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Dessins et plans | Physique | Photographie | Dynamique | Bulles -- Dynamique | Dynamique des corps rigides | Peinture | Sang -- Circulation -- Dynamique | Hémodynamique | Anatomie humaine | Sang -- Circulation | Gaz, Dynamique des | Bicyclettes | Faisceaux, Dynamique des | Gaz -- Liquéfaction | Gaz liquéfiés -- Transport | Radars météorologiques | Savon | Gaz -- Propriétés thermiques | Temps (météorologie) | ...
Dérailleur de bicylette. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d58fc0-derailleur-de-bicylette

Dérailleur de bicylette

Dérailleur de bicylette : Un dérailleur est un système qui permet le déplacement de la chaîne d’un vélo, pour en changer le développement par démultiplication ou multiplication. Il est généralement commandé par câble. Le dérailleur arrière comporte aussi un tendeur de chaîne, chargé d'adapter sa longueur au diamètre du pignon choisi. Le dérailleur avant se charge de faire changer la chaîne de plateau pour choisir le braquet le plus avantageux. Le nombre théorique des vitesses d’un vélo est le produit du nombre de plateaux du pédalier par le nombre de pignons du moyeu arrière. Par exemple, un vélo avec 3 plateaux et 7 pignons aura 21 vitesses. Le dérailleur arrière déplace la chaîne sur le pignon sélectionné. Si la plupart des dérailleurs offrent toujours l’option de changer de vitesse en mode friction, les dérailleurs indexés ou à commande automatique sont la norme. Les dérailleurs sont d’utilisation simple, mais doivent être réglés très précisément : la course latérale de la fourchette du dérailleur doit être limitée afin que la chaîne ne saute pas. Le dérailleur arrière comporte deux roulettes ou galets qui assurent simultanément la tension et le guidage de la chaîne lors du changement de vitesse. Le galet du haut est identifié par l'inscription « Puley » tandis que celui du bas comporte la mention « string ».

Évolution de la bicyclette. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d58e42-evolution-de-la-bicyclette

Évolution de la bicyclette

Sept étapes de l'évolution de la bicyclette depuis la draisine du XIXème siècle.

Évolution de la bicyclette. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d59bfd-evolution-de-la-bicyclette

Évolution de la bicyclette

Sept étapes chronologiques non légendées de l'évolution de la bicyclette.

Force centripète. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ccba0d-force-centripete

Force centripète

Force centripète : Simple scénario d'une balle accrochée par un fil à un axe et tournant autour de celui-ci. La force exercée par le fil sur la balle est la force centripète qui maintient la balle en mouvement de rotation sur la trajectoire. C'est cette force qui donne au fil sa tension. Le terme force centripète ("qui tend à rapprocher du centre", en latin) désigne une force permettant de maintenir un objet dans une trajectoire circulaire ou, plus généralement, elliptique. En effet, tout objet décrivant une trajectoire elliptique possède en coordonnées cylindriques une accélération radiale non nulle, appelée accélération centripète, qui est dirigée vers le centre de courbure. D'un point de vue dynamique, le Principe Fondamental de la Dynamique (PFD) indique alors la présence d'une force radiale dirigée elle aussi vers le centre de courbure.

Forces verticales d'une automobile à l'arrêt. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d5bb0a-forces-verticales-d-une-automobile-a-l-arret

Forces verticales d'une automobile à l'arrêt

Forces verticales s'appliquant à une automobile à l'arrêt. Dans le jargon automobile, le transfert de masse (souvent confondu avec le transfert de charge) se rapporte à la redistribution du poids soutenu par chaque pneu pendant l'accélération (longitudinale et latérale). Cela inclut le freinage et la décélération (qui peut être considérée comme une accélération négative). Le transfert de masse est un concept crucial en dynamique des véhicules.

Freinage automobile. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d5bc4c-freinage-automobile

Freinage automobile

Forces s'appliquant à une automobile freinant.

