Transfert en cours..., vous êtes sur le "nouveau" serveur data.abuledu.org dont l'hébergement est financé par l'association abuledu-fr.org grâce à vos dons et adhésions !
Vous pouvez continuer à soutenir l'association des utilisateurs d'AbulÉdu (abuledu-fr.org) ou l'association ABUL.
Suivez la progression de nos travaux et participez à la communauté via la liste de diffusion.

Votre recherche ...

Nuage de mots clés

Dix-neuvième siècle | Gravure | Photographie | Littérature pour la jeunesse | Alice au pays des merveilles - Lewis Carroll (1832-1898) | Lewis Carroll (1832-1898) | Fillettes | Comptines anglaises | Art roman | Chapiteaux romans | Comptines | Pères et fils | Dessins et plans | Grenouilles | Lapin | Jonas | Canards | Monstres marins | souris | Roman | ...
Le moulin de Sarehole. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e0cc5c-le-moulin-de-sarehole

Le moulin de Sarehole

Le moulin de Sarehole à Birmingham, Angleterre. Dans une lettre à Rayner Unwin, Tolkien affirme que la Comté « a pour modèle l'Angleterre rurale, et aucun autre pays au monde », et que « la toponymie de la Comté […] est une "parodie" de celle de l'Angleterre rurale ». Tolkien insère de nombreux points de ressemblance entre l'Angleterre et la Comté dans sa narration, comme le climat, l'agriculture ou la langue, mais aussi une myriade de détails divers qui renvoient bien plus à l'Angleterre de la fin du XIXe siècle qu'à un monde pré-industrialisé : « … des calendriers sur lesquels on peut cocher des dates, un service postal (avec des bureaux locaux), des invitations écrites à des fêtes, des feux d'artifices, des gilets de soie, des pétards, des mouchoirs, des boules de naphtaline, des parapluies, des encriers, des bibliothèques… » L'industrialisation de la Comté a été reliée à la destruction des lieux où Tolkien passa « la période la plus idyllique de son enfance » : Sarehole et la campagne alentour, dans le Worcestershire.

Plaque en anglais du moulin de Tolkien. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e0ce8e-plaque-en-anglais-du-moulin-de-tolkien

Plaque en anglais du moulin de Tolkien

Plaque bleue au Moulin de Sarehole Mill à Birmingham, à la mémoire de J. R. R. Tolkien et Matthew Boulton. "Birmingham Civis Society 2002, Saherole Mill, Site of water mill since 1542, used by Matthew Boulton in mid 18th century, rebuilt 1768, Inspired J.R.R Tolkien 1896-1900. The Tolkien Society" = site d'un moulin à eau depuis 1542 utilisé par Matthew Boulton au milieu du XVIIIème siècle et reconstruit en 1768. A inspire Tolkien entre 1896 et 1900.

Ah, vous dirai-je ma soeur. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f27fb7-ah-vous-dirai-je-ma-soeur

Ah, vous dirai-je ma soeur

Illustration de la chanson du chapeler fou d'Alice. Source : 26 Illustration d'origine (1865), par John Tenniel (28 février 1820 – 25 février 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : « Ah ! vous dirai-je, ma sœur, Ce qui calme ma douleur ! C’est que j’avais des dragées, Et que je les ai mangées. » Traduction littérale : Brille, brille petite chauve-souris ! Comme je me demande ce que tu manigances. Tu survoles de haut le monde Comme un plateau à thé dans le ciel...

