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France (Révolution) (1789-1799) | Gravure | Photographie | Peinture | Montagnards (Histoire de France) | Terreur (5 septembre 1793-27 juillet 1794), Deuxième | France (1793-1794) | Terreur | Maximilien de Robespierre (1758-1794) | Textes | Dessins et plans | Langage et éducation | Fillettes | Langage | Amboise (Indre-et-Loire) -- Manoir du Clos Lucé | France (Chute des Girondins) ( 30 mai-2 juin 1793) | Communication écrite | France. Convention nationale | France (1793) | Communication non-verbale | ...
Contes de fées japonais - 24. Source : http://data.abuledu.org/URI/568432d4-contes-de-fees-japonais-24

Contes de fées japonais - 24

Contes de fées japonais - 24, traduction en anglais par 0zaki, 1908 : La vieille connut la plus grande peur de sa vie.

Devise révolutionnaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/50917884-devise-revolutionnaire

Devise révolutionnaire

Exemple de Devise Révolutionnaire sous la Terreur, en 1794.

Jean-des-Figues 13. Source : http://data.abuledu.org/URI/5143b6aa-jean-des-figues-13

Jean-des-Figues 13

Fuite de Blanquet, chapitre 13 de "Jean-des-Figues", 1884, par Paul Arène (1843-1896), poète provençal et écrivain français. Narration et description : souvenirs d'enfance, départ de Provence, trajet vers Paris pendant un mois à dos d'âne (881 mots).

Alice dans la cuisine de la Duchesse. Source : http://data.abuledu.org/URI/532d950f-alice-dans-la-cuisine-de-la-duchesse

Alice dans la cuisine de la Duchesse

Alice dans la cuisine de la Duchesse (Porc et poivre, chapitre 6), 1909, illustré par Arthur Rackham (1867–1939) : Oh ! je vous en prie, prenez garde à ce que vous faites, criait Alice, sautant ça et là et en proie à la terreur. "Oh ! son cher petit nez !" Une casserole d’une grandeur peu ordinaire venait de voler tout près du bébé, et avait failli lui emporter le nez. "Si chacun s’occupait de ses affaires," dit la Duchesse avec un grognement rauque, "le monde n’en irait que mieux."

Ancien chalet à Talence. Source : http://data.abuledu.org/URI/5826c198-ancien-chalet-a-talence

Ancien chalet à Talence

Chalet "Les échos" dont l'étage a été aménagé "à l'arcachonnaise", 31 rue Pacaris à Talence-33. Inscription portant la date de l’arrestation de Robespierre et la fin du régime de La Terreur, le 9 thermidor an IV (27 Juillet 1794).

Bonnet phrygien. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cc9520-bonnet-phrygien

Bonnet phrygien

Le bonnet phrygien est une coiffure de laine haute, qui tire sa symbolique de liberté de sa parenté romaine avec le pileus (chapeau en latin). Le pileus coiffait les esclaves affranchis de l'Empire romain, représentant leur liberté. Aux États-Unis, il a été un symbole de liberté pendant la guerre d'indépendance. Il est toujours présent sur le drapeau de l’État de New York. Ce bonnet est repris en France au début de l'été 1790 comme symbole de la liberté et du civisme, d'où son nom de « bonnet de la liberté ». Le bonnet phrygien devient symbole de la Révolution française, et de l'automne 1793 à juillet 1794 (période de la Terreur), il est porté dans beaucoup de collectivités administratives du pays. Depuis la Révolution, le bonnet phrygien coiffe Marianne, la figure allégorique de la République française.

Camille Desmoulins. Source : http://data.abuledu.org/URI/50afa4ab-camille-desmoulins

Camille Desmoulins

Portrait posthume par Jean-Sébastien Rouillard de Camille Desmoulins (1760-1794), « l’homme du 14 juillet », l’ami de Danton et de Robespierre. À la fin de 1793, il veut avec Danton et ceux qui le soutiennent, les Indulgents, arrêter la Terreur et négocier la paix. Il écrit dans son journal (Vieux Cordelier, no 4) : « Ouvrez les prisons à 200 000 citoyens que vous appelez suspects, car, dans la Déclaration des Droits, il n’y a point de maisons de suspicion… Vous voulez exterminer tous vos ennemis par la guillotine ! Mais y eut-il jamais plus grande folie ! … Croyez-moi, la liberté serait consolidée et l’Europe vaincue si vous aviez un Comité de Clémence ! »

Croquis du char d'assaut par Léonard de Vinci. Source : http://data.abuledu.org/URI/55ccf3e3-croquis-du-char-d-assaut-par-leonard-de-vinci

Croquis du char d'assaut par Léonard de Vinci

Croquis du char d'assaut par Léonard de Vinci, Clos Lucé, Amboise : Un ensemble blindé sur quatre roues, devant être entraîné par la force humaine ou animale. Tout autour des canons dont les tireurs sont protégés. En haut une tourelle d'observation. "Ce char d'assaut, mieux que les éléphants, pourra semer la terreur dans la cavalerie de l'ennemi. Des hommes, grimpés sur ces machines et équipés d'armes à feu, mettront en fuite la troupe adverse."

