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Fables, Gravure, Enfants, Dix-septième siècle, Maîtres, Jean de La Fontaine (1621-1695), Enseignants, François Chauveau (1613-1676), Noyades
L'enfant et le maître d'école, illustration par François Chauveau (1613-1676), pour les « Fables choisies mises en vers par M. de la Fontaine », Claude Barbin et Denys Thierry, Paris, 1668 (premier recueil) 1678-79 (deuxième recueil) 1694 (troisième recueil). Numérotation Charpentier (1705).
Peinture, Dix-neuvième siècle, Maîtres, Peintres suisses, Enseignants, Salles de classe, Albert Anker (1831–1910)
Le maître d'école et sa classe, vers 1848, par Albert Anker (1831–1910)
Photographie, Grenouilles, Écoliers, Douze (le nombre), Humour, Enseignants, Position assise, Salles de classe, Ardoises, Animaux -- Dans l'art, Animaux naturalisés, François Perrier (1813-1860)
Les grenouilles à l'école. Grenouilles naturalisées par le capitaine François Perrier (1813-1860) entre 1853 et 1860, Musée historique d'Estavayer-le-lac, Suisse.
Photographie, Enfants, Marionnettes, Prague (République tchèque), Théâtre de marionnettes, Pères et fils, Personnages de théâtre de marionnettes, Marionnettes -- Manipulateurs, Enseignants, Professeurs
Les deux personnages "Spejbl et Hurvínek" inventés par Joseph Skupa, marionnettiste tchèque. Spejbl est un professeur rétrograde, son fils Hurvínek oscille entre paresse et hyper-activité.
Gravure, Globes terrestres, Écoliers, Cartes géographiques, Relations maître-élève, Enseignants, Tableaux d'affichage, Salles de classe, Six (le nombre), Professeurs des écoles, Garçons -- Éducation
Maître d'école au Danemark en 1890 dans sa classe, avec six élèves garçons.
Photographie, Mathématiciens, Enseignants, Professeurs, Professeurs (enseignement supérieur), Professeurs de mathématiques
Professeur de mathématiques au tableau : Adrien Douady à l'IHP, en 2003.
Peinture, Élèves, Enseignants, Professeurs, Art indien d'Amérique, E. Irving Couse (1866-1936), Professeurs d'art
Professeur de peinture indien à la fin du XIXème siècle, par E. Irving Couse (1866-1936), peintre américain.
Peinture, Histoire, Dix-septième siècle, Paris (France) -- Quartier du Jardin des Plantes, Armand Jean du Plessis Richelieu (cardinal duc de, 1585-1642), Frédéric Scalberge (1542-1640), Histoire de la médecine, Jardins de plantes médicinales
"Vue cavalière du Jardin du Roi", aquarelle de Frédéric Scalberge (1542-1640) : Source : Bibliothèque du Muséum national d'histoire naturelle. Publiée en frontispice de la "Description du Jardin royal des Plantes médicinales" par Guy de La Brosse, médecin ordinaire de Louis XIII et fondateur du Jardin des Plantes. Créé en 1635, le Jardin du roi présente dès le début le dessin général de l'actuel jardin. Il sera à la Révolution rebaptisé Jardin des plantes de Paris. C’est l’un des plus anciens organismes scientifiques officiels français puisqu’il a ouvert un siècle après le Collège royal (1530) mais avant l’Académie des sciences (1666) et l’Observatoire de Paris (1672). C’est dès 1633 que Guy de la Brosse (1586-1641), par son insistance auprès de Louis XIII dont il est le médecin, et grâce au soutien de Jean Héroard (1550-1628), et de Richelieu (1585-1642), obtient la création d’un jardin botanique à vocation médicale à Paris. Le roi acquiert un terrain dans ce que l'on appelle alors le faubourg St-Victor et de la Brosse commence les premiers travaux et ensemencements. Mais l’Édit qui l’instaure n’est publié qu’en 1635 et le jardin n’est officiellement inauguré qu’en 1640 sous le nom de Jardin royal des plantes médicinales. Le projet suscite de nombreuses oppositions notamment de la part de la faculté de médecine de l’Université de Paris qui y voit un concurrent à son propre enseignement, d’autant que les cours sont ouverts à tous et donnés non en latin, mais en français. Ce n’est pas la seule nouveauté : certains sujets, comme la circulation du sang, y sont enseignés alors qu’ils sont encore critiqués par la faculté. Des enseignants viennent de l’Université de Montpellier, grande rivale de l’Université de Paris. Pour apaiser un peu les tensions, Louis XIII décide d’autoriser l’enseignement mais ne permet pas au Jardin d’y dispenser de diplômes, et le Jardin ne comptera, à la Révolution, que trois postes de professeurs : botanique, anatomie et chimie.
Peinture, Enfants, Serpents, Adolescents, Jeux de société, Jeux de pions, Jeux de plateau, Analyse combinatoire, Échelles
Version indienne du XIXème siècle du jeu des serpents et des échelles (Gouache sur tisse). Serpents et échelles ou le jeu de l'échelle est un jeu de société populaire consistant à déplacer les jetons sur un tableau de cases avec un dé en essayant de monter les échelles et en évitant de trébucher sur les serpents. Il est suggéré que l'origine du jeu est moksha-patamu, un ancien jeu hindou remontant au deuxième siècle av. Jésus-Christ, créé par des enseignants hindous spirituels, où les serpents et échelles sont des symboles pour la moralité et spiritualité de la vie. Le jeu est une représentation d'un chemin spirituel que les humains prennent pour atteindre le ciel. Avec des bons gestes, le chemin est raccourci (ce que symbolise les échelles), tandis qu'avec le contraire, le chemin est allongé (d'où vient le symbolisme des serpents). Les différentes cultures ont perçu dans le jeu une valeur éducative et spirituelle, la raison commune pour laquelle ce jeu est surtout présenté aux enfants et adolescents. Les sanscrits avaient un jeu semblable appelé Dapasada. La forme moderne du jeu a été inventée par un Britannique appelé John Jaques qui travaillait pour la société Jaques of London. L'édition la plus connue du jeu est celle de Milton Bradley et Hasbro. La trajectoire suivie par les jetons suit habituellement celle d'un boustrophédon. La forme du jeu peut être mathématiquement représentée par une chaîne de Markov. Elwyn Berlekamp, John Horton Conway et Richard K. Guy ont écrit un livre pour montrer que ce jeu pouvait être traité comme un jeu impartial dans la théorie des jeux combinatoires.
Les adhérents d'hommes et abeilles construisent des ruches pédagogiques, qui sont utilisées par des enseignants ou des musées, écoles d'apiculture.