Alice dans une mare de larmes salées. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cf865d-alice-dans-une-mare-de-larmes-salees

Alice dans une mare de larmes salées

Alice nage dans une mare de larmes salées, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (1820 – 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : Mais elle comprit bientôt qu’elle était dans une mare formée des larmes qu’elle avait pleurées, quand elle avait neuf pieds de haut. « Je voudrais bien n’avoir pas tant pleuré, » dit Alice tout en nageant de côté et d’autre pour tâcher de sortir de là. « Je vais en être punie sans doute, en me noyant dans mes propres larmes. C’est cela qui sera drôle ! Du reste, tout est drôle aujourd’hui. »

Alice en colère. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cf0dc2-alice-en-colere

Alice en colère

Alice en colère, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (1820 – 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : « Je ne me tairai pas, » dit Alice. « Qu’on lui coupe la tête ! » hurla la Reine de toutes ses forces. Personne ne bougea. « On se moque bien de vous, » dit Alice (elle avait alors atteint toute sa grandeur naturelle). « Vous n’êtes qu’un paquet de cartes ! » Là-dessus tout le paquet sauta en l’air et retomba en tourbillonnant sur elle...

Alice et la chenille. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cfdced-alice-et-la-chenille

Alice et la chenille

Alice et la chenille sur un champignon, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (1820 – 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : Près d’elle poussait un large champignon, à peu près haut comme elle. Lorsqu’elle l’eut examiné par-dessous, d’un côté et de l’autre, par-devant et par-derrière, l’idée lui vint qu’elle ferait bien de regarder ce qu’il y avait dessus. Elle se dressa sur la pointe des pieds, et, glissant les yeux par-dessus le bord du champignon, ses regards rencontrèrent ceux d’une grosse chenille bleue assise au sommet, les bras croisés, fumant tranquillement une longue pipe turque sans faire la moindre attention à elle ni à quoi que ce fût.

Alice et la petite clef. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cf7e7f-alice-et-la-petite-clef

Alice et la petite clef

Alice et la petite clef, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (1820 – 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : Tout à coup elle rencontra sur son passage une petite table à trois pieds, en verre massif, et rien dessus qu’une toute petite clef d’or. Alice pensa aussitôt que ce pouvait être celle d’une des portes ; mais hélas ! soit que les serrures fussent trop grandes, soit que la clef fût trop petite, elle ne put toujours en ouvrir aucune. Cependant, ayant fait un second tour, elle aperçut un rideau placé très-bas et qu’elle n’avait pas vu d’abord ; par derrière se trouvait encore une petite porte à peu près quinze pouces de haut...

Alice et la souris nagent dans la mare. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cf87f6-alice-et-la-souris-nagent-dans-la-mare

Alice et la souris nagent dans la mare

Alice et la souris nagent dans la mare, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (1820 – 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : Oh ! si vous la voyiez, je suis sûre que vous prendriez de l’affection pour les chats. Dinah est si douce et si gentille. » Tout en nageant nonchalamment dans la mare et parlant moitié à part soi, moitié à la Souris, Alice continua : « Elle se tient si gentiment auprès du feu à faire son rouet, à se lécher les pattes, et à se débarbouiller ; son poil est si doux à caresser ; et comme elle attrape bien les souris ! — Oh ! pardon ! » dit encore Alice, car cette fois le poil de la Souris s’était tout hérissé, et on voyait bien qu’elle était fâchée tout de bon. « Nous n’en parlerons plus si cela vous fait de la peine. »

Alice et le breuvage interdit. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cf806a-alice-et-le-breuvage-interdit

Alice et le breuvage interdit

Alice et le breuvage interdit, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (1820 – 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : Cette fois elle trouva sur la table une petite bouteille (qui certes n’était pas là tout à l’heure). Au cou de cette petite bouteille était attachée une étiquette en papier, avec ces mots « BUVEZ-MOI » ("DRINK ME") admirablement imprimés en grosses lettres. C’est bien facile à dire « Buvez-moi, » mais Alice était trop fine pour obéir à l’aveuglette. « Examinons d’abord, » dit-elle, « et voyons s’il y a écrit dessus « Poison » ou non. »

Alice et le chiot. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cfdbb0-alice-et-le-chiot

Alice et le chiot

Alice tend un bâton au chiot en se cachant derrière un chardon, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (1820 – 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : Sans trop savoir ce qu’elle faisait, elle ramassa une petite baguette et la présenta au petit chien qui bondit des quatre pattes à la fois, aboyant de joie, et se jeta sur le bâton comme pour jouer avec. Alice passa de l’autre côté d’un gros chardon pour n’être pas foulée aux pieds.

