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Peinture, Paris (France), Affiches, Dix-neuvième siècle, Belle Époque, Ambassadeurs, Concerts, Concerts -- Salles, Programmes de concerts
Affiche pour le Concert des Ambassadeurs, de Eugénie Buffet, "tous les soirs", 1896, par Lucien Marie François Métivet (1863-1932), illustrateur français ; in "Les maîtres de l'affiche" : publication mensuelle contenant la reproduction des plus belles affiches illustrées des grands artistes, français et étrangers, éditée par L'Imprimerie Chaix (1896-1900).
Photographie, Paris (France), Profils (portraits), Silhouettes, Découpage (art), Artistes français, Découpages
Artiste des rues découpant la silhouette d'un profil, sur la place Notre-Dame à Paris.
Carte des bibliothèques publiques à Paris en 1849. Source : Rapport du "Select Committee on Public Libraries", 23 Juillet 1849.
Armoiries de Paris : FLUCTUAT NEC MERGITUR. Le navire représenté est le symbole de la puissante corporation des Nautes ou des Marchands de l'eau, gérante de la municipalité au Moyen Âge. La devise de la ville, Il est battu par les flots sans être submergé, ou encore Il flotte mais ne sombre pas, est également une référence à ce bateau.
Photographie, Paris (France), Carrières, Carrières souterraines (exploitations minières), Architecture, Catacombes
Le passage dit des doubles carrières dans les Catacombes de Paris. Près de trois cents kilomètres de galeries s'étalent sous Paris intra-muros, sur parfois trois niveaux de carrières. La profondeur moyenne est d'environ vingt mètres sous le niveau du sol naturel. Lorsque ces carrières étaient actives, on en extrayait de la pierre à bâtir, qui a permis pendant plusieurs siècles de construire les bâtiments de Paris sans importer d'autre matériau de construction. On assimile abusivement les Catacombes à l'ensemble des carrières de la capitale, bien qu'elles n'en représentent en réalité qu'une infime fraction.
Gravure, Paris (France), Urbanisme, Histoire, Dix-huitième siècle, Cimetières, Paris (France) -- Cimetière des Innocents
Cimetière des Innocents, Paris. Le cimetière des Saints-Innocents apparaît au Ve siècle autour de l'église Notre-Dame-des-Bois, lieu de culte mérovingien installé en ce lieu. Probablement détruite durant les invasions normandes de 885-886, elle est remplacée au XIe siècle par l'église Sainte-Opportune, qui reçoit dès lors dans son enclos les morts de plusieurs paroisses de la rive droite. Ce cimetière prend en 1130 le nom de Saints-Innocents, il reçoit pendant treize siècles des dizaines de générations de Parisiens, décédés dans les vingt-deux paroisses de la ville, ainsi que les cadavres évacués de l'Hôtel-Dieu et de la morgue. D'un petit cimetière de campagne, il devient le plus grand cimetière de Paris, et est progressivement entouré de constructions, jusqu'à devenir partie intégrante d'un des quartiers les plus animés de la ville. Les guerres, les épidémies ou les famines apportent leur lot de milliers de cadavres à inhumer dans cet espace restreint, ce qui rend leur décomposition de plus en plus difficile. Les fosses communes atteignent alors plus de dix mètres de profondeur. À la fin du XVIIIe siècle, le sol du cimetière se situe en conséquence plus de deux mètres au-dessus du niveau de la rue, entraînant des problèmes d'insalubrité, dénoncés de longue date.
