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Graphe de déchiffrement d'un message codé par Enigma. C'est Alan Turing qui va s'occuper de l'analyse de l'Enigma navale. Turing est le chef de la huitième section à Bletchley Park, un manoir proche de Londres où se sont retranchés tous les cryptologues et mathématiciens alliés. Avec Gordon Welchman, ils seront à l'origine du déchiffrement complet d'Enigma. Les membres de Bletchley Park travaillent dans le secret le plus total, toute fuite pouvant avoir des conséquences désastreuses sur la suite de la guerre. Les attaques développées par les Britanniques ressemblent à celles des Polonais. Une nouvelle attaque s'intéresse plus particulièrement au réflecteur, un élément qui garantissait que toute lettre était nécessairement différente après chiffrement. De plus, les Britanniques font appel à des techniques basées sur l'analyse des mots probables. Les messages avaient de forte chance de contenir des termes comme « Heil Hitler », « Panzer », « Führer », « Stuka », etc. Ces estimations du contenu du message étaient appelées des cribles. Les cryptologues pouvaient a posteriori deviner le contenu des messages en fonction de l'actualité et des assauts ennemis. En faisant quelques hypothèses sur le contenu et sachant qu'une lettre est obligatoirement modifiée lors du chiffrement, il n'était pas impossible de retrouver une partie du texte chiffré en essayant tous les alignements possibles. À partir des résultats positifs, on arrivait à retrouver le texte complet.
Textes, Dix-septième siècle, Latin (langue), Isaac Newton (1642-1727), Principes mathématiques de la philosophie naturelle - Isaac Newton (1642-1727), Savants anglais
"AXIOMATA SIVE LEGES MOTUS" d'Isaac Newton, édition de 1687. Les deux premières lois de Newton en latin dans l'édition originale du "Principia Mathematica" de 1687.
Gravure, Géométrie, Dix-huitième siècle, Savants, Savants anglais, Perspective cavalière, Axonométrie, Fortifications
Source : Ephraim Chambers (1680–1740), "Cyclopaedia, or an Universal Dictionary of Arts and Sciences" 1728. La perspective cavalière est une manière de représenter en deux dimensions des objets en volume. Cette représentation ne présente pas de point de fuite : la taille des objets ne diminue pas lorsqu'ils s'éloignent. C'est une forme particulière de perspective axonométrique, où l'on situe les points grâce à leurs coordonnées dans un repère formé de trois axes. Dans cette perspective, deux des axes sont orthogonaux et ont un facteur de report de 1. Le troisième axe est incliné, en général de 30 ou 45° par rapport à l'horizontale, appelé « angle de fuite », et a un facteur de report inférieur à 1, en général. Cette perspective ne prétend pas donner l'illusion de ce qui peut être vu, mais simplement donner une information sur la notion de profondeur. Simple à réaliser, c'est une perspective naïve qui peut traduire un manque de « vision dans l'espace ». Trop souvent utilisée dans les dessins à main levée, elle est malgré tout à déconseiller par son ambiguïté de représentation : un objet éloigné d'un autre peut sembler être plutôt au-dessus ou au-dessous. Cette représentation était utilisée initialement pour la conception des fortifications militaires. Le « cavalier » est un promontoire de terre situé en arrière des fortifications et qui permet de voir par-dessus, et donc de voir les assaillants. La perspective cavalière était donc la vue que l'on avait du haut du cavalier (les anglais utilisent parfois le terme de « high view point », en français « point de vue de haut »). Certains avancent également que c'est la vue qu'a un cavalier du haut de son cheval.
Peinture, Mécanique, Peintres anglais, Isaac Newton (1642-1727), Savants anglais, Gravitation, Télescopes, Inventeurs, Calcul infinitésimal, Newton -- Contribution aux mathématiques
Portrait d'Isaac Newton (1642-1727), savant anglais, inventeur du premier télescope, en 1671 par Sir Godfrey Kneller (1646–1723).
Gravure, Main, Matériel didactique, Savants anglais, Système décimal, Numération, Outils pédagogiques, Beda Venerabilis (saint, 0673?-0735), Éducation -- Documentation, Moyen âge -- Étude et enseignement
Table des nombres expliqués avec les doigts, système de Beda Venerabilis en trente-six gestes. Vers 701, Bède rédige ses premières œuvres, le "De Arte Metrica" et le "De Schematibus et Tropis", toutes deux destinées à servir de support d'enseignement. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/B%C3%A8de_le_V%C3%A9n%C3%A9rable