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Dessins et plans | Photographie | Clovis Ier (roi des Francs, 0465-0511) | Gravure | Royaume des Francs (Clovis I) (481-511) | Royaume des Francs | Royaume des Francs (511-561) | Sixième siècle | Francs | Wisigoths | Royaume des Francs (561-613) | Histoire | Peinture | Collections de costumes | Royaume des Francs -- Histoire | Histoire médiévale | Géographie | Empire carolingien (Charlemagne) (768-814) | Architecture | Charlemagne (empereur d'Occident, 0742-0814) | ...
Arbre généalogique des Carolingiens. Source : http://data.abuledu.org/URI/50dc8c38-arbre-genealogique-des-carolingiens

Arbre généalogique des Carolingiens

Arbre généalogique des plus grandes familles des Carolingiens. Les Carolingiens forment une dynastie de rois francs qui régnèrent sur l'Europe occidentale de 750 jusqu'au Xe siècle, parmi lesquels Charles Martel, Pépin le bref, Charlemagne.

Campagnes franques en Aquitaine (507-509). Source : http://data.abuledu.org/URI/5073417d-campagnes-franques-en-aquitaine-507-509-

Campagnes franques en Aquitaine (507-509)

Campagnes franques en Aquitaine (507-509).

Empire franc. Source : http://data.abuledu.org/URI/5075f827-empire-franc

Empire franc

Carte de l'expansion de l'empire des Francs de 481 à 814. Source : "Atlas Historique" de William R. Shepherd (Shepherd, William. Historical Atlas. New York: Henry Holt and Company, 1911.)

Grandes invasions de l'Empire romain. Source : http://data.abuledu.org/URI/56c97862-grandes-invasions-de-l-empire-romain

Grandes invasions de l'Empire romain

Grandes invasions de l'Empire romain : Angles et Saxons, Francs, Goths, Wisigoths, Ostrogoths, Huns, Vandales.

L'empire franc (carte vierge). Source : http://data.abuledu.org/URI/5075f8e4-l-empire-franc-carte-vierge-

L'empire franc (carte vierge)

Carte vierge de l'expansion de l'empire des francs de 481 à 814.

Royaume des Wisigoths. Source : http://data.abuledu.org/URI/5073d962-royaume-des-wisigoths

Royaume des Wisigoths

Extension du royaume Wisigoth de Toulouse vers 500 après JC. La partie de l'Hispanie qui n'est pas sous leur contrôle, à savoir le royaume suève, tombe en 584. Le royaume wisigoth exista de 418 à 711 à la suite des Grandes invasions pour persister durant le Haut Moyen Âge. Il eut d'abord Toulouse comme capitale (il englobait la partie de la France actuelle située entre la Loire et les Pyrénées). Lorsque Clovis Ier battit les Wisigoths à la bataille de Vouillé en 507, ces derniers ne conservent que la Septimanie (correspondant au Languedoc) et une partie de la Provence avec l'aide des Ostrogoths. Après la perte de Toulouse, les Wisigoths installent leur capitale à Tolède. En 575 ils conquièrent le royaume des Suèves (situé dans le nord du Portugal et la Galice). En 711 le royaume est conquis par les musulmans.

Aqueduc de Roquefavour. Source : http://data.abuledu.org/URI/524dc255-aqueduc-de-roquefavour

Aqueduc de Roquefavour

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.180 ; manuel scolaire, édition de 1904 : AQUEDUC DE ROQUEFAVOUR AMENANT A MARSEILLE LES EAUX DE LA DURANCE. - Depuis longtemps la grande ville de Marseille manquait d'eau, ce qui la rendait malsaine. On a eu l'idée d'y amener les eaux de la Durance à l'aide d'un grand canal long de 120 kilomètres et qui a coûté 40 millions de francs. Cette eau fraîche vivifie la ville et la banlieue. Le canal passe sur les arches d'un aqueduc près de Roquefavour.

Baptême de Clovis. Source : http://data.abuledu.org/URI/50734a9a-bapteme-de-clovis

Baptême de Clovis

Plaque de reliure en ivoire, Reims, dernier quart du IXème siècle. Musée de Picardie à Amiens : Le baptême de Clovis. Cette plaque servit sans doute à orner la reliure d'un manuscrit de la vie de saint Rémi. De gauche à droite, Clotilde, saint Vaast, Clovis, saint Remy et trois ecclésiastiques.