Gravure représentant un des quatre cirques sédentaires en activité à Paris à la fin du XIXème siècle : le Cirque des Champs-Élysées (1841-1898), connu sous les noms de Cirque de l'Impératrice ou de Cirque d'été, qui pouvait contenir jusqu'à 3 500 places. Source : "Dictionnaire historique et pittoresque du théâtre", d'Arthur Pougin (1885). page 209. Cette salle parisienne fut édifiée en 1841 au carré Marigny par l'architecte Jacques Hittorff, elle est aujourd’hui disparue. Pendant du Cirque d’hiver, construit par Hittorf pour Dejean boulevard du Temple en 1852, il fonctionnait du 1er mai au 1er septembre. L’acoustique y était si bonne qu'Hector Berlioz y donna une série de concerts en 1845. En 1847, les spectateurs payaient 2 francs au pourtour et 1 franc à l’amphithéâtre. Devenu un temps Cirque-National, il connut son apogée sous le Second Empire sous le nom de Cirque de l’Impératrice à partir de 1853 (le Cirque d’hiver devenant quant à lui le Cirque Napoléon). Sa grande attraction fut longtemps le clown Jean-Baptiste Auriol. Caroline Otero et Émilienne d'Alençon y firent leurs débuts. Son succès se prolongea jusque dans les années 1880. Le Tout-Paris s'y précipitait le samedi, jour réputé chic. Petit à petit délaissé par le public après l’exposition universelle de Paris de 1889, il fut démoli vers 1900, laissant son nom à la rue du Cirque.
Peinture, Paris (France), Piétons, Nabis (groupe d'artistes), Post-impressionnisme (art), Félix Vallotton (1865-1925)
Coin de rue à Paris, 1895, par Félix Vallotton (1865-1925), artiste suisse naturalisé français.
Peinture, Néo-impressionnisme (art), Peintres français, Paris (France), Boites à ouvrage, Couture -- Appareils et matériel, Pointillisme (art), Paul Signac (1863-1935), Couture (profession), Dessinateurs de mode, Haute couture, Patrons (couture), Stylistes
Deux stylistes Rue du Caire à Paris, 1885, par Paul Signac (1863-1935). Le/la styliste est une personne chargée de dessiner un ou plusieurs vêtements (pour alors former une collection). Le/la styliste peut également travailler sur mesure (à la demande du client). Le/la styliste peut travailler en équipe ou seul(e).
Dessins et plans, Paris (France), Paris (France) -- Gare de l'Est, Chemins de fer, Chemins de fer -- France, Paris (France) -- Gare d'Austerlitz, Paris (France) -- Gare de Lyon, Paris (France) -- Gare d'Orsay, Paris (France) -- Gare du Nord, Paris (France) -- Gare Montparnasse, Paris (France) -- Gare Saint-Lazare
Carte de la durée de voyage en train depuis Paris : Chaque couleur correspond à toutes les régions du territoire français dont le temps de parcours depuis Paris par le réseau SNCF est compris entre x heures et x+1 heures. Par exemple, le gris le plus clair correspond aux régions situées à moins d'une heure de Paris ; le gris le plus foncé, à celles situées à plus de 6 heures de Paris. Les villes représentées par un point sur cette carte sont celles dont le meilleur temps de parcours depuis Paris a été précisément vérifié. Les préfectures sont indiquées en noir, les autres villes importantes en bleu.
Photographie, Paris (France), Entretien -- Appareils et matériel, Toilettes publiques, Fourgonnettes, Camionnettes, Hygiène urbaine, Sanisettes, Santé en milieu urbain, Urbanisme -- Aspect social, Véhicules électriques
Boulevard Richard-Lenoir à Paris, entretien d'une sanisette. Véhicule électrique Goupil G3 fourgon rideau.
Gravure, Paris (France), Révolution industrielle, Expositions universelles, Expositions internationales
Galerie des machines, Exposition universelle internationale de 1889 à Paris.
Photo d'un immeuble hausmannien (dit "de rapport") du boulevard de Magenta, à Paris 10ème arrondissement.
Musique celtique sur le grand podium dans les jardins du Palais Royal, Fête de la musique 2015, Paris.
Fontaine du Puits artésien de Grenelle, place Georges Mulot, Paris. Cette fontaine a été construite à l'emplacement du premier forage artésien de Paris réalisé de 1833 à 1841 par l'ingénieur G. Mulot sous les ordres de F. Arago. La fontaine se présente sous la forme d'un massif monumental de pierre de taille de section carrée encadré de colonnes. Sur chacune de ses faces sont apposés des médaillons de pierre représentant des personnalités dont le nom est honoré par les rues qui convergent dans cette partie du 15e arrondissement : Louis-Georges Mulot (place Georges-Mulot), par Paul Waast ; Valentin Haüy (rue Valentin-Haüy), par Hippolyte Lefèbvre ; Rosa Bonheur (rue Rosa-Bonheur), par Georges Loiseau Bailly ; Eugène Bouchut (rue Bouchut), par Firmin Michelet.