Alice et les animaux trempés. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cf8a67-alice-et-les-animaux-trempes

Alice et les animaux trempés

Alice et les animaux trempés par ses larmes, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (28 février 1820 – 25 février 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : Enfin la Souris, qui paraissait avoir un certain ascendant sur les autres, leur cria : « Asseyez-vous tous, et écoutez-moi ! Je vais bientôt vous faire sécher, je vous en réponds ! » Vite, tout le monde s’assit en rond autour de la Souris, sur qui Alice tenait les yeux fixés avec inquiétude, car elle se disait : « Je vais attraper un vilain rhume si je ne sèche pas bientôt. »

Alice fait peur au lapin blanc. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cf84fa-alice-fait-peur-au-lapin-blanc

Alice fait peur au lapin blanc

Alice fait peur au lapin blanc, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (1820 – 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : Alice se trouvait si malheureuse, qu’elle était disposée à demander secours au premier venu ; ainsi, quand le Lapin fut près d’elle, elle lui dit d’une voix humble et timide, « Je vous en prie, Monsieur, » Le Lapin tressaillit d’épouvante, laissa tomber les gants et l’éventail, se mit à courir à toutes jambes et disparut dans les ténèbres.

Alice fait tomber le lapin. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cf8f07-alice-fait-tomber-le-lapin

Alice fait tomber le lapin

Alice fait tomber le lapin blanc, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (28 février 1820 – 25 février 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : Elle attendit un peu ; puis, quand elle crut que le Lapin était sous la fenêtre, elle étendit le bras tout à coup pour le saisir ; elle ne prit que du vent. Mais elle entendit un petit cri, puis le bruit d’une chute et de vitres cassées (ce qui lui fit penser que le Lapin était tombé sur les châssis de quelque serre à concombre)...

Alice grandit comme un télescope. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cf81c0-alice-grandit-comme-un-telescope

Alice grandit comme un télescope

Alice grandit démeusurément, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (1820 – 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : « De plus très-curieux en plus très-curieux ! » s’écria Alice (sa surprise était si grande qu’elle ne pouvait s’exprimer correctement) : « Voilà que je m’allonge comme le plus grand télescope qui fût jamais ! Adieu mes pieds ! » (Elle venait de baisser les yeux, et ses pieds lui semblaient s’éloigner à perte de vue.)

Alice renverse le banc des jurés. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cf1089-alice-renverse-le-banc-des-jures

Alice renverse le banc des jurés

Alice renverse le banc des jurés, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (1820 – 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : « Voilà ! » cria Alice, oubliant tout à fait dans le trouble du moment combien elle avait grandi depuis quelques instants, et elle se leva si brusquement qu’elle accrocha le banc des jurés avec le bord de sa robe, et le renversa, avec tous ses occupants, sur la tête de la foule qui se trouvait au-dessous, et on les vit se débattant de tous côtés, comme les poissons rouges du vase qu’elle se rappelait avoir renversé par accident la semaine précédente.

Alice sort un dé de sa poche. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cf8bfb-alice-sort-un-de-de-sa-poche

Alice sort un dé de sa poche

Alice sort un dé de sa poche, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (28 février 1820 – 25 février 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : « Mais il faut aussi qu’elle ait un prix, elle, » dit la Souris. « Comme de raison, » reprit le Dodo gravement. « Avez-vous encore quelque chose dans votre poche ? » continua-t-il en se tournant vers Alice. « Un dé ; pas autre chose, » dit Alice d’un ton chagrin. « Faites passer, » dit le Dodo. Tous se groupèrent de nouveau autour d’Alice, tandis que le Dodo lui présentait solennellement le dé en disant : « Nous vous prions d’accepter ce superbe dé. » Lorsqu’il eut fini ce petit discours, tout le monde cria « Hourra ! » Alice trouvait tout cela bien ridicule, mais les autres avaient l’air si grave, qu’elle n’osait pas rire ; aucune réponse ne lui venant à l’esprit, elle se contenta de faire la révérence, et prit le dé de son air le plus sérieux.

