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Photographie | Dessins et plans | Peinture | Dix-neuvième siècle | Wells (GB) -- Cathedral | Monarque (insectes) | Art maya | Danaus plexippus | Latin (langue) | Plantes aquatiques | Jeux de plateau | Légendes mayas | Marionnettes | Jeux de société | Lapins | Gravure | Nahuatls (Indiens) | Princesses | Littérature de jeunesse | Chaussures | ...
Borne d'arcade contemporaine. Source : http://data.abuledu.org/URI/52c1ded1-borne-d-arcade-contemporaine

Borne d'arcade contemporaine

Borne d'arcade contemporaine "Solar Assault" où l'on joue assis. Au contraire du jeu sur console où on achète d'abord la console puis le jeu, permettant un jeu à volonté, l'arcade propose un accès libre et gratuit à la totalité du matériel. Il est par contre nécessaire de payer pour pouvoir jouer car la durée ou le nombre de parties sont limités. Il est donc indispensable de rajouter des pièces quand la partie est terminée, ceci constitue le principe même de l'arcade. Le jeu d'arcade possède comme caractéristique principale l'impossibilité pour le joueur de gagner. L'univers de l'arcade possède ses propres codes, ses habitudes, et sa propre histoire. En plus des cafés/bars et des salles d'arcade, les jeux d'arcade sont également présents dans les halls de bowling, les salles de cinéma, les galeries marchandes, les aéroports, les aires de repos autoroutières, les hôtels, les fêtes foraines ; en bref, dans des lieux ouverts au public où les gens sont susceptibles d'être en attente de quelque chose. Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Jeu_d%27arcade.

Cistre allemand. Source : http://data.abuledu.org/URI/532b01bd-cistre-allemande

Cistre allemand

Le cistre est un instrument à cordes pincées qui semble avoir fait son apparition vers le XVe siècle et qui est encore répandu en Europe. Héritier de la citole, le cistre connut deux périodes d'intense prédilection : 1) la plus longue dura du début du XVIe à la moitié du XVIIe siècle. Il y acquiert les caractéristiques qui sont encore les siennes de nos jours. À cette époque, la pratique du cistre est proche de celle du luth mais d'un statut inférieur, plus populaire et plus simple. Les amateurs le pratiquent assidûment, et les recueils mis à leur disposition sont nombreux. Mais, vers le milieu du XVIIe siècle, sans raison apparente, il tombe dans l'oubli. 2) vers 1770 il refait surface. Là, c'est un véritable engouement du public et pour répondre à la demande, les compositeurs vont rivaliser d'imagination, au point que la production en perd sa qualité. Un facteur imagine même d'y adapter une petite table mécanique de pianoforte et de petits marteaux actionnés par l'intermédiaire d'un clavier. Les cordes sont pincées au plectre en bec de plume, au médiator comme pour la guitare folk, ou plus rarement avec des onglets en métal comme pour la guitare dobro. Certains comme Chris Thompson utilisent un bottleneck pour jouer du blues. Le cistre est encore pratiqué en Suisse, en Autriche et en Allemagne : il fait partie de la musique folklorique ou populaire depuis des siècles, dans des versions spécifiques (waldzither, halszither).

Élan européen. Source : http://data.abuledu.org/URI/516d68ca-elan-europeen

Élan européen

Alces est un genre de mammifères appelés orignaux ou élans au sein de la francophonie. Ces animaux sont les plus grands des cervidés actuels. L’origine du nom « orignal » vient du mot basque oreinak, pluriel d’orein, qui signifie « les cervidés » ou « les rennes » ou « les caribous ». Samuel de Champlain le nommait orignac car aux premières années des colonies, les premiers colons français l’auraient appris des Basques qui venaient régulièrement pêcher la morue et la baleine sur les côtes du Labrador et les abords du fleuve Saint-Laurent. Le mot « élan » dériverait du lituanien. La domestication d'élans semble ancienne. Les Iakoutes de Sibérie l’ont utilisé comme animal de trait et comme monture. Cet usage a plus tard été interdit en Russie, car des malfaiteurs montant des élans distançaient les chevaux de la police. L’élan a aussi servi à tirer de lourdes charges sur des terrains difficiles où le cheval s’enfonçait. Il a été domestiqué, mais non élevé en troupeau. Ses bois sont larges et en partie plats. Au mois de novembre, le cervidé perd sa parure. De longues pattes et un long cou lui permettent de brouter les ligneux, qui composent 50 % de son alimentation en été et 80 % en hiver, ainsi que de se déplacer facilement dans l’eau et dans les mégaphorbiaies en enjambant troncs renversés et ronciers.