Gravure, Paris (France), Architecture industrielle, Expositions universelles, Expositions internationales
Carte postale ancienne éditée par CLC N°528, PARIS : La Galerie des Machines. Au premier plan, tramways. Au loin, la Tour Eiffel. La "Galerie des Machines" a été construite pour l'Exposition universelle de Paris de 1889 par Charles-Louis Ferdinand Dutert, et démolie en 1909.
Dessins et plans, Paris (France), Géologie, Calcaire, Stratigraphie, Carrières souterraines (exploitations minières)
Schéma en coupe (simplifié) des carrières de calcaire parisiennes. Vue simplifiée des bancs de roche qui composent la géologie des carrières de la rive gauche de Paris. En jaune, les bancs exploitables pour la construction. De bas en haut : Juste au-dessus des sables yprésiens, on trouve le lutétien inférieur. Celui-ci se reconnaît par un grand nombre de nummulites visibles à l'œil nu dans la roche, et se divise en deux bancs : 1) La base verdâtre, dont la couleur révèle la présence de glauconie et de quartz ; 2) Les forgets, petits bancs alternant calcaires durs (également glauconieux) et lits de sable. En raison de sa profondeur et du peu de pierre utilisable pour la construction, cette couche n'a pas été exploitée par les carriers. Encore au-dessus, le lutétien moyen constitue une strate de six mètres d'épaisseur. Il se divise en trois bancs : 1) Le banc à vérin des carriers, reconnaissable par les cérithes géants qui s'y trouvent et par une couleur jaune-rougeâtre. D'un grain serré, il n'a été exploité que dans sa partie supérieure et de façon épisodique. 2) Les lambourdes ou vergelets, banc gris, peu épais et tendre. Il ne contient pas d'eau, ce qui le rend « non gélif » (il ne peut pas geler) et utilisable pour la construction, bien que les traces de coquilles et de fossiles y soient très visibles. 3) Le banc royal, non gélif et homogène, qui fournit des pierres de grande qualité pour la construction. Le lutétien supérieur contient quant à lui les bancs les plus variés et les plus exploitables. Il se constitue de deux strates : le banc vert et les bancs francs. Le premier sépare les niveaux inférieurs et supérieurs en carrière, le second constitue le calcaire le plus souvent exploité, avec plusieurs bancs exploitables souvent séparés par des couches de sables plus ou moins marneuses appelées bousins. Ces bancs sont en partie composés d'argile et contiennent de l'eau, ce qui les rend gélifs, mais leur dureté et leur solidité les rend tout à fait aptes à la construction. Le banc vert, premier étage du lutétien supérieur, se divise en trois bancs : 1) le liais du bas, 2) le banc vert proprement dit (qui donne son nom générique aux deux couches qui l'entourent), composé d'un lit marneux, d'argile verte et de fossiles qui témoignent de son origine lacustre, et 3) le liais du haut, identique à celui du bas. Ce liais est appelé liais franc lorsqu'il est exploité, et banc de marche lorsqu'il constitue le sol de la carrière (et donc que les visiteurs marchent dessus). Les bancs francs, qui représentent les bancs les plus souvent visibles dans les galeries de carrière, se subdivisent en six sortes : 1) Le banc de laine, ou cliquart, ou banc des galets. D'une faible épaisseur, il contient peu de fossiles. Sa consistance varie selon les cas et ressemble à celle des lambourdes lorsqu'elle est tendre, du liais lorsqu'elle est dure ; 2) Le grignard, ou coquiller. Très riche en fossiles, ce banc est peu exploitable, car il est trop constellé de coquillages pour donner des blocs réellement solides. 3) Le souchet. Très tendre, peu compact, il va donner son nom au souchevage, une technique d'extraction de la pierre. En effet, pour commencer à exploiter les bancs situés juste au-dessus, les carriers extraient le souchet de manière à créer un espace vide horizontal, puis creusent des fentes sur le côté du bloc à extraire (ce que l'on appelle le défermage). Contenant quelquefois des galets et des fossiles, le souchet se délite facilement. 4) Le banc blanc, ou banc royal, ou liais franc, ou remise. D'un grain fin et serré, il donne des blocs de bonne qualité, qui se vendront à prix d'or pendant les chantiers du XVIIIe et du XIXe siècle. 5) Le banc franc, ou haut banc, ou banc royal, ou rustique. Il ressemble au banc blanc, et donne lui aussi des blocs de qualité, mais on l'en distingue par le fait qu'il contienne beaucoup moins de fossiles. 6) La roche, ou ciel de carrière. Cette couche, très dure et très coquillière, est souvent laissée en place pour servir de toit à la carrière (que l'on appelle ciel de carrière).