Ambialet (Tarn) vue du prieuré. Source : http://data.abuledu.org/URI/51bcc5d0-ambialet-tarn-vue-du-prieure

Ambialet (Tarn) vue du prieuré

Situé dans la haute vallée du Tarn, le méandre, long de 3 km, enlace l'aiguille schisteuse de la presqu'île d'Ambialet sur laquelle est bâti le bourg, réunissant ainsi les cours supérieur et inférieur en un isthme d'une trentaine de mètres seulement. Au sommet de la presqu'île s'élève le Prieuré, un monastère, et son église romane du XIe siècle.

Apparition d'un fantôme. Source : http://data.abuledu.org/URI/53442766-apparition-d-un-fantome

Apparition d'un fantôme

Illustration par Labeauce et Mine : Apparition d'un fantôme de dame blanche au chevet d'un mourant, 30 Septembre 1857, "La Lecture" Journal de Roman N°121.

Bains romains à Bath en Angleterre. Source : http://data.abuledu.org/URI/54cbc977-bains-romains-a-bath-en-angleterre

Bains romains à Bath en Angleterre

Bains romains à Bath en Angleterre.

Brique vernissée à Montréal. Source : http://data.abuledu.org/URI/59780708-brique-vernissee-a-montreal

Brique vernissée à Montréal

Station de métro Place-Saint-Henri, Montréal. Sur le mur, on peut y lire : « Bonheur d'occasion », titre d'un roman de Gabrielle Roy dont l'action se situe à Saint-Henri.

Calendrier nord-coréen. Source : http://data.abuledu.org/URI/5325da28-calendrier-nord-coreen

Calendrier nord-coréen

Calendrier nord-coréen (septembre 2010) montrant un enfant se lavant les mains.

Carte des voyages du Capitaine Hatteras, de Jules Verne. Source : http://data.abuledu.org/URI/5070b64f-carte-des-voyages-du-capitaine-hatteras-de-jules-verne

Carte des voyages du Capitaine Hatteras, de Jules Verne

Carte des ''Voyages et aventures du capitaine Hatteras'' de Jules Verne (1864-66) : roman paru en feuilleton dès le premier numéro du "Magasin d'Éducation et de Récréation" en deux parties. "Les Anglais au Pôle Nord" est publié du 20 mars 1864 au 20 février 1865, "Le Désert de glace", du 5 mars au 5 décembre 1865. La grande édition in 8° est mise en vente à partir du 26 novembre 1866, sous le titre "Voyages et aventures du Capitaine Hatteras". Les 150 vignettes qui illustrent ce livre sont dues à Édouard Riou.

Chapiteau de la Dispute. Source : http://data.abuledu.org/URI/504a61f7-chapiteau-de-la-dispute

Chapiteau de la Dispute

Photographie du chapiteau roman de la Dispute. (Musée Sainte-Croix de Poitiers, XIe siècle).

Chapiteau roman de la collégiale Saint-Salvy à Albi. Source : http://data.abuledu.org/URI/596d6f8a-chapiteau-roman-de-la-collegiale-saint-salvy-a-albi
Chevet roman de l'église de Saint-Macaire-33. Source : http://data.abuledu.org/URI/599a9b17-chevet-roman-de-l-eglise-de-saint-macaire-33

Chevet roman de l'église de Saint-Macaire-33

Chevet roman de l'église de Saint-Macaire-33.

