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Dessins et plans, Cartes géographiques, Économie, Afrique de l'Ouest, Coopération intergouvernementale, Histoire économique (1945-....), Intervention militaire, Relations intergouvernementales, Union économique et monétaire
La Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) est une organisation intergouvernementale ouest-africaine créée le 28 mai 1975. C'est la principale structure destinée à coordonner les actions des pays de l’Afrique de l'Ouest. Son but principal est de promouvoir la coopération et l'intégration avec pour objectif de créer une union économique et monétaire ouest-africaine. En 1990, son pouvoir est étendu au maintien de la stabilité régionale avec la création de l'ECOMOG, groupe militaire d’intervention qui devient permanent en 1999. La CEDEAO compte aujourd'hui 15 États membres. Selon le FMI, en 2012, le PIB PPA global des États membres de la CEDEAO s'élève à 564,86 milliards de dollars US ce qui en fait la 25e puissance économique du Monde. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Communaut%C3%A9_%C3%A9conomique_des_%C3%89tats_d%27Afrique_de_l%27Ouest.
Photographie, Ports, Quais, Conteneurs, Conteneurs-citernes, Économie, Parallélépipèdes (formes), Ports maritimes, Transport par conteneurs
Conteneurs en attente d'embarquement sur le quai d'un port maritime. Source : Image ID: line3174, America's Coastlines Collection ; Port Elizabeth, New Jersey (USA), Juin 2004. Dans le domaine du transport, un conteneur (forme recommandée en France par la DGLFLF et au Canada par l'OQLF), est un caisson métallique, en forme de parallélépipède, conçu pour le transport de marchandises par différents modes de transport. Ses dimensions ont été normalisées au niveau international. Il est muni, dans tous les angles, de pièces de préhension permettant de l'arrimer et de le transborder d'un véhicule à l'autre (pièces de coin). Il fait partie, avec les caisses mobiles et certains semi-remorques, de la catégorie des UTI (« unités de transport intermodal »). Il permet ainsi de diminuer les temps de rupture de charge et de transbordement. Ses adaptations spécifiques permettent de faciliter les opérations de « mise en boîte » des marchandises (= empotage) et de vidage (= dépotage).
Photographie, Fixations, Transports maritimes, Conteneurs, Économie, Transport par conteneurs, Transports, Porte-conteneurs, Amarrage (marine), Transports de marchandises
Détail du système d'accorage (amarrage) d'un conteneur sur un porte-conteneur maritime. Le principe du conteneur a été inventé en 1956 par Malcom McLean (en), un transporteur routier américain qui trouvait que le transbordement en vrac des marchandises était trop long. Il charge d'abord directement le camion dans le bateau, puis perfectionne cette idée en rendant la caisse du camion mobile. Son invention restera confinée à la côte est des États-Unis pendant 10 ans, puis franchira l'Atlantique en 1966 et connaîtra ensuite une croissance fulgurante. Si le conteneur « de base » (et le plus répandu) reste une simple boîte, il existe des conteneurs spécialisés : réfrigérés, ventilés, déshumidifiés, avec un réservoir de carburant, à munitions, à vêtements, sans toit, pliants, à bétail, à voitures, plats, citernes, etc. En revanche, ils partagent le même système de fixation, par pièces de coin présentes sur les huit sommets du parallélépipède et verrous tournants fixés sur les châssis des véhicules ou les engins de manutention.
Atelier de distillation de l'absinthe . Image provenant du "Dictionnaire encyclopédique de l'épicerie et des industries annexes" par Albert Seigneurie, édité par "L'Épicier" en 1904, page 14.
Intérieur d'un conteneur fermé destiné aux marchandises en général par opposition au vrac, conteneur standard équipé de portes aux extrémités utilisé pour les marchandises sèches.
Photographie, Conteneurs, Conteneurs-citernes, Économie, Transport par conteneurs, Transports, Navires frigorifiques, Porte-conteneurs, Ventilateurs, Transports de marchandises
Pile de conteneurs accorés (avec des amarres) sur un porte-conteneurs, incluant des conteneurs réfrigérés (avec un ventilateur).
