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Photographie | Quartz | Dessins et plans | Géologie | Silice | Leyde (Pays-Bas) | Feldspaths | Horloges et montres à quartz | Granite | Géodes (géologie) | Minéraux constitutifs des roches | Altiplano (Bolivie. - plateau) | Bolivie | Clip art | Jaspe | Gares | Onyx | Érosion | Faisceaux laser | Fusion au plasma | ...
Cassitérite sur quartz. Source : http://data.abuledu.org/URI/520cf883-cassiterite-sur-quartz

Cassitérite sur quartz

Cassiterite sur quartz : Mine de talc de Trimouns à Luzenac dans l'Ariège.

Cristal de quartz. Source : http://data.abuledu.org/URI/505a35a8-cristal-de-quartz

Cristal de quartz

Cristal de quartz provenant du Tibet

Géode améthyste. Source : http://data.abuledu.org/URI/58571e0f-geode-amethyste

Géode améthyste

Géode améthiste, musée Naturalis de Leyde.

Géode améthyste. Source : http://data.abuledu.org/URI/58571ea2-geode-amethyste

Géode améthyste

Géode améthyste, musée Naturalis de Leyde.

Lame mince de granite. Source : http://data.abuledu.org/URI/50954ab0-lame-mince-de-granite

Lame mince de granite

Lame mince de granite au microscope en lumière polarisée analysée. Quartz en blanc-gris, feldspaths plagioclases maclés, en orange la biotite.

Les roches plutoniques. Source : http://data.abuledu.org/URI/509d9971-les-roches-plutoniques

Les roches plutoniques

Classification Streckeisen simplifiée des roches magmatiques plutoniques. En bleu, les domaines de roches courantes. Normalisation de l'IUGS. Les grands groupes de roches plutoniques sont déterminés par la proportion de minéraux clairs (Quartz, Feldspath et Feldspathoïde) et de minéraux foncés. Sources : "An introduction to igneous and metamorphic petrology", J. D. Winter, Prentice Hall et "Éléments de géologie", C. Pomerol, Y. Lagabrielle, M. Renard, Dunod

Sidérite et Quartz. Source : http://data.abuledu.org/URI/5066fcc2-siderite-et-quartz

Sidérite et Quartz

La sidérite est une espèce minérale composé de carbonate de fer de formule brute FeCO3 avec des traces de Mn;Mg;Ca;Zn;Co. Rarement pure, la sidérite contient souvent du magnésium et du manganèse et forme une solution solide continue avec la magnésite et la rhodochrosite.

Silice cristalline. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a2e7eb-silice-cristalline

Silice cristalline

Modèle moléculaire d'une silice cristalline (atomes O en rouge, atomes Si en gris) : dioxyde de silicium (quartz β). La silice cristallise sous plusieurs formes minérales en fonction de la température et de la pression de cristallisation. La silice est la forme naturelle du dioxyde de silicium (SiO2) qui entre dans la composition de nombreux minéraux. La silice existe à l'état libre sous différentes formes cristallines ou amorphes et à l'état combiné dans les silicates, les groupes SiO2 étant alors liés à d'autres atomes (Al : Aluminium, Fe : Fer, Mg : Magnésium, Ca : Calcium, Na : Sodium, K : Potassium...). Les silicates sont les constituants principaux du manteau et de l'écorce terrestre. La silice libre est également très abondante dans la nature, sous forme de quartz, de calcédoine et de terre de diatomée. La silice représente 60,6 % de la masse de la croûte terrestre continentale.

Sphère en quartz. Source : http://data.abuledu.org/URI/55181048-sphere-en-quartz

Sphère en quartz

Sphère en quartz.

Arène granitique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50951441-arene-granitique

Arène granitique

Granite pourri et arène granitique : chaos de Targassonne près de Font-Romeu, Pyrénées-Orientales (66). Au premier plan : Arène granitique. Au second plan : Granite très altéré. L'arène, ou gore, est un sable grossier formant une roche sédimentaire meuble. Elle est issue de l'altération in situ de roches magmatiques ou métamorphiques (en particulier les granites et leur évolution métamorphique, les gneiss) riches en quartz et feldspaths. Ce sable ni transporté, ni érodé car resté très proche de sa source, a des grains anguleux. Les arènes granitiques sont des formations résiduelles (ou altérites) constituées d'une « pâte » argileuse rouge (car colorée par les oxydes de fer) et de grains de quartz.

