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Dessins et plans | Photographie | Botanique | Outils | Musique | Carré | Odysseus | Onomatopées | Orages | Temps (météorologie) | Mécanique | Physique | Radars météorologiques | Peinture | Personnages imaginaires | Solfège | RyXéo | Notes (musique) | Partitions -- Lecture et déchiffrage | Partitions (musique) | ...
Clef de sol. Source : http://data.abuledu.org/URI/51239c05-clef-de-sol

Clef de sol

En solfège, une clef (ou clé) est un signe graphique placé au début de la portée qui indique la hauteur des notes associées à chaque ligne.

Sol et clef de sol en solfège. Source : http://data.abuledu.org/URI/534503de-sol

Sol et clef de sol en solfège

Le sol est le cinquième degré de la gamme de do en musique. En musique, une note désigne soit un symbole permettant de représenter la hauteur et la durée relative d'un son, soit la hauteur elle-même d'un son. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Note_de_musique

Agame barbu. Source : http://data.abuledu.org/URI/54fe92c5-agame-barbu-

Agame barbu

Agame barbu (Pogona vitticeps) photographié au Jardin Zoologique de Stuttgart, Allemagne. C'est une espèce de sauriens de la famille des Agamidae, qui vit en Australie où elle est endémique. C'est une espèce populaire en terrariophilie. Pogona vitticeps est capable de moduler légèrement la couleur de ses écailles afin d'aider à la régulation de sa température. Comme beaucoup d'Agamidae, Pogona vitticeps possède des pattes puissantes qui lui permettent de décoller complètement son corps du sol lorsqu'il se déplace. Cela lui permet de limiter la chaleur reçue du sol et de réduire sa température par le flux d'air passant alors sous son ventre. Les écailles spécialisées des deux côtés de sa gorge, son cou et sa tête forment de petites épines qui courent le long des côtés du corps et de la queue. Ces épines peuvent être érigées en signe de menace lorsque l'animal gonfle la gorge, ce qui est une posture caractéristique de cet agame. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Pogona_vitticeps

Appelations viticoles en bordelais. Source : http://data.abuledu.org/URI/506b5afb-appelations-viticoles-en-bordelais

Appelations viticoles en bordelais

La notion de terroir signifie que les vins d'une région sont uniques, et qu'ils ne peuvent être reproduits en dehors de cet endroit, même si la variété des raisins et des techniques de vinification sont minutieusement répétées : AOC. Le climat, le type de sol et la topographie : L'action du climat sur le terroir peut généralement être définie en trois parties. Le macroclimat qui représente une grande superficie homogène, le mésoclimat qui se concentre sur une plus petite partie et enfin le microclimat qui se situe au niveau d'une parcelle. Le type de sol se rapporte à la fois à la composition et à la nature intrinsèque de la terre, comme la proportion d'argiles, de sables ou de limons, la fertilité, le drainage et la capacité à conserver la chaleur. Enfin, la topographie définit les caractéristiques naturelles du paysage, comme les reliefs, les vallées et les cours d'eau. La topographie d'un lieu influe sur le terroir via le climat qu'elle favorise ou non, l'altitude, l'orientation et la pente.

Ascendance thermique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b10e19-ascendance-thermique

Ascendance thermique

Schématisation du phénomène d'ascendance thermique : Le nuage (A) au-dessus du sol. Le soleil augmente la température du sol qui, à son tour, réchauffe l'air au-dessus (1). La bulle d'air chaud commence à s'élever (2) jusqu'à un certain point. La masse condense et redescend, à cause de sa température inférieure (3). Le vol thermique consiste à utiliser des courants d'air ascendants (appelés « thermiques », « ascendances », « pompes » ou « bulles ») pour monter. L'aérologie fait appel à quelques notions physiques : l'air chaud moins dense est plus léger que l'air froid ; si l'on considère la différence de température moyenne entre celle au niveau de la mer et celle au niveau de la tropopause, divisé par la hauteur, on obtient une diminution moyenne de la température de la masse d'air avec l'élévation de l'altitude de 0,65 °C tous les 100 m ; le soleil réchauffe de manière négligeable l'air directement mais le soleil réchauffe le sol de manière variable selon sa nature qui lui ensuite chauffe l'air au contact du sol par conduction ; lorsque qu'une masse d'air au contact du sol est suffisamment réchauffée, sa densité baisse, elle devient plus légère et s'élève si elle est entourée d'air plus froid ; cette « bulle » d'air s'élève aussi longtemps que l'air environnant est plus froid ; la « bulle » elle-même se refroidit non pas du fait du contact avec de l'air plus frais avec l'altitude mais du fait qu'avec l'altitude, la pression baisse, la bulle se dilate donc, la dilatation d'un gaz provoque son refroidissement à raison de 1 °C tous les 100 m de manière invariable.