Gravure, Paris (France), Dix-huitième siècle, Inondations, Cartes anciennes, Seine (France. - cours d'eau)
Carte des inondations de la Seine à Paris en décembre 1740. Source : Commission Municipale du Vieux Paris.
Photographie, Paris (France), Inscriptions, Carrières souterraines (exploitations minières), Catacombes, Jacques Delille (1738-1813), Ossuaires, Poètes français, Vers alexandrin
Inscription à l'entrée des Catacombes de Paris : Avant de pénétrer dans l'ossuaire, par une porte métallique encadrée de deux piliers de soutènement décorés de motifs géométriques blancs sur fond noir, un avertissement en alexandrin du poète Jacques Delille (1738-1813) inscrit en lettres noires sur le linteau accueille le visiteur : « Arrête ! C'est ici l'empire de la mort ».
Peinture, Paris (France), Histoire, Dix-neuvième siècle, Alfred Roll (1846–1919), Architectes paysagistes, Constructions de jardins, Jardins français, Jean-Charles Alphand (1817-1891), Portraitistes
Portrait de Jean-Charles Adolphe Alphand (1817-1891) par Alfred Roll (1846–1919), peintre officiel de la Troisième République. Jean-Charles Alphand est un ingénieur des ponts et chaussées connu pour son travail d'embellissement de Paris. En 1853, il est appelé par baron Haussmann comme ingénieur en chef au service des promenades et dès lors participe aux transformations de Paris sous le Second Empire en compagnie de son confrère Eugène Belgrand et du jardinier Jean-Pierre Barillet-Deschamps. Il y crée des promenades, des parcs et des jardins destinés à embellir et assainir Paris. Il remodèle également les bois de Vincennes et de Boulogne. À la destitution du baron Haussmann le 5 janvier 1870 il reste en poste et à la chute du Second Empire, il est maintenu directeur des travaux de Paris. À la mort d'Haussmann, en 1891, il fut élu à l'académie des Beaux-Arts et occupa le fauteuil d'Haussmann.
Textes, Provence (France), Figues, Paris (France), Tristesse, Dix-neuvième siècle, Terreur, Ânes, Gourdes (récipients), Contes provençaux, Paul Arène (1843-1896), Fuite, Gloire
Fuite de Blanquet, chapitre 13 de "Jean-des-Figues", 1884, par Paul Arène (1843-1896), poète provençal et écrivain français. Narration et description : souvenirs d'enfance, départ de Provence, trajet vers Paris pendant un mois à dos d'âne (881 mots).
Textes, Paris (France), Théâtre, Dix-neuvième siècle, Poésie, Contes provençaux, Paul Arène (1843-1896)
Une première, chapitre 14 de "Jean-des-Figues", 1884, par Paul Arène (1843-1896), poète provençal et écrivain français. Narration et description : souvenirs d'enfance, découverte de Paris, soirée à une "première", coup de foudre pour le théâtre (1103 mots).
Gravure, Paris (France), Institut de France -- Musées, Architecture, Académies (sociétés savantes), Sociétés savantes et instituts
Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.286 : manuel scolaire, édition de 1904. L'INSTITUT DE FRANCE. - C'est dans ce palais que siègent les cinq grandes Académies dont l'ensemble forme l'Institut de France. On appelle académie une réunion d'hommes illustres dans les lettres, dans les sciences ou dans les arts. Tout le monde connaît l'Académie française qui compta parmi ses membres Bossuet, Racine, Corneille, Boileau et tant d'autres ; l'Académie des sciences compta parmi les siens Buffon, Monge, Lavoisier, Laplace, Fresnel, Arago, etc.