Une bicyclette. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d58c87-une-bicyclette

Une bicyclette

Une bicyclette, ou un vélo, est un véhicule terrestre composé de deux roues alignées (d'où le nom « bicyclette »). La force motrice est fournie par son conducteur (appelé « cycliste »), en position le plus souvent assise, par l'intermédiaire de deux pédales entraînant la roue arrière par une chaîne. La bicyclette est l'un des principaux moyens de transport dans de nombreuses parties du monde. Sa pratique, le cyclisme, constitue à la fois un usage quotidien, un loisir populaire et un sport. Par rapport à la marche, le vélo est trois fois plus efficace à effort égal et entre trois et quatre fois plus rapide. Il a été également calculé qu'en termes de conversion en mouvement de l'énergie issue de la nourriture, il s'agit d'une forme de locomotion plus efficace que celle de n'importe quel organisme biologique. La bicyclette ne dispose que de deux points d'appui au sol : elle se trouve nécessairement en équilibre instable. On parle d'équilibre métastable, car le passage de la position d'équilibre temporaire à une position de déséquilibre perceptible est relativement lent. Les principales forces en action sont : la gravité, qui tend à attirer le vélo vers le sol ; la force centrifuge, qui lorsque le vélo vire, tend à le redresser vers l'extérieur du virage. L'équilibre est maintenu dynamiquement par les actions du cycliste, qui s'emploie à toujours redresser sa machine en la faisant tourner légèrement dans la direction où elle commence à tomber. Le cycliste jongle donc en permanence entre ces deux forces pour compenser les effets de l'une avec l'autre et réciproquement. Il est aidé en cela par la chasse du vélo : il s'agit de la distance entre l'intersection de l'axe de la fourche avec le sol et du point de contact de la roue avant au sol. En effet, l'axe de la fourche est incliné de manière à ce que son intersection avec le sol se trouve en avant du point de contact de la roue avec le sol. Ainsi, si le vélo est penché d'un côté, la roue avant va être forcée à se placer de manière à faire tourner le vélo du même côté, engageant ainsi un virage tendant à équilibrer cette inclinaison. Enfin, on peut noter que lorsque le vélo roule, l'effet gyroscopique lié à la rotation des roues vient contrarier toute variation de la position de leurs axes. Ce phénomène est proportionnel à la vitesse de rotation des roues et à leur masse. Cet effet reste habituellement négligeable et est normalement imperceptible par le cycliste. En effet, la masse et donc l'inertie du vélo et de son pilote sont d'un ordre de grandeur supérieur à celle des roues, ce qui réduit considérablement l'influence de l'effet gyroscopique. Lorsque la vitesse augmente, l'effet gyroscopique augmente en proportion et devient plus perceptible.

Altivariomètre. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b10f3a-altivariometre

Altivariomètre

L'altimètre indique (grâce à la mesure de la pression atmosphérique) l'altitude à laquelle on se trouve. Souvent couplé avec le variomètre, cela fait un alti-variomètre. Réglé au moment du décollage sur l'altitude locale, ou réglé à 0, il permet de connaître soit l'altitude absolue, soit l'altitude par rapport au point de décollage. C'est particulièrement utile pour mesurer la possibilité de revenir au point de départ pour se poser. Le variomètre indique (grâce à la mesure des différences de pression) la vitesse verticale (en mètres par seconde). Cela permet de savoir si l'on monte ou si on descend et à quelle vitesse. En effet, nous ne percevons que les accélérations, d'après le Principe fondamental de la dynamique. Ainsi, lorsque le pilote s'éloigne du relief ou qu'il traverse une zone turbulente, il discerne difficilement s'il monte ou s'il descend, et l'instrument devient fort utile.

Bulle de savon. Source : http://data.abuledu.org/URI/503948a7-bulle-de-savon

Bulle de savon

Photo d'une grosse bulle de savon irisée devant une treille de vigne.