Communication. Source : http://data.abuledu.org/URI/51ee62c5-communication

Communication

Schéma de la communication verbale, d'après Jacobson. À chacun des six facteurs inaliénables de la communication correspond une des six fonctions du langage (entre parenthèses). D'après Roman Jakobson, « le langage doit être étudié dans toutes ses fonctions ». C'est-à-dire que le linguiste doit s'attacher à comprendre à quoi sert le langage, et s'il sert à plusieurs choses. « Pour donner une idée de ses fonctions, un aperçu sommaire portant sur les facteurs constitutifs de tout procès linguistique, de tout acte de communication verbale, est nécessaire ». Les voici : 1) Le message lui-même 2) Le destinateur envoie un message au destinataire ; 3) Le destinataire est censé recevoir le message ; 4) Pour être opérant, le message requiert d'abord un contexte auquel il renvoie (c'est ce qu'on appelle aussi, dans une terminologie quelque peu ambiguë, le "référent"), contexte saisissable par le destinataire, et qui est soit verbal, soit susceptible d'être verbalisé ; 4) le message requiert un code, commun, en tout ou au moins en partie, au destinateur et au destinataire (ou, en d'autres termes, à l'encodeur et au décodeur du message) ; 5) le message requiert un contact, un canal physique et une connexion psychologique entre le destinateur et le destinataire, contact qui leur permet d'établir et de maintenir la communication. Les fonctions du langage sont les suivantes : 1) fonction expressive (expression des sentiments du locuteur), 2) fonction conative (fonction relative au récepteur), 3) fonction phatique (mise en place et maintien de la communication), 4) fonction référentielle (le message renvoie au monde extérieur), 5) fonction métalinguistique (le code lui-même devient objet du message), 6) fonction poétique (la forme du texte devient l'essentiel du message).

Coupe d'une voie romaine à Pompéi. Source : http://data.abuledu.org/URI/557d45c0-coupe-d-une-voie-romaine-a-pompei

Coupe d'une voie romaine à Pompéi

Coupe d'une voie romaine à Pompéi, "A Dictionary of Greek and Roman Antiquities", par J. Murray, 1848.

Dandie Dinmont Terrier. Source : http://data.abuledu.org/URI/516a451c-dandie-dinmont-terrier

Dandie Dinmont Terrier

Terrier "Dandie Dinmont". Le Dandie Dinmont Terrier est une race de chiens qui appartient au groupe des terriers. Ce terrier court sur pattes a été créé probablement au XVIIIe siècle dans la région d'Écosse des Borders. Certains indices morphologiques et historiques semblent indiquer que ce chien serait issu d'un croisement de Skye Terrier et d'Otterhound. Ce croisement aurait été effectué pour obtenir un chien très efficace dans la chasse à la loutre, travail dans lequel excellent ses deux ancêtres. La légende dit que le Dandie aurait été d'abord un chien de Bohémiens. Il est certain que ses premiers éleveurs reconnus étaient des fermiers, notamment un certain Piper Allan et son fils James Allan. C'est le roman Guy Mannering de Sir Walter Scott qui a popularisé la race en mettant en scène un personnage nommé Dandie Dinmont et ses terriers, tous nommés Pepper (Poivre) ou Mustard (Moutarde). le Dandie est un petit chien charmant, de bon caractère et confiant. Il est très affectueux, joueur et n'a rien perdu de son talent de chasseur. Comme trois de ses 4 cousins écossais, le Dandie a besoin d'être toiletté. Comme tous les terriers, c'est un chien très rustique capable d'atteindre 16 ans en très bonne santé.

Dans un millier d'années. Source : http://data.abuledu.org/URI/515cc57e-dans-un-millier-d-annees

Dans un millier d'années

Conte de Hans Christian Andersen (1805-1875), publié en 1853 : conte d'anticipation sur le tourisme aérien américain en Europe, sur son ton sarcastique habituel, parodiant un guide touristique. Texte complexe mêlant les temps du passé, du présent et du futur. Fin de cycle 3 (786 mots). Source en anglais : http://www.gutenberg.org/files/27000/27000-h/27000-h.htm#IN_A_THOUSAND_YEARS. Traduction en français ALS, 4 avril 2013.

