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Physique | Lotus des Indes | Photographie | Verre -- Déchets | Vanité | Surfaces hydrophobes | Auto-nettoyage | Nelumbonaceae | Nelumbo | Microorganismes -- Adhésivité | Cuticules végétales | Travaux d'aiguilles | Épingles de chapeaux | Pantoufles | Bouteilles | Aiguilles et épingles | Doigts | Textes | Dix-neuvième siècle | Cuisine | ...
La grosse aiguille, d'Andersen. Source : http://data.abuledu.org/URI/51104be1-la-grosse-aiguille-d-andersen

La grosse aiguille, d'Andersen

Conte traditionnel d'Andersen, "La grosse aiguille", traduction de David Soldi (Hachette 1876, wikisource). 1309 mots.

Feuilles de lotus sous la pluie.. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cdadb6-feuilles-de-lotus-sous-la-pluie-

Feuilles de lotus sous la pluie.

À la surface des feuilles de lotus se forment des gouttes d'eau brillantes et argentées (milieu de la photo), les feuilles du nénuphar (nymphéa) (à l'avant de la photo) sont complètement mouillées. Photo prise dans le jardin chnois des Jardins du monde (Gärten der Welt) à Berlin (Erholungspark Marzahn) en Allemagne. L'effet lotus est un phénomène de superhydrophobie causé par une rugosité nanométrique. Son nom provient du lotus (Nelumbo sp), dont les feuilles présentent cette caractéristique. D’autres plantes, comme les feuilles de capucine (Tropaeolum), de chou, de roseau (Phragmites), de taro (Colocasia esculenta) ou de l'ancolie, et certains animaux (par exemple les canards, plus particulièrement leurs plumes), notamment des insectes, montrent le même comportement. L'effet lotus confère à la surface des capacités autonettoyantes : en s'écoulant, les gouttes d'eau emportent avec elles les poussières et particules. La faculté d’auto-nettoyage des surfaces hydrophobes à structure microscopique et nanoscopique a été découverte dans les années 1970 et son application aux produits biomimétiques remonte au milieu des années 1990. L’origine de l’auto-nettoyage réside dans une double structure hydrophobe (c'est-à-dire qui n’absorbe pas l’eau) de la surface. Grâce à celle-ci, la surface de contact, et avec elle la force d’adhérence entre surface et eau ou particules de saleté, est si réduite que cela aboutit à un auto-nettoyage. La double structure est formée d'un épiderme. La couche extérieure s'appelle la cuticule où il y a une couche de cire. L'épiderme de la feuille forme des papilles de quelques microns sur lesquelles reposent les cires. Cette couche de cires est hydrophobe et forme la deuxième partie de la double structure. Pour la plante, la signification biologique de cet effet auto-nettoyant réside en la protection contre une colonisation par des microorganismes, des agents pathogènes ou bien des germes comme les champignons ou encore la prolifération d’algues.