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Peinture, Couleurs, Livres, Pauvres, Pauvres en milieu urbain, Pauvres -- Santé et hygiène, Poètes, Travailleurs pauvres
Tableau de Carl Spitzweg représentant le "pauvre poète" écrivant sous un parapluie dans sa mansarde.
Affiche américaine contre le travail des enfants, 1904-1919.
Aide aux pauvres en Chine, 1400-1420, in "Le livre des merveilles de Marco Polo", folio 137v. Source : Gallica btv1b52000858n/f280.
Planche N°306 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef : Bouleau blanc (Betula pubescens, Betula alba). Les bouleaux poussent en général sur les terres pauvres et souvent siliceuses, jusqu'à 2000 m d'altitude, ainsi que dans les régions arctiques. Les bouleaux sont des plantes pionnières qui constituent souvent la première formation arborée lors de la reconquête ou de la colonisation de landes par la forêt. Ils apprécient les sols plutôt acides et humides. Les bouleaux forment des futaies appelées boulaies ou boulinières ou encore des bétulaies. Cet arbre caduc majestueux de la famille des betulaceae fleurit d'avril à mai. Ses fruits sont des cônes allongés de 10 cm de longueur, dressés puis pendants pour le mâle et de 3 cm dressés pour la femelle. Cet arbre à l'écorce blanche écaillée peut atteindre 20 à 30 m de hauteur et jusqu'à 60 cm de diamètre à la base. Sa sève riche en composés actifs, ainsi que son écorce, recèlent de nombreuses propriétés. Le mot "boul" vient du latin "betula" d'origine probablement celtique (gaulois) d'un thème *betuo-, thématisation de *betu-, dont est issu le nom brittonique de l'arbre : breton "bezv", gallois "bedw". *betu- pourrait être le nom celtique de la poix obtenue en chauffant de jeunes arbres pleins de sève et équivalent du latin "bitumen".
Photographie, Enfants, Pauvres en milieu urbain, Charlie Chaplin (1889-1977), Photographies en noir et blanc, Acteurs de cinéma américains, Comédies dramatiques (cinéma), Producteurs de cinéma
Le Kid, ou Le Gosse au Québec, est une comédie dramatique muette américaine écrite, produite et réalisée par Charlie Chaplin, sortie en 1921.
Photographie, Arbustes, Botanique, Plantes méditerranéennes, Garrigues, Flore méditerranéenne, Clape (Aude), Montagne de la, Fleury (Aude), Cistes (botanique), Garrigues -- Écologie, Garrigues (France), Plantes des garrigues
Ciste de Montpellier en fleurs au gouffre de l'Oeil Doux (Massif de La Clape, Fleury, Aude) en mai 2015. Le Ciste de Montpellier (Cistus monspeliensis) est un arbuste de la garrigue, supportant bien une période d'aridité et appréciant les sols calcaires. Son feuillage persistant vert et tomenteux est composé de feuilles lancéolées, rugueuses, réticulées, simples, trinervées, et sans pétiole net. Les fleurs très parfumées et pollénifères attirent papillons et insectes qui permettent ainsi une bonne pollinisation. Les fruits sont des capsules ovales déhiscentes à 5 valves contenant de nombreuses graines. La dissémination des fruits est favorisée par les oiseaux et les petits mammifères. C'est une plante dont l'utilisation est fondamentale pour coloniser les terrains dégradés et arides car elle s'adapte parfaitement aux conditions difficiles des sols pauvres de la garrigue ainsi que des sols pauvres proches des zones côtières méditerranéennes. En freinant l'érosion de ceux-ci, elle ralentit leur désertification. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Cistus_monspeliensis
Planche de "Clematis vitalba" (Atlas des plantes de France, 1891) : arbuste de la famille des Renonculacées. Elle est parfois appelée aubavis, aubervigne, bois à fumer, bois de pipe, cranquillier, vigne de Salomon ou viorne des pauvres. La dénomination "herbe aux gueux" provient de l'utilisation de ses feuilles irritantes par les mendiants pour s'infliger volontairement des ulcères afin de susciter la pitié. Appelée "virgouène" en Berry. (Wikipedia)
Peinture, Art nouveau, Clématites, Art nouveau (décoration), Décoration et ornement -- Art nouveau, Anton Seder (1850–1916), Lithographies
Lithographie par Anton Seder (1850–1916), Art Nouveau 1890, titre : Clématite des haies. La dénomination herbe aux gueux provient de l'utilisation de ses feuilles irritantes par les mendiants pour s'infliger volontairement des ulcères afin de susciter la pitié. Appelée "virgouène" en Berry. Son bois était fumé, d'où son nom de Bois de pipe. Cette liane est aussi utilisée dans la vannerie. La clématite des haies ou clématite vigne-blanche (Clematis vitalba L. ) est un arbuste de la famille des Renonculacées. Elle est parfois appelée aubavis, aubervigne, bois à fumer, bois de pipe, cranquillier, herbe aux gueux, vigne de Salomon ou viorne des pauvres.