Billet drapeau de 2 Frs émis en 1944. Source : http://data.abuledu.org/URI/53d3fbad-billet-drapeau-de-2-frs-emis-en-1944

Billet drapeau de 2 Frs émis en 1944

Allied Military Currency-2 Francs (1944)<br/>From the first of two issues of [[w:Allied Military Currency|Allied Military Currency]], the First Issue Spécimen du billet de 2 Frs émis en 1944 comme monnaie de guerre. Source : National Numismatic Collection at the Smithsonian Institution, Forbes Lithograph Manufacturing Co., Boston, US.

Chèvres en stabulation. Source : http://data.abuledu.org/URI/524db282-chevres-en-stabulation

Chèvres en stabulation

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.147 ; manuel scolaire, édition de 1904 : CHÈVRES EN STABULATION. - La chèvre est un des animaux qui s'accommodent le mieux du séjour de l'étable, quand l'étable est bien propre, bien tenue et point humide. On a calculé que vingt-quatre chèvres et un bouc peuvent rapporter par année, en lait, en fromage ou en jeunes chevreaux, jusqu'à 1 200 francs de bénéfice net.

Chute de la colonne Vendôme. Source : http://data.abuledu.org/URI/5071fda3-chute-de-la-colonne-vendome

Chute de la colonne Vendôme

Chute de la colonne Vendôme, photographiée par André Adolphe Eugène Disdéri (1819–1889) : La Commune prend plusieurs mesures symboliques : le drapeau rouge est adopté le 28 mars et le calendrier républicain (an 79 de la République) remis en vigueur. La destruction de la colonne Vendôme, considérée comme le symbole du despotisme impérial, est décrétée le 12 avril et réalisée le 16 mai. Sont aussi décidées la confiscation des biens de Thiers et la destruction de son hôtel particulier à Paris (Thiers se fera rembourser plus d'un million de francs).

Cirque d'été, aux Champs-Elysées. Source : http://data.abuledu.org/URI/514ead48-cirque-d-ete-aux-champs-elysees

Cirque d'été, aux Champs-Elysées

Gravure représentant un des quatre cirques sédentaires en activité à Paris à la fin du XIXème siècle : le Cirque des Champs-Élysées (1841-1898), connu sous les noms de Cirque de l'Impératrice ou de Cirque d'été, qui pouvait contenir jusqu'à 3 500 places. Source : "Dictionnaire historique et pittoresque du théâtre", d'Arthur Pougin (1885). page 209. Cette salle parisienne fut édifiée en 1841 au carré Marigny par l'architecte Jacques Hittorff, elle est aujourd’hui disparue. Pendant du Cirque d’hiver, construit par Hittorf pour Dejean boulevard du Temple en 1852, il fonctionnait du 1er mai au 1er septembre. L’acoustique y était si bonne qu'Hector Berlioz y donna une série de concerts en 1845. En 1847, les spectateurs payaient 2 francs au pourtour et 1 franc à l’amphithéâtre. Devenu un temps Cirque-National, il connut son apogée sous le Second Empire sous le nom de Cirque de l’Impératrice à partir de 1853 (le Cirque d’hiver devenant quant à lui le Cirque Napoléon). Sa grande attraction fut longtemps le clown Jean-Baptiste Auriol. Caroline Otero et Émilienne d'Alençon y firent leurs débuts. Son succès se prolongea jusque dans les années 1880. Le Tout-Paris s'y précipitait le samedi, jour réputé chic. Petit à petit délaissé par le public après l’exposition universelle de Paris de 1889, il fut démoli vers 1900, laissant son nom à la rue du Cirque.

Clovis. Source : http://data.abuledu.org/URI/50eab37c-clovis

Clovis

Clovis roi des Francs (465-511) selon François-Louis Dejuinne (1786-1844). Peinture réalisée en 1835 conservée à Versailles, musée national du château et des Trianons.

Costumes de francs. Source : http://data.abuledu.org/URI/530b19e8-costumes-de-francs

Costumes de francs

Planche 26, Costumes de francs du huitième et du neuvième siècles, in Costumes of All Nations (Londres, 1882) par Albert Kretschmer, peintre du théâtre de la Cour Royale de Berlin, et Dr. Carl Rohrbach : 1-3, 5-7, 11, aristocrates et princesses ; 4, 10, soldats ; 8, moine bénédictin ; 9, impératrice (morte en 800) ; 12, Charlemagne.