Bulle de savon double irisée. Source : http://data.abuledu.org/URI/503949f4-bulle-de-savon-double-irisee

Bulle de savon double irisée

Photographie de deux bulles de savon, prise à "Traquair House", en Écosse.

Bulles de soda. Source : http://data.abuledu.org/URI/50394876-bulles-de-soda

Bulles de soda

Macro-photo de bulles de soda.

Calcul de la hauteur des échos d'un radar. Source : http://data.abuledu.org/URI/5232d89e-calcul-de-la-hauteur-des-echos-d-un-radar

Calcul de la hauteur des échos d'un radar

Calcul de la hauteur du faisceau radar au-dessus du sol, légendé en français. En plus de la distance, on peut calculer la hauteur au-dessus du sol où se trouvent les cibles. Cela se calcule en connaissant l’angle d’élévation du radar et la courbure de la Terre. Il faut également tenir compte de la variation de la densité des couches de l’atmosphère. En effet, le faisceau radar ne se propage pas en ligne droite comme dans le vide mais suit une trajectoire courbe à cause du changement de l’indice de réfraction avec l'altitude.

Circulation sanguine. Source : http://data.abuledu.org/URI/5382ec82-circulation-sanguine

Circulation sanguine

Système de la circulation sanguine humaine.

Colonisation du sol. Source : http://data.abuledu.org/URI/588c7ef2-colonisation-du-sol

Colonisation du sol

Colonisation du sol : I) Exposition de la roche (glaciers et éruptions volcaniques) ; II) Lichens et mousses ; III) Décomposition : début de sol organique ; IV) Lichens et herbe ; V) Herbes et plantes ; VI) Buissons et arbustes (eau souterraine) ; VII) Petits arbres ; VIII) Arbres (décomposition des feuilles mortes) et plantes poussant à l'ombre.

Dépoussiérage des gaz. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cdb3e2-depoussierage-des-gaz

Dépoussiérage des gaz

Schéma en français d'un cyclone cylindro-conique : Les cyclones sont des appareils de corps essentiellement cylindro-coniques dans lesquels le mouvement giratoire est obtenu en faisant entrer le fluide tangentiellement à la circonférence, au voisinage de la paroi. Sous l'effet de la force centrifuge, les particules solides prises dans le vortex se déplacent vers la paroi, y perdent leur vitesse par frottement et tombent dans la partie inférieure de l'appareil, avant de sortir par l'apex du cône. Le fluide suit la paroi jusqu'au voisinage de l'apex, et une fois débarrassé des particules, remonte à la partie supérieure pour sortir par l'ouverture axiale. Pour que la séparation soit effective, il faut donc que le temps mis par une particule pour atteindre la paroi soit inférieur au temps de séjour moyen d'un élément de fluide dans le cyclone.

Deux types d'écoulement microfluidique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d5dd8d-deux-types-d-ecoulement-microfluidique

Deux types d'écoulement microfluidique

Flux laminaire (a) et turbulent (b), selon le nombre de Reynolds : la nature de l'écoulement dépend du nombre de Reynolds, et donc de la taille caractéristique d. Aux petites dimensions, les phénomènes physiques macroscopiques ne subissent pas seulement un diminution linéaire de leurs effets. Certains phénomènes négligeables deviennent prépondérants, comme la capillarité ; inversement, d'autres forces telles que la gravité deviennent négligeables. Afin d'appréhender plus facilement les caractéristiques d'un système microfluidique, plusieurs grandeurs sans dimension ont été introduites. La plus répandue est probablement le nombre de Reynolds Re, proposé en 1883, qui caractérise le rapport entre les forces d'inertie et les forces de viscosité. Les systèmes microfluidiques sont généralement caractérisés par un petit nombre de Reynolds : les forces de viscosité sont prépondérantes.

