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Galilée (1564-1642) | Peinture | Temps, Mesure du | Moines | Compas | Physiciens | Héliocentrisme | Physiciens italiens | Mathématiciens | Inventeurs | Astronomes | Art mexicain | Globe terrestre | Reconstitutions historiques | Padoue (Italie) | Seizième siècle | Oscillations | Pise (Italie) | Pouls | Dessins et plans | ...
Galilée à l'Université de Padoue. Source : http://data.abuledu.org/URI/5372189b-felix-parra-galileo-demonstrating-the-new-astronomical-theories-at-the-university-of-padua-google-art-project-jpg

Galilée à l'Université de Padoue

Félix Parra, Galilée démontre les Nouvelles Théories Astronomiques à l'Université de Padoue, 1873. Galilée est un mathématicien, géomètre, physicien et astronome italien du XVIIe siècle mort à 77 ans. Parmi ses réalisations techniques, il a inventé la lunette astronomique, perfectionnement de la découverte hollandaise d'une lunette d'approche, pour procéder à des observations rapides et précoces qui ont bouleversé les fondements de la discipline astronomique. Félix Parra (1845 - 1919) est un peintre mexicain. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Galil%C3%A9e_%28savant%29

Le pendule du lustre de Pise. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b008c7-le-pendule-du-lustre-de-pise

Le pendule du lustre de Pise

Plafond et lustre de Pise, Vincenzo Possenti, 1586. Galilée commence par démontrer plusieurs théorèmes sur le centre de gravité de certains solides dans son "Theoremata circa centrum gravitatis solidum" et entreprend en 1586 de reconstituer la balance hydrostatique d'Archimède ou Bilancetta. En même temps, il poursuit ses études sur les oscillations du pendule pesant et invente le pulsomètre. Cet appareil permettait d'aider à la mesure du pouls et fournissait un étalon de temps, qui n'existait pas à l'époque. Il débute aussi ses études sur la chute des corps.

Machine d'Atwood. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c74c39-machine-d-atwood

Machine d'Atwood

Machine d'Atwood (surcharge à gauche, masse à droite) : Atwood (1746-1807) est surtout célèbre chez les élèves de terminales math. élém. des années 1945-1972, par sa « machine » hautement didactique qui permettait de s'entraîner sur la bonne application de la « relation fondamentale de la dynamique » (deuxième loi de Newton) et/ou la conservation de l'énergie mécanique. Tous les grands lycées de France possèdent sans doute encore, dans leurs placards, une machine d'Atwood. Du point de vue expérimental, l'appareil fut l'objet d'un travail soutenu durant au moins un siècle, ce qui permit de tenir compte de beaucoup de correctifs. Néanmoins, pouvoir placer l'appareil dans un grand tube de Newton est resté l'apanage des très grands lycées. La chute libre est difficile à étudier quantitativement, car les temps de parcours sont très courts. Galilée est le premier à chercher comment la ralentir, sans la « dénaturer » : il pensa au plan incliné d'angle α (où intervient seulement g⋅sinα), puis à la succession de plans inclinés. La difficulté pour Galilée restait la mesure du temps… Atwood proposa « sa » machine pour diminuer l'accélération des masses.

Palazzo dei Cartelloni à la gloire de Galilée à Florence. Source : http://data.abuledu.org/URI/533b1760-palazzo-dei-cartelloni-a-la-gloire-de-galilee-a-florence

Palazzo dei Cartelloni à la gloire de Galilée à Florence

Au 11 de la via sant'Antonino à Florence (Italie), l'entrée du "Palazzo dei Cartelloni" (le palais des placards, des affiches), en fait Palazzo Viviani, ornée de panneaux en latin à la gloire de Galilée (1564-1642) et d'un buste le représentant, par les soins de son élève, Vincenzo Viviani (1622-1703).

Portrait de Galilée. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b0072e-portrait-de-galilee

Portrait de Galilée

Portrait de Galilée aux alentours de 1605 par Domenico Tintoretto, Le Tintoret en français (1560–1635). À l'âge de dix-neuf ans il découvre, en les chronométrant à l'aide de son pouls, la régularité des oscillations des lustres de la cathédrale de Pise. De retour chez lui, il compare les oscillations de deux pendules et travaille à la loi de l'isochronisme des pendules, dont le néerlandais Christian Huygens découvre la vraie loi de l'isochronisme rigoureux (nécessitant l'invention d'un autre mouvement isochrone : le pendule cycloïdal alors que le pendule simple de Galilée n'est pas parfaitement isochrone) en décembre 1659, étape de la découverte d'une nouvelle science : la mécanique galiléenne. Galilée trouve ainsi cette formule sur les lois du pendule simple (l étant la longueur du pendule, g la gravité et T la période) : T=2pileft( sqrtfrac{l}{g} ight) . Toutefois, ce ne fut qu'à la fin de sa vie, dans un ouvrage publié en 1638, qu'il exposa cette découverte.