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Armoise de Steller (Artemisia stelleriana), plante dunaire de Cape Cod (Wellfleet, MA).
Planche botanique d'Arnica des Montagnes (Arnica montana), Atlas des Plantes de France, 1891. Fortement malmenée par l'agriculture intensive, elle devient de plus en plus rare. Cette situation lui vaut d'ailleurs d'être nommée dans de nombreux textes de loi la protégeant et particulièrement dans la Directive habitats européenne. En médecine traditionnelle, l'arnica des montagnes est décrite dans des pharmacopées européennes pour son usage dans le traitement de petits traumatismes comme les hématomes. Afin de fournir les laboratoires pharmaceutiques, dont la demande européenne annuelle est estimée à 50 tonnes de capitules secs, l'arnica est cueillie à l'état sauvage.
Planche botanique de la bardane (Arctium minus ou Lappa minor), Atlas des Plantes de France, 1891. Plante reconnaissable à ses capitules dont les bractées se terminent par des sortes de crochets, ce qui permet à ces capitules de s'accrocher aux vêtements et au poil des animaux. Le fruit de la bardane est à l'origine de l'invention du Velcro.
Planche botanique du Bleuet (Centaurea cyanus), Atlas des Plantes de France, 1891. La fleur symbolise en France l'armistice du 11 novembre 1918. La décoction de bleuet était prescrite en cas d'irritation des yeux et des paupières et pour lutter contre la conjonctivite, et plus généralement pour les inflammations de la peau et des muqueuses et en cosmétologie. Les fleurs comestibles s'utilisent dans les desserts (mousses, salades de fruits ou gâteaux).
Planche botanique de camomille sauvage (Matricaria chamomilla), Atlas des Plantes de France, 1891. Le terme "Chamomilla" vient du grec chamai : « à terre », et melon : « pomme », les fleurs rappelant l'odeur de pomme. Elle s'utilise en tisane, seule ou en mélange, et on lui attribue à dose modérée une certaine efficacité contre l'insomnie.
Photographie, Botanique, Astéracées, Centaurées, Basse-Autriche (Autriche), Niederösterreich (Autriche)
Centaurée jacée (Centaurea jacea) à Hagengut, Niederösterreich. La Centaurée jacée (Centaurea jacea), appelée aussi tête de moineau ou ambrette, est une plante herbacée vivace de la famille des Astéracées. Fleurs mauves ; feuilles rugueuses, entières, lancéolées ; plante poilue ; mesure entre 20 et 90 cm. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Centaur%C3%A9e_jac%C3%A9e
Planche botanique de la chicorée sauvage (Cichorium intybus), Atlas des Plantes de France, 1891. Il y a cinquante ans, dans les campagnes françaises, le "café" était souvent de la chicorée ou un mélange chicorée café. Au Moyen Äge, elle faisait partie des plantes magiques : voir le jardin médiéval des neuf carrés de l'abbaye de Royaumont.
Photographie, Chrysanthèmes, Botanique, Astéracées, Fleurs sauvages, Engadine (Suisse), Saint-Moritz (Suisse)
Chrysanthèmes nains (Chrysanthemum weyrichii), Piste fleurie d'Heidi, Saint-Moritz, Engadine, Suisse, altidude 2.000 m.
Photographie, Botanique, Astéracées, Arnique des montagnes, Récolte, Asteraceae, Agriculture, Cueillette, Vosges (France), Biopharmaceutique, Doronicum arnica
Cueillette d'Arnica des montagnes à Markstein dans les Vosges, juillet 2008. Afin de fournir les laboratoires pharmaceutiques, dont la demande européenne annuelle est estimée à 50 tonnes de capitules secs, l'arnica est cueillie à l'état sauvage.
