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Photographie | Bourgeons (botanique) | Botanique | Printemps | Bourgeons | Ornithologie | Mammifères herbivores | Noyers | Plantes | Saisons | Peinture | Photographie en gros plan | Fourmis | Brabant wallon (Belgique) | Pivoines | Animaux -- Alimentation -- Besoins | Insectes | Gemmothérapie | Petit coq de bruyère | Illustrateurs écossais | ...
Bourgeon de hêtre commun. Source : http://data.abuledu.org/URI/5064b81f-bourgeon-de-hetre-commun

Bourgeon de hêtre commun

Le débourrement des bourgeons de hêtre (Fagus sylvatica) est principalement placé sous l'influence de la durée du jour et intervient au printemps quasiment à date fixe : le hêtre reconnaît le moment propice à l'éclosion à la durée journalière d'ensoleillement. Chaque bourgeon contient depuis sa formation au cours de l'été précédent, la totalité des feuilles qui composeront le rameau (entre 3 et 11). Comme chez de nombreux feuillus, le bourgeon terminal émet au printemps une hormone inhibitrice qui freine le développement des bourgeons adventifs.

Bourgeons d'angélique des bois. Source : http://data.abuledu.org/URI/504f5b8f-bourgeons-d-angelique-des-bois

Bourgeons d'angélique des bois

Photographie de deux bourgeons d'angélique des bois (Angelica sylvestris), prise à Kerava en Finlande.

Bourgeons de marronnier. Source : http://data.abuledu.org/URI/47f3aeb8-bourgeons-de-marronnier

Bourgeons de marronnier

Trois bourgeons de marronnier à peine ouverts

Erable sycomore. Source : http://data.abuledu.org/URI/52c30e8f-erable-sycomore

Erable sycomore

Bourgeon d'érable sycomore

Asperges. Source : http://data.abuledu.org/URI/509bc439-asperges

Asperges

L'asperge est une plante de la famille des Asparagaceae originaire de l'est du bassin méditerranéen. Connue des Romains, elle est cultivée comme plante potagère en France depuis le XVe siècle. Le terme désigne aussi ses pousses comestibles, qui proviennent de rhizomes d'où partent chaque année les bourgeons souterrains ou turions qui donnent naissance à des tiges s'élevant entre 1 et 1,5 mètre.

Bois de rempart réunionnais. Source : http://data.abuledu.org/URI/52284611-bois-de-rempart-reunionnais

Bois de rempart réunionnais

Le bois de rempart (Agarista salicifolia) est un arbre de l'Afrique tropicale, de la famille des Éricacées. Toutes les parties de la plante sont extrêmement toxiques et peuvent tuer le bétail. Appliqué contre une simple écorchure, le bois provoquerait une sensation de brûlure. Le bois de rempart est un arbuste à tiges ramifiées et bourgeons foliaires rougeâtres. Son écorce est grisâtre et est très crevassée sur les spécimens âgés. Il ne dépasse pas souvent les huit mètres, étant très concurrencé dans les forêts denses par des espèces mieux adaptées. Bien que toxiques, les feuilles et les graines seraient utilisées contre les éruptions comme l'eczéma et en cas de gale. Les branches serviraient aussi à traiter les rhumatismes et à soigner les plaies en général. D'un point de vue agricole, la plante présente l'intérêt d'être insecticide et de stabiliser les sols. Le bois peut être utilisé pour la construction, mais sa qualité est médiocre. On s'en sert davantage pour fabriquer du charbon de bois.

Bourgeons de Ciste de Montpellier. Source : http://data.abuledu.org/URI/51dfce7e-bourgeons-de-ciste-de-montpellier

Bourgeons de Ciste de Montpellier

Bourgeons de Ciste de Montpellier (Cistus monspeliensis). Les fruits de Cistus monspeliensis sont des capsules ovales déhiscentes à 5 valves contenant de nombreuses graines. La dissémination des fruits est favorisée par les oiseaux et les petits mammifères.

Bourgeons de noyer. Source : http://data.abuledu.org/URI/518adcd4-bourgeons-de-noyer

Bourgeons de noyer

Bourgeons sur une branche de noyer (Juglans regia).

Bourgeons de noyer brûlés par le gel. Source : http://data.abuledu.org/URI/518add59-bourgeons-de-noyer-brules-par-le-gel

Bourgeons de noyer brûlés par le gel

Bourgeons de noyer (Juglans regia) brûlés par le gel.

Bourgeons de plaqueminier. Source : http://data.abuledu.org/URI/5670b78d-bourgeons-de-plaqueminier

Bourgeons de plaqueminier

Bourgeons de plaqueminier.