Gravure, Paris (France), Livres et lecture, Bibliothèques, Lecteurs (bibliothèques), Livres et lecture -- Dans l'art, Bibliothèques -- Publics, Paris (France) -- Bibliothèque Sainte-Geneviève
Intérieur de la Bibliothèque Sainte-Geneviève, Thomas, in Edward Edwards, "Memoirs of libraries: including a handbook of library economy", London : Trübner & Co., 1859, p. 674. (Library of Congress's Prints and Photographs division, ID ppmsca.15552). Henri Labrouste (1801-1875) est appointé depuis 1838 comme architecte de l'ancienne bibliothèque Sainte-Geneviève. En tant qu'expert, il préconise la construction d'un nouvel ensemble, contre toute attente il en reçoit lui-même la commande et présente rapidement un projet, approuvé en juillet 1843 et confirmé par la loi du 19 juillet relative à la bibliothèque Sainte-Geneviève. Ce premier édifice, spécifiquement dédié à l'accueil d'une bibliothèque, innovant par son architecture, est inauguré le 4 février 1851. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Biblioth%C3%A8que_Sainte-Genevi%C3%A8ve
Gravure, Fables françaises, Montagnes, souris, Paris (France), Jean de La Fontaine (1621-1695), Caricaturistes, Grandville (1803-1847), Accouchement
La montagne qui accouche, par J.J. Grandville (1803-1847), illustrations des fables de La Fontaine, 1838-1840.
Photographie, Paris (France), Lampes, Histoire, Poix, Lampes à huile, Vasques, Catacombes, Ossuaires, Allées sépulcrales, Circulation de l'air, Ventilation des mines
Lampe sépulcrale aux Catacombes de Paris : après un coude de la galerie, s'élève dans un renfoncement une colonne de pierre surmontée d'une vasque de forme antique, dite lampe sépulcrale. Ce monument, le premier réalisé dans l'ossuaire, servait à brûler de la résine de poix, l'air étant progressivement corrompu par les dépôts d'ossements, ce qui rendait l'air difficilement respirable pour les ouvriers chargés des transferts. L'entretien d'un foyer était en effet le meilleur moyen d'assurer une ventilation lors de travaux souterrains. Elle servait ainsi à veiller les morts, et plus prosaïquement à améliorer la circulation de l'air, avant la construction des puits d'aération.
Peinture, Néo-impressionnisme (art), Peintres français, Paris (France), Pointillisme (art), Paul Signac (1863-1935), Ouvriers du bâtiment
Le Démolisseur (1897-1899) par Paul Signac (1863-1935). Musée des Beaux-Arts de Nancy.
Couverture du supplément illustré du Petit Journal le 11 février 1912 : le syndicat des locataires manifeste et tente d'installer en plein jardin des Tuileries une famille de dix personnes explusée de son logement.
Les environs de Paris, 1757, carte de Robert de Vaugondy père et fils : Gilles Robert de Vaugondy (1688–1766) et Didier Robert de Vaugondy (1723–1786). Source : "Atlas Universel", Paris 1757 (1ère édition)
Photographie, Paris (France), Histoire, Jean-Charles Alphand (1817-1891), 16e arrondissement (Paris, France), Architectes-paysagistes, Jules Dalou (1838-1902), Monuments commémoratifs
"Monument à Alphand"1899, par Jules Dalou (1838-1902), avenue Foch à Paris : monument à la mémoire de Jean-Charles Alphand (1817-1891), œuvre du sculpteur Jules Dalou et de l'architecte Jean Camille Formigé, érigé entre les numéros 17 et 22 de l'avenue Foch, dans le 16e arrondissement de Paris.
Orme champêtre (Ulmus minor, var. Jacqueline Hillier) : orme nain âgé d'environ 15 ans et planté en 2007 aux Arènes de Lutèce, à Paris.