Peinture, Printemps, Plantes des jardins, Jaune, Botanique, Astéracées, Or, Asteraceae, Fleurs dans l'art, Jules Eudes (1856-1938), Flore, Doronicum oppositifolium, Persan (langue)
Doronic du Caucase, Jules Eudes (1856-1938), aquarelliste français qui signait ses œuvres JEUDES, dans : A. Guillaumin, "Les Fleurs de Jardins", tome I, Les fleurs de printemps, Paul Lechevalier, 1929. Les espèces du genre Doronicum, les doronics, sont des plantes vivaces à racine un peu épaisse, tubéreuse ou stolinifère, oblongue, noueuse, fibreuse et brune en dehors, blanche en dedans. La tige droite, simple ou peu rameuse est pubescente, cylindrique et peut atteindre 1 mètre de haut. Les feuilles sont assez grandes, un peu velues, à pétiole poilu ou presque glabre. Les fleurs se forment en capitules terminaux jaunes d'or. L'involucre a des bractées égales, imbriquées sur 2 ou 3 rangs, les ligules jaunes se situant sur un seul rang. Les fruits sont des akènes oblongs, cylindriques, pubescents et pourvus de côtes saillantes. Ceux du centre sont couronnés d'une aigrette de soie disposées sur plusieurs rangs. La pièce justificative la plus ancienne provient d'un poème médiéval traduit par Olivier de La Haye (Poème sur la Grande Peste) de 1425. Ce serait une traduction d'une source arabe ou persane. Ces indications se sont probablement rapportées aux fleurs de couleur jaune d'or pour en justifier le nom persan "daraniya" pour "or". Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Doronicum
Photographie, Fleurs, Botanique, Astéracées, Plantes médicinales, Munich (Allemagne), Jardins botaniques -- Allemagne
Echinacea purpurea, Jardin botanique de Nymphenburg à Munich : espèce très connue pour sa réputation en herboristerie et son usage ethnobotanique. Le centre de la fleur est recouvert de pointes piquantes. Le rhizome de l’Echinacea était utilisé par les Indiens des plaines d'Amérique du Nord dans l'élaboration de remèdes médicinaux.
Planche botanique d'Eupatoire à feuilles de chanvre (Eupatorium cannabinum), Atlas des Plantes de France de 1891 : l'eupatoire chanvrine croît volontiers dans les zones humides, aux bords de fossés, dans les marais, jusqu'à 1 700 mètres d'altitude. Il s'agit d'une plante mellifère qui est appréciée des papillons. La tradition populaire en fait une plante laxative (racines).
Photographie de fruits de Marguerite de la Saint-Michel (Aster amellus, Michaelmas Daisy, en anglais), prise au jardin botanique de KIT, Karlsruhe en Allemagne.
Photographie, Botanique, Astéracées, Asteraceae, Inscriptions sur bois, Créole réunionnais (langue), Plantes sauvages endémiques, Panneaux à inscription, Gestion des déchets
Avertissement en créole sur l'île de Rodrigues à Port-Mathurin : pas zet salte ici, interdiction de jeter des déchets ici. La plante protégée est "Psiadia retusa", plante de la famille des Asteracées, endémique de l'île de La Réunion.
Planche botanique de Grande aulnée (Inula helenium), Atlas des Plantes de France, 1891. "helenium vient du fait qu'Hélène aurait eu une branche d'Aunée dans la main lorsqu'elle fut enlevée par Pâris. La Grande Aunée fait partie des plantes comestibles. On apprécie en particulier sa racine très aromatique, utilisée fraîche ou séchée pour parfumer certains desserts. Cette racine riche en inuline est à la fois amère et tonique (d'où le nom de quinquina français parfois donné à la plante). Elle possède également diverses vertus médicinales : elle est notamment recommandée pour son action sur les bronches.
Ligule, typique des fleurs de la familles des Asteraceae : A. ovaire, B. rangée de poils, C. theca, D. ligule, E. style avec étamine. Chez les Asteraceae, la ligule désigne la corolle de certaines fleurs fortement développée vers l'extérieur du capitule. Lorsque les fleurs du capitule ne sont pas ligulées, elles sont tubulées. Par exemple, chez la marguerite (Leucanthemum vulgare) les fleurs périphériques blanches sont ligulées alors que les centrales tubulées sont jaunes... Le rôle de la ligule est d'empêcher le pourrissement du végétal car celle-ci dévie les gouttelettes d'eau.
Osteospermum blanche, genre de plantes vivaces herbacées ou arbustives, de la famille des Asteracées.
Osteospermum est un genre de plantes vivaces herbacées ou arbustives, de la famille des Asteraceae.
Planche botanique de la pâquerette (Bellis perennis), Atlas des Plantes de France, 1891. Les fruits s'envolent grâce au vent (anémochorie) et dégagent des odeurs qui attirent les insectes. Elles ont la particularité, comme certaines autres fleurs de plantes herbacées, de se fermer la nuit et de s'ouvrir le matin pour s'épanouir au soleil ; elles peuvent aussi se fermer pendant les averses, voire un peu avant, ce qui permettrait dans les campagnes de prédire la pluie légèrement à l'avance. Les pâquerettes survivant très bien aux tontes répétées même très rases dans un gazon, où elles sont particulièrement visibles, elles ont donné lieu à l'expression « au ras des pâquerettes » signifiant « au ras du sol » et, métaphoriquement, « sans intelligence ». La pâquerette est parfois utilisée pour le jeu d'effeuillage de la marguerite. Victor Hugo y fait référence dans Les Misérables.
