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Attaque d'un galion, 1921. Illustration par Howard Pyle (1853-1911). Un galion, à l'origine galeon, présent en 1600 de la mer noire à la méditerranée, désigne un navire à plusieurs ponts, mû à la fois par voiles et rames comme les autres galères. Il évolua en pur voilier, et fut utilisé en Europe et particulièrement en Espagne du XVIe siècle au XVIIIe siècle.
Bateaux à voiles, Gravure, Pirates, Caricatures et dessins humoristiques, Baseball, Championnats sportifs
Bateau du club des pirates, champion de baseball de 1909 ; de gauche à droite et de haut en bas : "Shelton", Vic Willis, Chief Wilson, Bobby Byrne, Babe Adams, Gene Moore, Honus Wagner, Bill Abstein, Ed Abbaticchio, George Gibson, Mike Simon, Chick Brandon, Fred Clarke, Lefty Leifield, Deacon Phillippe, Bill Powell, Paddy O'Connor, Howard Camnitz, Tommy Leach, Ham Hyatt, Harry Camnitz, Sam Frock, Sam Leever, et Nick Maddox. Ainsi que John McGraw (directeur des New York Giants en 1909) sur la planche, et Frank Chance (des Chicago Cubs gagnant en 1906, 1907, 1908) déjà dans le bain. Les Pirates sortirent vainqueurs contre les Chicago Cubs par 6.5 et contre les Giants de New York par 18.5.
Peinture, Pirates, Navires, Littérature de jeunesse, Illustrateurs américains, Howard Pyle (1853-1911)
Capitaine de pirates sur le pont d'un navire (Captain Keitt), illustration par Howard Pyle (1853-1911).
Peinture, Pirates, Duels, Pistolets, Peintres américains, Sabres, Jean Leon Gerome Ferris (1863–1930)
Capture du Pirate Blackbeard, 1718 : duel entre le pirate et le Lieutenant Maynard sur le navire, par Jean Leon Gerome Ferris (1863–1930)
Peinture, Pirates, Batailles navales, Caraïbes (îles), Pistolets, Peintres américains, Sabres, Jean Leon Gerome Ferris (1863–1930), Outer Banks (N.C.. - îles)
Capture du Pirate Barbe-Noire en 1718, bataille avec le Lieutenant Maynard dans la baie d'Ocracoke, par Jean Leon Gerome Ferris (1863–1930). L’île d'Ocracoke est une île des États-Unis située dans les Outer Banks, au large du littoral de la Caroline du Nord, dans le comté de Hyde. L'île sert de décor au film Pirates des Caraïbes : La Fontaine de jouvence. En effet, on retrouve le phare et c'est censé être l'île où se trouve la fontaine de Jouvence. La plus grande partie de l'histoire se retrouve sur cette île. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%8Ele_d%27Ocracoke.
Gravure, Pirates, Howard Pyle (1853-1911), Artistes américains, Stede Bonnet (1688-1718), Colonel William Rhett (1666-1722)
Capture du pirate Stede Bonnet (1688-1718) par le Colonel William Rhett (1666-1722), illustration de Howard Pyle (1853-1911), in Johnson, Merle De Vore (ed), 1921, "Blueskin, the Pirate" in Howard Pyle's Book of Pirates : Fiction, Fact & Fancy Concerning the Buccaneers & Marooners of the Spanish Main, New York, United States, and London, United Kingdom: Harper and Brothers, pl. de la p. 162.
Peinture, Pirates, Combats, Littérature de jeunesse, Illustrateurs américains, Howard Pyle (1853-1911), Revolvers
Combat de deux pirates pour un révolver, illustration de Howard Pyle (1853-1911).
Gravure, Pirates, Dix-septième siècle, Livres -- Couvertures, Néerlandais (langue), Alexandre-Olivier Exmelin (1646-1717), Flibustiers
Page de couverture en néerlandais de "Histoire d'aventuriers", 1678, par Alexandre Exquemelin (1646-1707). La traduction littérale du titre néerlandais est : les Flibustiers américains - Comprenant un récit pertinent de tous les brigandages et atrocités inhumaines que les flibustiers anglais et français commirent contre les Espagnols en Amérique.
Photographie, Pirates, Affiches de cinéma, Affiches publicitaires, Affiches (1900-1945), Cinéma américain, Acteurs de cinéma américains, Kansas City (Mo.), Spectacles et divertissements -- Affiches
Entrée de cinéma américain en 1926 à Kansas City pour "Le pirate noir" avec Douglas Fairbanks.