Équilibre dynamique d'une rivière. Source : http://data.abuledu.org/URI/5648c477-equilibre-dynamique-d-une-riviere

Équilibre dynamique d'une rivière

Schéma illustrant le processus simplifié de l'équilibre dynamique d'une rivière : Tout cours d'eau présente une oscillation entre érosion et dépôt. Lorsque le débit de l'eau augmente, la flèche se déplace vers l'érosion augmentant de fait le transport solide. Inversement si le débit diminue la flèche pointe vers dépôt et le débit solide diminue jusqu'à retrouver "l'équilibre". Les rivières tendent vers leur pente dite d’équilibre qui est fonction des conditions physiques et hydrologiques locales. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Dynamique_fluviale

Explosion de gaz liquéfié. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cc46d3-explosion-de-gaz-liquefie

Explosion de gaz liquéfié

Les trois étapes d'une BLEVE ("Boiling Liquid Expanding Vapor Explosion") : 1-une ouverture dans le réservoir entraîne une fuite de gaz (parfois accompagnée d'un "bang"). 2-la fuite de gaz fait chuter la pression, le gaz liquéfié commence à bouillir. 3-l'ébullition provoque une remontée de la pression, le réservoir explose. Les gaz liquéfiés sous pression présentent un risque important en cas de rupture du réservoir lorsqu'ils sont soumis à une source de chaleur importante (cas d'une citerne prise dans un incendie par exemple) : l'ébullition-explosion.

Faisceau d'un radar. Source : http://data.abuledu.org/URI/5232d720-faisceau-d-un-radar

Faisceau d'un radar

Diagramme légendé en français du parcours d'un faisceau radar pulsé et le volume sondé. Une impulsion électromagnétique est produite par un oscillateur (magnétron, klystron ou autre) électronique. Elle est envoyée à travers un guide d’ondes à une antenne directive. La largeur du faisceau qui définit la résolution en azimut et en élévation dépend des caractéristiques de l'antenne, et la durée d’impulsion sinusoïdale simple (de l’ordre de la microseconde), définit la résolution radiale. Il est possible d'utiliser des impulsions compressées qui obtenir une meilleure résolution radiale. Ainsi, une impulsion sonde un volume de l'atmosphère qui augmente avec la distance au radar. On voit sur l'image le volume qu'occupent deux impulsions parties à des temps différents d'un radar. Avec les dimensions typiques d'un faisceau radar, le volume sondé varie donc de 0,001 km³ près du radar, jusqu'à 1 km³ à 200 km de celui-ci. Il s'agit du «volume radar».

Fluides incompressibles. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a7d3c1-fluides-incompressibles

Fluides incompressibles

Loi de Bernoulli appliquée aux fluides incompressibles. En mathématiques, la distribution de Bernoulli ou loi de Bernoulli, du nom du mathématicien suisse Jacques Bernoulli, est une distribution discrète de probabilité, qui prend la valeur 1 avec la probabilité p et 0 avec la probabilité q = 1 - p.

Force appliquée sous forme annulaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c7333e-force-appliquee-sous-forme-annulaire

Force appliquée sous forme annulaire

Mécanique : force appliquée selon une forme annulaire. La modélisation des liaisons mécaniques s'appuie d'abord sur l'analyse de la géométrie de contact entre deux pièces. Dans un premier temps, lorsque les géométries sont considérées parfaites, on obtient un premier modèle présentant un certain nombre de degré de liaison ; ce modèle suppose un ajustement « glissant sans jeu », la liaison modélisée est dite « idéale ». Si l'on est en présence d'un jeu plus important, certains degrés de liaison disparaissent. Cela revient à considérer que les pièces flottent dans cet espace rendu disponible par le jeu. Si l'on veut modéliser correctement le comportement du système, il faut alors utiliser une autre liaison idéale que celle obtenue par l'analyse initiale. En particulier, pour avoir des machines performantes, il faut s'assurer que le mécanisme est conçu pour assurer aux pièces des positions exploitant ces jeux (alignements corrects). Ainsi, une liaison obtenue par emboîtement, sans jeu, deux cylindres complémentaires parfaits, constitue une liaison pivot glissant ; on parle de « centrage long ». Si on ajoute un jeu radial à cet ajustement, et qu'on diminue la longueur de portée, alors les deux cylindres peuvent se déplacer latéralement (mais cela reste imperceptible) et obliquer par rapport à la direction de l'axe. La liaison idéale qu'il faut utiliser pour modéliser l'assemblage est alors la liaison linéaire annulaire, et l'on parle de « centrage court ».