Costumes des Francs au neuvième siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/530b239a-costumes-des-francs-au-neuvieme-siecle

Costumes des Francs au neuvième siècle

Planche 27, Costumes des Francs au neuvième siècle, in Costumes of All Nations (Londres, 1882) par Albert Kretschmer, peintre du théâtre de la Cour Royale de Berlin, et Dr. Carl Rohrbach : 1-3, 5, 9, soldats ; 4, 6, 12-14, aristocrates ; 7, prêtre ; 8, 10-11, Charles le Chauve.

Costumes des francs entre 400 et 600. Source : http://data.abuledu.org/URI/530b1684-costumes-des-francs-entre-400-et-600

Costumes des francs entre 400 et 600

Planche 25, Costumes des francs entre 400 et 600, in Costumes of All Nations (Londres, 1882) par Albert Kretschmer, peintre du théâtre de la Cour Royale de Berlin, et Dr. Carl Rohrbach : 1, 2, costumes du peuple ; 3, 4, citoyens ; 5, 6, femmes de haut rang ; 7, serviteur ; 8, soldat ; 9, Roi de Bourgogne ; 10, Clotlide, Reine des Francs ; 11, Clovis, roi des Francs (481-511) ; 12, Frédégonde (morte en 568) ; 13, Clotaire (mort en 511).

Costumes historiques antiques et médiévaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/530ef41d-costumes-historiques-antiques-et-medievaux

Costumes historiques antiques et médiévaux

Costumes historiques : 1-2. Egyptiens ; 3. Assyriens (1400 av.) ; 4-5. Grecs ; 6-7. Romains ; 8-9. Bysantins (10ème siècle) ; 10. Franc (9e siècle) ; 11. Francs (soldat 13ème siècle) ; 12. Croisé (13ème siècle). 13. Couple royal (14ème siècle). 14. Dame des Flandres (15ème siècle). Source : Bibliograph. Institut, Leipzig.

Dagobert. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ead63e-dagobert

Dagobert

Dagobert Ier roi d'Austrasie de Neustrie et de Bourgogne (mort en 638). Toile d'Émile Signol, commandée par Louis-Philippe pour le musée historique de Versailles en 1837. Actuellement exposée au Musée national des châteaux de Versailles et de Trianon.

Division de la Gaule en 511. Source : http://data.abuledu.org/URI/5073499c-division-de-la-gaule-en-511

Division de la Gaule en 511

La division de la Gaule en 511.

Échalotes. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d98e45-echalotes

Échalotes

Trois gousses d'échalote. Les Francs auraient rapporté les échalotes en Occident après le siège d'Ascalon, à la fin de la première croisade. Le centre d'origine de l'échalote se situe en Asie centrale. Les bulbes (ou caïeux) s'utilisent cuits ou crus. Crus, ils servent à aromatiser les salades et crudités. Cuits, ils entrent dans la confection de sauces, de courts-bouillons, ou accompagnent les plats de viande.

Éducation des enfants de Clovis. Source : http://data.abuledu.org/URI/50733851-education-des-enfants-de-clovis

Éducation des enfants de Clovis

Éducation des fils de Clovis, tableau de Lawrence Alma-Tadema, 1861, au début de sa carrière, consacrée à l'époque mérovingienne : La reine Clotilde, femme de Clovis, entraîne ses trois enfants à l'art de lancer la hache, pour venger la mort de son père. Le tableau eut beaucoup de succès en Belgique, mais le professeur d'Alma-Tadema, Louis (Lodewijk) Jan de Taeye, critiqua son traitement du sol en marbre, le comparant à du fromage !

Géologie d'une carrière parisienne. Source : http://data.abuledu.org/URI/514395af-geologie-d-une-carriere-parisienne