Cartographie mondiage de l'émission de gaz à effet de serre par pays en 2000 : Contrairement aux incendies de forêt destinés à les convertir définitivement en culture, arboriculture intensive (palmiers à huile, eucalyptus...) ou prairies pauvres, l'agriculture itinérante a peu d'impacts en terme d'émission de gaz à effet de serre (voir cette carte, incluant les effets dus à la conversion des sols). Localement, à Madagascar en particulier, elle a néanmoins eu des effets catastrophiques en terme d'érosion des sols.
Peinture, Plantes, Gentianacées, Grande gentiane, Plantes médicinales, Plantes -- Noms vernaculaires
Planche botanique de la Gentiane jaune ou grande gentiane (Gentiana lutea), Atlas des Plantes de France, 1891. Noms locaux : gentiane officinale, jouvansanne, quinquina d'Europe, quinquina des pauvres, lève-toi-et-marche, jansonna et quinquina indigène. Le rhizome et les racines sont utilisés en phytothérapie comme le laissent supposer ses nombreux noms vernaculaires. Il faut attendre sept à dix ans avant de pouvoir les récolter. La récolte est réalisée essentiellement dans le Massif Central par les Gençanaïres. À l'aide d'une fourche spéciale appelée « fourche du diable », ils peuvent extraire plus de 200 kg de racines par jour. C'est un travail pénible qui s'effectue de mai à octobre. Ce sont près de 1 000 à 1 500 tonnes qui sont utilisées chaque année pour satisfaire les besoins de l'artisanat et l'industrie. En volume, la gentiane est une des trois premières plantes médicinales et aromatiques utilisées en France et ses applications sont nombreuses (pharmacie et médecine humaine et vétérinaire, boissons et spiritueux, cosmétique, fabrication d'arômes et d'extraits, gastronomie…).
Peinture, Landes, Peintres paysagistes, Archibald Thorburn (1860-1935), Illustrateurs écossais, Landes à Erica
Lande de bruyère, 1897, par Archibald Thorburn (1860-1935), illustrateur écossais spécialiste des oiseaux et de leur environnement naturel. La lande (parfois appelée « Dorne » ou « Les dornes » dans le nord de la France) est une association de plantes qui dépassent rarement le stade d'arbustes et poussant sur des milieux pauvres, souvent acides et oligotrophes. Dans la lande européenne, on retrouve surtout des bruyères, des genêts, des buis et des ajoncs. On retrouve des landes sur toute la zone tempérée. En France elles se situent principalement dans le Massif central et le Massif armoricain. La lande silicicole, lande mésophile ou waste se développe dans les régions côtières au climat océanique, humide toute l'année avec des températures modérées. La faiblesse de l'insolation réduit la minéralisation, la litière est peu abondante et acide. Le lessivage est important. Les sols sont acides (pH voisin de 4) et peuvent donner des podzols. L'origine de cette formation est double. Le vent gêne la croissance des arbres (forte évaporation, bris des rameaux) et le lessivage réduit leur alimentation.
Textes, Rats, Richesse, Jouets, Pauvreté, Charles Baudelaire (1821-1867), Enfants de familles pauvres
Le Joujou du pauvre, Petits poèmes en prose de Charles Baudelaire (1821-1867). 423 mots.
Gravure, Contes de fées, Le petit Poucet - Charles Perrault (1628-1703), Gustave Doré (1832-1883), Littérature de jeunesse, Familles pauvres, Enfants -- Alimentation, Enfants de familles pauvres
Le petit Poucet - Charles Perrault (1628-1703), illustration des ''Histoires ou Contes du Temps passé : Les Contes de ma Mère l'Oye'' par Gustave Doré (1832-1883), ''Les Contes de Perrault'' 1867.