Formation des roches. Source : http://data.abuledu.org/URI/509567fa-formation-des-roches

Formation des roches

Schéma de la formation des roches : Magma et roches magmatiques / métamorphiques / sédimentaires. 1- Erosion, transport, diagénèse ; 2- Fusion ; 3- Pression température ; 4- Refroidissement.

Formation du bassin d'Arcachon. Source : http://data.abuledu.org/URI/512e17bb-formation-du-bassin-d-arcachon

Formation du bassin d'Arcachon

Schéma expliquant la formation du Bassin d'Arcachon (Gironde, France) : 1) vers -4000 avant JC. ; 2) vers -400 ; 3) vers 700 après JC. ; 4) vers 1300 après JC. ; 5) carte de Claude Masse, 1708 ; 6) de nos jours. Source : François Manaud, thèse de 3° cycle, 1971.

Instrument à vent électronique. Source : http://data.abuledu.org/URI/5300996d-instrument-a-vent-electronique

Instrument à vent électronique

Instrument à vent électronique (EWI) permettant de piloter un synthétiseur. L'EWI possède un bec équipé de capteurs de pression d'air (contrôle du volume) et de pression des lèvres (vibrato). Les clefs ne se déplacent pas, la détection des doigtés se fait par conductivité (détection de la position des doigts par courant électrique), ce qui permet de jouer très rapidement. L'octave est choisie parmi sept en positionnant le pouce gauche sur un ensemble de rouleaux. Le capteur de pression d'air permet une grande étendue dynamique, en particulier en combinaison avec un synthétiseur analogique. Le contrôleur à vent indique les notes à jouer à un synthétiseur intégré ou externe, il est possible de le connecter à une station de travail numérique afin de produire une plus grande variété de sons. Cet instrument a été utilisé tout particulièrement par les musiciens smooth jazz. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Electronic_Wind_Instrument

L'enfant et sa bulle. Source : http://data.abuledu.org/URI/50394905-l-enfant-et-sa-bulle

L'enfant et sa bulle

L'enfant à la bulle de savon, tableau de 1835.

Les bulles de savon. Source : http://data.abuledu.org/URI/50394a50-les-bulles-de-savon

Les bulles de savon

Reproduction du tableau de Manet de 1867 intitulé "Les bulles de savon", représentant un jeune garçon, un bol dans la main gauche faisant des bulles.

Les cinq éléments en Wuxing. Source : http://data.abuledu.org/URI/52f93150-les-cinq-elements-en-wuxing

Les cinq éléments en Wuxing

Schéma des Cinq Phases associées aux cinq éléments, les quatre saisons et les quatre directions (en Chine, le nord est disposé en bas de la page) en Wuxing (philosophie chinoise). Les wuxing sont dans un premier temps conçus comme des substances naturelles dont on retient une propriété dynamique caractéristique pouvant servir à catégoriser métaphoriquement les objets et les phénomènes du monde naturel. Les processus d'écoulement sont dans la nature de l'eau. Le feu est lié au processus de combustion, le bois au processus de construction, le métal à la métallurgie, la terre à l'agriculture. Les "éléments" sont dynamiques, ce sont cinq processus naturels. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Cinq_%C3%A9l%C3%A9ments_%28Chine%29.

