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Photographie | Dessins et plans | Mercure | Gravure | Aides à la navigation | Balises | Mercure -- Culte | Géographie | Mer du Nord | Sculpture monumentale | Phares | Optique | Phares -- France | Mythologie romaine | Signalisation maritime | Semaine | Plantes médicinales | Plantes | Peinture | Mercurialis | ...
Le Bûcheron et Mercure. Source : http://data.abuledu.org/URI/519cc7ac-le-bucheron-et-mercure

Le Bûcheron et Mercure

Le Bûcheron et Mercure. Source : Cent fables de Jean de La Fontaine (1621-1695) illustrées par P. J. Billinghurst (Gutenberg), 1901.

Mercuriale vivace. Source : http://data.abuledu.org/URI/506f1c10-mercuriale-vivace

Mercuriale vivace

Planche botanique N°286 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, 1894 : Marcuriale vivace (Mercurialis perennis) ou Mercuriale pérenne, Chou de chien ou Cynocrambe. C'est une plante herbacée des lieux plutôt frais sur sols alcalino-calcaires de la famille des Euphorbiaceae. Son nom en latin vient de Mercure, le dieu qui découvrit les propriétés médicinales des mercuriales et Perennis pour pérenne. Elle se développe à l'ombre des arbres à feuilles caduques des régions tempérées d'Europe. Elle forme grâce à son rhizome souterrain de vastes colonies en sous-bois (plante sociale). L'ensemble de la plante est un purgatif énergique, elle est vénéneuse pour les bêtes.

Mine de mercure en Slovénie. Source : http://data.abuledu.org/URI/5156f66d-mine-de-mercure-en-slovenie

Mine de mercure en Slovénie

Mine de mercure d'Idrija en Slovénie, 1689, par le graveur sur cuivre Janez Vajkard Valvasor (1641-1693) ; ville classée au patrimoine de l'UNESCO en 2012.

Plant de mercuriale vivace en fleurs. Source : http://data.abuledu.org/URI/506f1cd5-plant-de-mercuriale-vivace-en-fleurs

Plant de mercuriale vivace en fleurs

Plant de mercuriale vivace (Mercurialis perennis) en fleurs.

Source de mercure par Calder. Source : http://data.abuledu.org/URI/541e92a6-source-de-mercure-par-calder

Source de mercure par Calder

Source de mercure, par Alexander Calder, pour le pavillon espagnol de l'exposition de 1937. Actuellement Fondation Joan Miró à Barcelone.

Altimètre gradué en pieds. Source : http://data.abuledu.org/URI/518f6c30-altimetre-gradue-en-pieds

Altimètre gradué en pieds

Cadra d'un altimètre de bord gradué en pieds (feet). Le calage est affiché dans la petite fenêtre à droite (en pouce de mercure). Les trois aiguilles donnent respectivement des dizaines de milliers, des milliers, des centaines de pieds : l'altitude affichée est donc de 14 500 pieds.

Baromètre anéroide. Source : http://data.abuledu.org/URI/5236eb94-barometre-aneroide

Baromètre anéroide

Baromètre anéroide du XIXème siècle : le principe de cet appareil avait été proposé en 1700 par le savant allemand Gottfried Wilhelm Leibniz ; le grand mérite de Vidi a été de le transformer en un objet pratique et peu onéreux. Le baromètre anéroïde est moins précis que le baromètre à mercure mais il permet en contrepartie de fabriquer des instruments compacts, beaucoup plus robustes et facilement transportables, surtout en mer.

Bioconcentration de mercure en chaîne alimentaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f9b580-bioconcentration-de-mercure-en-chaine-alimentaire