Descriptif du château de Sarzay. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f1963c-descriptif-du-chateau-de-sarzay

Descriptif du château de Sarzay

Descriptif bilingue du château de Sarzay : "Ce château construit au XVI° siècle fut une imposante forteresse comprenant 38 tours et 3 ponts-levis, elle sortit intacte de la Guerre de Cent ans, des guerres de religion, de la Fronde et de la Révolution. Les armoiries : trois têtes de léopard et trois têtes d'anglais tranchées. Il est aujourd'hui un des monuments les plus photographiés. George Sand y situe son roman "Le meunier d'Angibault".

Deux Terriers Dandie Dinmont. Source : http://data.abuledu.org/URI/516a46a9-deux-terriers-dandie-dinmont

Deux Terriers Dandie Dinmont

Poivre (à gauche) et Moutarde (à droite), deux terriers Dandie Dinmont. C'est le roman Guy Mannering de Sir Walter Scott qui a popularisé la race en mettant en scène un personnage nommé Dandie Dinmont et ses terriers, tous nommés Pepper (Poivre) ou Mustard (Moutarde). Andrew (Dandie) Dinmont, fermier des collines du Liddesdale (comté de Roxburgh). Il possède (sans compter les autres chiens) six terriers : trois s’appellent Pepper, et trois Mustard. Le Dandie Dinmont Terrier doit son nom à ce personnage de Scott, rude mais hospitalier, franc, honnête, fidèle, fort, courageux. Noble figure, tout en générosité. « J’ai plus de plaisir, dit l’avocat Paulus Pleydell, à voir ce brave fermier qu’à me trouver en face du meilleur festin ! » Et Mannering d’assurer que « sa redingote et ses gros souliers feraient honneur au palais d’un roi ».

Douves du château de Douvres. Source : http://data.abuledu.org/URI/5654a3d6-douves-du-chateau-de-douvres

Douves du château de Douvres

Douves du château de Douvres en Angleterre.

Ensileuse à maïs. Source : http://data.abuledu.org/URI/5288d02c-ensileuse-a-mais

Ensileuse à maïs

Moisson avec ensileuse à maïs. Le maïs-fourrage se récolte à l’aide d’ensileuses qui hachent les plantes entières lorsque le taux de matière sèche atteint 30 % (grain rayable à l’ongle). Le maïs-fourrage est destiné aux ruminants et peut être ensilé ou utilisé comme fourrage frais.

Fronstispice de l'Astrée en 1612. Source : http://data.abuledu.org/URI/530b5573-fronstispice-de-l-astree-en-1612

Fronstispice de l'Astrée en 1612

Frontispice du premier volume de L'Astrée, roman d'Honoré d'Urfé, édition Le Bray, Paris, 1612 : Céladon et Astrée tenant la houlette (bâton à crochet).

Gazinière. Source : http://data.abuledu.org/URI/502a2f8c-gaziniere

Gazinière

Photo de gazinière à quatre trous et four.

Heidi et sa chèvre. Source : http://data.abuledu.org/URI/511baa70-heidi-et-sa-chevre

Heidi et sa chèvre

Heidi et sa chèvre, 1880, par Jessie Willcox Smith (1863-1935). Roman de Johanna Spyri (1827-1901).

Heidi et son grand-père. Source : http://data.abuledu.org/URI/511ba968-heidi-et-son-grand-pere

Heidi et son grand-père

Heidi et son grand-père dans les Alpages, 1880, par Jessie Willcox Smith (1863-1935). Roman de Johanna Spyri (1827-1901).

Heurtoir en bronze roman. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c6355c-heurtoir-en-bronze-roman

Heurtoir en bronze roman

Brioude en Haute-Loire. Heurtoir en bronze de la porte sud de la basilique Saint-Julien représentant une tête de lion entourée de l’inscription latine « EXANIMIS VITA DAT SP ORIS » signifiant « JE NAIS SANS VIE , LE SOUFFLE DE LA BOUCHE ME DONNE LA VIE » - (époque romane).

Horloge de la mairie de Pidhaytsi en Ukraine. Source : http://data.abuledu.org/URI/529a5b56-horloge-de-la-mairie-de-pidhaytsi-en-ukraine

Horloge de la mairie de Pidhaytsi en Ukraine

Horloge de la mairie de Pidhaytsi en Ukraine.