Peinture, Printemps, Aquarellistes, Botanique, Astéracées, Pâquerettes, Aquarelles, Fleurs dans l'art, Couverture végétale du sol, Jules Eudes (1856-1938), Flore, Plantes de jardins, Plantes tapissantes
Bellis perennis ou pâquerette vivace, Jules Eudes (1856-1938), aquarelliste français qui signait ses œuvres JEUDES, dans : A. Guillaumin, "Les Fleurs de Jardins", tome I, Les fleurs de printemps, Paul Lechevalier, 1929. La pâquerette est haute de dix à vingt centimètres. Ses fleurs naissent sur des inflorescences appelées capitules. Celles du pourtour, qui ont l'aspect de pétales, sont appelées fleurs ligulées, parce qu'elles ont la forme d'une languette, ou demi-fleurons. Ce sont des fleurs femelles ; leur couleur varie du blanc au rose plus ou moins prononcé. Celles du centre, jaunes, appelées fleurs tubuleuses, parce que leur corolle forme un tube, ou fleurons, sont hermaphrodites. Ainsi, ce qu'on considère ordinairement comme une fleur de pâquerette n'est pas, du point de vue botanique, une fleur unique mais un capitule portant de très nombreuses fleurs. La pâquerette est très rustique. On la trouve dans les prés, les pelouses, les bords de chemins, les prairies, sur les gazons et les zones d'herbe rase. Leurs fruits s'envolent grâce au vent (anémochorie) et dégagent des odeurs qui attirent les insectes. Elles ont la particularité, comme certaines autres fleurs de plantes herbacées, de se fermer la nuit et de s'ouvrir le matin pour s'épanouir au soleil ; elles peuvent aussi se fermer pendant les averses, voire un peu avant, ce qui permettrait dans les campagnes de prédire la pluie légèrement à l'avance. En phytothérapie, la pâquerette est souvent utilisée pour lutter contre l'hypertension et l'artériosclérose (utilisation des fleurs et des feuilles). En infusion, une cuillère par tasse d'eau bouillante, laisser infuser 10 minutes, 3 tasses par jour. Les pâquerettes survivant très bien aux tontes répétées même très rases dans un gazon, où elles sont particulièrement visibles, elles ont donné lieu à l'expression "au ras des pâquerettes" signifiant "au ras du sol" et, métaphoriquement, "sans intelligence". La pâquerette est parfois utilisée pour le jeu d'effeuillage de la marguerite. Victor Hugo y fait référence dans Les Misérables. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/P%C3%A2querette
Pissenlits (Dandelion) : fleurs et aigrettes. Pissenlit (ou Dent-de-lion) est un nom vernaculaire ambigu en français. On appelle « pissenlit » diverses plantes à tige généralement creuse et dont l'inflorescence est un capitule plat et jaune. Ce capitule est généralement à fleurons ligulés. C'est la couleur jaune du capitule et sa forme plate qui déterminent généralement l'emploi du nom « pissenlit » pour désigner telle ou telle espèce. Les pissenlits « véritables » sont des espèces du genre Taraxacum. Des espèces d'autres genres de la famille des Asteraceae peuvent prendre néanmoins ce nom vernaculaire. traditionnel de souffler dessus pour les voir s'envoler. Ce sont des plantes vivaces, de plein soleil ou mi-ombre, à racine charnue pénétrant profondément dans le sol (plus de 50 centimètres), ce qui leur permet de résister au gel intense des régions froides (Russie, Canada). Dans ces régions, la partie aérienne meurt à la fin de l'automne, mais repousse dès la fonte des neiges, et la floraison survient une vingtaine de jours après la repousse ; une autre floraison de moindre importance se produit parfois en fin d'été.
Psiadie à belle tête (Psiadia callocephala), espèce endémique de La Réunion libérant ses graines (Asteraceae).
Séneçon cinéraire en fleurs. Sa brève floraison est constituée de groupes de petits capitules jaunes vifs.
Planche botanique de Sénéçon commun (Senecio vulgaris), Atlas des Plantes de France, 1891. Le nom « Séneçon » dérive du latin « Senex, senecio » qui signifie « vieillard ». Cela évoque les aigrettes blanches, souvent duveteuses, surmontant les akènes que produisent certains séneçons. Ces inflorescences surmontées de ces aigrettes évoquent de petites têtes de vieillards.
Planche botanique de souci des champs (Calendula arvensis), Atlas des plantes de France, 1891.