Classification des végétaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e6b9e1-classification-des-vegetaux

Classification des végétaux

Types biologiques de Raunkiær : 1. Phanérophyte 2-3. Chamaephytes 4. Hémicryptophyte 5-9. Cryptophytes 5-6. Géophytes 7. Hélophyte 8-9. Hydrophytes. (thérophyte, aérophyte ou épiphyte non montrés). Christen Christiansen Raunkiær (1860–1938) est un botaniste danois, connu surtout pour son système de classification écologique des plantes, le système de Raunkiær, classification fondée sur la position hivernale des bourgeons.Persistance d'une partie de l'appareil végétatif pendant la mauvaise saison : Phanérophytes (du grec phaneros : apparent ; phuton : plante) : bourgeons dormants aériens à plus de 50 cm de la surface du sol. Plante affrontant l'hiver en exposant à ses rigueurs des tiges porteuses de bourgeons (ex. le pin, le hêtre, l'abricotier, le noisetier) Chamaephytes (du grec khamai : à terre ; phuton : plante) : bourgeons dormants aériens à moins de 50 cm de la surface du sol. On distingue les chamaephytes frutescents (buissonnants, plus ou moins dressés) et les chamaephytes herbacés (beaucoup plus proches du sol) (ex. le myrtiller). Hémicryptophytes (du grec hemi : à demi ; kryptos : caché ; phuton : plante) : bourgeons dormants à la surface du sol. À la « belle saison », un hémicryptophyte développe une touffe de pousses s'il est cespiteux, une rosette de feuilles, plus ou moins prostrées s'il est à rosettes, une tige érigée qui prend appui sur des supports variés s'il est grimpant (ex. la pâquerette est un hémicryptophyte à rosette). Géophytes (du grec gê : terre, phuton : plante) ou cryptophytes : bourgeons dormants sous la surface du sol (distinguer selon la nature de l'organe de conservation souterrain : géophyte à bulbe, à tubercule, à rhizome) (ex. Crocus sativus). Hydrophytes : bourgeons dormants sous l'eau, feuilles immergées. Hélophytes (du grec halos : sel, phuton : plante) : bourgeons dormants sous l'eau, feuilles émergées au moins en partie. Végétaux capables de prospérer en milieux saumâtres et eaux douces. (bords de mer, estuaires, chotts, marais, rivière). (ex. salicornes, spartine).

Coqs de bruyère dans les gerbes de blé. Source : http://data.abuledu.org/URI/5135125b-coqs-de-bruyere-dans-les-gerbes-de-ble

Coqs de bruyère dans les gerbes de blé

Petits coqs de bruyère, "Dans les gerbes", 1902, par Archibald Thorburn (1860-1935), illustrateur écossais spécialiste des oiseaux et de leur environnement naturel. Le Tétras lyre (Tetrao tetrix), également appelé coq des bouleaux ou petit coq de bruyère (par opposition au grand tétras), est une espèce d'oiseau sédentaire, symbole des Alpes européennes. Sa distribution est nordique et boréo-montagnarde. Majoritairement végétarien, se nourrissant de feuilles, de bourgeons, de graines, de fleurs et de baies, il complète son alimentation avec des insectes, des araignées et des invertébrés. Son chant : éternuement sonore tiou - ouiich. Roucoulements graves, rapides et prolongés lors des parades nuptiales.

Cueillette de bourgeons d'amandier. Source : http://data.abuledu.org/URI/5436a8d3-cueillette-de-bourgeons-d-amandier

Cueillette de bourgeons d'amandier

Cueillette de bourgeons d'amandier (Prunus dulcis) pour la gemmothérapie.

Fourmis sur un bouton de pivoine. Source : http://data.abuledu.org/URI/5360e57f-fourmis-sur-un-bouton-de-pivoine

Fourmis sur un bouton de pivoine

Gros plan sur quelques fourmis sur le bouton d'une pivoine, à Grez-Doiceau.

Frêne commun. Source : http://data.abuledu.org/URI/505a1148-frene-commun

Frêne commun

Planche botanique du frêne commun (Fraxinus excelsior), Atlas des Plantes de France, 1891. C'est un grand arbre, jusqu'à 40 m de hauteur et 1 m de diamètre, à tronc droit à écorce lisse et grisâtre, se crevassant avec l'âge. Le bois est assez dur, tenace, élastique, couleur blanc nacré, sans aubier distinct. Essence de lumière, à croissance rapide, très résistant au froid mais sensible aux gelées tardives, qui peuvent tuer les bourgeons terminaux et à la sécheresse. Son bois est recherché pour certains usages en raison de sa résistance à la flexion et aux chocs : manches d'outils, outils en bois (râteaux), cannes et bâtons (de hockey notamment), charronnage, carrosserie... les meilleurs exemplaires fournissent un bois de déroulage utilisé en placage. À défaut, c'est un excellent bois de chauffage. Les feuilles sont inscrites à la pharmacopée française.