Danton à la Convention. Source : http://data.abuledu.org/URI/50af9ec2-danton-a-la-convention

Danton à la Convention

Croquis de Danton à la Convention par David, 1793 (Musée Carnavalet). C'est le Danton un peu fatigué et alourdi de 1794. L'artiste, qui a cédé à quelques préoccupations caricaturales, a saisi une attitude caractéristique de l'orateur écoutant et bougonnant à part lui. Danton, « le plus modéré des Montagnards », se refuse aux mesures révolutionnaires réclamées par les sections et les clubs parisiens (économie dirigée, levée en masse, loi des suspects) face à une situation extérieure et intérieure de plus en plus menaçante (invasion étrangère, contre-révolution intérieure). La Terreur ne sera mise à l’ordre du jour qu’après son départ. Chargé au Comité de salut public des Affaires étrangères, il rêve d’un compromis avec l’Europe et essaie de négocier en secret pour fissurer le bloc de la coalition, prêt à offrir la libération de la reine. Le 13 avril, il détermine la Convention à désavouer la guerre de propagande et à déclarer qu’elle « ne s’immiscerait en aucune manière dans le gouvernement des autres puissances ». Mais ses tentatives n’aboutissent pas et se heurtent à une situation militaire défavorable. La Belgique et la rive gauche du Rhin reprises par les coalisés, la France ne disposait plus de monnaie d'échange. Cette politique de ménagements mécontente les sans-culottes exaspérés par la cherté des denrées de première nécessité ainsi que Robespierre et ses amis qui aspirent à le remplacer. « Tes formes robustes, dira Saint-Just dans son réquisitoire, semblaient déguiser la faiblesse de tes conseils (…) Tous tes exordes à la tribune commençaient comme le tonnerre et tu finissais par faire transiger la vérité et le mensonge. »

La roue des émotions. Source : http://data.abuledu.org/URI/510978ca-la-roue-des-emotions

La roue des émotions

La roue des émotions, inventée par Robert Plutchik (1927-2006), définit un modèle des émotions humaines et de leur relations et combinaisons. Il est composé de 8 émotions de base, opposées deux à deux : la colère, la peur, la tristesse, le dégoût, la surprise, l'anticipation, la confiance et la joie, et de multiple nuances. Ce modèle aboutit à un "circumplex" où les émotions et variations sont représentées par des couleurs et des teintes différentes. Ce circumplex peut être éclaté pour permettre de voir l'ensemble des émotions à la fois. Nuances des émotions : Extase (extasy) - joie (joy) - sérénité (serenity) ; Adoration (admiration) - sympathie (trust) - résignation (acceptance) ; Terreur (terror) - peur (fear) - appréhension (apprehension) ; Étonnement (amazement) - surprise (surprise) - distraction (distraction) ; Chagrin (grief) - tristesse (sadness) - songerie (pensiveness) ; Aversion (loathing) - dégoût (disgust) - ennui (boredom) ; Rage (rage) - colère (anger) - contrariété (annoyance) ; Vigilance (vigilance) - excitation (anticipation) - intérêt (interest).

La tribune de la Convention. Source : http://data.abuledu.org/URI/50afb467-la-tribune-de-la-convention

La tribune de la Convention

Le député Lanjuinais agressé à la tribune de la Convention. Malgré les critiques acerbes de Charles Baudelaire aux salons de 1845 et 1846, Muller (1815-1892) acquiert la célébrité en 1850 avec la toile "L’appel des dernières victimes de la Terreur à la prison Saint-Lazare les 7 et 9 Thermidor", sur laquelle est représenté le poète André Chénier. Au musée du Louvre il décore les plafonds de la Galerie d’Apollon, l’escalier Mollien, la salle Denon. Nommé Directeur de la Manufacture des Gobelins, il laisse de nombreux tableaux de grand format décrivant des scènes violentes sous la Révolution, ainsi que de remarquables portraits (Portrait de Madame la Supérieure des Filles de la Compassion) et esquisses. Jean Denis, comte de Lanjuinais (1753-1827), député d’Ille-et-Vilaine, prit position sous la Convention contre la Commune insurrectionnelle et contre La Montagne. Molesté lors de la chute des Girondins durant les journées du 31 mai au 2 juin 1793, il fut fait comte en 1808 malgré son opposition à l’Empire. Il fut membre de la Chambre des Pairs sous la Restauration. Le tableau décrit l’agression de Lanjuinais le 2 juin 1793 par les Montagnards Chabot, Legendre, Drouet, Robespierre (jeune) et Turreau, et défendu par les Girondins Barbaroux, Penières et Lidon.