Gravure, Pirates, Frontispice (typographie), Flibustiers, Alexandre-Olivier Exquemelin (1646-1717), Arts néerlandais, Aventures et aventuriers, Écrivains néerlandais, Flamand (langue), Îles -- Antilles néerlandaises
Frontispice de l'ouvrage d'Alexandre Exquemelin, édition originale en langue néerlandaise, parue à Amsterdam en 1678 : Histoire d'aventuriers qui se sont signalés dans les Indes. La traduction littérale du titre néerlandais est : les Flibustiers américains - Comprenant un récit pertinent de tous les brigandages et atrocités inhumaines que les flibustiers anglais et français commirent contre les Espagnols en Amérique.
Peinture, Pirates, Pères et filles, Littérature de jeunesse, Illustrateurs américains, Howard Pyle (1853-1911)
La fille du capitaine (I am the Daughter of that Unfortunate Captain Keitt), illustration de Howard Pyle (1853-1911).
Textes, Peinture, Trésors, Pirates, Main, Benjamin Franklin (1706-1790), Humour, Dix-huitième siècle, Grèves (plages), Littérature de jeunesse, Autobiographie, Pétitions, Illustrateurs américains
"Qui sera le capitaine ? (Who Shall be Captain), illustration d'un duel entre pirates, 1911, par Howard Pyle (1853-1911).
"Qui sera le capitaine ? (Who Shall be Captain), illustration d'un duel entre pirates, 1911, par Howard Pyle (1853-1911).
Gravure, Trésors, Pirates, Coffres, Anglais (langue), Cinéma américain, Sauvetage, Douglas Fairbanks (1883-1939), Acteurs de cinéma américains, Albert Parker (1885-1974), Billie Dove (1903-1997), Films -- Affiches, Réalisateurs de cinéma américains
Affiche du film "The Black Pirate" (1926), de Albert Parker (1885-1974) avec Douglas Fairbanks qui a écrit le synopsis et Billy Dove : Un jeune homme veut venger son père, tué par une bande de pirates. Il s'infiltre donc dans l'équipage et se fait passer pour l'un des leurs. Il participe à l'attaque d'un navire mais les choses se compliquent quand il veut sauver une jeune fille d'un viol. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Pirate_noir
Peinture, Pirates, Littérature de jeunesse, Illustrateurs américains, Howard Pyle (1853-1911), Boucaniers
Pirate-boucanier (The Buccaneer was a Picturesque Fellow), illustration par Howard Pyle (1853-1911).
Peinture, Pirates, Navires, Littérature de jeunesse, Howard Pyle (1853-1911), Attaque, Attaque à main armée, Illustrateurs amércains
Les pirates attaquent un navire (Then the Real Fight Began), illustration par Howard Pyle (1853-1911).
Textes, Chat domestique, Pirates, Garçons, Célébrités, Rêves d'enfants, Chanteurs -- Fans, Cosmonautes, Garcons -- Travail, Pâtissiers, Vedettes de la scène
Texte illustrant une bande dessinée de sept vignettes par Cyri-L enregistrée avec raconte-moi en janvier 2014. (409 mots)
Chat domestique, Peinture, Pirates, Îles, Chambres d'enfants, Garçons, Trésors monétaires, Rêves d'enfants
Bande dessinée de sept vignettes par Cyri-L enregistrée avec raconte-moi en janvier 2014 : Cyril rêve de découvrir un trésor de pirates sur une île.
Bande dessinée de sept vignettes par Cyri-L enregistrée avec raconte-moi en janvier 2014 : Cyril rêve de découvrir un trésor de pirates sur une île.
Photographie, Chats, Pirates, Marionnettes, Personnages de théâtre de marionnettes, Skopje (Macédoine)
Personnage du théâtre de marionnettes de Skopje : le chat-pirate.
Peinture, Pirates, Méditerranée (mer), Peintres néerlandais, Galères, Aert Anthonisz (1580-1620), Maures (barbaresques)
Navire français attaqué par des pirates (deux galiotes barbaresques), vers 1615, par le peintre néerlandais Aert Anthonisz (1580-1620). Une galiote est un navire à rames, connu aussi sous le nom de demi-galère, puis, à partir du XVIIe siècle, un voilier. La galiote porte 2 mâts avec voiles latines et 16 rangs de rames, environ. Elle est utilisée par Venise comme par les barbaresques. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Galiote
Peinture, Trésors, Pirates, Partage, Littérature de jeunesse, Illustrateurs américains, Howard Pyle (1853-1911), Butin de guerre
Partage du trésor des pirates (So the Treasure was Divided), illustration par Howard Pyle (1853-1911).
Pavillon de pirate (dit Jolly Roger). Dans l'imaginaire populaire et l’imagerie traditionnelle, les pavillons pirates et corsaires sont des pavillons noirs ornés d’une tête de mort surmontant deux tibias ou deux sabres entrecroisés. Le "Jolly Roger" n'a été utilisé par les pirates (d'origine anglaise ou nord-américaine) de l'Atlantique Nord et des Antilles que durant le premier quart du XVIIIe siècle.
