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Araignée (Salticidae) incluse dans du copal de Madagascar : 3,2 mm.
Avahi laineux (Avahi laniger) avec son petit dans la réserve de Sainte Luce : leur museau large et leur face plus aplatie les distinguent des lémuridés. Les avahis sont des petits lémuriens nocturnes à la fourrure laineuse uniformément brune et à la longue queue.
Maurice Le Scouëzec (1881-1940) : Cactus candélabre à Tuléar (Madagascar) ( 1931, huile).
Caméléon (Furcifer pardalis), en équilibre au bout d'une branche, entre Diego Suarez et Ankarana, à Madagascar.
Carte géologique et minière de Madagascar en 1922.
Peinture, Madagascar, Barcelone (Espagne), Mammifères, Catalan (langue), Chauves-souris, Chiroptères, Vespertilionidae
Chauve-souris de Madagascar (Miniopterus manavi), illustration scientifique sous la direction de Alistair Ian Spearing Ortiz, image versée par l'Art&Design School, grâce à une collaboration entre la Llotja de Barcelone et Amical Viquipèdia pour le projet catalan des mammifères. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Miniopterus_manavi
Construction d'un collège à Madagascar 02, en milieu rural.
Collège en construction en milieu rural à Madagascar 04 : sept pièces.
Construction d'un nouveau collège de 7 pièces à Madagascar en milieu rural, pour la rentrée 2010.
Copal de Madagascar, avec des araignées, des termites, des fourmis, des elateridae, des hyménoptères, des blattes et une fleur… Le copal est une résine semi-fossile ou sub-fossile que l'on trouve principalement en Afrique et en Inde. Proche de l'ambre mais généralement plus clair, il est également utilisé comme gemme pour la confection de bijoux.
Photographie, Madagascar, Copals, Coléoptères, Résines fossiles, Elateridae, Élatéridés, Taupins (insectes)
Copal de Madagascar avec inclusion d'Elateridae de 9,6mm. Les élateridés forment une famille de coléoptères qui correspond aux taupins.
Cours d'anglais au tableau dans une classe de collège à Madagascar. Le Collège se nomme " Tsihoarana" qui signifie "Ce qu'on ne peut pas dépasser ou copier", il a été créé en 2006, les locaux sont loués. Le collège compte actuellement plus de 232 élèves venant des campagnes environnantes et souvent très éloignées. C'est un Collège d'expression française, toutes les matières sont en français sauf le malagasy (le malgache) et l'anglais, les cours sont assurés par 8 professeurs diplômés d'État.
Fuligule mâle de Madagascar (Aythya innotata). C'est un canard de plongée extrêmement rare du genre Aythya, qu'on a cru éteint. Avant sa redécouverte en 2006, la dernière observation confirmée de l'espèce a été faite au bord du lac Alaotra sur le plateau central de Madagascar en 1991. Ce canard plongeur est confiné aux lacs et marais d'eau douce peu profonds qui combinent des eaux libres et des secteurs de végétation dense. Il se nourrit d'invertébrés et de graines de plantes aquatiques en plongeant fréquemment dans les eaux peu profondes. Il est vu généralement seul, parfois en couple. La taille de la couvée est de deux en moyenne et la couvaison a été observée en mars-avril.
Parc national d'Andringitra à Madagascar. Formé au Précambrien, ce massif est constitué essentiellement de granite, de syénite à pyroxène ou de granite syénitique. La plupart des failles qui fracturent le massif sont longitudinales, ou disposées en étoile. La roche cristalline dure a été fortement érodée par les eaux de ruissellement, qui ont creusé des sillons de dimension métrique.
Exemples de prises au Fanorona : 1 : prise par percussion. 2 : aspiration. 3 : Bleu doit effectuer un choix entre les 2 prises. On y joue avec un tableau (lakapanorona, prononcez lakpanourne) de 5 rangs et 9 colonnes et des pierres (vato, prononcez vat ) de 2 couleurs (22 de chaque) avec un trou central. Le but du jeu est de capturer toutes les pierres adverses. On capture une pierre ennemie en s'en approchant (percussion : situation 1 ; voir schéma) ou en s'en éloignant (aspiration : situation 2). Il faut donc prévoir une case libre devant ou derrière la pierre que l'on veut faire avancer. Le joueur capture alors toutes les pierres adverses situées sur l'axe sur lequel il a fait avancer ou reculer sa pierre. Une fois les pierres ennemies capturées, le joueur ayant le trait peut capturer d'autres séries de pierres au même tour si d'autres possibilités de capture se présentent à lui, à condition que ses captures se fassent 1) dans un sens différent à celui joué précédemment, 2) par un point par lequel le joueur n'est pas passé ce tour ci. Une fois ses captures effectuées, le joueur laisse le trait à son adversaire. Contrairement aux dames, les joueurs ne sont pas obligés de capturer si l'occasion se présente, et peuvent très bien jouer un coup stratégique sans capture directe. Cas particulier : il arrive que le joueur ait pour un même mouvement plusieurs pierres adverses capturables, celles en avant et celles en arrière (situation 3). Il doit alors choisir entre les deux séries (on prend généralement la série la plus nombreuse). Et pour finir, chaque joueur est obligé de jouer, même si le tour suivant le mène forcément à un coup perdant. A Madagascar, ce jeu est de loin le plus populaire et on y joue dans toutes les régions. La plupart des joueurs n'utilisent pas de tableau à proprement parler mais tracent au sol des lignes à l'aide d'une pierre marquante (craie par exemple) puis utilisent en guise de pions des pierres de deux couleurs différentes ramassées aux alentours. Cela permet de pratiquer le jeu en tout lieu : en brousse, en pleine rue ou dans les stations de taxi-brousse.
Plateau du Fanorona royal (jeu de société combinatoire abstrait indigène) utilisé par le roi Andrianampoinimerina, à Ambohimanga, Madagascar.
Portulan de l'Océan Indien au large du Mozambique en 1684 : La navigation orientale par Joel Gascoyne, 1684. Bodleian Libraries, Oxford.
Gravure, Madagascar, Langues austronésiennes, Français (langue), Habitat sur pilotis, Madagascar -- Ethnologie
Le Batang Rawas près de Bingin-Telok, 1893 ; gravure légendée en français. Village austronésien avec levu sur pilotis (*levu = "maisons" en proto-austronésien qui a donné en malgache an-devu = "à la maison") : tous les villages des ntaolo vazimba et vezo de Madagascar étaient probablement similaires au premier millénaire. On retrouve d'ailleurs encore ce modèle aujourd'hui sur toutes les côtes de la Grande Île et dans les zones intérieures reculées (forêts, etc.)