Les étoiles et l'étoile polaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/53430ba8-les-etoiles-et-l-etoile-polaire

Les étoiles et l'étoile polaire

Mouvement apparent des étoiles autour de l’étoile polaire. La nuit, les étoiles apparaissent à l’œil nu sous la forme de points (à cause de leur éloignement) brillants de couleur blanche, parfois aussi rouge, orangée ou bleue — généralement scintillants et sans mouvement apparent immédiat par rapport aux autres objets fixes de la voûte céleste. Le phénomène de scintillation est dû à l’extrême petitesse de la taille angulaire des étoiles (quelques millisecondes d’arc voire moins), qui est inférieure à celle de la turbulence atmosphérique. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89toile#Structure_d.E2.80.99une_.C3.A9toile

Machine d'Atwood. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c74c39-machine-d-atwood

Machine d'Atwood

Machine d'Atwood (surcharge à gauche, masse à droite) : Atwood (1746-1807) est surtout célèbre chez les élèves de terminales math. élém. des années 1945-1972, par sa « machine » hautement didactique qui permettait de s'entraîner sur la bonne application de la « relation fondamentale de la dynamique » (deuxième loi de Newton) et/ou la conservation de l'énergie mécanique. Tous les grands lycées de France possèdent sans doute encore, dans leurs placards, une machine d'Atwood. Du point de vue expérimental, l'appareil fut l'objet d'un travail soutenu durant au moins un siècle, ce qui permit de tenir compte de beaucoup de correctifs. Néanmoins, pouvoir placer l'appareil dans un grand tube de Newton est resté l'apanage des très grands lycées. La chute libre est difficile à étudier quantitativement, car les temps de parcours sont très courts. Galilée est le premier à chercher comment la ralentir, sans la « dénaturer » : il pensa au plan incliné d'angle α (où intervient seulement g⋅sinα), puis à la succession de plans inclinés. La difficulté pour Galilée restait la mesure du temps… Atwood proposa « sa » machine pour diminuer l'accélération des masses.

Mangrove à Cayo Levisa, Cuba. Source : http://data.abuledu.org/URI/52e50a6b-mangrove-a-cayo-levisa-cuba

Mangrove à Cayo Levisa, Cuba

Mangrove (Rhizophora) à Cayo Levisa, Cuba, 2004 : élément avancé d'une mangrove cubaine ; les palétuviers donnent parfois l'impression d'avancer sur leurs racines. Ils ont un comportement d'espèces pionnières, contribuant souvent à fixer le trait de côte. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Mangrove.

Mesure d'un tour de roue. Source : http://data.abuledu.org/URI/52ac7e8f-mesure-d-un-tour-de-roue

Mesure d'un tour de roue

Relation entre la rotation d'une roue et l'avance d'un véhicule : longueur de l'arc de cercle. En un tour de roue, on avance d'une longueur correspondant au périmètre.

Microphone dynamique pour karaoké. Source : http://data.abuledu.org/URI/5393628d-microphone-dynamique-pour-karaoke

Microphone dynamique pour karaoké

Microphone dynamique pour karaoké.

Peuplier noir. Source : http://data.abuledu.org/URI/50983412-peuplier-noir

Peuplier noir

Planche N° 305 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef : Peuplier noir (Populus nigra). La floraison a lieu de mars à avril ; la pollinisation ainsi que la dispersion du pollen se fait par le vent (anémophile). L’arbre atteint sa maturité sexuelle vers six ans, en produisant des chatons pendants ; les chatons mâles mesurent 8 à 10 cm de long à maturité et sont rouges/pourpres ; les chatons femelles sont vert-jaunâtre et longs de 6 à 8 cm à maturité. Les graines de cette espèce pionnière sont pauvres en réserves et ont une durée de vie plutôt courte, ce qui peut rendre l'espèce vulnérable à l'insularisation écologique ou à la fragmentation écopaysagère. Elles colonisent des sols riches et dénués de végétation tel que les grèves et bancs de sable humides abandonnés par l'eau durant l'été, en compagnie d'autres essences de bois tendre, comme les saules. Dans de bonnes conditions (soleil, sol riche, humidité) l'arbre pousse vite, avec de larges cernes de croissance, mais avec un houppier relativement sensible à la casse en cas de tempêtes. C'est une espèce caractéristique des ripisylves arborescentes ourlant les berges alluvionnaires d'un certain nombre de cours d'eau (en évolution dynamique). Il est encore présent près de la mer (notamment près de l'embouchure de la Loire) et est assez résistant aux embruns. Il semble avoir été autrefois présent très près de la mer dans le nord, par exemple avec des peupliers blancs et trembles dans les pannes dunaires de Dunkerque à la fin du XIXème siècle et au début du XXème siècle, signalé par l'Abbé Arthur Labeau dans une note sur la « flore maritime du littoral français de la mer du nord ».