Jonas à Vérone. Source : http://data.abuledu.org/URI/545e2e1c-jonas-a-verone

Jonas à Vérone

Chapiteau extérieur (portail latéral), Dome de Vérone en Italie, cathédrale Santa Maria Matricolare.

Jonas avalé par le monstre marin. Source : http://data.abuledu.org/URI/545e1ff9-jonas-avale-par-la-baleine

Jonas avalé par le monstre marin

Jonas avalé par la baleine, chapiteau de la nef de l'abbatiale de Mozac (XIIe siècle). Face droite du chapiteau.

Jonas recraché par le monstre marin. Source : http://data.abuledu.org/URI/545e2111-jonas-recrache-par-le-monstre-marin

Jonas recraché par le monstre marin

Jonas recraché par le monstre marin sur la plage de Ninive, chapiteau de la nef de l'abbatiale de Mozac (XIIe siècle). Face gauche du chapiteau.

L'ascension d'Alexandre le Grand. Source : http://data.abuledu.org/URI/54b9743a-l-ascencion-d-alexandre-le-grand

L'ascension d'Alexandre le Grand

Bas-relief représentant l'ascension d'Alexandre le Grand, Fidenza en Italie.

L'île Mystérieuse de Jules Verne. Source : http://data.abuledu.org/URI/5070b3f5-l-ile-mysterieuse-de-jules-verne

L'île Mystérieuse de Jules Verne

L'Île mystérieuse est un roman de Jules Verne paru en 1874. Il constitue une suite de Vingt mille lieues sous les mers, avec notamment la réapparition d'un mystérieux personnage, ainsi que des Enfants du capitaine Grant, avec celle d'Ayrton ou Ben Joyce. L'œuvre fut d'abord publiée en feuilleton dans le "Magasin d'Éducation et de Récréation" du 1er janvier 1874 au 15 décembre 1875, puis sortit en volume dès le 22 novembre 1875.

L'invitation pour Mme la Duchesse, d'Alice. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cfe81e-l-invitation-pour-mme-la-duchesse-d-alice

L'invitation pour Mme la Duchesse, d'Alice

L'invitation pour Mme la Duchesse, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (1820 – 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : Alice resta une ou deux minutes à regarder à la porte ; elle se demandait ce qu’il fallait faire, quand tout à coup un laquais en livrée sortit du bois en courant. (Elle le prit pour un laquais à cause de sa livrée ; sans cela, à n’en juger que par la figure, elle l’aurait pris pour un poisson.) Il frappa fortement avec son doigt à la porte. Elle fut ouverte par un autre laquais en livrée qui avait la face toute ronde et de gros yeux comme une grenouille. Alice remarqua que les deux laquais avaient les cheveux poudrés et tout frisés. Elle se sentit piquée de curiosité, et, voulant savoir ce que tout cela signifiait, elle se glissa un peu en dehors du bois afin d’écouter. Alice par John Tenniel 20.png Le Laquais-Poisson prit de dessous son bras une lettre énorme, presque aussi grande que lui, et la présenta au Laquais-Grenouille en disant d’un ton solennel : « Pour Madame la Duchesse, une invitation de la Reine à une partie de croquet. » Le Laquais-Grenouille répéta sur le même ton solennel, en changeant un peu l’ordre des mots : « De la part de la Reine une invitation pour Madame la Duchesse à une partie de croquet ; » puis tous deux se firent un profond salut et les boucles de leurs chevelures s’entremêlèrent.

La cigogne et le renard - 2. Source : http://data.abuledu.org/URI/47f616b0-la-cigogne-et-le-renard-2

La cigogne et le renard - 2

Photo d'un des deux chapiteaux roman d'Aoste (cloître de "Collegiata di Sant'Orso") représentant la fable d'Ésope "La cigogne et le renard".