Textes, Architecture (19e siècle), Paris (France), Architecture française, Construction métallique, Architecture publique, Commerce de luxe, Livre des passages - Walter Benjamin (1892-1940), Passages-galeries, Passages-galeries -- France, Produits de luxe
"Paris, capitale du dix-neuvième siècle" : A. Fourier ou Les passages, chapitre 1. Walter Benjamin (1892 - 1940) est un philosophe, historien de l'art, critique littéraire, critique d'art et traducteur (notamment de Balzac, Baudelaire et Proust) allemand de la première moitié du XXe siècle, rattaché à l'école de Francfort. Les "passages" sont contemporains du commerce de luxe parisien et des débuts de la construction métallique.
Textes, Villes, Paris (France), Urbanisme, Symbolisme en urbanisme, Charles Fourier (1772-1837), Fouriérisme, Phalanstère, Villes -- Aspect social, Passages-galeries, Flânerie, Livre des passages - Walter Benjamin (1892-1940), Villes -- Effets des innovations, Walter Benjamin (1892-1940)
"Paris, capitale du dix-neuvième siècle" : A. Fourier ou Les passages, chapitre 2. Walter Benjamin (1892 - 1940) est un philosophe, historien de l'art, critique littéraire, critique d'art et traducteur (notamment de Balzac, Baudelaire et Proust) allemand de la première moitié du XXe siècle, rattaché à l'école de Francfort. Les phalanstères de Fourier sont une ville faite de passages, décor idéal pour le flâneur, ou comment intégrer la technique dans la vie sociale.
Jean-Baptiste Bourguignon d'Anville (1697-17--), 1705 : "Lutèce conquise par les François sur les Romains ou second plan de la ville de Paris : Tiré du misopogone de l'empereur Julien, d'Amian Marcellin, de Grégoire de Tours, de Boète, de l'Abbé Suger, des Anciens titres, du Trésor des Chartres, des archives de St Magloire, de St Eloy, du Temple et des Vestiges de cette ancienne enceinte qui subsiste encore aujourd'huy ou que l'on a vu de nos jours."
Plan de Paris, 1615, par Matthäus Merian (1593-1650), graveur sur cuivre et éditeur germano-suisse.
"Plan de Paris" de Mérian : Le plan de Mérian est un plan « vu d'oiseau » de Paris en direction de l'est, avec perspective datant de 1615. Il a été composé sur deux feuilles de 51 cm sur 38 cm chaque par le graveur suisse Matthäus Merian. En haut, un phylactère avec le titre : « LE PLAN DE LA VILLE, CITE, VNIVERSITE ET FAVX-BOVRGS DE PARIS AVEC LA DESCRIPTION DE SON ANTIQVITE ET SINGVLIARITES ». En haut à gauche, entre le Château de Vincennes et les Marets du Temple, figurent les armes de Paris (un bateau sur une rivière), au milieu d'une couronne de lauriers. Et à côté les armes de France et de Navarre entourées du collier de l'ordre du Saint-Esprit. En bas à gauche, au-dessous de la ferme de la Grange Batellière on peut lire ce quatrain : Cette ville est un autre monde / Dedans, un monde florissant, / En peuples et en biens puissants / Qui de toutes choses abonde. À côté, sur la droite, le nom de l'auteur : « Matheus Merian Basiliensis fecit». En bas du plan, se trouve un ornement en forme de rose des vents placée au milieu de la Seine en aval.
Plan de Paris en 1760, par Robert de Vaugondy (1723-1786), cartographe français.
Dessins et plans, Paris (France), Urbanisme, Jardins publics, Paris (France) -- Quartier du Jardin des Plantes, Monuments historiques, Espaces verts, Muséum d'histoire naturelle
Plan détaillé du Muséum d'Histoire Naturelle et du Jardin des Plantes de Paris, classés, avec l'ensemble des bâtiments, monument historique le 24 mars 1993.
Photographie du Point Zéro (plus précisément le Point Kilomètre Zéro) des Routes de France matérialisé par une dalle en quatre quartiers au centre de laquelle est placé un médaillon hexagonal représentant une rose des vents. C' est à partir de ce point que sont calculées, en kilomètres, les distances routières entre Paris et les autres villes de France. Ce Point Zéro est situé sur le parvis de Notre-Dame de Paris.