Pont à bascule. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d4f595-pont-a-bascule

Pont à bascule

Le pont du Tivoli (pont à bascule), en position fermé, depuis le quai des Moulins. La partie centrale est le contrepoids. Construction du pont de 1949 à 1951 par les Établissements Daydé. Sète, Hérault. Un pont basculant est un pont mobile dont le tablier peut se relever par rotation. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Pont_basculant

Puits artésien. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d4e13a-puits-artesien

Puits artésien

Puits classique à gauche, et puits artésien à droite : niveau piézométrique, alluvions, couche étanche (argile), couche aquifère (calcaire). L'artésianisme se produit lorsque la configuration particulière de la géologie d'un lieu et sa topographie provoquent une telle mise en pression de l'aquifère que la ligne piézométrique « sort » du sol. On désigne parfois à tort par « puits artésien » un puits foré dans une nappe sous pression, même si elle n'est pas jaillissante mais simplement captive.

Puits de potentiel pour le pendule simple. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cb2538-puits-de-potentiel-pour-le-pendule-simple

Puits de potentiel pour le pendule simple

Le calcul de l'énergie potentielle puis l'utilisation de l'expression de l'énergie mécanique peut permettre la détermination de l'équation du mouvement du système. Cette méthode est souvent plus judicieuse que l'utilisation du principe fondamental de la dynamique. Méthode énergétique pour la résolution du mouvement du pendule simple : Le système est en équilibre quand son énergie potentielle admet des minimums et des maximums locaux. On peut alors différencier les positions d'équilibre stables et instables selon que l'énergie potentielle est (respectivement) minimale ou maximale. On peut aussi soulever la notion de puits d'énergie potentielle lorsque le graphe de l'énergie potentielle en fonction du paramètre décrivant le mouvement admet un puits. Si le système n'a pas assez d'énergie mécanique pour sortir du puits, il est contraint à rester entre deux positions et peut éventuellement osciller.

Répartition des efforts sur une structure. Source : http://data.abuledu.org/URI/52e51f35-repartition-des-efforts-sur-une-structure

Répartition des efforts sur une structure

Transmission des efforts par une structure : effort primaire en rouge, effort réparti en bleu ; de gauche à droite : 1) treillis, charge nodale ; 2) voûte parabolique (nubienne), charge répartie ; 3) voûte en berceau, charge répartie ; 4) palée, portique, charge répartie. Source : http://fr.wikiversity.org/wiki/M%C3%A9canique_pour_l%27enseignement_technique_industriel/Notions_de_m%C3%A9canisme_et_de_structure. La vue de détail montre la transmission des efforts de pierre en pierre, ou de brique en brique, pour une voûte arquée.

Réseau trophique en eaux côtières. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f9d814-reseau-trophique-en-eaux-cotieres

Réseau trophique en eaux côtières

Réseau trophique en eaux côtières. Un réseau trophique (ou chaîne tropho-dynamique) se définit comme un ensemble de chaînes alimentaires reliées entre elles au sein d'un écosystème et par lesquelles l'énergie et la matière circulent (échanges d'éléments tel que le flux de carbone et d'azote entre les différents niveaux de la chaîne alimentaire, échange de carbone entre les végétaux autotrophes et les hétérotrophes). Le terme trophique se rapporte à tout ce qui est relatif à la nutrition d'un tissu vivant ou d'un organe. Par exemple, une relation trophique est le lien qui unit le prédateur et sa proie dans un écosystème. Dans un écosystème, la structure des réseaux trophiques (les types et réseaux de relations alimentaires entre organismes) influence fortement la quantité, la diversité, la stabilité et la qualité de la biomasse et de la matière organique résiduelle (excrétions, nécromasse) produites par les écosystèmes. La qualité d'un réseau trophique et de ses interactions a un lien direct avec la stabilité et résilience des populations qui en font partie.