Autruche et son nid. Source : http://data.abuledu.org/URI/53879bc7-autruche-et-son-nid

Autruche et son nid

Autruche et son nid (simple trou dans le sol) avec huit oeufs.

Avion. Source : http://data.abuledu.org/URI/47f5f8ab-avion

Avion

Un avion à hélice, posé sur le sol, moteur à l'arrêt.

Ballastière dans les Vosges. Source : http://data.abuledu.org/URI/51328c37-ballastiere-dans-les-vosges

Ballastière dans les Vosges

"Les ballastières" Cantrelle, Commune de Sainte-Marguerite dans les Vosges : le sol est constitué d'alluvions.

Bande brillante sur radar météorologique. Source : http://data.abuledu.org/URI/5232e922-bande-brillante-sur-radar-meteorologique

Bande brillante sur radar météorologique

En haut, CAPPI de 1,5km d'altitude montrent de forts échos radar, en jaune, parmi des échos plus faibles en vert. Dans la partie du bas, la coupe verticale à travers les données radar montre que ces intensités sont dues à la présence d'une zone de réflectivité plus intense se situant entre 1,5 km à 2,5 km d'altitude. Cette bande brillante est causée par de la neige fondante. Source: Meteorological Service of Canada (Environment Canada). Le retour de réflectivité est proportionnel au diamètre, au nombre et à la constante diélectrique de la cible. Entre un flocon de neige et une goutte de pluie de même masse, il y a une différence importante de ces trois variables. Ainsi le diamètre d'un flocon est beaucoup plus grand que celui de la goutte mais la constante diélectrique est beaucoup plus petite. Les flocons tombant plus lentement, ils ont une plus grande concentration que les gouttes mais celles-ci se combinent souvent par collisions pour donner de plus grosses cibles. Lorsque l'on tient compte de tous ces facteurs et que l'on calcule la réflectivité de chacune de ces deux cibles, on se rend compte que la différence est d'environ 1,5 dBZ en faveur de la goutte. Lorsque de la neige, en altitude, descend vers le sol et rencontre de l'air au-dessus du point de congélation, elle se transforme en pluie. Donc on s'attend à ce que la réflectivité augmente d'environ 1,5 dBZ entre une donnée radar prise dans la neige et une autre prise dans la pluie. À l'altitude où la neige commence à fondre, il y a cependant un rehaussement des réflectivités jusqu'à 6,5 dBZ. Qu'arrive-t-il? À ce niveau, nous avons affaire à des flocons mouillés. Ils ont encore un diamètre important, se rapprochant de celui des flocons de neige, mais leur constante diélectrique s'approche de celle de la pluie et ils tombent lentement. Nous avons alors les trois facteurs favorisant une plus grande réflectivité. Il en résulte une zone qu'on appelle la bande brillante. Dans les données radar, sur PPI ou CAPPI, qui croisent ce niveau, l'on verra alors un rehaussement des intensités des précipitations qui n'est pas réel. Utiliser les taux de précipitations contaminés par la bande brillante conduira donc à une surestimation des quantités de pluie au sol. Plusieurs techniques ont été développées pour filtrer cet artéfact par plusieurs services météorologiques. Le principe général est de repérer le niveau de la bande brillante et d'essayer d'utiliser les données dans la pluie sous celle-ci, si possible, ou sinon dans la neige au-dessus, mais avec correction.

Bêche ancienne écossaise. Source : http://data.abuledu.org/URI/51ddd473-beche-ancienne-ecossaise

Bêche ancienne écossaise

Schéma d'un "chas chrom", ancienne bêche écossaise : expression signifiant "pied tordu" en gaélique écossais, également appelé en anglais "foot plough", charrue à pied. C'est un type de bêche particulier qui était utilisé pour le travail du sol dans le nord-ouest de l'Écosse. Bien qu'il ne soit plus aussi répandu qu'autrefois, le cas chrom est encore utilisé dans certains endroits, en particulier dans les Hébrides extérieures. Cet instrument de travail du sol est particulier aux Highlands d'Écosse. Il est utilisé pour retourner la terre là où une charrue ordinaire ne peut aller à cause de la nature caillouteuse du sol.