Bioconcentration de mercure en chaîne alimentaire

Ce schéma présente (de manière très simplifiée) la cinétique environnementale du mercure émis par quelques sources communes de ce métal, et sa ''bioconversion'' en méthylmercure toxique. Il traduit aussi les grandes lignes des recommandations de l'EPA pour certains types de poissons qui bioaccumulent le plus le mercure. Le mercure émis par les centrales électriques au charbon et d'autres sources se déplace via l'atmosphère vers l'eau ; une partie se transforme (dans les sédiments surtout) en méthylmercure (plus toxique et qui entre facilement dans la chaîne alimentaire où il se concentre à chaque étape de cette chaîne ou pyramide). Ceci explique que les grands prédateurs comme les cachalots, orques, requins, espadons, thons ou les vieux brochets, ou des charognards comme le flétan contiennent les taux de mercure les plus élevés. Le mercure est particulièrement problématique pour le développement ; c'est pourquoi les limites ici présentées ont été conçues pour protéger les femmes qui pourraient devenir enceintes et les enfants de 12 ans ou moins. Les cétacés, des dauphins, bélugas et marsouins aux cachalots en passant par les orques peuvent bioconcentrer de grandes quantité de mercure méthylé, mais hors quelques exceptions (Japon, norvège...), ils ne sont habituellement pas consommés. Sources de mercure : volcans, geysers, industrie, incinérations, crématoriums, mines, décharges, munitions anciennes.

Bracelet des sept jours de la semaine. Source : http://data.abuledu.org/URI/5336c220-bracelet-des-sept-jours-de-la-semaine

Bracelet des sept jours de la semaine

Bracelet de camées du XIXème siècle avec portrait des sept dieux de l'Olympe pour les sept jours de la semaine : Diane pour la lune de lundi, Mars pour mardi, Mercure pour mercredi, Jupiter pour jeudi, Vénus pour vendredi, Saturne pour samedi, et Apollon pour dimanche.

Colonnes rostrales à Bordeaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/55476276-colonnes-rostrales-a-bordeaux

Colonnes rostrales à Bordeaux

Colonnes rostrales, Place des Quinconces à Bordeaux, Gironde (base Mérimée|PA33000075). Les deux colonnes rostrales (21 mètres de haut) situées face à la Garonne, ont été construites par Pierre-Alexandre Poitevin en 1829. Chaque colonne est ornée au tiers inférieur de quatre proues de galères prolongées de rostres formés de deux faisceaux de trois glaives, œuvre de l’ornemantiste d’origine italienne N. Bonino. Les rostres rappellent la victoire des flottes romaines sur celles de Carthage et, depuis l’Antiquité, signifient la maîtrise triomphale des mers. Le chapiteau supporte un édicule circulaire couvert d’une coupole supportant deux statues du sculpteur Monsau, à l'origine en terre cuite, avant d'être remplacées par des copies de fonte : l'une symbolise le Commerce et l'autre la Navigation. Le décor, finement sculpté par Bonino sur le fût, copie les proues et les ancres figurant sur le modèle de référence du musée du Capitole, mais Poitevin y a ajouté le caducée de Mercure et l’étoile qui guide le marin, attributs du Commerce et de la Navigation. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Place_des_Quinconces

Dame cachetant une lettre à la cire. Source : http://data.abuledu.org/URI/502053ad-dame-cachetant-une-lettre-a-la-cire

Dame cachetant une lettre à la cire

Photo d'un tableau de J. S. Chardin de 1732 intitulé "Une femme occupée à cacheter une lettre". (146 x 147 cm, Berlin, Stiftung Preußischer Kulturbesitz). Ce tableau est exposé place Dauphine en 1734, et le Mercure de France le décrit ainsi : « (il) représente une jeune personne qui attend avec impatience qu'on lui donne de la lumière pour cacheter une lettre, les figures sont grandes comme nature. »

Dispersion de la lumière à travers un prisme. Source : http://data.abuledu.org/URI/52c86487-dispersion-de-la-lumiere-a-travers-un-prisme

Dispersion de la lumière à travers un prisme

Dispersion de la lumière d'une lampe à vapeur de mercure par un prisme de verre flint. Le verre flint, ou flint glass en anglais, de « flint » qui signifie silex en anglais, est un type de verre avec un haut indice de réfraction et un nombre d'Abbe faible. L'indice de réfraction des flints varie entre 1,5 et 2,0 selon leur composition et on les distingue des autres verres d'oxydes par leur nombre d'Abbe inférieur à 50, ce sont donc des verres très dispersifs c'est-à-dire qu'ils dévient très différemment la lumière selon la longueur d'onde de celle-ci. Le verre flint contient dans sa formule d'origine, une partie d'oxyde de plomb (II), depuis les travaux de recherche sur les formules de verre opérées par Otto Schott et Ernst Abbe, on peut adjoindre à la pâte d'un verre flint du lanthane, du titane, du baryum, etc. Le verre flint est très utilisé en cristallerie d'art pour sa brillance, l'indice de réfraction fort provoquant une plus grande proportion de réflexions internes. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Verre_flint.