Fleuve Gediz en Turquie. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b105c7-fleuve-gediz-en-turquie

Fleuve Gediz en Turquie

Fleuve Gediz en Turquie, connu sous le nom d'Hermos. L'Hermos est présenté comme l'un des 25 fils de Téthys et d'Océan, cités par Hésiode dans sa Théogonie, où il relate la création du monde : « Téthys à Océan enfanta les fleuves tourbillonnants : Nil, Alphée, Éridan aux tourbillons profonds, Strymon, Méandre, Istros aux belles eaux courantes, Phase, Rhésos, Achéloos aux tourbillons d'argent, Nessos, Rhodios, Halliacmon, Heptaporos, Granicos, Aisepos, le divin Simoïs, Pénée, Hermos, et Caïque au beau cours, le grand Sangarios, Ladon, Parthénios, Événos, Ardescos et le divin Scamandre. » Son affluent, le Sart Çayı ou Pactole, est célèbre pour la légende grecque, disant qu'il charriait des paillettes d'or. Midas était le roi de Phrygie, royaume d'Asie mineure situé entre la Lydie et la Cappadoce. Une histoire raconte l'aventure arrivée au vieil ivrogne Silène. Celui-ci, suivant une procession en l'honneur du dieu de la fête et de l'ivresse Dionysos, se perdit près du palais royal. Midas et ses gardes le retrouvèrent assoupi et le roi lui offrit de rester quelques jours au palais avant de le rendre à Dionysos. Le dieu récompensa le roi en lui accordant un souhait. Midas demanda que tout ce qu'il touche se transforme en or. Incapable de manger et de boire, il supplie le dieu de reprendre son présent. Dionysos lui ordonne alors de se laver les mains dans les eaux du Pactole, dont le sable se change en or. Cette légende explique le caractère aurifère du Pactole, auquel la Phrygie doit une bonne partie de son empire. Les ressources du Pactole étaient déjà épuisées avant le Ier siècle selon le témoigsnage du géographe grec Strabon (57 av. J.-C.-entre 21 et 25 ap. J.-C.). L'électrum a été utilisé dans l'Antiquité pour frapper les premières monnaies. Les sources littéraires montrent que les Lydiens, fréquemment présentés comme les inventeurs de la monnaie, disposaient grâce au fleuve Pactole d'une source d'or naturel. Les fouilles américaines à Sardes ont confirmé l'existence d'une métallurgie de l'or et de l'argent : elles ont mis au jour des installations permettant d'obtenir par coupellation de l'électrum à partir des pépites d'or locales.

Horloge anglaise à automates. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e96d55-horloge-anglaise-a-automates

Horloge anglaise à automates

Horloge à automates datant du XIVème siècle de la cathédrale Saint-André de Wells (Somerset), en Angleterre : deux chevaliers en armure. Inscription en latin : NE QUID PEREAT, "Que rien ne se perde."

Horloge extérieure de la cathédrale de Wells. Source : http://data.abuledu.org/URI/529a4693-horloge-exterieure-de-la-cathedrale-de-wells

Horloge extérieure de la cathédrale de Wells

Horloge extérieure de la cathédrale de Wells portant une inscription en latin : Pour que rien ne se perde (Ne quid pereat). 13h47.

Jeu de Nim. Source : http://data.abuledu.org/URI/50eacbe3-jeu-de-nim

Jeu de Nim

Exemple de jeu de Nim, avec indication des positions gagnantes à atteindre (en vert) ou des positions perdantes (en rouge). Les jeux de Nim sont des jeux très courants, de stratégie pure, à deux joueurs. Ces jeux, dont il existe d'innombrables variantes, se jouent avec des graines, des billes, des jetons, des allumettes ou tout autres objets facilement manipulables... Le but du jeu est de déplacer un jeton d'un sommet à l'autre selon les arêtes indiquées. Le gagnant est celui qui parvient au sommet bleu. Les positions gagnantes à atteindre sont en vert. Depuis un sommet vert, on est obligé d'aller à un sommet rouge perdant ; depuis un sommet rouge, on peut atteindre un sommet vert gagnant. Le joueur qui commence perd.