Gravure, Caricatures et dessins humoristiques, Dix-neuvième siècle, Romantisme (mouvement littéraire), Écrivains exilés, Écrivains français, Lyre, Victor Hugo (1802-1885), André Gill (1840-1885), Musique pour lyre
Caricature de Victor Hugo en couverture de "La Petite Lune", 1878, N°23 par André Gill (1840-1885) : "Vous tous à qui les charbonniers Montrent des fronts inexorables, Pauvres, besogneux, misérables, Rimeurs transis dans les greniers, Le Maître aux grands vers pleins de flammes Est de retour. – Le bois est cher... A défaut de feu pour la chair, Voilà du soleil pour les âmes."
Peinture, Peintres français, Dix-neuvième siècle, Pauvreté, Chemins de fer, Mères et enfants, Trains, Honoré Daumier (1808-1879), Pauvres en milieu rural
Le wagon de troisième classe, 1862, par Honoré Daumier (1808-1879). Le Wagon de troisième classe est le titre d'un tableau d'Honoré Daumier, peint en 1864, dans lequel l'artiste dénonce la pauvreté. Il appartient au Musée des beaux-arts du Canada d'Ottawa1 qui l'a acquis 1946. Cette représentation du réel est dérangeante, non pas tant par ce qui est montré, les personnages, les vêtements, ces enfants misérables, que par la force des regards. Les yeux sombres de la femme au panier, au premier plan, fixant le spectateur de l'œuvre, paraissent terriblement accusateurs et traduisent le profond désarroi qui habite ces petites gens, dans leur vie de souffrance et de misère. Avant 1956, les Chemins de fer proposaient trois classes : la deuxième classe, confortable sans le luxe de la première, accueillait les voyageurs de la petite-bourgeoisie (commerçants, fonctionnaires, rentiers etc). La troisième classe a été supprimée, face à l'élévation générale du niveau de vie. Cette disposition en trois classes (et plus) existe toujours dans de nombreux pays du monde. Pour les bateaux, elle demeure plus rare. Cette classe était principalement réservée à l'émigration à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle.
Peinture, Moissons, Bonnets, Vêtements, Jean-François Millet (1814-1875), Dix-neuvième siècle, Réalisme dans l'art, Réalisme (mouvement artistique), École de Barbizon, Paysans
Glaneuses, 1857, de Jean-François Millet (1814-1875). Sur le tableau figurent trois femmes, une vieille et deux jeunes, parmi les plus pauvres de la campagne, puisque contraintes de glaner des épis de blés pour manger, et illustre ainsi la misère de la population rurale en s'inscrivant dans la veine réaliste, sans misérabilisme. Les trois femmes figurent les trois gestes du glanage : se baisser, ramasser, se relever. Le travail de ces femmes est pénible (courbure du dos, maigreur de la récolte), mais leurs vêtements ne sont pas des haillons. Cette pauvreté (et une certaine fracture sociale) est accentuée par l'apparente richesse de la récolte de blé chargée sur les charrettes en arrière plan par le maître et les gens de ferme. Millet représente dans le ciel une nuée d'oiseaux, prêts eux aussi à picorer les grains oubliés, à l'instar des glaneuses.
Les voilà transformés en véritables moules à gâteaux, pauvres enfants : scène 6, Max und Moritz - Wilhelm Busch (1832-1908).
Gravure, Pauvres en milieu urbain, Mendiants, Mères et enfants, Caricaturistes, Mendicité, Grandville (1803-1847), Dessin en noir et blanc, Proverbes français, Petite bourgeoisie
Grandville (1803-1847), "Cent Proverbes", 1845, "La petite aumône est la bonne".
Oiseaux, Chats, Gravure, Grands-mères, Fillettes, Dix-neuvième siècle, Chiens, Relations clients-fournisseurs, Relations, Littérature de jeunesse, Artistes danois, Lorenz Fröhlich (1820-1908), Bontemps, Familles pauvres, Gens riches
La Mère Bontemps (12), Magasin d'Éducation et de Récréation, 1892, illustré par Lorenz Fröhlich (1820-1908) dessinateur danois.