Du cinabre sur de la dolomite.. Source : http://data.abuledu.org/URI/505a353a-du-cinabre-sur-de-la-dolomite-

Du cinabre sur de la dolomite.

Le cinabre est une espèce minérale composée de sulfure de mercure de formule HgS.

Le fleuve Kourou en Guyane. Source : http://data.abuledu.org/URI/52779e4d-le-fleuve-kourou-en-guyane

Le fleuve Kourou en Guyane

Le fleuve Kourou en Guyane vu depuis le port, avec la forêt amazonienne au fond. La ville de Kourou se situe à son embouchure dans l'océan Atlantique. Son estuaire abrite le port de plaisance. De 143,7 km de longueur, comme partout en Amazonie, la couleur de ses eaux est brune à cause des sédiments apportés de la forêt, et il abrite de nombreuses espèces de poissons souvent utilisées en cuisine. Pourtant, il est pollué par le mercure jeté dans l'eau par les orpailleurs clandestins comme beaucoup d'autres fleuves guyanais. Quatre points remarquables se succèdent sur son cours de l'amont vers l'aval : le saut Léodate, la roche Léodate, la roche Génipa, le saut Gorigo.

Le monde de Ptolémée. Source : http://data.abuledu.org/URI/505f5eb3-le-monde-de-ptolemee

Le monde de Ptolémée

Cosmogonie de Ptolémée légendée en latin et présentant le schéma des spères concentriques : "Schema huius præmiʃʃæ diuiʃionis Sphærarum. COELVM EMPIREVM HABITACVLVM DEI ET OMNIVM ELECTORVM", notamment 7 Saturne · 6 Jupiter · 5 Mars · 4 Soleil · 3 Vénus · 2 Mercure · 1 La Lune.

Les sept jours de la semaine. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d72172-les-sept-jours-de-la-semaine

Les sept jours de la semaine

Heptagramme représentant les sept jours de la semaine. Chaque jour est représenté par le signe astrologique de l'objet céleste associé au nom latin. Liste des symboles : Soleil, Vénus, Mercure, croissant de Lune, Saturne, Jupiter, Mars. Pour les retrouver dans l'ordre des jours de la semaine, suivre les segments sans relever le doigt : dimanche, lundi (lunes), mardi (martes), mercredi (Mercure), jeudi (Jupiter), vendredi (Venus), samedi (Saturne). Source : http://www.symbols.com/encyclopedia/29/2916.html

Méditation sur les ruines de Palmyre. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d9aa13-meditation-sur-les-ruines-de-palmyre

Méditation sur les ruines de Palmyre

Anatole France, Méditation sur les ruines de Palmyre, 1859, Extrait du Mercure de France, N° 647, 1er juin 1925. (509 mots, 13 paragraphes). Les ruines de Palmyre servent de prétexte à une méditation philosophique sur les effets du temps.

Miroir de toilette de princesse en 1786. Source : http://data.abuledu.org/URI/5394bdc7-miroir-de-toilette-de-princesse-en-1786

Miroir de toilette de princesse en 1786

Nécessaire de toilette de la Princesse de Deux-Ponts, 1786, par Johann Jacob Kirstein (1733-1816, maître en 1760), orfèvre : Argent doré, glace au mercure et noyer ; H. 96,5 cm ; l. 56,6 cm ; P. 7,2 cm. Musée des Arts décoratifs, Strasbourg. Le miroir fait partie du nécessaire offert par Maximilien Joseph de Deux-Ponts, colonel-propriétaire du régiment d’Alsace à Strasbourg, à Augusta Wilhelmine de Hesse-Darmstadt (1765-1796), fille du comte Georges Guillaume de Hesse-Darmstadt et de Marie Albertine Louise de Linange-Heidesheim, à l’occasion de la naissance de leur fils ainé.

