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Photographie, Deuil, Deuil -- Coutumes, Monuments aux morts, Campan (Hautes-Pyrénées), Edmond Chrètien (1883-1945), Personnes endeuillées
La femme au capulet par Edmond Chrètien, Monument aux morts de Campan. Sculpté par Edmond Chrètien, artiste bordelais, et érigé en 1926, devant l'église, devant le portail principal, le monument aux morts de Campan se distingue par son aspect sobre et émouvant. Hormis les dates et la liste des morts, le monument ne contient aucune référence à la guerre : ni soldat, ni arme. Loin des soldats héroïques qui ornent bien des monuments en France, la statue qui le domine représente une femme en deuil, au visage pratiquement invisible, et qui porte le vêtement de deuil traditionnel de la vallée, le long capulet noir. Ce monument rassemble dans un même hommage les morts des guerres du XXe siècle pour chacune des sections de la commune : Le Bourg, Sainte Marie et La Séoube. Enfin des bas-reliefs évoquent la paix retrouvée à travers les représentations des trois principales richesses de la commune : le bois, le beurre, la laine. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Campan
Les deux auberges, in Les lettres de mon moulin - Alphonse Daudet (1840-1897). 1234 mots.
Peinture, Peintres français, Blanc, Seizième siècle, Reines, Deuil, Marie Stuart (reine d'Écosse, 1542-1587), Deuil -- Coutumes, France -- 1559-1560 (François II)
Portrait de Marie Stuart (1542-1587) en dame blanche, portant le deuil de François II à partir de 1570, par François Clouet (1515–1572). Une ancienne tradition voulait que les reines de France portent le deuil de leur royal époux dans des vêtements blancs, ce qui leur valait le surnom de "reines blanches" ou de "dames blanches". Cet usage perdura jusqu’au XVIe siècle, au moins dans leur appellation. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Dame_blanche_%28l%C3%A9gende%29
Textes, Chasseurs, Histoire, Seizième siècle, Électeurs, Savants, Hérauts, Chevaliers et chevalerie, Soldats, Collections de costumes, Soldats -- Pièces d'équipement, Deuil -- Coutumes, Juifs, Martin Luther (1483-1546)
Planche 62, Costumes allemands du début du seizième siècle, Costumes of All Nations (Londres, 1882) par Albert Kretschmer, peintre du théâtre de la Cour Royale de Berlin, et Dr. Carl Rohrbach : 1-2, 13-14 patriciens ; 3-4, soldats ; 5, électeur ; 6, Dr Martin Luther ; 7, savant ; 8, pleureur ; 9, juif ; 10, chevalier ; 11, chasseur ; 12, héraut impérial.
Gravure, Histoire, Dix-septième siècle, Collections de costumes, Deuil -- Coutumes, Allemagne -- Civilisation (17e siècle), Pasteurs (religion), Protestantisme -- Histoire
Planche 84, Costumes allemands du dix-septième siècle, Costumes of All Nations (Londres, 1882) par Albert Kretschmer, peintre du théâtre de la Cour Royale de Berlin, et Dr. Carl Rohrbach : 1-4, 6, 8-11, 13, hommes et femmes de haut rang ; 7, 12, femmes de haut rang en deuil ; 14, pasteur protestant.
Dessins et plans, Moulins à vent, Ailes, Communication, Arts du langage, Communication non-verbale, Communication et culture, Communication visuelle
Langage des ailes de moulin à vent : en quartier, en bout de pied, en jambe de chien gauche, en jambe de chien droite. Les moulins étaient aussi des postes de surveillance avec leurs messages codés : les ailes arrêtées en croix de saint André (en quartier) signalaient un heureux évènement chez le meunier, que le moulin était au repos ou le retour au calme dans un conflit militaire ; les ailes en croix grecque (en bout de pied) signalaient que le moulin était prêt à travailler ou appelaient au rassemblement ; inclinées à gauche, position « venante », elles annonçaient un heureux événement comme un mariage ou une naissance ou alertaient d'un danger militaire ; inclinées à droite, elles annonçaient un deuil chez le meunier ou dans le village ou un danger militaire écarté. Les ailes étaient toujours orientées vers le lieu de l'événement.
Photographie, Instruments de musique, Instruments à cordes frottées, Instruments à cordes, Animaux -- Légendes et histoires, Cordes (instruments de musique), Instruments de musique -- Mongolie, Morin Khuur, Musique mongole, Viole
Le morin khuur est un instrument à cordes mongol. Le nom du morin khuur en mongol ancien est mongol et signifie « viole à tête de cheval ». Il produit un son qui est poétiquement décrit comme chaleureux et sans contrainte, tout comme le cheval mongol sauvage qui hennit, ou comme une brise dans les prairies. Il est l’instrument musical le plus important du peuple mongol, et est considéré comme un symbole de la nation mongole. Une légende sur l’origine du morin khuur est qu’un berger nommé Kuku Namjil reçu le don d’un poney magique ailé, qu’il montait la nuit pour voler et rejoindre sa bien-aimée. Une femme jalouse fit couper les ailes du cheval, de sorte qu’il tomba du ciel et mourut. Le berger, dans son deuil, utilisa les os de son défunt cheval pour faire un violon orné d’une tète de cheval, qu’il utilisa pour jouer des chansons émouvantes sur la vie de son cheval.