Photographie, Musées -- Aspect éducatif, Musées historiques, Pointe-à-Pitre (Guadeloupe), Victor Schoelcher (1804-1893), Henry Sidambarom (1863-1952), Histoire locale -- Musées, Immigration professionnelle, Indiens (de l'Inde), Musée Schoelcher. Pointe-à-Pitre, Guadeloupe, Musées ethnologiques, Politique de l'immigration
Entrée du musée Schœlcher de Pointe-à-Pitre. Au lendemain de l’abolition de l'esclavage en 1848, les planteurs guadeloupéens, à la recherche de main-d’œuvre étrangère explorent plusieurs possibilités. Napoléon III signe la Convention sur l’immigration indienne le 1er juillet 1861. Le «Bombay Gazette» du 15 juin 1858 décrit les individus confinés dans les dépôts comme des pauvres, ignorants et illettrés pour l’essentiel, «nés dans la liberté, prêts à être déportés dans des colonies où l’esclavage a été aboli mais où ils deviendront esclaves». Ce commerce humain est une affaire lucrative pour la Compagnie générale maritime signataire d'un contrat rémunérateur avec le Ministère de la Marine. Leurs conditions de vie misérables deviennent vite dramatiques, et sont qualifiées de « New system of slavery » par le gouvernement britannique, qui, conscient des sévices commis sur ses sujets aux Antilles françaises signe le 1er novembre 1888 l’arrêt de ce mouvement migratoire. Il existe une énorme surmortalité, soit 61,4 pour mille entre 1855 et 1885. Victor Schoelcher déclare que « l’immigration consomme presque autant de créatures humaines que l’esclavage ». Le rapatriement au terme du contrat est rare au début. En 1923, suite à un long procès 1904-1923, Henry Sidambarom (1863-1952), défenseur de la cause des travailleurs indiens, obtient la nationalisation pour les indiens de la Guadeloupe. En 1925, Raymond Poincaré, Président du Conseil, décide d'octroyer définitivement la nationalité française aux ressortissants indiens ainsi que le droit de vote.
Passez-Payez sous la pluie à Paris, 1803, par Louis-Léopold Boilly (1761-1845). « Passez payez » est la devise et le cri des décrotteurs parisiens qui, pendant les années qui suivent la Révolution, chaque fois qu'il pleut, posent une planche à travers la chaussée pour les passants qui souhaitent traverser sans s'enfoncer dans la boue et veulent bien leur verser en contrepartie un droit de passage. Au lendemain de la Révolution et des guerres qui l'ont suivie, la capitale abrite une foule de pauvres et de déracinés à la recherche de moyens de subsister. C'est ainsi que vers les années 1800, certains d'entre eux imaginent, à l'aide d'une simple planche munie à l'une de ses extrémités de deux roues, un nouveau service à offrir aux membres des classes aisées.
Planche N° 305 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef : Peuplier noir (Populus nigra). La floraison a lieu de mars à avril ; la pollinisation ainsi que la dispersion du pollen se fait par le vent (anémophile). L’arbre atteint sa maturité sexuelle vers six ans, en produisant des chatons pendants ; les chatons mâles mesurent 8 à 10 cm de long à maturité et sont rouges/pourpres ; les chatons femelles sont vert-jaunâtre et longs de 6 à 8 cm à maturité. Les graines de cette espèce pionnière sont pauvres en réserves et ont une durée de vie plutôt courte, ce qui peut rendre l'espèce vulnérable à l'insularisation écologique ou à la fragmentation écopaysagère. Elles colonisent des sols riches et dénués de végétation tel que les grèves et bancs de sable humides abandonnés par l'eau durant l'été, en compagnie d'autres essences de bois tendre, comme les saules. Dans de bonnes conditions (soleil, sol riche, humidité) l'arbre pousse vite, avec de larges cernes de croissance, mais avec un houppier relativement sensible à la casse en cas de tempêtes. C'est une espèce caractéristique des ripisylves arborescentes ourlant les berges alluvionnaires d'un certain nombre de cours d'eau (en évolution dynamique). Il est encore présent près de la mer (notamment près de l'embouchure de la Loire) et est assez résistant aux embruns. Il semble avoir été autrefois présent très près de la mer dans le nord, par exemple avec des peupliers blancs et trembles dans les pannes dunaires de Dunkerque à la fin du XIXème siècle et au début du XXème siècle, signalé par l'Abbé Arthur Labeau dans une note sur la « flore maritime du littoral français de la mer du nord ».