Phare de Dunkerque. Source : http://data.abuledu.org/URI/53590f4c-phare-de-dunkerque-risban

Phare de Dunkerque

Le phare de Dunkerque ou phare du Risban est un phare côtier portuaire automatisé de premier ordre. C'est le plus haut de France de ce type. Il est encore en service et peut être visité. Le phare de Dunkerque est bâti sur les ruines du fort Risban (ou Gros Risban) aménagé par Vauban à partir de 1681 (d'où le nom de phare de Risban), sur lequel se trouvait initialement le premier phare de la ville, un fanal allumé en 1683, qui fut emporté par une tempête en 1825. Construit en 1842 (la date est gravée à deux endroits) et mis en service l'année suivante, il fait partie des tout premiers phares érigés lors du premier plan de signalisation maritime français organisé par le capitaine de Rossel et Augustin Fresnel en 1825. Les travaux entrepris en 1883 pour l'installation de l'éclairage et du bâtiment annexe pour les machines et le logement des conducteurs sont dus à l'ingénieur Lyriaud des Vergnes. Le feu n'a cessé d'être renforcé. En 1885, le phare de Risban sera l'un des premiers feux électrifiés au moyen d'une lampe à arc actionnée par des magnéto-génératrices. Avant son électrification, les combustibles employés furent successivement de l'huile végétale (1843), puis de l'huile minérale (1875). Le phare fut sérieusement endommagé par les bombardements de 1940 et d’importants travaux de réparation seront programmés dès 1946. Le phare est automatisé depuis 1985. Il a été restauré en 1992. Hauteur : 63 m - Elévation : 66.35 m - Portée : 28 milles (environ 50 km). Feux : 2 éclats blancs 10 secondes. Optique : optique tournante de 2 x 2 éclats blancs groupés en 10 s. à 4 panneaux. Lentilles de renvoi aérien. Focale 0.50 m sur cuve à mercure modèle BBT. Lanterne : Halogénure métallique, 1000 W. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Dunkerque

Phare du Cap-Gris-Nez en mer du Nord. Source : http://data.abuledu.org/URI/53590a32-phare-du-cap-gris-nez-

Phare du Cap-Gris-Nez en mer du Nord

Le phare et à sa base le Centre Régional Opérationnel de Surveillance et de Sauvetage (CROSS). Le phare du cap Gris-Nez éclaire le Pas-de-Calais. Le phare actuel fut mis en service en 1957. C'est une construction en pierres apparentes se trouvant dans le site classé (1987) des deux caps de la côte d'Opale (cap Blanc-Nez et cap Gris-Nez). À son pied se trouve le CROSS Gris Nez. Le premier phare fut allumé en 1837 et rehaussé en 1861 ; l'électrification de celui-ci se fit en 1869. Détruit par les Allemands pendant l'été 1944, la tour fut reconstruite en 1952. Les optiques flottent dans un bain de mercure. Le phare fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 30 décembre 2010. Hauteur : 31 m - élévation : 72 m - Portée : 29 miles marins. Feux : 1 éclat blanc toutes les 5 secondes. Optique : verre taillé à 2 panneaux, focale 0.375 m. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_du_cap_Gris-Nez

Répartition géographique du krill antarctique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e4605d-repartition-geographique-du-krill-antarctique

Répartition géographique du krill antarctique

Répartition géographique du krill antarctique. Il contribue à la bioconcentration des toxiques dans la pyramide alimentaire, en particulier du mercure et d'autres polluants, qu'il contient cependant en proportion bien moindre que les prédateurs "supérieurs" (grands poissons (thon, marlin, espadon... et mammifères carnivores, tels que dauphin, orque ou cachalot)). Le krill fait l'objet d'une pêche industrielle qui alimente essentiellement le marché des aliments pour animaux en farine animale (ou krill lyophilisé), pêche dont les impacts ne sont pas finement mesurés. Le krill est un filtreur important des océans, dont il diminue la turbidité. Le krill par ses mouvements et migrations nocturne/diurne ou saisonnière, a probablement une importance significative, comme d'autres espèces de zooplancton en matière de mélange des couches thermiques et/ou plus ou moins salées dans les zones où il vit.

Représentation de Mercure, dieu du commerce. Source : http://data.abuledu.org/URI/5587b793-representation-de-mercure-dieu-du-commerce

Représentation de Mercure, dieu du commerce

Visite des réserves lapidaires du Musée d'Aquitaine (20150621-Anne Zieglé) : stèle avec représentation de Mercure, le messager des dieux (ailes aux pieds, tortue, bourse et bouc).