La maison du professeur Lidenbrock. Source : http://data.abuledu.org/URI/5280b192-la-maison-du-professeur-lidenbrock

La maison du professeur Lidenbrock

La maison du professeur Lidenbrock, illustration by Édouard Riou page 19 de "Voyage au centre de la Terre", 1864, de Jules Verne (1828-1905) : La vieille maison penchait un peu, il est vrai, et tendait le ventre aux passants ; elle portait son toit incliné sur l’oreille, comme la casquette d’un étudiant de la Tugendbund ; l’aplomb de ses lignes laissait à désirer ; mais, en somme, elle se tenait bien, grâce à un vieil orme vigoureusement encastré dans la façade, qui poussait au printemps ses bourgeons en fleurs à travers les vitraux des fenêtres.

Okapi en forêt. Source : http://data.abuledu.org/URI/516d6032-okapi-en-foret

Okapi en forêt

L’okapi se nourrit de feuilles, de divers végétaux différents (dont l’euphorbe, particulièrement toxique pour l’homme), de bourgeons, de branches tendres, de fruits, de champignons et de fougères. Il cueille sa nourriture à l’aide de sa langue et de ses lèvres préhensiles. Il comble ses besoins en minéraux en mangeant de l’argile sulfureuse qu’il trouve près des rivières ou des graminées poussant sur des sols hautement minéralisés. L’okapi est un animal discret et solitaire qui ne fréquente ses pairs qu’au moment de la reproduction. On compte généralement deux individus au km². Sédentaire, il vit sur un territoire qu’il marque par des dépôts d’urine et des sécrétions issues de glandes situées entre ses doigts. Il emprunte toujours les mêmes pistes de passage qu’il a ainsi marquées. C’est un animal essentiellement nocturne dont le principal prédateur est le léopard. Ses oreilles très grandes lui permettent d'entendre le moindre bruit en cas d'attaque.

Petit Koudou femelle et son petit. Source : http://data.abuledu.org/URI/516d65c0-petit-koudou-femelle-et-son-petit

Petit Koudou femelle et son petit

Petit koudou femelle (Tragelaphus imberbis) broutant avec son petit. Le petit koudou est une antilope de taille moyenne, très élancée, fine et haute sur pattes, mais plus petite que son cousin le Grand koudou. Les petits koudous vivent dans une grande aire de répartition situé à l'Est de l’Afrique. Le petit koudou aime les acacias, les brousses denses des zones semi-arides. Les petits koudous ne possèdent pas de territoire, mais un domaine vital d'environ 200 hectares. Les petits koudous sont des herbivores phytophages et opportunistes. Ils se nourrissent de feuillages, pousses, bourgeons, tubercules, fruits, racines et un peu d'herbes. Ils boivent régulièrement, mais peuvent se passer d'eau pendant de longues périodes. Léopards, guépards, lycaons, lions ensuite les babouins et les pythons s'attaquent aux jeunes. Animal vigilant, doté d'une bonne vue diurne, d'un bon odorat et d'une ouie très fine. Le petit koudou est un coureur rapide ainsi qu'un bon sauteur. Il peut bondir jusqu'à 2 mètres de hauteur et jusqu'à 7 mètres en longueur. Il court à 30 km/h en vitesse normale, mais peut accélérer en cas de danger et atteindre environ 70 km/h de moyenne sur une course de vitesse ou un sprint avec des pointes maximales proches de 100 km/h sur une courte distance, qui lui permet de semer ses prédateurs.

Pinson mâle. Source : http://data.abuledu.org/URI/51fc07cb-pinson-male

Pinson mâle

Pinson mâle (Fringilla coelebs) : Il est inféodé globalement aux bois de conifères, décidus ou mixtes en plaine et en moyenne montagne. Mais il fréquente aussi les forêts claires avec leurs lisières et leurs clairières, les landes, les taillis, les vergers, les bosquets, les cultures, les parcs et les jardins des villes et des villages, autant de zones boisées pourvu qu’il dispose d’espace libre entre les arbres d’où sa rareté en forêt dense. Son bec, à la fois large à la base et pointu, traduit une adaptation alimentaire mixte de graines et d’invertébrés. Les graines d’arbres les plus prisées sont celles de hêtres (Fagus), d’érables (Acer), de bouleaux (Betula), d’aulnes (Alnus) et de résineux. Les bourgeons, baies et fruits sauvages et cultivés ainsi que les graines des plantes herbacées et céréalières (surtout le colza) sont aussi consommés mais en période de reproduction le régime devient nettement insectivore à l'opposé de la majorité des passereaux. Les pinsons des arbres capturent des insectes dans les branches et sur les feuilles, voire au cours de petits vols vifs et acrobatiques.

Poussin de lagopède alpin. Source : http://data.abuledu.org/URI/51348941-poussin-de-lagopede-alpin

Poussin de lagopède alpin

Poussin de lagopède alpin dans le parc national de norvégien Rohkunborri en Juillet 2011, (en norvégien Rohkunborri nasjonalpark). En octobre, les jeunes sont devenus adultes. Son alimentation change selon les saisons : en été, il se nourrit de baies, d'insectes, de larves et autres invertébrés ; en automne, sa nourriture est essentiellement composée de baies ; en hiver, graines et restes de végétaux ; et au printemps, il mange chataignes ou bourgeons.