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Barrage de l'Eider. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e3f500-barrage-de-l-eider

Barrage de l'Eider

Barrage construit à l'embouchure de l'Eider après l'inondation de la mer du Nord en 1962, (Schleswig-Holstein, Allemagne). La construction du barrage a modifié l'estuaire qui est devenu le parc de Katinger Watt, une réserve naturelle ; sur le côté opposé de la rivière en 1989, le Eiderwatt Dithmarscher a été établi afin de compenser au moins partiellement les pertes de prés salés et les vasières causés par le construction du barrage. L'emplacement des barques de pêche a été déplacé de Tönning vers le barrage, plus proche des lieux de pêche. Sur le barrage lui-même se trouve une grande colonie de sternes arctiques avec 143 couples reproducteurs en 2006.

L'amont et l'aval d'une rivière. Source : http://data.abuledu.org/URI/56c5f166-l-amont-et-l-aval-d-une-riviere

L'amont et l'aval d'une rivière

L'amont (1) et l'aval (2-3) d'une rivière de la source à l'embouchure.

Alose. Source : http://data.abuledu.org/URI/52013ef9-alose

Alose

Alose (Alosa fallax) : L'alose est un poisson anadrome de la famille des Clupeidae, qui comprend également la sardine et le hareng, notamment. On en trouve dans les eaux littorales et continentales des façades de la Manche et de l’Atlantique ainsi que dans les estuaires de la façade atlantique, particulièrement celui de la Gironde. D'avril à juin, l'alose remonte le cours des fleuves côtiers et de leurs affluents de la façade atlantique française pour s'y reproduire. La ponte est dite « active ». La durée de ponte s’étend de 23 heures à 5 heures du matin, mais la période de plus forte activité se situe entre 1 heure et 3 heures du matin, quand la température de l’eau atteint au moins 18°C. Le mâle et la femelle remontent en surface, se positionnent face à face et tournent sur eux-mêmes en frappant violemment la surface de l’eau avec leur nageoire caudale, créant beaucoup de bruit et de remous. C’est pendant cette phase, appelée « bull », que la femelle expulse ses œufs et que le mâle les féconde. Le comptage acoustique des bulls est utilisé pour évaluer l'intensité de la reproduction et son évolution dans le temps.

Anchois. Source : http://data.abuledu.org/URI/50af4f15-anchois

Anchois

Les anchois ou engraulidés (Engraulidae) forment une famille de poissons dont de nombreuses espèces sont consommées par l'homme et les animaux terrestres. On les rencontre dans les océans Atlantique, Indien et Pacifique, principalement près des côtes et dans les estuaires.

Ancien phare de Fatouville-Grestain sur l'estuaire de la Seine. Source : http://data.abuledu.org/URI/535e27ac-phare-de-fatouville

Ancien phare de Fatouville-Grestain sur l'estuaire de la Seine

Le phare de Fatouville a été construit sur la commune de Fatouville-Grestain, Eure. Il guidait les bateaux sur l'estuaire de la Seine. Le phare fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le 13 septembre 2011. La construction du phare commença en 1839 pour se terminer en 1850 et fut éteint en 1907. En 1923 il a été mis aux enchères par l'État, il est aménagé en chambres d'hôtes. Hauteur : 32 m - Elévation : 132 m - portée : 40 km. Feu éteint depuis 1907 - Optique : Fresnel. Source :

Carrelet. Source : http://data.abuledu.org/URI/55d6deef-carrelet

Carrelet

La pêche au carrelet est très pratiquée sur les côtes de Charente-Maritime et dans les estuaires de la Charente et de la Gironde. Elle est aussi pratiquée sur les côtes escarpées de la Vendée et jusqu'à l'embouchure de la Loire mais dans ces régions cette tradition a tendance à s'estomper. Le carrelet est un filet carré d'une superficie de quelques mètres carrés tendu sur une armature plane et descendu horizontalement au moyen d’un treuil depuis un ponton qui avance en mer et sur lequel est généralement construit un abri, voire un petit logement. Après quelques minutes d'attente, pour dissipation du trouble causé par la descente, le filet est remonté assez rapidement, emprisonnant en principe les poissons qui se trouvaient entre lui et la surface (un appât "boît" peut être placé en son centre). C'est une pêche très réglementée en raison de la construction d'un ponton sur le domaine maritime.

Classification des végétaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e6b9e1-classification-des-vegetaux

Classification des végétaux

Types biologiques de Raunkiær : 1. Phanérophyte 2-3. Chamaephytes 4. Hémicryptophyte 5-9. Cryptophytes 5-6. Géophytes 7. Hélophyte 8-9. Hydrophytes. (thérophyte, aérophyte ou épiphyte non montrés). Christen Christiansen Raunkiær (1860–1938) est un botaniste danois, connu surtout pour son système de classification écologique des plantes, le système de Raunkiær, classification fondée sur la position hivernale des bourgeons.Persistance d'une partie de l'appareil végétatif pendant la mauvaise saison : Phanérophytes (du grec phaneros : apparent ; phuton : plante) : bourgeons dormants aériens à plus de 50 cm de la surface du sol. Plante affrontant l'hiver en exposant à ses rigueurs des tiges porteuses de bourgeons (ex. le pin, le hêtre, l'abricotier, le noisetier) Chamaephytes (du grec khamai : à terre ; phuton : plante) : bourgeons dormants aériens à moins de 50 cm de la surface du sol. On distingue les chamaephytes frutescents (buissonnants, plus ou moins dressés) et les chamaephytes herbacés (beaucoup plus proches du sol) (ex. le myrtiller). Hémicryptophytes (du grec hemi : à demi ; kryptos : caché ; phuton : plante) : bourgeons dormants à la surface du sol. À la « belle saison », un hémicryptophyte développe une touffe de pousses s'il est cespiteux, une rosette de feuilles, plus ou moins prostrées s'il est à rosettes, une tige érigée qui prend appui sur des supports variés s'il est grimpant (ex. la pâquerette est un hémicryptophyte à rosette). Géophytes (du grec gê : terre, phuton : plante) ou cryptophytes : bourgeons dormants sous la surface du sol (distinguer selon la nature de l'organe de conservation souterrain : géophyte à bulbe, à tubercule, à rhizome) (ex. Crocus sativus). Hydrophytes : bourgeons dormants sous l'eau, feuilles immergées. Hélophytes (du grec halos : sel, phuton : plante) : bourgeons dormants sous l'eau, feuilles émergées au moins en partie. Végétaux capables de prospérer en milieux saumâtres et eaux douces. (bords de mer, estuaires, chotts, marais, rivière). (ex. salicornes, spartine).