Bergénie ou oreille-d'éléphant. Source : http://data.abuledu.org/URI/53adbcdd-bergenie-ou-oreille-d-elephant

Bergénie ou oreille-d'éléphant

Saxifrage crassifolia, Jules Eudes (1856-1938), aquarelliste français qui signait ses œuvres JEUDES, dans : A. Guillaumin, "Les Fleurs de Jardins", tome I, Les fleurs de printemps, Paul Lechevalier, 1929. L'épithète spécifique crassifolia se compose des étymons latins crassus "épais" et folium "feuilles". La floraison s'étale sur les mois de février-mars-avril. Les plantes cultivées sont plus vigoureuses que le type sauvage et atteignent 40-50 cm de haut. Elle apprécie les sols humifères et frais, à la mi-ombre ou à l'ombre. Elle vient en plein soleil dans un sol frais. Elle résiste bien au gel, puisqu'elle peut supporter -15 °C. Elle constitue un excellent couvre-sol, notamment en sous-bois de feuillus et aux bords des bassins. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Bergenia_crassifolia

Brouette dans une descente. Source : http://data.abuledu.org/URI/51de6524-brouette-dans-une-descente

Brouette dans une descente

Schéma pour étude statique de la brouette : dans une descente (roue en aval), le point de concours des droites de forces est au-dessous du sol. L’étude montre que l’intensité de l’action du pousseur est à peu près la même. À cela s’ajoute le problème du contenu, surtout s’il est liquide. Dans une montée on peut corriger l’assiette en soulevant la brouette, dans une descente cela n’est plus possible dès que les pieds touchent le sol.

Brouette en équilibre. Source : http://data.abuledu.org/URI/51de5fca-brouette-en-equilibre

Brouette en équilibre

Schéma d'équilibre statique d’une brouette. Comme le poids et l’action du sol sont verticaux, nécessairement pour que l’égalité vectorielle (1) soit possible, l’action du pousseur l’est aussi. Au niveau de la position du rouleur, l’équilibre est obtenu lorsque les articulations des épaules se trouvent dans un même plan vertical que les poignets et les appuis au sol. Alors l’équation traduit le fait que la roue et le pousseur se partagent la charge. La statique du solide est la branche de la statique étudiant l'équilibre des pièces dans un mécanisme. C'est un maillon essentiel dans le dimensionnement des systèmes mécaniques réels.

Brouillard d'automne. Source : http://data.abuledu.org/URI/5273d047-brouillard-d-automne

Brouillard d'automne

Brume d'automne au ras du sol en novembre, dans la campagne autour de Moordorf, Frise orientale (Allemagne).

Bugle rampante. Source : http://data.abuledu.org/URI/5070430d-bugle-rampante

Bugle rampante

Planche botanique N°268 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, 1894 : Bugle rampante (Ajuga reptans). L'espèce sauvage est envahissante, mais des variétés horticoles sont cultivées, qui forment un excellent couvre-sol. Leurs feuilles et fleurs sont de diverses couleurs.

Cabane. Source : http://data.abuledu.org/URI/514c7757-cabane

Cabane

Cabane perchée dans des arbres construite par des amateurs. Vue depuis le sol.

Cabine de pilotage de planeur. Source : http://data.abuledu.org/URI/50452dcf-pilote-de-planeur

Cabine de pilotage de planeur

Photographie de l'intérieur d'une cabine de pilotage de planeur monoplace (Pégase 90) au sol.

Calcul de la hauteur des échos d'un radar. Source : http://data.abuledu.org/URI/5232d89e-calcul-de-la-hauteur-des-echos-d-un-radar

Calcul de la hauteur des échos d'un radar

Calcul de la hauteur du faisceau radar au-dessus du sol, légendé en français. En plus de la distance, on peut calculer la hauteur au-dessus du sol où se trouvent les cibles. Cela se calcule en connaissant l’angle d’élévation du radar et la courbure de la Terre. Il faut également tenir compte de la variation de la densité des couches de l’atmosphère. En effet, le faisceau radar ne se propage pas en ligne droite comme dans le vide mais suit une trajectoire courbe à cause du changement de l’indice de réfraction avec l'altitude.