Pavillon de pirate de Barbe-Noire (Edward Teach, 1680-1718) : squelette perçant un coeur de la main gauche et buvant un verre avec le diable, de la main droite. Source : Angus Konstam, Blackbeard the Pirate, 2007, page 177.
Pavillon de pirate de Bartholomew Roberts (1682-1722), boucanier britannique de son vrai nom John Roberts, dit Le Baronnet Noir, un des pirates les plus célèbres de son époque. Sur ce premier pavillon, il trinque avec la mort.
Second pavillon de pirate de Bartholomew Roberts (1682-1722) : deux crânes marqués ABH (= A Barbadian Head) et AMH (A Martinican Head). Bartholomew Roberts est à l'origine du "Code des pirates".
Pendaison du gentleman-pirate le Major Stede Bonnet (1688-1718) le 10 décembre 1718, in Charles Johnson, A General History of the Pyrates, 1725, Amsterdam.
Peinture, Pirates, Littérature de jeunesse, Illustrateurs américains, Howard Pyle (1853-1911), Galions
Pirate sur le pont du galion (Captain Kidd on the Deck of the Adventure Galley), illustration de Howard Pyle (1853-1911).
Peinture, Pirates, Littérature de jeunesse, Illustrateurs américains, Galions, Howard Pyle (1953-1911)
Pirates mettant le feu à un galion de nuit, illustration de Howard Pyle (1953-1911).
Illustration par Walter Crane du conte "Princesse Belle-Étoile" : un pirate recueille les enfants jetés à la mer.
Peinture, Pirates, Tribut, Littérature de jeunesse, Illustrateurs américains, Howard Pyle (1853-1911)
Prise d'une ville par les pirates (Extorting Tribute from the Citizens), illustration de Howard Pyle (1853-1911).
Photographie, Châteaux de sable, Pirates, Comédiens, Acteurs, Sculpture, Massachusetts (États-Unis), Massachusetts Bay (Mass.)
Sculpture en sable de Jack Sparrow, interprété par Johnny Depp dans "Pirates des Caraïbes", Revere beach, Massachusetts : compétition de châteaux de sable de 2007.
Peinture, Trésors, Pirates, Littérature de jeunesse, Illustrateurs américains, Howard Pyle (1853-1911)
Trésor enfoui, (Buried Treasure), illustration de William "Captain" Kidd par Howard Pyle (1853-1911).
Photographie, Phares -- France, Golfes, Géographie, Côtes-d'Armor (France), Archipels, Archipel des Sept-Îles, Ile au Moines (France), Île des Côtes-d'Armor, Île-aux-Moines (Morbihan), Sept-Îles (Côtes-d'Armor)
L'île aux Moines (breton : Enez ar Breur ou Jentilez) est une île appartenant à l'archipel des Sept-Îles. Parmi les autres îles de son archipel, il s'agit de la seule ouverte au public. Le nom d'île aux Moines vient des moines cordeliers qui ont occupé l'île du XIVe siècle au XVe siècle. Le fort a été édifié sous Louis XV par Siméon Garangeau, un disciple de Vauban, dans le but d'arrêter les trafics de contrebande des pirates. Bâti entre 1831 et 1835 le phare est démoli en 1944 par les Allemands puis reconstruit après la guerre en 1952. Mesurant une hauteur de vingt mètres, il est l’un des derniers phares en mer à être encore habité avant d'être automatisé en 2007. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%8Ele-aux-Moines
Gravure, Tortue (Haïti), Île de la, Boucaniers, Flibustiers français, Les Sables-d'Olonne (Vendée. - région), Pirates français
Portrait du pirate François l'Olonnais (c. 1635 – c. 1668), (De Americaensche Zeerovers, Alexandre Olivier Exquemelin, 1684).
Ulysse et les sirènes. Mosaïque du musée du Bardo - Tunis, 2me siècle. Cette œuvre retrouvée dans une demeure privée semble devoir être interprétée comme une commémoration de jeux offerts par le propriétaire et en particulier d’une victoire d’un aurige dont le nom est Eros. La mosaïque d’Ulysse est un tableau inspiré de l’Odyssée : le héros grec apparaît debout sur un bateau à deux voiles et à un rang de rame, orné d’une tête humaine et d’une palme, les mains attachées au grand mât pour éviter de succomber au charme fatal de la musique des sirènes. Autour d’Ulysse sont assis ses compagnons, les oreilles bouchées de cire comme le relate la légende. Au pied d’un escarpement rocheux se tiennent trois sirènes représentées avec un buste de femme auquel s’attachent des ailes et des pattes d’oiseaux. L’une d’elles tient une double flûte, l’autre une lyre, la troisième dépourvue d’instrument est considérée comme la sirène chanteuse. Devant le bateau se trouve une petite barque dans laquelle se situe un pêcheur tenant une langouste au format exagéré. L’œuvre est datée des environs de 260-268 et a été découverte dans la «maison d’Ulysse et les pirates» sur le site de Dougga. Source : Mohamed Yacoub, Splendeurs des mosaïques de Tunisie, éd. Agence nationale du patrimoine, Tunis, 1995.