Estuaire du rio de la Plata. Source : http://data.abuledu.org/URI/56c31dcb-estuaire-du-rio-de-la-plata

Estuaire du rio de la Plata

Image satellite de l'estuaire du rio de la Plata.

Le Rocher de Bizeux en Bretagne. Source : http://data.abuledu.org/URI/5357dc0e-le-rocher-de-bizeux

Le Rocher de Bizeux en Bretagne

Le rocher de Bizeux est un rocher situé dans l'estuaire de la Rance, entre Saint-Servan (commune de Saint-Malo) et La Vicomté (commune de Dinard). Il est surtout connu pour la statue de la vierge, "Notre Dame la dominatrice", communément appelée "Notre Dame de Bizeux", qui se trouve à son sommet. Le rocher se trouve à un peu plus d'1km en aval du barrage de la Rance, au milieu de l'estuaire, à 350 mètres de la pointe de la Vicomté à l'ouest (la passe principale pour les navires se trouvant entre les deux) et 550 mètres de la pointe de l'Aiguille à l'est. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Rocher_de_Bizeux

Phare de Honfleur sur l'estuaire de la Seine. Source : http://data.abuledu.org/URI/535e60fd-phare-de-honfleur

Phare de Honfleur sur l'estuaire de la Seine

Le phare de Honfleur, appelé aussi phare de la Falaise des Fonds ou phare du Butin, se situe sur la commune de Honfleur, département du Calvados, sur la rive sud de l'estuaire de la Seine en aval du pont de Normandie. En 1908, ce phare fut réalisé à l'extinction du phare de Fatouville pour signaler l'entrée ouest du port de Honfleur. Il fut équipé d'un feu à 2 occultations/8 secondes (3 secteurs blancs, 2 secteurs rouges et un secteur vert). En 1933, il est électrifié et modifié en feu à 2 occultations/12 secondes (secteurs colorés : 3 blancs, 2 rouges, 1 vert). Il est éteint durant la guerre et rallumé en 1951. Le phare de Honfleur a été légèrement modifié après la guerre, lors de la construction de la route. C'est une tour carrée blanche en maçonnerie de pierres apparentes, corniche et chaînage d'angle en pierre de taille de granit de Cherbourg. Elle est rehaussée de la lanterne verte et l'appareillage provenant de l'ancien phare de l'Hôpital. Elle est équipée d'un feu à 3 éclats/12 secondes (secteurs colorés blancs, rouges, verts). Un feu rouge, présent sur la jetée, complète la signalisation. Hauteur : 14.50 m - Elévation : 17.50 m ; feux : 3 éclats/12 secondes (secteurs blancs, rouges et verts) ; Optique : tambour 360°/0.50 m de focal. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Honfleur

Phare de Ouistreham, gardien de l'estuaire de l'Orne . Source : http://data.abuledu.org/URI/535e6233-phare-de-ouistreham-

Phare de Ouistreham, gardien de l'estuaire de l'Orne

Le phare de Ouistreham) est un phare à terre, cylindrique, mesurant 38 m de haut, fabriqué en granite et peint en rouge et blanc. Il fut mis en service en 1905. Il a été construit à côté de l'usine hydraulique, fonctionnant à l'époque et toujours visible de nos jours. Le phare d'Ouistreham est le "gardien de l'estuaire de l'Orne", il est visible à 16 milles marins à la ronde. La "signature" lumineuse du phare est de trois secondes de lumière blanche suivi d'une seconde d'obscurité. Le phare indique les dangereux rochers des Essarts grâce à un secteur rouge montrant la direction aux marins. Grâce à ses 171 marches de granite bleu de Vire, on accède à l'optique, une lampe halogène derrière une demi-lentille de Fresnel. Il est automatisé, gardienné et visitable. Au cours de l'été 2005, à l'occasion du centenaire, un jeu de lumière a été installé sur le phare. Il éclaire la base de l'édifice, et permet aux Ouistrehamais, en fonction de la couleur, de savoir si la mer est montante ou descendante : il est bleu lors de la marée montante, blanc le reste du temps. Il est peint en rouge en son haut, en écho aux balises latérales bâbord de la zone A. En effet, il est implanté sur la gauche du chenal quand on entre au port. Hauteur : 38.20 m - Elévation : 43 m - Portée : 16 milles nautiques ; Feux : lancs 1 occ., 4 secondes secteurs blanc et rouge ; Optique : demi-lentille de Fresnel, focale 0.25 m. ; Lanterne : lampe halogène 1 500 w. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Ouistreham