La comptine du père Guillaume-1, par Alice. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cfdfd7-la-comptine-du-pere-guillaume-1-par-alice

La comptine du père Guillaume-1, par Alice

La comptine du père Guillaume-1, par Alice, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (1820 – 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : « Vous êtes vieux, Père Guillaume. Vous avez des cheveux tout gris… La tête en bas ! Père Guillaume ; À votre âge, c’est peu permis ! — Étant jeune, pour ma cervelle Je craignais fort, mon cher enfant ; Je n’en ai plus une parcelle, J’en suis bien certain maintenant."

La comptine du père Guillaume-2, par Alice. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cfe127-la-comptine-du-pere-guillaume-2-par-alice

La comptine du père Guillaume-2, par Alice

La comptine du père Guillaume-2, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (1820 – 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : "— Vous êtes vieux, je vous l’ai dit, Mais comment donc par cette porte, Vous, dont la taille est comme un muid ! Cabriolez-vous de la sorte ? — Étant jeune, mon cher enfant, J’avais chaque jointure bonne ; Je me frottais de cet onguent ; Si vous payez je vous en donne."

La comptine du père Guillaume-3, par Alice. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cfe33c-la-comptine-du-pere-guillaume-3-par-alice

La comptine du père Guillaume-3, par Alice

La comptine du père Guillaume-3, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (1820 – 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : "— Vous êtes vieux, et vous mangez Les os comme de la bouillie ; Et jamais rien ne me laissez. Comment faites-vous, je vous prie ? — Étant jeune, je disputais Tous les jours avec votre mère ; C’est ainsi que je me suis fait Un si puissant os maxillaire."

La comptine du père Guillaume-4, par Alice. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cfe4bb-la-comptine-du-pere-guillaume-4-par-alice

La comptine du père Guillaume-4, par Alice

La comptine du père Guillaume-4, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (1820 – 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : "— Vous êtes vieux, par quelle adresse Tenez-vous debout sur le nez Une anguille qui se redresse Droit comme un I quand vous sifflez ? — Cette question est trop sotte ! Cessez de babiller ainsi, Ou je vais, du bout de ma botte, Vous envoyer bien loin d’ici. »

La cuisine américaine de Julia Child. Source : http://data.abuledu.org/URI/51a65c13-la-cuisine-americaine-de-julia-child

La cuisine américaine de Julia Child

La cuisine de Julia Child, l'École des Trois Gourmandes, reconstituée au "National Museum of American History". "Mastering the Art of French Cooking" (Maîtriser l'art de la cuisine française) est un livre de cuisine française en deux volumes publié aux États-Unis en 1961. Ses auteurs sont deux Françaises, Simone Beck et Louisette Bertholle, et une Américaine, Julia Child. Ce livre, écrit pour le marché américain, a été publié par Knopf en deux temps, le tome I en 1961 et le tome II en 1970. Il a connu en 2009 un regain d'actualité avec la sortie du film de Nora Ephron, "Julie & Julia", inspiré du roman de Julie Powell, "Julie & Julia : 365 Days, 524 Recipes, Tiny Apartment Kitchen", qui se réfère à la vie de Julia Child (1912-2004). Le musée national d'histoire américaine (The National Museum of American History) est un musée américain situé à Washington DC. Il regroupe plusieurs collections sur l'héritage et le patrimoine des États-Unis, dans tous les domaines (social, culturel, scientifique et militaire). Il fait partie de la "Smithsonian Institution".

La cuisine de la duchesse, par Alice. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cfe99b-la-cuisine-de-la-duchesse-par-alice

La cuisine de la duchesse, par Alice

La cuisine de la duchesse, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (1820 – 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : La porte donnait sur une grande cuisine qui était pleine de fumée d’un bout à l’autre. La Duchesse était assise sur un tabouret à trois pieds, au milieu de la cuisine, et dorlotait un bébé ; la cuisinière, penchée sur le feu, brassait quelque chose dans un grand chaudron qui paraissait rempli de soupe. « Bien sûr, il y a trop de poivre dans la soupe, » se dit Alice, tout empêchée par les éternuements.