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Peinture, Marguerites, Vêtements, Peintres français, Chemises, Jupes, Rubans, Vert, Pâquerettes, Fillettes, Dix-neuvième siècle, William Bouguereau (1825-1905), Tabliers
Fillette assise tressant une couronne de paquerettes, 1874, par William Bouguereau (1825-1905) : elle porte une jupe, un tablier et une chemise blanche, ainsi qu'un ruban dans les cheveux du même vert que son tablier.
Planche botanique de la pâquerette (Bellis perennis), Atlas des Plantes de France, 1891. Les fruits s'envolent grâce au vent (anémochorie) et dégagent des odeurs qui attirent les insectes. Elles ont la particularité, comme certaines autres fleurs de plantes herbacées, de se fermer la nuit et de s'ouvrir le matin pour s'épanouir au soleil ; elles peuvent aussi se fermer pendant les averses, voire un peu avant, ce qui permettrait dans les campagnes de prédire la pluie légèrement à l'avance. Les pâquerettes survivant très bien aux tontes répétées même très rases dans un gazon, où elles sont particulièrement visibles, elles ont donné lieu à l'expression « au ras des pâquerettes » signifiant « au ras du sol » et, métaphoriquement, « sans intelligence ». La pâquerette est parfois utilisée pour le jeu d'effeuillage de la marguerite. Victor Hugo y fait référence dans Les Misérables.
Tableau de 1894 d'une fillette en robe bleue, assise sur un banc, tenant une pâquerette à la main : William-Adolphe Bouguereau (1825-1905).
Peinture, Printemps, Aquarellistes, Botanique, Astéracées, Pâquerettes, Aquarelles, Fleurs dans l'art, Couverture végétale du sol, Jules Eudes (1856-1938), Flore, Plantes de jardins, Plantes tapissantes
Bellis perennis ou pâquerette vivace, Jules Eudes (1856-1938), aquarelliste français qui signait ses œuvres JEUDES, dans : A. Guillaumin, "Les Fleurs de Jardins", tome I, Les fleurs de printemps, Paul Lechevalier, 1929. La pâquerette est haute de dix à vingt centimètres. Ses fleurs naissent sur des inflorescences appelées capitules. Celles du pourtour, qui ont l'aspect de pétales, sont appelées fleurs ligulées, parce qu'elles ont la forme d'une languette, ou demi-fleurons. Ce sont des fleurs femelles ; leur couleur varie du blanc au rose plus ou moins prononcé. Celles du centre, jaunes, appelées fleurs tubuleuses, parce que leur corolle forme un tube, ou fleurons, sont hermaphrodites. Ainsi, ce qu'on considère ordinairement comme une fleur de pâquerette n'est pas, du point de vue botanique, une fleur unique mais un capitule portant de très nombreuses fleurs. La pâquerette est très rustique. On la trouve dans les prés, les pelouses, les bords de chemins, les prairies, sur les gazons et les zones d'herbe rase. Leurs fruits s'envolent grâce au vent (anémochorie) et dégagent des odeurs qui attirent les insectes. Elles ont la particularité, comme certaines autres fleurs de plantes herbacées, de se fermer la nuit et de s'ouvrir le matin pour s'épanouir au soleil ; elles peuvent aussi se fermer pendant les averses, voire un peu avant, ce qui permettrait dans les campagnes de prédire la pluie légèrement à l'avance. En phytothérapie, la pâquerette est souvent utilisée pour lutter contre l'hypertension et l'artériosclérose (utilisation des fleurs et des feuilles). En infusion, une cuillère par tasse d'eau bouillante, laisser infuser 10 minutes, 3 tasses par jour. Les pâquerettes survivant très bien aux tontes répétées même très rases dans un gazon, où elles sont particulièrement visibles, elles ont donné lieu à l'expression "au ras des pâquerettes" signifiant "au ras du sol" et, métaphoriquement, "sans intelligence". La pâquerette est parfois utilisée pour le jeu d'effeuillage de la marguerite. Victor Hugo y fait référence dans Les Misérables. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/P%C3%A2querette
Photographie, Diptères, Botanique, Pâquerettes, Insectes, Pollinisation par les insectes, Plantes -- Pollinisation, Syrphes, Plantes de jardins, Syrphidés
Syrphe ceinturé (Episyrphus balteatus) sur une pâquerette. Ses œufs sont pondus dans des colonies de pucerons. Les larves qui en émergent se nourrissent alors uniquement de ces insectes. Les adultes, quant à eux se nourrissent de nectar et de miellat. On le confond souvent avec les guêpes, mais le syrphe est inoffensif. Son seul moyen de défense, est son extraordinaire rapidité, qui lui permet de s'éclipser en moins d'une seconde. On le retrouve près des conifères, tels que les pins et les sapins, il est commun dans les jardins. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Syrphe_ceintur%C3%A9