Géologie d'une carrière parisienne

Schéma en coupe (simplifié) des carrières de calcaire parisiennes. Vue simplifiée des bancs de roche qui composent la géologie des carrières de la rive gauche de Paris. En jaune, les bancs exploitables pour la construction. De bas en haut : Juste au-dessus des sables yprésiens, on trouve le lutétien inférieur. Celui-ci se reconnaît par un grand nombre de nummulites visibles à l'œil nu dans la roche, et se divise en deux bancs : 1) La base verdâtre, dont la couleur révèle la présence de glauconie et de quartz ; 2) Les forgets, petits bancs alternant calcaires durs (également glauconieux) et lits de sable. En raison de sa profondeur et du peu de pierre utilisable pour la construction, cette couche n'a pas été exploitée par les carriers. Encore au-dessus, le lutétien moyen constitue une strate de six mètres d'épaisseur. Il se divise en trois bancs : 1) Le banc à vérin des carriers, reconnaissable par les cérithes géants qui s'y trouvent et par une couleur jaune-rougeâtre. D'un grain serré, il n'a été exploité que dans sa partie supérieure et de façon épisodique. 2) Les lambourdes ou vergelets, banc gris, peu épais et tendre. Il ne contient pas d'eau, ce qui le rend « non gélif » (il ne peut pas geler) et utilisable pour la construction, bien que les traces de coquilles et de fossiles y soient très visibles. 3) Le banc royal, non gélif et homogène, qui fournit des pierres de grande qualité pour la construction. Le lutétien supérieur contient quant à lui les bancs les plus variés et les plus exploitables. Il se constitue de deux strates : le banc vert et les bancs francs. Le premier sépare les niveaux inférieurs et supérieurs en carrière, le second constitue le calcaire le plus souvent exploité, avec plusieurs bancs exploitables souvent séparés par des couches de sables plus ou moins marneuses appelées bousins. Ces bancs sont en partie composés d'argile et contiennent de l'eau, ce qui les rend gélifs, mais leur dureté et leur solidité les rend tout à fait aptes à la construction. Le banc vert, premier étage du lutétien supérieur, se divise en trois bancs : 1) le liais du bas, 2) le banc vert proprement dit (qui donne son nom générique aux deux couches qui l'entourent), composé d'un lit marneux, d'argile verte et de fossiles qui témoignent de son origine lacustre, et 3) le liais du haut, identique à celui du bas. Ce liais est appelé liais franc lorsqu'il est exploité, et banc de marche lorsqu'il constitue le sol de la carrière (et donc que les visiteurs marchent dessus). Les bancs francs, qui représentent les bancs les plus souvent visibles dans les galeries de carrière, se subdivisent en six sortes : 1) Le banc de laine, ou cliquart, ou banc des galets. D'une faible épaisseur, il contient peu de fossiles. Sa consistance varie selon les cas et ressemble à celle des lambourdes lorsqu'elle est tendre, du liais lorsqu'elle est dure ; 2) Le grignard, ou coquiller. Très riche en fossiles, ce banc est peu exploitable, car il est trop constellé de coquillages pour donner des blocs réellement solides. 3) Le souchet. Très tendre, peu compact, il va donner son nom au souchevage, une technique d'extraction de la pierre. En effet, pour commencer à exploiter les bancs situés juste au-dessus, les carriers extraient le souchet de manière à créer un espace vide horizontal, puis creusent des fentes sur le côté du bloc à extraire (ce que l'on appelle le défermage). Contenant quelquefois des galets et des fossiles, le souchet se délite facilement. 4) Le banc blanc, ou banc royal, ou liais franc, ou remise. D'un grain fin et serré, il donne des blocs de bonne qualité, qui se vendront à prix d'or pendant les chantiers du XVIIIe et du XIXe siècle. 5) Le banc franc, ou haut banc, ou banc royal, ou rustique. Il ressemble au banc blanc, et donne lui aussi des blocs de qualité, mais on l'en distingue par le fait qu'il contienne beaucoup moins de fossiles. 6) La roche, ou ciel de carrière. Cette couche, très dure et très coquillière, est souvent laissée en place pour servir de toit à la carrière (que l'on appelle ciel de carrière).

Grandes invasions dans l'Empire romain. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d3ef7f-grandes-invasions-dans-l-empire-romain

Grandes invasions dans l'Empire romain

Grandes invasions dans l'Empire romain du second au cinquième siècle : Angles, Jutes et Saxons en jaune ; Francs en orange ; Goths, Wisigoths et Ostrogoths en nuances de violet ; Huns en vert ; Vandales en bleu.

Histoire d'une pièce de 20 francs en seize vignettes. Source : http://data.abuledu.org/URI/546fd91a-histoire-d-une-piece-de-20-francs-en-seize-vignettes

Histoire d'une pièce de 20 francs en seize vignettes

Imagerie d'Épinal n°3824 - l'histoire d'une pièce de 20 francs. Planche appartenant à la série de 50 planches réalisées par l'éditeur Gaston Lucq (dit Glucq) entre 1880 et 1884. Ces planches seront retravaillées en 1905 et une dernière fois à la fin de la première guerre mondiale.