Armonica de verre. Source : http://data.abuledu.org/URI/530005dd-armonica-de-verre

Armonica de verre

Thomas Bloch et son armonica de verre. L'armonica de verre (et non harmonica de verre avec un "h" en raison de l'origine italienne du mot, ainsi que l'a dénommé son inventeur dans la première lettre qui le cite) est un instrument de musique inventé par Benjamin Franklin en 1761. C'est une mécanisation des « verres musicaux » : il se compose de bols en cristal, en verre ou en quartz empilés sur un axe horizontal rotatif entraîné par une pédale ou, aujourd'hui, par un moteur électrique. Après s'être mouillé les doigts, on frotte le bord des verres qui émettent un son limpide. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Glassharmonica

Calcédoine. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a2ea35-calcedoine

Calcédoine

Quartz (Calcédoine) au Musée National de Sofia "La Terre et l'Homme". La calcédoine est un minéral composé de silice. Classiquement décrite comme une variété cryptocristaline de quartz, elle est aujourd'hui considérée comme un mélange de quartz et de moganite. Le mot dérive de la ville de Chalcédoine, en Asie Mineure, du grec Χαλκεδον ou Χαλκηδών, soit khalkédôn). Variétés : Agate, onyx, Chrysoprase (vert clair, coloré par le nickel), Cornaline rouge, héliotrope vert à taches rouges (hématite), Jaspe, Mtorolite, Sardoine brune.

Chaine des éléments d'une lampe à plasma. Source : http://data.abuledu.org/URI/54a2cbdf-chaine-des-elements-d-une-lampe-a-plasma

Chaine des éléments d'une lampe à plasma

Chaine des éléments d'une lampe à plasma. Les éléments constituant une lampe plasma sont les suivants : 1) Une alimentation haute tension ; 2) Un système radiofréquence ; 3) Un guide d'onde pour amener l’énergie dans l’ampoule ; 4) Une cavité résonante aux radiofréquences ; 5) Une sphère en quartz avec des atomes à l’état solide (ampoule éteinte et à température ambiante) ; 6) Un moteur pour garder l’ampoule en rotation durant le fonctionnement pour la 1re génération seulement. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Lampe_%C3%A0_plasma

Coupe d'un laser rubis. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b3bf09-coupe-d-un-laser-rubis

Coupe d'un laser rubis

Coupe d'un laser rubis. Légende de gauche à droite : miroir partiellement réfléchissant, lampe flash (quartz), cristal de rubis, cylindre en aluminium, cable électrique, miroir totalement réfléchissant, source électrique, interrupteur. Les lasers trouvent très tôt des débouchés industriels. La première application fut réalisée en 1965 et consistait à usiner un perçage de 4,7 mm de diamètre et de 2 mm de profondeur dans du diamant avec un laser à rubis. Cette opération était réalisée en 15 min, alors qu’une application classique prenait 24 heures.

Érosion éolienne en Bolivie. Source : http://data.abuledu.org/URI/509e6274-erosion-eolienne-en-bolivie

Érosion éolienne en Bolivie

L'arbre de pierre, formation rocheuse par érosion éolienne sur l'Altiplano, en Bolivie. La désagrégation mécanique se produit sous l'action d'une force physique qui arrache des morceaux de roche plus ou moins volumineux soit par éclatement dû au gel ou à la chaleur ; soit par usure par frottement : glacier ou vent ; ce sont les débris charriés par ces facteurs (rochers, graviers, quartz ou sable) qui sont efficaces dans le processus d'érosion. L'érosion mécanique est particulièrement active dans les milieux froids (gels et dégels) et/ou arides.

Gare. Source : http://data.abuledu.org/URI/502652d2-gare
Géologie d'une carrière parisienne. Source : http://data.abuledu.org/URI/514395af-geologie-d-une-carriere-parisienne