Photographie, Instruments de musique -- Afrique, Instruments à vent, Cornes, Football -- Coupe d'Afrique, Football -- Supporters, Football (2010) -- Coupe du monde, Instruments de musique -- Sonorité, Soweto (Afrique du Sud)
La vuvuzela, appelée lepatata en setswana, parfois francisée en vouvouzela, est une corne d'environ 70 centimètres de long, popularisée dans les années 1990 par les supporters des deux clubs de Soweto en Afrique du Sud : les Kaizer Chiefs (équipés du modèle jaune) et les Orlando Pirates (équipés du modèle noir et blanc). Elle a acquis une renommée internationale lors de la Coupe des confédérations 2009 et est omniprésente lors de la Coupe du monde de football de 2010, devenant un symbole de cette dernière, en même temps qu'un sujet de controverses à cause du bourdonnement incessant qu'elle génère pendant les matchs et leur retransmission. L'étymologie du nom est imprécise, soit du mot zoulou pour « faire du bruit », soit d'une onomatopée (« vou-vou ») imitant le son produit. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Vuvuzela
Tour génoise de La Parata à Ajaccio (1550). La garnison d'une tour se constituait de deux à six hommes (les torregiani) recrutés parmi les habitants et payés sur les taxes locales. Ces gardiens devaient résider en permanence dans la tour. Ils ne pouvaient s'en éloigner que deux jours maximum, pour le ravitaillement et la paye, et un par un. Ils assuraient la vigie avec les feux et signaux réglementaires: ils montaient matin et soir sur la plate-forme, renseignaient navigateurs, bergers et laboureurs sur la sécurité, communiquaient par feux avec les tours les plus proches astucieusement positionnées à portée de vue, et surveillaient l'arrivée d'éventuels pirates. En cas d'alerte, le signal donné sur la terrasse au sommet de la tour, sous forme de fumée, de feu ou d'un son de culombu (grande conque marine), prévenait les environs de l'approche d'un navire hostile. S'ensuivait le repli général des bêtes et des gens vers l'intérieur. Les deux tours les plus proches s'allumaient alors et ainsi de suite, ce qui permettait de mettre toute l'île en alerte en quelques heures. Les tours étaient toujours insuffisamment armées. Elles servaient principalement de postes douaniers et d'amers. Les torregiani négligeaient souvent leur rôle militaire, pour se concentrer sur le contrôle du commerce maritime et la perception de diverses taxes. Ils pratiquaient aussi le négoce du bois et l'agriculture sur les terres environnantes.
Dessins et plans, Architecture militaire, Corse (France. - Domination génoise) (1347-1768), Tours sèches
Description et plan de la tour génoise de la Parata (1550). Joseph de Fréminvile, Tours génoises du littoral corse, 1894. Le littoral corse est constellé de tours (en corse torri), devenues un des symboles de l'île. Bien que toutes ne soient pas d'origine génoise, on les appelle généralement "tours génoises", sans distinction. La construction de ces tours génoises est la conséquence de la prise de Constantinople par les Turcs en 1453 ; les Barbaresques commencent à razzier les côtes et le feront pendant trois siècles. Elle débuta au XVIe siècle à la demande des communautés villageoises pour se protéger des pirates. En 1530, la république de Gênes dépêche deux commissaires extraordinaires, Paolo Battista Calvo et Francesco Doria, pour inspecter les tours et fortifications chargées de défendre l'île des invasions barbaresques. En 1530 la Corse a 23 tours dont 10 au Cap. Dès 1531, l'édification de quatre-vingt-dix tours est décidée sur le littoral corse, dont trente-deux dans le Cap Corse. Les travaux commencent sous la supervision de deux nouveaux commissaires extraordinaires génois : Sebastiano Doria et Pietro Filippo Grimaldi Podio. Il s'agissait d'étendre à la Corse le système de vigilance déjà en vigueur sur le pourtour méditerranéen. Ces vigies placées en avant-poste prévenaient et défendaient des attaques des Barbaresques et de tous les dangers venant de la mer. En 1730 l'île a 120 tours dont 30 au Cap. Aujourd'hui, sur les 85 tours dénombrées au début du XVIIIe siècle, 67 demeurent encore debout.