Jeu du moulin. Source : http://data.abuledu.org/URI/50eb075c-jeu-du-moulin

Jeu du moulin

Plateau du jeu du moulin, dit des "Nine Men's Morris" avec coordonnées. Matériel : Un tablier formé de trois carrés imbriqués offrant vingt-quatre intersections, neuf pions blancs et neuf pions noirs. À tout moment du jeu, celui qui réalise un moulin — c'est-à-dire l'alignement de trois de ses pions — peut capturer un pion adverse. Ce pion doit être choisi parmi ceux n'appartenant pas à un moulin, s'il en existe, mais peut être quelconque dans le cas contraire. Le jeu s'achève quand un joueur n'a plus que deux pions ou ne peut plus jouer, il est alors le perdant. Une règle optionnelle donne une seconde chance à celui qui ne possède plus que trois pions : il peut alors se déplacer en sautant où il veut.

Jeu malgache de Fanorona, les prises. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fafacf-jeu-malgache-de-fanorona-les-prises

Jeu malgache de Fanorona, les prises

Exemples de prises au Fanorona : 1 : prise par percussion. 2 : aspiration. 3 : Bleu doit effectuer un choix entre les 2 prises. On y joue avec un tableau (lakapanorona, prononcez lakpanourne) de 5 rangs et 9 colonnes et des pierres (vato, prononcez vat ) de 2 couleurs (22 de chaque) avec un trou central. Le but du jeu est de capturer toutes les pierres adverses. On capture une pierre ennemie en s'en approchant (percussion : situation 1 ; voir schéma) ou en s'en éloignant (aspiration : situation 2). Il faut donc prévoir une case libre devant ou derrière la pierre que l'on veut faire avancer. Le joueur capture alors toutes les pierres adverses situées sur l'axe sur lequel il a fait avancer ou reculer sa pierre. Une fois les pierres ennemies capturées, le joueur ayant le trait peut capturer d'autres séries de pierres au même tour si d'autres possibilités de capture se présentent à lui, à condition que ses captures se fassent 1) dans un sens différent à celui joué précédemment, 2) par un point par lequel le joueur n'est pas passé ce tour ci. Une fois ses captures effectuées, le joueur laisse le trait à son adversaire. Contrairement aux dames, les joueurs ne sont pas obligés de capturer si l'occasion se présente, et peuvent très bien jouer un coup stratégique sans capture directe. Cas particulier : il arrive que le joueur ait pour un même mouvement plusieurs pierres adverses capturables, celles en avant et celles en arrière (situation 3). Il doit alors choisir entre les deux séries (on prend généralement la série la plus nombreuse). Et pour finir, chaque joueur est obligé de jouer, même si le tour suivant le mène forcément à un coup perdant. A Madagascar, ce jeu est de loin le plus populaire et on y joue dans toutes les régions. La plupart des joueurs n'utilisent pas de tableau à proprement parler mais tracent au sol des lignes à l'aide d'une pierre marquante (craie par exemple) puis utilisent en guise de pions des pierres de deux couleurs différentes ramassées aux alentours. Cela permet de pratiquer le jeu en tout lieu : en brousse, en pleine rue ou dans les stations de taxi-brousse.

L'argent dans la balance. Source : http://data.abuledu.org/URI/548c192e-l-argent-dans-la-balance

L'argent dans la balance

"Chaque homme a son prix, le tout c’est de savoir lequel. La question qu’on peut se poser, c’est qu’est ce qu’on perd quand on a mis l’argent sur la table, est ce qu’on perd son éthique, y a-t-il une balance entre l’argent et la moralité. L’actualité nous pousse à réfléchir, les accords financiers de la fondation Mozilla en sont un bon exemple, après avoir signé un pacte avec G., plutôt evil sur le papier, Mozilla signe avec Y. dont le moteur de recherche par défaut c’est bing, soit du M. par extension. Où se trouve le juste milieu ? où se trouve l’équilibre ? Gagner de l’argent est-ce forcément vendre son âme au diable ? A chacun sa réponse." Cyrille Borne, pour Harakirilibre, 20141211.

