Transfert en cours..., vous êtes sur le "nouveau" serveur data.abuledu.org dont l'hébergement est financé par l'association abuledu-fr.org grâce à vos dons et adhésions !
Vous pouvez continuer à soutenir l'association des utilisateurs d'AbulÉdu (abuledu-fr.org) ou l'association ABUL.
Suivez la progression de nos travaux et participez à la communauté via la liste de diffusion.
Photographie, Construction -- Équipement, Chantiers, Akrotíri (Grèce. - site archéologique), Fouilles archéologiques, Grands travaux, Santorin (Grèce. - île)
Photo du chantier de construction de la couverture de protection du site préhistorique d'Akrotiri à Santorin en 2010.
Fer, Photographie, Chantiers de construction, Chantiers de construction -- Équipement, Barres d'armature, Götaland (Suède)
Armatures de béton en fer rouillées, empilées sur le chantier d'une ancienne carrière à Rixö, Lysekil, Suède.
Photographie, Asphalte, Signalisation, Chantiers routiers, Signalisation routière -- Appareils et matériel, Zones de travaux routiers
Asphalte (mélange de bitume et de granulats) en bord de rue goudronnée, entouré par des plots de signalisation.
Photographie, Ateliers, Chantiers de construction, Mortier, Archéologie médiévale, Treigny (Yonne) -- Château de Guédelon
Atelier de fabrication du mortier au château de Guédelon.
Bétonnière avec benne de chargement utilisée sur les chantiers de construction. Le modèle de base pèse quelques dizaines de kilos pour un encombrement de un mètre sur un mètre, pour un 1,5 mètre de haut environ, et comprend : une cuve basculante grâce à un volant de manœuvre ; un moteur thermique ou électrique ; un châssis muni de roues. Le chargement des agrégats peut se faire manuellement (à la pelle) sur les bétonnières de petite capacité ou à l'aide d'une benne relevable par vérin hydraulique ou câble, pour les plus gros modèles.
Brouette. C’est l’outil ergonomique pour le transport de matériaux ou d’outils sur des terrains qui peuvent être accidentés mais nécessairement peu inclinés. Indispensable sur les chantiers, dans les fermes, ou dans les jardins, elle facilite le déplacement de charges qui peuvent être lourdes ou simplement encombrantes. Le principe du levier associé à la position du centre de gravité vers l’aplomb du point d’appui (la roue), lui confère une grande efficacité.
Photographie, Bétonnières, Camions, Chantiers de construction, Véhicules, Malaxeurs à béton, Saint-Jean-de-Braye (Loiret)
Camion malaxeur de béton. Travaux de construction de la ligne B du tramway : construction de la voie boulevard Marie Stuart, Saint-Jean-de-Braye, Loiret.
Photographie, Chantiers de construction, Charrettes à traction animale, Archéologie médiévale, Treigny (Yonne) -- Château de Guédelon
Carriole médiévale tirée par un cheval et portant des blocs de pierre, au chantier de Guédelon.
Photographie, Chantiers de construction, Véhicules à chenilles, Chantiers de travaux publics, Travaux publics, Véhicules utilitaires d'entreprises
Photo d'un caterpillar RM-500, sur un des sites de travaux de la LGV Sud Europe Atlantique, Poullignac, Charente, France. Cet engin de chantier pèse, lorsqu'il est en ordre de marche, au maximum 28 tonnes et avance à 3,2 km/h.
Centrale à béton sur un chantier de travaux publics (Pont à poutres) sis à Korba.
Photographie, Sable, Pyla-sur-Mer (Gironde), Tourbe, Chantiers de fouilles archéologiques, Chantiers de fouilles de sauvetage
Dégagement à la pelle mécanique d'une épaisse strate de tourbes compactées, 27/10/2014, chantier de fouilles Philippe Jacques, cliché NS.
Photographie, Chantiers de construction, Clefs de voûte, Maquettes (architecture), Archéologie médiévale, Treigny (Yonne) -- Château de Guédelon, Piedroits
Chantier du château de Guédelon en 2005 : clef, voussoir, piedroit.
Photographie, Chantiers de construction, Archéologie médiévale, Treigny (Yonne) -- Château de Guédelon
Chantier médiéval du château de Guédelon en juin 2008 (Treigny, Yonne) : travaux à l'étage du logis du Seigneur
Photographie, Chantiers de construction, Charpentiers, Archéologie médiévale, Treigny (Yonne) -- Château de Guédelon
Charpentiers du chantier du château de Guédelon, été 2005.
Photographie, Chantiers de construction, Archéologie médiévale, Treigny (Yonne) -- Château de Guédelon
Chantier médiéval du château de Guédelon en juin 2008, Treigny, Yonne, en Bourgogne.
Construction d'un collège à Madagascar 02, en milieu rural.
Collège en construction en milieu rural à Madagascar 04 : sept pièces.
Construction d'un nouveau collège de 7 pièces à Madagascar en milieu rural, pour la rentrée 2010.
Photographie, Ponts métalliques, Chantiers de construction, Photographie en noir et blanc, Verrazano-Narrows Bridge (New York, N.Y.)
Tour de Staten Island à NY : 4ème jetée en acier, 1er mars 1962.
Photographie, Universités, Chantiers de construction, Dix-neuvième siècle, Bordeaux (Gironde), Universités publiques, Photographies en noir et blanc, Universités -- Constructions, Universités -- France
Situation des Travaux de la construction de l'ancienne Faculté des Sciences de Bordeaux, 1er mars 1883.