Soucoupe plongeante de Cousteau. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e77b83-soucoupe-plongeante-de-cousteau

Soucoupe plongeante de Cousteau

La soucoupe plongeante de Cousteau : Lancement et récupération par la Calypso. Le SP-350 Denise est un petit sous-marin conçu pour abriter deux personnes et capable d'explorer des profondeurs allant jusqu'à 400 mètres pendant 4 heures. Il a été inventé par Jacques-Yves Cousteau et l'ingénieur Jean Mollard à l'Office français de recherches sous-marines (OFRS). Sa propulsion consiste en des jets d'eau dirigeables actionnés par des moteurs électriques, qui lui permettent de naviguer dans toutes les directions et de tourner autour de son axe vertical. Les membres d'équipage entrent dans le vaisseau par une écoutille située au-dessus de la coque et le dirigent allongés côte à côte sur des matelas, observant les alentours à travers des hublots inclinés qui leur permettent de s'approcher à quelques centimètres de leur objectif. Des lampes électriques sont prévues pour la plongée de nuit et pour fournir la lumière nécessaire à la photographie dans des profondeurs de travail extrêmes. Un bras manipulateur dirigé électriquement peut être installé à l'avant du vaisseau pour rendre des objets et les examiner à travers les hublots. La coque d'acier pressurisée, presque circulaire dans le plan horizontal, a deux mètres de diamètre et 1,43 mètre de haut. Elle peut résister à une pression de plus de 90 kg par centimètre carré, équivalente à une profondeur de presque 900 mètres, bien que les plongées n'excèdent jamais 300 mètres pour des raisons de sécurité. Bien que disposant d'une flottabilité positive, le SP-350 est lesté avec des ballasts qui lui confèrent une flottabilité négative, ballasts qui peuvent être éjectés en cas d'urgence. Pour corriger l'attitude de la coque, le pilote peut déplacer un ballast constitué d'une masse de mercure liquide. Si le vaisseau se trouve à moins de 100 mètres de la surface, l'équipage peut l'abandonner par l'écoutille supérieure, à condition d'être équipé d'un dispositif respiratoire d'urgence.

Synthèse additive des couleurs. Source : http://data.abuledu.org/URI/52b09e64-synthese-additive-des-couleurs

Synthèse additive des couleurs

Représentation de la synthèse additive des couleurs : En 1931, la commission internationale de l'éclairage (CIE) a fixé des primaires mathématiques de référence pour les calculs, en adoptant les longueurs d'onde suivantes : 1) rouge : chiffre rond de 700 nm, 2) vert : 546,1 nm (correspondant à une raie spectrale du mercure), 3) bleu : 435,8 nm (autre raie du mercure). Les couleurs secondaires obtenues par addition de deux couleurs primaires sont le magenta (R+B), le jaune (R+V) et le cyan (B+V). La somme des trois flux donne de la lumière blanche (R+B+V). La modulation de l'intensité des flux lumineux additionnés permet d'obtenir toutes les teintes intermédiaires. Source : wikipedia, Couleur_primaire.

Taille de quatre planètes. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e34f31-taille-de-quatre-planetes

Taille de quatre planètes

Les planètes telluriques, de gauche à droite : Mercure, Vénus, Terre, et Mars. La Terre est une planète tellurique, c'est-à-dire une planète essentiellement rocheuse à noyau métallique, contrairement aux géantes gazeuses, telles que Jupiter, essentiellement constituées de gaz légers (hydrogène et hélium). Il s'agit de la plus grande des quatre planètes telluriques du Système solaire, que ce soit par la taille ou la masse. De ces quatre planètes, la Terre a aussi la masse volumique globale la plus élevée, la plus forte gravité de surface, le plus puissant champ magnétique global, la vitesse de rotation la plus élevée et est probablement la seule avec une tectonique des plaques active.

Thermomètre. Source : http://data.abuledu.org/URI/50325c46-thermometre

Thermomètre

Photo de thermomètre à mercure : 38.7 ºC.

Zeus de l'Odyssée. Source : http://data.abuledu.org/URI/50215862-zeus-de-l-odyssee

Zeus de l'Odyssée

Illustration de l'Odyssée : Hermès, Zeus et Athena, "Jupiter prend conseil de Mercure et Minerve".