Gravure, France (Révolution) (1789-1799), Louis-Antoine-Léon Saint-Just (1767-1794), Montagnards (Histoire de France)
Louis Antoine Léon de Saint-Just, né le 25 août 1767 à Decize, mort guillotiné le 10 thermidor an II (28 juillet 1794) à Paris, est un homme politique français de la Révolution française, un des plus jeunes élus à la Convention nationale, membre du groupe des Montagnards, soutien indéfectible de Robespierre avec qui il est emporté dans sa chute du 9 thermidor. D'une éloquence remarquée, il se distingue par la rigidité de ses principes prônant l'égalité et la vertu ainsi que par l'efficacité de ses missions au cours desquelles il redresse la situation de l'armée du Rhin et participe à la victoire des armées républicaines à Fleurus. Combattant politiquement les Girondins, les Hébertistes puis les Indulgents, il fait voter la confiscation des biens des ennemis de la République au profit des patriotes pauvres. Il est notamment l'inspirateur de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1793.
Harrow alley, Houndsditch : quartier pauvre de Londres, famille de mendiants dans la rue.
Appelé au sein de la francophonie renne ou caribou, Rangifer tarandus est un cervidé des régions arctiques et subarctiques de l'Europe, de l'Asie et de l'Amérique du Nord. Plusieurs milliers de rennes ont été également introduits dans l'archipel sub-antarctique des îles Kerguelen où ils vivent désormais à l'état sauvage. Le renne est adapté à des environnements extrêmes, froids, acides et pauvres (en termes de productivité biologique)
Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.220 ; manuel scolaire, édition de 1904 : Résiniers des Landes.—Le pin est un arbre très précieux et qui devrait être plus répandu, car il croît sur les terrains les plus pauvres; il assainit et fertilise le sol : de plus il est d'un bon rapport (50 fr. en moyenne par hectare). Outre son bois, on tire chaque année du pin la résine. Pour cela, des ouvriers font une entaille au-dessous de laquelle ils placent un petit pot ; la résine sort goutte à goutte et remplit ce pot, qu'il suffit de revenir chercher au bout de plusieurs mois. On devrait par un sage calcul d'hygiène et d'agriculture couvrir de pins une foule de pays incultes, qui, pauvres aujourd'hui, seraient bientôt enrichis et assainis par cette plantation.
Ride médio océanique, gradin, rift, zone effondrée. La ligne axiale de cette « montagne sous la mer » qu'est la dorsale, peut être creusée d'une vallée étroite de quelques kilomètres appelée rift, ou fossé d'effondrement. Le rift est le lieu d'une intense activité géologique considéré comme une oasis de vie dans les grands fonds océaniques plutôt très pauvres en activité biologique faute de ressources énergétiques et chimiques.
Photographie, Boulangerie, Pain, Graminées, Graminées fourragères, Aliments, Farines, Produits céréaliers, Seigle
Le seigle (Secale cereale L.) est une plante bisannuelle du genre Secale appartenant à la famille des poacées (graminées), et cultivée comme céréale ou comme fourrage. Elle fait partie des céréales à paille. C'est une céréale rustique adaptée aux terres pauvres et froides. Sa culture est de nos jours marginale.
Dessins et plans, Clivage (psychologie), Contribution à la sociologie, Élite (sciences sociales), Groupes sociaux, Historiens de la société, Pauvreté, Socioanalyse, Sociologie, Toupies (machines à bois)
La Toupie de Mendras est une représentation d'un paradigme émis par Henri Mendras mettant en jeu une vision cosmographique des groupes sociaux d'une part, et une certaine tendance à la moyennisation de la société, d'autre part. Basée sur une forme de toupie, cette modélisation est basée sur une analogie avec la cosmographie : la toupie représente la société dans son entièreté et est composée de constellations représentant les différents groupes sociaux. La constellation centrale, la plus importante (d'où l'utilisation de la forme de toupie), exerce sur les groupes secondaires, comme la « constellation des élites » ou la « constellation des pauvres », atténuant ainsi certains clivages sociaux et tendant à l'homogénéisation des comportements. À ce titre, La toupie de Mendras est une illustration du concept de moyennisation, mais également d'une certaine souplesse de la stratification sociale : il semble possible de « passer » d'une constellation à l'autre.