Chute libre : trois formes successives d'énergie. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cb2352-chute-libre-trois-formes-successives-d-energie

Chute libre : trois formes successives d'énergie

Dans la chute, de l'énergie potentielle devient de l'énergie cinétique. On peut utiliser le principe de conservation de l'énergie mécanique d'un système dans le cas d'une balle élevée à une certaine hauteur du sol. Initialement, elle possède de l'énergie potentielle gravitationnelle. En tombant, accélérée par la force gravitationnelle (une force conservative), son énergie potentielle devient graduellement de l'énergie cinétique. Juste au moment de toucher le sol, la différence d'énergie potentielle gravitationnelle, entre sa position initiale et celle qu'elle occupe, est devenue de l'énergie cinétique. Dans cet exemple, pour considérer que l'énergie est entièrement conservée, il faut négliger la résistance de l'air.

Circulation de l'air atmosphérique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50be4541-circulation-de-l-air-atmospherique

Circulation de l'air atmosphérique

Circulation atmosphérique générale : cellule de Hadley, cellule de Ferrel, cellule polaire. La circulation atmosphérique est le mouvement à l'échelle planétaire de la couche d'air entourant la Terre qui redistribue la chaleur provenant du Soleil en conjonction avec la circulation océanique. En effet, comme la Terre est un sphéroïde, la radiation solaire incidente au sol varie entre un maximum aux régions faisant face directement au Soleil, situé selon les saisons plus ou moins loin de l'équateur, et un minimum à celles très inclinés par rapport à ce dernier proches des Pôles. La radiation réémise par le sol est liée à la quantité d'énergie reçue. Il s'ensuit un réchauffement différentiel entre les deux régions. Le déséquilibre ainsi créé a pour conséquence des différences de pression, qui sont à l'origine des circulations atmosphériques. Celle-ci, combinée aux courants marins, est le moyen qui permet de redistribuer la chaleur sur la surface de la Terre. Les détails de la circulation atmosphérique varient continuellement, mais la structure de base reste assez constante.

Classification des végétaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e6b9e1-classification-des-vegetaux

Classification des végétaux

Types biologiques de Raunkiær : 1. Phanérophyte 2-3. Chamaephytes 4. Hémicryptophyte 5-9. Cryptophytes 5-6. Géophytes 7. Hélophyte 8-9. Hydrophytes. (thérophyte, aérophyte ou épiphyte non montrés). Christen Christiansen Raunkiær (1860–1938) est un botaniste danois, connu surtout pour son système de classification écologique des plantes, le système de Raunkiær, classification fondée sur la position hivernale des bourgeons.Persistance d'une partie de l'appareil végétatif pendant la mauvaise saison : Phanérophytes (du grec phaneros : apparent ; phuton : plante) : bourgeons dormants aériens à plus de 50 cm de la surface du sol. Plante affrontant l'hiver en exposant à ses rigueurs des tiges porteuses de bourgeons (ex. le pin, le hêtre, l'abricotier, le noisetier) Chamaephytes (du grec khamai : à terre ; phuton : plante) : bourgeons dormants aériens à moins de 50 cm de la surface du sol. On distingue les chamaephytes frutescents (buissonnants, plus ou moins dressés) et les chamaephytes herbacés (beaucoup plus proches du sol) (ex. le myrtiller). Hémicryptophytes (du grec hemi : à demi ; kryptos : caché ; phuton : plante) : bourgeons dormants à la surface du sol. À la « belle saison », un hémicryptophyte développe une touffe de pousses s'il est cespiteux, une rosette de feuilles, plus ou moins prostrées s'il est à rosettes, une tige érigée qui prend appui sur des supports variés s'il est grimpant (ex. la pâquerette est un hémicryptophyte à rosette). Géophytes (du grec gê : terre, phuton : plante) ou cryptophytes : bourgeons dormants sous la surface du sol (distinguer selon la nature de l'organe de conservation souterrain : géophyte à bulbe, à tubercule, à rhizome) (ex. Crocus sativus). Hydrophytes : bourgeons dormants sous l'eau, feuilles immergées. Hélophytes (du grec halos : sel, phuton : plante) : bourgeons dormants sous l'eau, feuilles émergées au moins en partie. Végétaux capables de prospérer en milieux saumâtres et eaux douces. (bords de mer, estuaires, chotts, marais, rivière). (ex. salicornes, spartine).