La légende du lapin-scribe maya. Source : http://data.abuledu.org/URI/535a6635-la-legende-du-lapin-scribe-maya

La légende du lapin-scribe maya

"Papalotochtli" en couleur par Piolinfax, avatar pour le wiki en langue Nahuatl. Représentation du dieu lapin-scribe sur un vase Maya. Comme les japonais, les Aztèques croyaient que les tâches de la lune représentaient un lapin : une légende dit que les dieux, furieux de sa lâcheté, giflèrent Tecuciztecatl avec un lapin avant qu'il ne se transforme en lune et perde sa luminosité. Sur cette image, le lapin a des ailes de monarque (Danaus plexippus), et il est posé sur une fleur aquatique de Xochimilco au Mexique.

La légende maya du lapin-scribe. Source : http://data.abuledu.org/URI/535a6798-la-legende-maya-du-lapin-scribe

La légende maya du lapin-scribe

"Papalotochtli" par Piolinfax, avatar pour le wiki en langue Nahuatl. Représentation du dieu lapin-scribe sur un vase Maya. Comme les japonais, les Aztèques croyaient que les tâches de la lune représentaient un lapin : une légende dit que les dieux, furieux de sa lâcheté, giflèrent Tecuciztecatl avec un lapin avant qu'il ne se transforme en lune et perde sa luminosité. Sur cette image, le lapin a des ailes de monarque (Danaus plexippus), et il est posé sur une fleur aquatique de Xochimilco au Mexique.

La princesse et le nain. Source : http://data.abuledu.org/URI/5159d219-la-princesse-et-le-nain

La princesse et le nain

La princesse et le nain, 1920, chapitre 2, par Jessie Willcox Smith (1863–1935) du roman anglais fantastique de George MacDonald (1824-1905) : la princesse Irène, 8 ans, se perd.

La princesse Rosette, chapitre V. Source : http://data.abuledu.org/URI/5313893e-la-princesse-rosette-chapitre-v

La princesse Rosette, chapitre V

La princesse Rosette, chapitre V, Troisième et dernière journée, conte de la Comtesse de Ségur (1799-1874), illustré par Virginia Frances Sterrett (1900–1931) : Charmant resta ébloui de la beauté de Rosette. La fée le tira de son extase en lui disant : "Vite, vite, marchons ; je n'ai plus qu'une demi-heure, après laquelle je dois me rendre près de la reine des fées, où je perds toute ma puissance pendant huit jours. Nous sommes toutes soumises à cette loi dont rien ne peut nous affranchir."

Le chapelier d'Alice. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ceff72-le-chapelier-d-alice

Le chapelier d'Alice

Le chapelier d'Alice, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (1820 – 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : Pendant tout ce temps-là, la Reine n’avait pas cessé de fixer les yeux sur le Chapelier, et, comme le Loir traversait la salle, elle dit à un des officiers du tribunal : « Apportez-moi la liste des chanteurs du dernier concert. » Sur quoi le malheureux Chapelier se mit à trembler si fortement qu’il en perdit ses deux souliers...

Le Songe de Tartini. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d9102a-le-songe-de-tartini

Le Songe de Tartini

Le Songe de Tartini, 1824, par Louis-Léopold Boilly (1761-1845). Illustration de l'anecdote légendaire sur l'origine de la Sonate des trilles du Diable de Giuseppe Tartini (1692–1770) : « Une nuit (en 1713), je rêvais que j'avais fait un pacte, et que le Diable était à mon service. Tout me réussissait au gré de mes désirs, et mes volontés étaient toujours prévenues par mon nouveau domestique. J'imaginai de lui donner mon violon, pour voir s'il parviendrait à me jouer quelques beaux airs ; mais quel fut mon étonnement lorsque j'entendis une sonate si singulièrement belle, exécutée avec tant de supériorité et d'intelligence que je n'avais même rien conçu qui pût entrer en parallèle. J'éprouvai tant de surprise, de ravissement, de plaisir, que j'en perdis la respiration. Je fus réveillé par cette violente sensation. Je pris à l'instant mon violon, dans l'espoir de retrouver une partie de ce que je venais d'entendre ; ce fut en vain. La pièce que je composais alors est, à la vérité, la meilleure que j'aie jamais faite, et je l'appelle encore la Sonate du Diable ; mais elle est tellement au-dessous de celle qui m'avait si fortement ému, que j'eusse brisé mon violon et abandonné pour toujours la musique, s'il m'eût été possible de me priver des jouissances qu'elle me procure. »