Hugues Capet. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ead87f-hugues-capet

Hugues Capet

Premier roi des Francs de la Dynastie Capétienne, Hugues Ier de France.

L'Empire franc de 481 à 814. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d3ec7a-l-empire-franc-de-481-a-814

L'Empire franc de 481 à 814

Carte de l'empire franc de 481 à 814 ; en rouge, limites du royaume wisigoth de Toulouse en 507.

La division de la Gaule en 481. Source : http://data.abuledu.org/URI/50734524-la-division-de-la-gaule-en-481

La division de la Gaule en 481

La division de la Gaule en 481 : avènement de Clovis.

La loi salique. Source : http://data.abuledu.org/URI/507347be-la-loi-salique

La loi salique

Copie manuscrite sur velin du VIIIème siècle de la loi salique. Paris, bibliothèque nationale de France. D'abord mémorisée et transmise oralement, elle fut mise par écrit dans les premières années du VIe siècle à la demande de Clovis, puis remaniée plusieurs fois par la suite, jusqu'à Charlemagne.

La reine Clotilde. Source : http://data.abuledu.org/URI/50734645-la-reine-clotilde

La reine Clotilde

Statue de sainte Clotilde, reine des Francs, épouse de Clovis Ier. Notre-Dame de Corbeil. XIIème siècle.

Laiterie familiale et fabrication du beurre. Source : http://data.abuledu.org/URI/524d56a9-g-bruno-le-tour-de-la-france-par-deux-enfants-p033-jpg

Laiterie familiale et fabrication du beurre

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), p.33 : manuel scolaire, édition de 1904. LA LAITERIE ET LA FABRICATION DU BEURRE. - La France produit d'excellents beurres, principalement la Normandie et la Bretagne : on les expédie jusqu'en Allemagne et en Angleterre. Nous en vendons à l'étranger pour 40 000 000 de francs par an.

Le concile d'Orléans en 511. Source : http://data.abuledu.org/URI/50734901-le-concile-d-orleans-en-511

Le concile d'Orléans en 511

Le concile d'Orléans en 511. D'après Michel Rouche, Clovis, éditions Fayard, 1996, p. 340 et Bruno Dumézil, La reine Brunehaut, éditions Fayard, 2008, p. 536. Le concile rassemble trente-deux évêques, et est présidé par l'évêque métropolitain Cyprien de Bordeaux ; la moitié viennent du « royaume des Francs ». Les évêques métropolitains de Rouen et Tours sont présents mais pas celui de Reims. Les évêques de Gascogne sont absents à cause de troubles dans leur région mais également ceux de Belgique et de Germanie79 du fait du manque de pénétration de l'Église catholique romaine dans ces régions. Ce concile vise à remettre de l’ordre dans l’épiscopat du royaume des Francs, à faciliter la conversion et l’assimilation des Francs convertis et des ariens, à limiter les incestes (brisant ainsi la tradition germanique matriarcale des clans familiaux endogames), à partager les tâches entre administration et Église, à restaurer les liens avec la papauté.

Le poète Fortunat. Source : http://data.abuledu.org/URI/50733431-le-poete-fortunat

Le poète Fortunat

Venance Fortunat lisant ses poèmes à Radegonde VI, Lawrence Alma-Tadema (1862). Venantius Honorius Clementianus Fortunat ou Venance Fortunat, né vers 530 à Valdobbiadene près de Trévise, mort en 609 à Poitiers, est un poète chrétien du VIe siècle. À la fin de sa vie Fortunat s’attache à Radegonde, veuve de Clotaire Ier qui l’engage à se fixer à Poitiers où cette princesse a fondé l'Abbaye Sainte-Croix de Poitiers. En 576, le poète y est ordonné prêtre. Vers l’an 600, il est consacré évêque de Poitiers. Il meurt en l’an 609.