Marie aux sabots de bois se gage - 15. Source : http://data.abuledu.org/URI/52bccfb7-marie-aux-sabots-de-bois-se-gage-15

Marie aux sabots de bois se gage - 15

Marie aux Sabots de bois se gage - 15, Jordic (1876 - 1915) : ...choire entr'ouverte, laissant voir des dents aigües. L'épicier chancelle, la comtesse s'évanouit sur un sac de lentilles, les bonnes poussent des cris de terreur. Patatras ! la tête tombe et ploc ! la peau de tigre s'abat sur le sol. M. Poivre reconnaît le tapis de Mme Sabreur. -- Ah ! ah ! Et il gourmande les bonnes : -- Sottes ! Ai-je eu peur, moi ? Quelques gouttes de vinaigre raniment la comtesse de Pimbèche. Mais, pioc ! Nouveau choc étrange ; on aperçoit une petite bretonne, tête en bas, pieds...

Plaque de Robespierre. Source : http://data.abuledu.org/URI/50afc3ba-plaque-de-robespierre

Plaque de Robespierre

Plaque apposée au n° 398 de la rue de Saint-Honoré, Paris 1 : "Ici a séjourné Maximilien Robespierre du 17 juillet 1791 jusqu'à sa mort le 28 juillet 1794 (10 thermidor an II)."

Plaque de Thomas Paine à Paris. Source : http://data.abuledu.org/URI/507287c6-plaque-de-thomas-paine-a-paris

Plaque de Thomas Paine à Paris

Plaque apposée au n° 10 de la rue de l'Odéon, Paris Thomas Paine (1737-1809) : Anglais de naissance, Américain d'adoption, Français par décret, a vécu dans cet immeuble de 1797 à 1802. Il mit sa passion de la liberté au service de la Révolution française, fut député à la Convention et écrivit ''Les Droits de l'Homme'' : « Lorsque les opinions sont libres, la force de la vérité finit toujours par l'emporter. » Ses écrits, parmi lesquels figure "Les Droits de l'Homme" (Rights of Man 1791), ont exercé une grande influence sur les acteurs de la Révolution française : il est élu député à l’assemblée nationale en 1792. Considéré par les Montagnards comme un allié des Girondins, il est progressivement mis à l’écart, notamment par Robespierre, puis emprisonné en décembre 1793. Après la Terreur, il est relâché et connaît un certain succès grâce à son livre "Le Siècle de la raison" (The Age of Reason, 1793-1794) qui analyse le christianisme et milite en faveur du déisme. Dans "La justice agraire" (Agrarian Justice, 1795), il analyse les origines du droit de propriété et introduit le concept de Revenu de base, proche du revenu minimum. Thomas Paine resta en France jusqu’en 1802, période pendant laquelle il critique l’ascension de Napoléon Bonaparte, qualifiant le Premier Consul de « charlatan le plus parfait qui eût jamais existé ». Sur l’invitation du président Thomas Jefferson, il revient aux États-Unis où il meurt à 72 ans.

Portrait d'Hébert. Source : http://data.abuledu.org/URI/50afa5d8-portrait-d-hebert

Portrait d'Hébert

Portrait de Jacques-René Hébert. Source : Léonard Gallois, "Histoire des journaux et des journalistes de la révolution française", Paris, Bureau de la Société de l'industrie fraternelle, 1845. Hébert (1757-1794), rédacteur du Père Duchesne, le journal des sans-culottes, se veut le successeur de Marat. Les Hébertistes veulent renforcer l'économie dirigée et radicaliser la terreur. Ils dirigent le mouvement sans-culotte et contrôlent le club des Cordeliers, le ministère de la Guerre dont le secrétaire général est Vincent et l’armée révolutionnaire parisienne, dont le chef est Ronsin. Autre appui : la Commune dont le maire Pache, le procureur Chaumette et le commandant de la garde nationale Hanriot leur sont favorables.

Portrait de Joseph Fourier. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a812c8-portrait-de-joseph-fourier

Portrait de Joseph Fourier

Portrait de Joseph Fourier (1768-1830), mathématicien et physicien français, connu pour ses travaux sur la décomposition de fonctions périodiques en séries trigonométriques convergentes appelées "séries de Fourier" et leur application au problème de la propagation de la chaleur. Il intègre l'École normale supérieure à 26 ans, où il a entre autres comme professeurs Joseph-Louis Lagrange, Gaspard Monge et Pierre-Simon de Laplace, auquel il succède à la chaire à Polytechnique en 1797. Il participe à la Révolution, manquant de peu de se faire guillotiner durant la Terreur, sauvé de justesse par la chute de Robespierre. En 1798, il est désigné pour faire partie de la campagne d'Égypte et quitte Toulon en mai. Il occupe un haut poste de diplomate et devient secrétaire de l'Institut d'Égypte dont il anime la vie scientifique. À son retour en France en 1802, Napoléon le nomme préfet de l'Isère le 12 février. Il crée en 1810 l'Université Royale de Grenoble dont il devient le recteur, et y remarque Jean-François Champollion.

Robespierre exécutant le bourreau. Source : http://data.abuledu.org/URI/50afc48a-robespierre-executant-le-bourreau

Robespierre exécutant le bourreau

Caricature de Robespierre qui, n'ayant plus personne à exécuter, guillotine le bourreau. Source : "La Guillotine en 1793", par H. Fleischmann (1908), page 269.