Les aventures merveilleuses de Nils - 112. Source : http://data.abuledu.org/URI/59e89d4c-les-aventures-merveilleuses-de-nils-112

Les aventures merveilleuses de Nils - 112

Le Merveilleux voyage de Nils Holgersson à travers la Suède, Selma Lagerlöf, version danoise illustrée par Oscar Bojesen (1879–1930), 1910 : moulins à vent dans l'île de Œlande (mer Baltique), surnommée « l'île du soleil et des vents ». Selma Lagerlöf compare l'île à un papillon qui perdit ses ailes dans une tempête au-dessus de la Baltique avant de s'y échouer.

Marie aux sabots de bois se gage - 4. Source : http://data.abuledu.org/URI/52bcbc04-marie-aux-sabots-de-bois-se-gage-4

Marie aux sabots de bois se gage - 4

Marie aux Sabots de bois se gage - 4, Jordic (1876 - 1915) : (rue) de l'Eglise, et vous lui direz de couper un peu la queue du chat, il se portera mieux. Puis il tondra le chien en lion. Vous avez compris ? -- Oui, madame. Elle part, portant Minet dans ses bras et ayant attaché la laisse de Bob à son poignet -- Tondre le chien ? A la ferme, on n'aurait pas songé à tondre Médor, ce sont des idées de bourgeois. Deux commissions ! Difficile à se rappeler. Aussi marmotte-t-elle : "Tondre le chien en lion, couper la queue du chat." Minet ronronne, puis s'endort. Bob, lui, semble très gai. Voilà qu'il aperçoit un coq, son grand ennemi. En chasse. Il s'élance, entraînant à sa suite Marie, qui, tenant par le poignet la laisse du chien, trébuche et perd son sabot ; c'est une course folle, et Minet, réveillé, se met à...

Marionnettes de la cathédrale de Wells. Source : http://data.abuledu.org/URI/501c3aaa-marionnettes-de-la-cathedrale-de-wells

Marionnettes de la cathédrale de Wells

Photo des deux marionnettes de l'horloge de la cathédrale de Wells en Angleterre ; devise en latin "Ne quid pereat !" = Que rien ne se perde.

Masque Nwenke Bobo. Source : http://data.abuledu.org/URI/54be926d-masque-nwenke-bobo

Masque Nwenke Bobo

Masque Nwenke Bobo (détail). Bois, pigments. Burkina Faso. C'est le masque du clan des forgerons que l'on sort lors des cérémonies importantes. Peint à l'origine de couleurs vives, il perd peu à peu cet éclat, car il est lavé entièrement après usage. Musée barrois.

Noisette l'écureuil - 26. Source : http://data.abuledu.org/URI/52c0db2a-noisette-l-ecureuil-26

Noisette l'écureuil - 26

Noisette l'écureuil, 1903, par Beatrix Potter (1866-1943). The Tale of Squirrel Nutkin-26, Source : http://www.gutenberg.org/files/14872/14872-h/14872-h.htm : Noisette se débattit et réussit à s'enfuir en y perdant la moitié de sa queue.

Pavage de Penrose avec tuiles apériodiques. Source : http://data.abuledu.org/URI/533af51a-pavage-de-penrose-avec-tuiles-aperiodiques

Pavage de Penrose avec tuiles apériodiques

Pavage de Penrose réalisé avec deux tuiles apériodiques. Roger Penrose est un mathématicien anglais. Les pavages de Penrose présentent une symétrie d'ordre 5 (invariance par rotation d'angle 2π/5 radian, soit 72 degrés). Ils ne sont pas périodiques, c'est-à-dire qu'on ne peut les décrire comme un motif répété sur une grille régulière. Ils sont cependant quasi-périodiques, c'est-à-dire que tout motif apparaissant dans le pavage réapparaît régulièrement. Plus généralement toute portion finie du pavage, aussi grande soit-elle, se répète infiniment dans le pavage. Les pavages de Penrose ne seraient restés qu'un joli divertissement mathématique si n'avaient été découverts, en 1984, des matériaux présentant une structure fortement ordonnée comme celle des cristaux mais non périodique : les quasi-cristaux. Les pavages non périodiques, en particulier ceux de Penrose, s'avérèrent alors un modèle plausible de ces étranges matériaux. Cette découverte illustra à nouveau ce que Roger Penrose lui-même avait déjà remarqué en 1973, à propos d’un sujet de relativité générale : « On ne sait jamais vraiment quand on perd son temps ». Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Pavage_de_Penrose.

