caricaturistes, Grandville (1803-1847), Anthropomorphisme, Proverbes français
Grandville (1803-1847), "Cent Proverbes", 1845, "Chien qui aboie ne mord pas."
Gravure, Peintres animaliers, Ornithologie, Bécasse des bois, Scolopax rusticola, Carl Friedrich Deiker (1836–1892)
Chromolithographie de bécasse des bois (Scolopax rusticola), 1875, par Carl Friedrich Deiker (1836–1892), peintre animalier allemand.
Gravure, Neige, Grimaces, Caricatures et dessins humoristiques, Londres (GB), Avalanches, Charcutiers
Chute de neige sur un piéton au sortir d'une exposition sur les avalanches, dans sa poche un traité sur la nature des chutes, en face un jeune livreur charcutier lui fait un pied-de-nez.
Gravure, Cigognes, France -- Départements, Géographie historique -- Cartes, Victor Levasseur (1800–1870), Atlas -- Catalogage, Gard (France)
Dépt. du Gard (région du sud-est) - Fonds Ancely. Titre complet du recueil : Atlas national illustré des 86 Départements et des Possessions de la France divisé par Arrondissements, Cantons et Communes avec le tracé de toutes les routes, chemins de fer et canaux. Dressé d'après les Travaux du Cadastre du Dépôt de la Guerre et des Ponts et Chaussées par V. Levasseur, Ingénieur Géographe attaché au Génie du Cadastre et de la Ville de Paris. Gravé sur acier par les meilleurs artistes. Imprimerie de Lemercier à Paris ou imprimerie Dupuich à Paris. Victor Levasseur (1800–1870)
Gravure, Paris (France), Urbanisme, Histoire, Dix-huitième siècle, Cimetières, Paris (France) -- Cimetière des Innocents
Cimetière des Innocents, Paris. Le cimetière des Saints-Innocents apparaît au Ve siècle autour de l'église Notre-Dame-des-Bois, lieu de culte mérovingien installé en ce lieu. Probablement détruite durant les invasions normandes de 885-886, elle est remplacée au XIe siècle par l'église Sainte-Opportune, qui reçoit dès lors dans son enclos les morts de plusieurs paroisses de la rive droite. Ce cimetière prend en 1130 le nom de Saints-Innocents, il reçoit pendant treize siècles des dizaines de générations de Parisiens, décédés dans les vingt-deux paroisses de la ville, ainsi que les cadavres évacués de l'Hôtel-Dieu et de la morgue. D'un petit cimetière de campagne, il devient le plus grand cimetière de Paris, et est progressivement entouré de constructions, jusqu'à devenir partie intégrante d'un des quartiers les plus animés de la ville. Les guerres, les épidémies ou les famines apportent leur lot de milliers de cadavres à inhumer dans cet espace restreint, ce qui rend leur décomposition de plus en plus difficile. Les fosses communes atteignent alors plus de dix mètres de profondeur. À la fin du XVIIIe siècle, le sol du cimetière se situe en conséquence plus de deux mètres au-dessus du niveau de la rue, entraînant des problèmes d'insalubrité, dénoncés de longue date.
Gravure, Couples, Cigares, Fumée du tabac, Caricaturistes, Grandville (1803-1847), Dessin en noir et blanc, Collections de costumes, Proverbes français, Arrogance, Cirages à chaussures, Suffisance
Grandville (1803-1847), "Cent Proverbes", 1845, "Tout ce qui reluit n'est pas en or." Un cireur de chaussures au travail et un couple bougeois plein d'arrogance ; à l'arrière-plan une boutique de couverts "Imitation d'or, strass, chrysocalque, Melchior etc."
Gravure, New Jersey (États-Unis), Clowns, Numéros de clowns, Peter Newell (1862–1924) , Cirque d'amateurs
Le cirque amateur à Nutley, par Peter Newell (1862-1924). "Un homma portant chapeau et lunettes se tient devant un cerceau tenu par deux clowns. Au centre Annie Oakley, debout sur un cheval, tire sur une cible. Des acrobates, des escrimeurs, un animal à cheval et un ours dançant. Illustration pour un reportage sur un cirque amateur des habitants de Nutley, pour trouver des fonds pour la Croix Rouge ; in "Harper's Weekly", 31 mars 1894. Exposition à la Library of Congress, "They Made Them Laugh and Wince and Worry," 1977-1982.
Gravure représentant un des quatre cirques sédentaires en activité à Paris à la fin du XIXème siècle : le Cirque des Champs-Élysées (1841-1898), connu sous les noms de Cirque de l'Impératrice ou de Cirque d'été, qui pouvait contenir jusqu'à 3 500 places. Source : "Dictionnaire historique et pittoresque du théâtre", d'Arthur Pougin (1885). page 209. Cette salle parisienne fut édifiée en 1841 au carré Marigny par l'architecte Jacques Hittorff, elle est aujourd’hui disparue. Pendant du Cirque d’hiver, construit par Hittorf pour Dejean boulevard du Temple en 1852, il fonctionnait du 1er mai au 1er septembre. L’acoustique y était si bonne qu'Hector Berlioz y donna une série de concerts en 1845. En 1847, les spectateurs payaient 2 francs au pourtour et 1 franc à l’amphithéâtre. Devenu un temps Cirque-National, il connut son apogée sous le Second Empire sous le nom de Cirque de l’Impératrice à partir de 1853 (le Cirque d’hiver devenant quant à lui le Cirque Napoléon). Sa grande attraction fut longtemps le clown Jean-Baptiste Auriol. Caroline Otero et Émilienne d'Alençon y firent leurs débuts. Son succès se prolongea jusque dans les années 1880. Le Tout-Paris s'y précipitait le samedi, jour réputé chic. Petit à petit délaissé par le public après l’exposition universelle de Paris de 1889, il fut démoli vers 1900, laissant son nom à la rue du Cirque.