Géologie d'une carrière parisienne

Schéma en coupe (simplifié) des carrières de calcaire parisiennes. Vue simplifiée des bancs de roche qui composent la géologie des carrières de la rive gauche de Paris. En jaune, les bancs exploitables pour la construction. De bas en haut : Juste au-dessus des sables yprésiens, on trouve le lutétien inférieur. Celui-ci se reconnaît par un grand nombre de nummulites visibles à l'œil nu dans la roche, et se divise en deux bancs : 1) La base verdâtre, dont la couleur révèle la présence de glauconie et de quartz ; 2) Les forgets, petits bancs alternant calcaires durs (également glauconieux) et lits de sable. En raison de sa profondeur et du peu de pierre utilisable pour la construction, cette couche n'a pas été exploitée par les carriers. Encore au-dessus, le lutétien moyen constitue une strate de six mètres d'épaisseur. Il se divise en trois bancs : 1) Le banc à vérin des carriers, reconnaissable par les cérithes géants qui s'y trouvent et par une couleur jaune-rougeâtre. D'un grain serré, il n'a été exploité que dans sa partie supérieure et de façon épisodique. 2) Les lambourdes ou vergelets, banc gris, peu épais et tendre. Il ne contient pas d'eau, ce qui le rend « non gélif » (il ne peut pas geler) et utilisable pour la construction, bien que les traces de coquilles et de fossiles y soient très visibles. 3) Le banc royal, non gélif et homogène, qui fournit des pierres de grande qualité pour la construction. Le lutétien supérieur contient quant à lui les bancs les plus variés et les plus exploitables. Il se constitue de deux strates : le banc vert et les bancs francs. Le premier sépare les niveaux inférieurs et supérieurs en carrière, le second constitue le calcaire le plus souvent exploité, avec plusieurs bancs exploitables souvent séparés par des couches de sables plus ou moins marneuses appelées bousins. Ces bancs sont en partie composés d'argile et contiennent de l'eau, ce qui les rend gélifs, mais leur dureté et leur solidité les rend tout à fait aptes à la construction. Le banc vert, premier étage du lutétien supérieur, se divise en trois bancs : 1) le liais du bas, 2) le banc vert proprement dit (qui donne son nom générique aux deux couches qui l'entourent), composé d'un lit marneux, d'argile verte et de fossiles qui témoignent de son origine lacustre, et 3) le liais du haut, identique à celui du bas. Ce liais est appelé liais franc lorsqu'il est exploité, et banc de marche lorsqu'il constitue le sol de la carrière (et donc que les visiteurs marchent dessus). Les bancs francs, qui représentent les bancs les plus souvent visibles dans les galeries de carrière, se subdivisent en six sortes : 1) Le banc de laine, ou cliquart, ou banc des galets. D'une faible épaisseur, il contient peu de fossiles. Sa consistance varie selon les cas et ressemble à celle des lambourdes lorsqu'elle est tendre, du liais lorsqu'elle est dure ; 2) Le grignard, ou coquiller. Très riche en fossiles, ce banc est peu exploitable, car il est trop constellé de coquillages pour donner des blocs réellement solides. 3) Le souchet. Très tendre, peu compact, il va donner son nom au souchevage, une technique d'extraction de la pierre. En effet, pour commencer à exploiter les bancs situés juste au-dessus, les carriers extraient le souchet de manière à créer un espace vide horizontal, puis creusent des fentes sur le côté du bloc à extraire (ce que l'on appelle le défermage). Contenant quelquefois des galets et des fossiles, le souchet se délite facilement. 4) Le banc blanc, ou banc royal, ou liais franc, ou remise. D'un grain fin et serré, il donne des blocs de bonne qualité, qui se vendront à prix d'or pendant les chantiers du XVIIIe et du XIXe siècle. 5) Le banc franc, ou haut banc, ou banc royal, ou rustique. Il ressemble au banc blanc, et donne lui aussi des blocs de qualité, mais on l'en distingue par le fait qu'il contienne beaucoup moins de fossiles. 6) La roche, ou ciel de carrière. Cette couche, très dure et très coquillière, est souvent laissée en place pour servir de toit à la carrière (que l'on appelle ciel de carrière).

Horloge murale avec baromètre et thermomètre. Source : http://data.abuledu.org/URI/529afc0a-horloge-murale-avec-barometre-et-thermometre

Horloge murale avec baromètre et thermomètre

Horloge murale avec les trois aiguiles : il est 5h05 et 21 secondes ou 17h05 et 21 secondes. Le 4 et le 8 sont absents pour laisser la place aux cadrans du baromètre à droite et du thermomètre à gauche.

Modèle basaltique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50950d1a-modele-basaltique

Modèle basaltique

Les basaltes se classent par leur taux de saturation en silice. Lorsque le basalte n'atteint pas le plan de saturation de la silice, de la néphéline [SiAlO4]Na est exprimée. C'est le domaine des basanites, et, à l'approche du plan de saturation, celui du basalte alcalin à olivines. Au-delà du plan de saturation, c'est le domaine tholéiitique, avec le basalte tholéiitique, si le quartz n'est pas exprimé, et le quartz tholéiite sinon. Modèle basaltique légendé en français : basalte alcalin à olivines, olivine tholéiite, quartz tholéiite, basanite. En rose, plan de saturation de la silice ; opx : orthopyroxène, cpx : clinopyroxène, ab : albite, Ne : néphéline, Qz : quartz, ol : olivine.

Poudre de silicium. Source : http://data.abuledu.org/URI/51c4878c-poudre-de-silicium

Poudre de silicium

Poudre de silicium. C'est l'élément le plus abondant dans la croûte terrestre après l'oxygène (25,7 % de sa masse), mais il est quasiment absent de la matière constituant le vivant. Il n'existe pas à l'état libre, mais sous forme de composés : sous forme de dioxyde de silicium (SiO2), la silice (dans le sable, le quartz, la cristobalite, etc.), ou d'autres silicates. Il est utilisé depuis très longtemps sous forme d'oxyde de silicium amorphe (silice ou SiO2) comme composant essentiel du verre. Il a depuis le milieu XXe siècle de nouveaux usages en électronique (transistor), pour la production de matériaux tels que les silicones ou, pour fabriquer des panneaux solaires photovoltaïques.