Planeur. Source : http://data.abuledu.org/URI/518f6d82-planeur

Planeur

Planeur ASW 20 en phase d'atterrissage. Un planeur est un aérodyne qui est, par définition, dépourvu de moteur. L'une des caractéristiques principale du planeur est sa finesse qui se traduit, en pratique, par la capacité de parcourir une grande distance en perdant un minimum d'altitude.

Séquoia géant. Source : http://data.abuledu.org/URI/53943f14-sequoia-geant

Séquoia géant

Séquoia géant (Sequoiadendron giganteum) au Jardin du Pré-Catelan, Bois de Boulogne. Le chef indien Sequoyah le Cherokee, de son véritable nom George Guess, inventeur de l'alphabet cherokee, a donné son nom à l'arbre en raison de sa force et de sa persévérance. Cette dédicace fut faite par le botaniste autrichien Stephan Ladislaus Endlicher. Le Séquoia géant n'est pas l'arbre le plus haut ni le plus large du monde. Il est tout simplement le plus volumineux de la planète. Il atteint habituellement une hauteur de 50 à 85 m pour un diamètre de 6 à 8 m. Le Séquoia géant se caractérise également par sa longévité puisqu'il peut atteindre plus de 3 000 ans. Sa croissance initiale est vigoureuse et verticale avec une forme conique caractéristique. Au-delà de 100 ans, il a tendance à se développer plutôt en diamètre et son sommet s'arrondit. S'il ne pousse pas en situation isolée, il perd rapidement ses branches basses à cause de l'ombrage provoqué par les arbres voisins, ce qui explique l'absence de branches sur une hauteur de 20 à 50 m. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/S%C3%A9quoia_g%C3%A9ant

Une fourmi au microscope électronique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b35443-une-fourmi-au-microscope-electronique

Une fourmi au microscope électronique

Image partielle d'une fourmi au microscope électronique à balayage. À la différence du MET, où le faisceau d'électrons à haute tension porte l'image de l'échantillon, le faisceau d'électrons du microscope électronique à balayage MEB (ou SEM en anglais) ne peut donner à aucun moment une image complète de l'échantillon. Le SEM produit des images par sondage de l'échantillon avec un faisceau d'électrons qui, concentré, est analysé sur une zone rectangulaire de l'échantillon ("raster scanning"). Sur chaque point sur l'échantillon le faisceau d'électrons incident perd de l'énergie. Cette perte d'énergie est convertie en autres formes, comme la chaleur, l'émission d'électrons secondaires de basse énergie, l'émission de lumière (cathodoluminescence) ou l'émission de rayons X . L'afficheur du SEM représente l'intensité variable de l'un de ces signaux dans l'image, dans une position correspondant à la position du faisceau sur l'échantillon lorsque le signal a été généré. Dans l'image de la fourmi de droite, l'image a été construite à partir des signaux produits par un détecteur d'électrons secondaires, le mode d'imagerie conventionnelle normal de la plupart des SEM. En règle générale, la résolution de l'image d'un SEM est d'environ un ordre de grandeur plus faible que celle d'un MET. Toutefois, parce que l'image du SEM repose sur les processus de surface plutôt que sur la transmission, il est en mesure de livrer des images d'objets de plusieurs centimètres avec une grande profondeur de champ, dépendant de la conception et du réglage de l'instrument, et il peut ainsi produire des images qui sont une bonne représentation en trois dimensions de la structure de l'échantillon.

Une rue de Paris et son habitant - 5 et 6. Source : http://data.abuledu.org/URI/51410547-une-rue-de-paris-et-son-habitant-5-et-6

Une rue de Paris et son habitant - 5 et 6

Une rue de Paris et son habitant, 1848, par Honoré de Balzac (1799-1850), chapitres 5 et 6 : Premier et second services. (831 mots). Le savant soliloque et perd la notion du temps et, fatigué, finit par prendre un fiacre qui le raccompagne chez lui, à jeun.