Réservoir de gaz liquéfié. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cc448e-reservoir-de-gaz-liquefie

Réservoir de gaz liquéfié

Réservoir de gaz liquéfié : dans le réservoir, le gaz liquéfié est surmonté d'un ciel gazeux sous pression. Lorsque l'on comprime un gaz, à partir d'une certaine pression, il se transforme en liquide ; cette propriété permet de stocker de grandes quantités de gaz dans des réservoirs : butane, propane, GPL (gaz de pétrole liquéfié)… On a au-dessus du liquide un « ciel gazeux » (la plus grande partie du produit est liquide, une petite partie est gazeuse et occupe le volume restant). Lorsque l'on soutire du gaz du réservoir, le liquide bout (à température ambiante) et la vapeur ainsi produite vient compenser le volume retiré ; c'est le fonctionnement normal.

Roue arrière de bicyclette. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d5998d-roue-arriere-de-bicyclette

Roue arrière de bicyclette

Schéma qui illustre la différence d'angle et de longueur des rayons d'une roue arrière de bicyclette, avec ou sans pignons.

Schistosité des roches. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a2977d-schistosite-des-roches

Schistosité des roches

La schistosité décrit une famille de plans sub-parallèles et régulièrement espacés selon lesquels certaines roches se débitent (ou se clivent) facilement en feuillets plus ou moins épais. Cette particularité est le propre de roches à granulométrie plus ou moins fine ou argileuse, dont elle marque l'aplatissement. A : plan de stratification ; B : schistosité espacée (crénulation, fracture) ; C : foliation diégénétique ; D : schistosité continue (de flux).

Système artériel humain. Source : http://data.abuledu.org/URI/5382f8b1-systeme-arteriel-humain

Système artériel humain

Diagramme simplifié du système artériel humain en vue antérieure, traduction Berrucommons.

Système veineux humain. Source : http://data.abuledu.org/URI/5382f7f5-systeme-veineux-humain

Système veineux humain

Diagramme simplifié montrant le système veineux humain vu de face, traduction Berrucommons.

Tir à la corde. Source : http://data.abuledu.org/URI/53cc39f0-tir-a-la-corde

Tir à la corde

Tir à la corde, modèle dynamique.

Volume d'univers. Source : http://data.abuledu.org/URI/52c43bcc-volume-d-univers

Volume d'univers

Illustration schématique d'une partie du volume d'univers d'une 3-brane. Cette image est une représentation dans le temps. En physique théorique, le volume d'univers d'un objet est sa trajectoire unique dans l'espace-temps. Au même titre que la ligne d'univers d'une particule ponctuelle ou la feuille d'univers engendrée par une corde, le volume d'univers d'un brane constitue le volume quadridimensionnel (3 dimensions spatiales et 1 dimension temporelle) engendré par le mouvement de cette brane dans l'espace-temps. Il s'agit donc de la généralisation des lignes d'univers aux branes. En théorie des cordes, une brane, ou p-brane, est un objet étendu, dynamique, possédant une énergie sous forme de tension sur son volume d'univers, qui est une charge source pour certaines interactions de la même façon qu'une particule chargée, telle l'électron par exemple, est une source pour l'interaction électromagnétique. Dans le langage des branes, une particule chargée est appelée une 0-brane. Les branes ont été popularisées par certains modèles cosmologiques dits branaires dans lesquels l'univers observable constituerait le volume interne d'une brane (une 3-brane pour être précis) vivant dans un espace-temps ayant des dimensions supplémentaires.