Dessins et plans, Cuivre, Vingtième siècle, Économie, Commerce mondial, Matières premières, Économie mondiale, Histoire économique, Histoire mondiale
Évolution de la production mondiale de cuivre en millions de tonnes depuis 1900. Traduction Christophe Catarina.
Dessins et plans, Cartes du monde, Cuivre, Économie, Commerce mondial, Matières premières, Production industrielle, Réserves de matières premières
Production mondiale de cuivre en 2005 par comparaison avec le Chili : en vert, Chili - 5.320.500 tonnes ; en rouge 10% ; en jaune 1%. Les principaux producteurs sont la Chine, le Chili, le Japon, les États-Unis, la Russie.
Photographie, Transports routiers, Conteneurs, Conteneurs-citernes, Économie, Transport par conteneurs, Transports de marchandises, Acide chlorhydrique, Matériel de transport, Produits dangereux, Transporteurs de conteneurs, Véhicules semi-remorques
Semi-remorque pour conteneur de 20 pieds : l'immense majorité des conteneurs a des dimensions extérieures : 1) longueur de 20 pieds (6,096 m) ou 40 pieds (12,192 m) ; 2) largeur de 8 pieds (2,438 m) ; 3) hauteur de 8,5 pieds (2,591 m). Conteneur à parois latérales largement ouvrantes permettant l'évolution de chariots à fourches.
Photographie, Ports, Conteneurs, Économie, Ports maritimes, Transport par conteneurs, Le Havre (Seine-Maritime), Le Havre (Seine-Maritime) -- Port, Transports, Transports de marchandises
Conteneurs sur le port du Havre, photographie personnelle de l'utilisateur Urban, prise en octobre 2004.
Photographie, Transports ferroviaires, Années 1950, Économie, Transports de marchandises, Wagons de marchandises, Trains express
Wagon couvert de type G de la DB (des années 1950) semblable au type 2 UIC mais avec des portes de seulement 1.80 m de large. Un wagon couvert est un type de wagon ferroviaire constitué d'une caisse, généralement en bois, couverte d'un matériau étanche permettant de transporter des marchandises craignant l'eau ou d'une certaine fragilité. Dans certaines circonstances, ces wagons furent amenés à transporter des hommes. Afin de permettre chargements et déchargements, ce type de wagon comporte une ou deux portes de grande largeur par côté. Certains wagons couverts pouvant être intégrés à des trains dits de messageries, ils disposent d'un châssis roulant et des organes de freinage apte à des vitesses pouvant aller jusqu'à 160 km/h. C'est le cas des wagons qui transportèrent pendant de nombreuses années les fruits et légumes du midi jusqu'aux halles parisiennes en formant le « Provence Express ». De nombreux autres wagons qui ont assuré le service des colis (SERNAM) jusque dans les années 1980 étaient aptes aux 120 km/h.
Photographie, Transports ferroviaires, Wagons-citernes, Économie, Transports de marchandises, Tombereaux, Ballast (chemins de fer), Bogies, Produits métalliques, Wagons de marchandises
Wagon-tombereau à bogies, utilisé pour le transport de ballast. Malgré leurs diverses spécialités, les wagons-tombereaux sont constitués de la même manière. Outre le châssis et les organes de traction, ils comportent une « caisse » en bois (ou en métal pour la majorité d'entre eux actuellement, d'où leur nom de tombereau). Pour les opérations de manutention, ces wagons sont généralement équipés de portes à double-battant. Les wagons à essieux sont munis d'une porte par face et ceux à bogies, de deux. Tous les tombereaux disposent de crochets permettant de bâcher le wagon ou de fixer un filet. Les marchandises transportées sont assez diverses : de la ferraille aux déchets ménagers en passant par les copeaux de bois. Les wagons-tombereaux sont souvent adaptés à la marchandise transportée. Ainsi, les wagons à ballast, comme sur cette image, sont entièrement métalliques et disposent de renforts. Ils sont également relativement bas. Au contraire, les wagons à sciure sont plus hauts et disposent d'un système de bâchage.