Colonisation du sol. Source : http://data.abuledu.org/URI/588c7ef2-colonisation-du-sol

Colonisation du sol

Colonisation du sol : I) Exposition de la roche (glaciers et éruptions volcaniques) ; II) Lichens et mousses ; III) Décomposition : début de sol organique ; IV) Lichens et herbe ; V) Herbes et plantes ; VI) Buissons et arbustes (eau souterraine) ; VII) Petits arbres ; VIII) Arbres (décomposition des feuilles mortes) et plantes poussant à l'ombre.

Coupe stratigraphique de sols. Source : http://data.abuledu.org/URI/509d9c61-coupe-stratigraphique-de-sols

Coupe stratigraphique de sols

Pédologue observant les strates, inclusions et structures du sol, dans une fosse pédologique. La pédologie est la science des sols, de leur formation et de leur évolution. C'est une discipline qui s'appuie sur l'étude des réactions réciproques entre les différentes phases (liquide, gazeuse, solide) composant le sol.

Couverture du sol en Écosse. Source : http://data.abuledu.org/URI/52093c33-couverture-du-sol-en-ecosse

Couverture du sol en Écosse

Couverture du sol en Écosse.

Croquis géologique du XVIIIème siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/506b6280-croquis-geologique-du-xviiieme-siecle

Croquis géologique du XVIIIème siècle

Planche géologique de Johann Gottlob Lehmann : coupes stratigraphiques en Thuringe, Allemagne, 1759. L'étude des strates du sous-sol est à la base des sciences géologiques.

Cycle de l'azote dans le sol. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c7c336-cycle-de-l-azote-dans-le-sol

Cycle de l'azote dans le sol

Le cycle de l'azote est un cycle biogéochimique qui décrit la succession des modifications subies par les différentes formes de l'azote (diazote, nitrate, nitrite, ammoniaque, azote organique). L'atmosphère est la principale source d'azote, sous forme de diazote, puisqu'elle en contient 79 % en volume. L'azote, composé essentiel à de nombreux processus biologiques, se retrouve entre autres dans les acides aminés constituant les protéines, et dans les bases azotées présentes dans l'ADN. Des processus sont nécessaires pour transformer l'azote atmosphérique en une forme assimilable par les organismes. L'azote atmosphérique est fixé par des bactéries présentes dans le sol, telles que Azotobacter vinelandii, grâce à une enzyme, la nitrogénase. Celles-ci produisent de l'ammoniaque (NH4OH) à partir de l'azote atmosphérique et de l'hydrogène de l'eau (l'ammoniaque est le nom de la forme soluble dans l'eau du gaz ammoniac). Certaines de ces bactéries, comme Rhizobium, vivent en symbiose avec des plantes, produisant de l'ammoniaque nécessaire aux plantes, en contrepartie des glucides de la plante dans la rhizosphère. L'ammoniaque peut aussi provenir de la décomposition d'organismes morts par des bactéries saprophytes sous forme d'ions ammonium (NH4+). Dans les sols bien oxygénés, mais aussi en milieu aquatique oxygéné, des bactéries transforment l'ammoniac (NH3) en nitrite (NO2-), puis en nitrates (NO3-), au cours du processus de nitrification. On peut décomposer cette transformation en nitritation et nitratation.

Cycle de l'azote dans le sol. Source : http://data.abuledu.org/URI/5148a2e0-cycle-de-l-azote-dans-le-sol

Cycle de l'azote dans le sol

Le cycle de l'azote est un cycle biogéochimique qui décrit la succession des modifications subies par les différentes formes de l'azote (diazote, nitrate, nitrite, ammoniaque, azote organique). L'atmosphère est la principale source d'azote, sous forme de diazote, puisqu'elle en contient 79 % en volume. L'azote, composé essentiel à de nombreux processus biologiques, se retrouve entre autres dans les acides aminés constituant les protéines, et dans les bases azotées présentes dans l'ADN. Des processus sont nécessaires pour transformer l'azote atmosphérique en une forme assimilable par les organismes. L'azote atmosphérique est fixé par des bactéries présentes dans le sol, telles que Azotobacter vinelandii, grâce à une enzyme, la nitrogénase. Celles-ci produisent de l'ammoniaque (NH4OH) à partir de l'azote atmosphérique et de l'hydrogène de l'eau (l'ammoniaque est le nom de la forme soluble dans l'eau du gaz ammoniac). Certaines de ces bactéries, comme Rhizobium, vivent en symbiose avec des plantes, produisant de l'ammoniaque nécessaire aux plantes, en contrepartie des glucides de la plante dans la rhizosphère. L'ammoniaque peut aussi provenir de la décomposition d'organismes morts par des bactéries saprophytes sous forme d'ions ammonium (NH4+). Dans les sols bien oxygénés, mais aussi en milieu aquatique oxygéné, des bactéries transforment l'ammoniac (NH3) en nitrite (NO2-), puis en nitrates (NO3-), au cours du processus de nitrification. On peut décomposer cette transformation en nitritation et nitratation. Les végétaux absorbent grâce à leurs racines les ions nitrate (NO3-) et, dans une moindre mesure, l'ammonium présent dans le sol, et les incorporent dans les acides aminés et les protéines. Les végétaux constituent ainsi la source primaire d'azote assimilable par les animaux. En milieu anoxique (sol ou milieu aquatique non oxygéné), des bactéries dites dénitrifiantes transforment les nitrates en gaz diazote, c'est la dénitrification.