Construction de navires à terre au Moyen Age, Illustration de la fin du XVe siècle reprenant une thème de l'histoire antique (expédition de César en Angleterre) mais montrant des nefs médiévales. Origine : Bruges.
Photographie, Outils, Architecture, Échafaudages, Matériel de construction, Chevreuse (Yvelines), Chantiers de construction -- Équipement, Échafaudages tubulaires, Sécurité du travail -- Appareils et matériel, Sécurité du travail -- Équipement
Chantier de l'ancienne gendarmerie de Chevreuse. Un échafaudage est une construction temporaire constituée de ponts, de passerelles ou de plates-formes soutenus par une charpente en bois, en acier ou en aluminium. Il est destiné à permettre l'accès des artisans et du matériel en tous points d'un bâtiment à édifier ou à réparer. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89chafaudage
Photographie, Chantiers de construction, Échafaudages, Bastions, Tours -- France, Archéologie médiévale, Treigny (Yonne) -- Château de Guédelon
Échafaudages à la tour principale de Guédelon, Bourgogne.
Photographie, Chantiers de construction, Forges -- France, Archéologie médiévale, Treigny (Yonne) -- Château de Guédelon
Forge au chantier médiéval du château de Guédelon en juin 2008.
Dessins et plans, Paris (France), Géologie, Calcaire, Stratigraphie, Carrières souterraines (exploitations minières)
Schéma en coupe (simplifié) des carrières de calcaire parisiennes. Vue simplifiée des bancs de roche qui composent la géologie des carrières de la rive gauche de Paris. En jaune, les bancs exploitables pour la construction. De bas en haut : Juste au-dessus des sables yprésiens, on trouve le lutétien inférieur. Celui-ci se reconnaît par un grand nombre de nummulites visibles à l'œil nu dans la roche, et se divise en deux bancs : 1) La base verdâtre, dont la couleur révèle la présence de glauconie et de quartz ; 2) Les forgets, petits bancs alternant calcaires durs (également glauconieux) et lits de sable. En raison de sa profondeur et du peu de pierre utilisable pour la construction, cette couche n'a pas été exploitée par les carriers. Encore au-dessus, le lutétien moyen constitue une strate de six mètres d'épaisseur. Il se divise en trois bancs : 1) Le banc à vérin des carriers, reconnaissable par les cérithes géants qui s'y trouvent et par une couleur jaune-rougeâtre. D'un grain serré, il n'a été exploité que dans sa partie supérieure et de façon épisodique. 2) Les lambourdes ou vergelets, banc gris, peu épais et tendre. Il ne contient pas d'eau, ce qui le rend « non gélif » (il ne peut pas geler) et utilisable pour la construction, bien que les traces de coquilles et de fossiles y soient très visibles. 3) Le banc royal, non gélif et homogène, qui fournit des pierres de grande qualité pour la construction. Le lutétien supérieur contient quant à lui les bancs les plus variés et les plus exploitables. Il se constitue de deux strates : le banc vert et les bancs francs. Le premier sépare les niveaux inférieurs et supérieurs en carrière, le second constitue le calcaire le plus souvent exploité, avec plusieurs bancs exploitables souvent séparés par des couches de sables plus ou moins marneuses appelées bousins. Ces bancs sont en partie composés d'argile et contiennent de l'eau, ce qui les rend gélifs, mais leur dureté et leur solidité les rend tout à fait aptes à la construction. Le banc vert, premier étage du lutétien supérieur, se divise en trois bancs : 1) le liais du bas, 2) le banc vert proprement dit (qui donne son nom générique aux deux couches qui l'entourent), composé d'un lit marneux, d'argile verte et de fossiles qui témoignent de son origine lacustre, et 3) le liais du haut, identique à celui du bas. Ce liais est appelé liais franc lorsqu'il est exploité, et banc de marche lorsqu'il constitue le sol de la carrière (et donc que les visiteurs marchent dessus). Les bancs francs, qui représentent les bancs les plus souvent visibles dans les galeries de carrière, se subdivisent en six sortes : 1) Le banc de laine, ou cliquart, ou banc des galets. D'une faible épaisseur, il contient peu de fossiles. Sa consistance varie selon les cas et ressemble à celle des lambourdes lorsqu'elle est tendre, du liais lorsqu'elle est dure ; 2) Le grignard, ou coquiller. Très riche en fossiles, ce banc est peu exploitable, car il est trop constellé de coquillages pour donner des blocs réellement solides. 3) Le souchet. Très tendre, peu compact, il va donner son nom au souchevage, une technique d'extraction de la pierre. En effet, pour commencer à exploiter les bancs situés juste au-dessus, les carriers extraient le souchet de manière à créer un espace vide horizontal, puis creusent des fentes sur le côté du bloc à extraire (ce que l'on appelle le défermage). Contenant quelquefois des galets et des fossiles, le souchet se délite facilement. 4) Le banc blanc, ou banc royal, ou liais franc, ou remise. D'un grain fin et serré, il donne des blocs de bonne qualité, qui se vendront à prix d'or pendant les chantiers du XVIIIe et du XIXe siècle. 5) Le banc franc, ou haut banc, ou banc royal, ou rustique. Il ressemble au banc blanc, et donne lui aussi des blocs de qualité, mais on l'en distingue par le fait qu'il contienne beaucoup moins de fossiles. 6) La roche, ou ciel de carrière. Cette couche, très dure et très coquillière, est souvent laissée en place pour servir de toit à la carrière (que l'on appelle ciel de carrière).