Le royaume des Francs en 561. Source : http://data.abuledu.org/URI/522a5840-le-royaume-des-francs-en-561

Le royaume des Francs en 561

Le royaume des Francs après le partage de 561. Source : Paul Vidal de La Blache, Gaule à la mort de Clotaire (561), Atlas général d'histoire et de géographie (1894), Frédéric Armand, Chilpéric Ier, La Louve éditions, 2008, p. 77 et Bruno Dumézil, La reine Brunehaut, éditions Fayard, 2008, p. 536. En 561, Clotaire, le seul survivant, qui a récupéré l'ensemble des royaumes, décède. Les quatre fils de Clotaire effectuent un partage analogue du royaume franc : Sigebert à Reims, Chilpéric à Soissons, Caribert à Paris, Gontran à Orléans, ce dernier royaume incluant maintenant le territoire burgonde (Burgundia, Burgondie, Bourgogne) conquis entre temps. Ils se répartissent de nouveau l'Aquitaine séparément.

Le vase de Soissons. Source : http://data.abuledu.org/URI/50734db6-le-vase-de-soissons

Le vase de Soissons

L'évêque de Reims, St Rémy, supplie Clovis de lui restituer le vase sacré volé par les Francs au pillage de Soissons. Costumes de la cour de Bourgogne au XVème siècle. Fac-simile d'une miniature d'un manuscrit de "L'Histoire des Empereurs" (Bibliothèque de l'Arsenal).

Les conquêtes franques en Gaule (486 - 511). Source : http://data.abuledu.org/URI/507343bc-les-conquetes-franques-en-gaule-486-511-

Les conquêtes franques en Gaule (486 - 511)

Les conquêtes franques en Gaule (486 - 511).

Maison capcazalière en Chalosse. Source : http://data.abuledu.org/URI/536b9816-maison-capcazaliere-en-chalosse

Maison capcazalière en Chalosse

Maison capcazalière avec son pigeonnier, dite Maison Pachiou à Mimbaste (Landes). Le capcazal (de "cazal", mot médiéval désignant un petit domaine libre, et "cap", la tête) est un concept économico-juridique particulier à une partie des Landes, et notamment à la Chalosse et à l'Orthe. Les capcazaliers étaient, en effet, des propriétaires roturiers, possédant des terres libres ne relevant d'aucun seigneur. Leurs terres étaient dites de "francs alleux", par opposition aux fiefs, et dans l’ancien temps on disait "qu'elles ne relevaient que du soleil". C’est pour attester de la franchise et du statut dont ils jouissaient avec leurs terres, que les capcazaliers avaient le privilège de planter sur leur domaine le "pin franc", le pin parasol. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Maison_capcazali%C3%A8re

Mariage de Sigebert Ier et Brunehaut. Source : http://data.abuledu.org/URI/522a594d-mariage-de-sigebert-ier-et-brunehaut

Mariage de Sigebert Ier et Brunehaut

Mariage de Sigebert et de Brunehaut. Manuscrit du XVème siècle, grandes chroniques. Bibliothèque Nationale de France, Paris. Au printemps 566, ayant abjuré l'arianisme, Brunehaut épouse à Metz Sigebert Ier, roi de Metz. Le mariage de Brunehaut est évoqué dans le livre de Grégoire de Tours et dans un poème de Fortunat. La princesse est alors présentée sous un jour favorable. De ce mariage, naissent : 1) Ingonde, qui épousera le prince wisigoth Herménégild, fils aîné du roi arien Léovigild ; 2) Clodosinde, qui aurait épousé le roi des Wisigoths d'Espagne Récarède Ier (frère cadet d'Herménégild) ; elle serait la mère du roi wisigoth Swinthila ; 3) Childebert en 570.

Pont de Pierre de Bordeaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/5148badb-pont-de-pierre-de-bordeaux

Pont de Pierre de Bordeaux

Bordeaux: "Pont de Pierre" vu de la flèche Saint-Michel : pont franchissant la Garonne à Bordeaux et reliant la rive gauche (cours Victor Hugo) au quartier de la Bastide (avenue Thiers). Il est inscrit monument historique depuis le 17 décembre 2002. Premier pont sur la Garonne, il est construit sur ordre de Napoléon Ier entre 1810 et 1822. En 1816, Pierre Balguerie-Stuttenberg, prend la tête d'une association d'armateurs et de négociants bordelais afin de construire le pont de pierre, dont la construction nécessitait un financement complémentaire à celui de l'état. L'association propose au gouvernement d'apporter 2 millions de francs pour continuer les travaux. En échange une concession de l'exploitation du pont serait accordée pendant 99 ans avec un droit de péage. L'état accepte cette offre. Durant ces douze années, les ingénieurs, Claude Deschamps et son gendre Jean-Baptiste Billaudel, doivent faire face à de nombreux problèmes en raison du courant très fort à cet endroit-là. C'est grâce à une cloche à plongée empruntée aux Britanniques que les piliers du pont sont stabilisés. Il compte dix-sept arches (nombre de lettres dans le nom de Napoléon Bonaparte). Sur les côtés, chaque pile de briques est rehaussée d'un médaillon blanc en l'honneur de l'empereur. Il porte aussi les petites armoiries de la ville (les trois croissants entrelacés). L'ouvrage est achevé en 1821 pour le gros œuvre. Ce pont reste le seul pont bordelais permettant la circulation routière jusqu'à la construction du pont Saint-Jean en 1965.

Répartition mondiale des francs-maçons en 2000. Source : http://data.abuledu.org/URI/507d8a56-repartition-mondiale-des-francs-macons-en-2000

Répartition mondiale des francs-maçons en 2000

Carte du nombre de francs-maçons dans le monde en l'an 2000. Source : informations publiées dans la revue "l'histoire", n°256, juillet août 2001. Le nombre de francs-maçons en France serait erroné : selon le reportage d'"Enquêtes et révélations" diffusé sur TF1 le mardi 2 novembre 2010 à 0h20, ce nombre serait en constante augmentation, mais ne dépasserait pas les 150 000 adeptes. Logo de l'équerre et du compas : leur association symbolise une conjonction d’opposés (masculin et féminin, terrestre et céleste, matériel et spirituel), un équilibre à construire ou à maintenir. Le compas représente le ciel, alors que l’équerre représente la terre ; quand les deux symboles sont entrecroisés, microcosme et macrocosme sont imbriqués.

Royaume wisigoth. Source : http://data.abuledu.org/URI/507407e4-royaume-wisigoth

Royaume wisigoth

Carte du royaume wisigoth au sixième siècle. Source : "Cambridge medieval history, Euratlas." Légende en latin et en anglais : en rouge, royaume originel de Toulouse ; en orange, extension au Ve siècle ; en beige, territoire perdu à Vouillé en 507 ; en vert, conquête du royaume suève en 575.

Statue de Childebert Ier. Source : http://data.abuledu.org/URI/53e376cc-statue-de-childebert-ier

Statue de Childebert Ier

Statue en pierre calcaire, avec restes de polychromie, de Childebert Ier (roi des Francs, 0495?-0558), troisième fils de Clovis dont il reçut le royaume de Paris. Louvre.

Tapisserie de Charlemagne au musée des beaux-arts de Dijon. Source : http://data.abuledu.org/URI/59d69fc3-tapisserie-de-charlemagne-au-musee-des-beaux-arts-de-dijon

Tapisserie de Charlemagne au musée des beaux-arts de Dijon

Palais des ducs de Bourgogne à Dijon-21, musée des beaux-arts : tapisserie de Charlemagne, fin XVème siècle. Roi des Francs de 768 à 814. - empereur d'Occident de 800 à 814.

Tapisserie de Charlemagne au musée des beaux-arts de Dijon. Source : http://data.abuledu.org/URI/59d6a016-tapisserie-de-charlemagne-au-musee-des-beaux-arts-de-dijon

Tapisserie de Charlemagne au musée des beaux-arts de Dijon

Palais des ducs de Bourgogne à Dijon-21, musée des beaux-arts : tapisserie de Charlemagne, fin XVème siècle. Roi des Francs de 768 à 814. - empereur d'Occident de 800 à 814.

Treuil d'ardoisière. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e63362-treuil-d-ardoisiere

Treuil d'ardoisière

Ancien treuil de la fosse Saint-Brice, sur une friche d'ardoisière à Rimogne (08) dans les Ardennes. La Compagnie des ardoisières de Rimogne et de Saint-Louis-sur-Meuse est fondée le 14 octobre 1831. La Compagnie règne en maître sur le village, ses statuts font apparaître des propriétés immenses, son fonds social est évalué à 1 080 000 francs. Les parts de la société sont réparties entre 9 membres de la famille et il est précisé que les actions sont indivisibles même par suite de succession. Il est également précisé que les actionnaires veulent, autant que possible, éviter l'introduction d'étrangers dans la société. À partir de 1839, la Compagnie participe aux expositions universelles. Rimogne avait connu plusieurs grèves, en 1825, 1869, 1874, 1878, 1887 avec à chaque fois comme revendications une hausse des salaires. Les ardoisiers vivent dans la misère.