Cycle sylvogénétique. Source : http://data.abuledu.org/URI/582ea002-cycle-sylvogenetique

Cycle sylvogénétique

Diagramme présentant de manière résumée et théorique les 6 étapes du cycle sylvogénétique dans le temps. Après un certain temps survient une perturbation qui fait reprendre le "cycle" à son début (ou à un stade intermédiaire si la perturbation est peu importante). Dans le bas de l'image est représentée l'accroissement de biomasse (sur pied et dans le sol, animale, végétale et fongique) de biodiversité et d'épaisseur de sol (qui a une importance en termes de puits de carbone). Au fur et à mesure de cette succession, les communautés végétales (et les communautés microbiennes, fongiques et animales qui leur sont associées) évoluent en se remplaçant les unes les autres.

Danseur sur sol. Source : http://data.abuledu.org/URI/502d6e3e-danseur-sur-sol

Danseur sur sol

Photo de Christian Felber, danseur contemporain.

Définitions de la perspective. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e7ecb6-definitions-de-la-perspective

Définitions de la perspective

Schéma pour définir les termes principaux dans le domaine de la perspective en géométrie : Ligne de terre, Sol ou géométral, Plan d'horizon, Ligne d'horizon, Tableau.

Deux bêches. Source : http://data.abuledu.org/URI/51ddd23a-deux-beches

Deux bêches

Deux bêches, l'une pour sol argileux, l'autre pour sol sableux.

Éclair inter-nuageux au Maroc. Source : http://data.abuledu.org/URI/533c77f1-eclair-inter-nuageux-au-maroc

Éclair inter-nuageux au Maroc

Éclair inter-nuageux au Maroc sur la Place Jemaa el Fna, à Marrakech. La disposition des charges électriques dans l'orage crée des différences de potentiel entre le sommet, le centre et la base de l'orage. Lorsque le potentiel est suffisamment grand, l'air entre ces différents niveaux n'est plus assez isolant et un claquage se produit. La foudre alors générée peut se produire entre les différentes parties du nuage ou entre des nuages voisins. Comme ces couches sont plus près en général les unes des autres qu'elles ne le sont du sol, ce genre d'éclairs sera le premier à se produire. À mesure que l'orage prend de l'extension verticale et que le potentiel augmente, la foudre nuage-sol prendra le dessus sans jamais être la seule. Le changement de proportion entre le type inter/intra-nuageux et nuage-sol est donc une indication du stade de développement du cumulonimbus.

Église de l'évêque Isaïe . Source : http://data.abuledu.org/URI/54b300e4-eglise-de-l-eveque-isaie-

Église de l'évêque Isaïe

Mosaïques sur le sol de l'Église de l'évêque Isaïe, 8 novembre 2014, à Jerash en Jordanie.

Énergie solaire au sol. Source : http://data.abuledu.org/URI/518bedd0-energie-solaire-au-sol

Énergie solaire au sol

Répartition de l'énergie solaire reçue au sol sur le globe.

Epervier avec sa proie. Source : http://data.abuledu.org/URI/5276e699-epervier-avec-sa-proie

Epervier avec sa proie

Photo d'un épervier posé au sol avec sa proie sous ses griffes

Étapes du cycle sylvogénétique. Source : http://data.abuledu.org/URI/513a1e06-etapes-du-cycle-sylvogenetique

Étapes du cycle sylvogénétique

Diagramme présentant de manière résumée et théorique les 6 étapes du cycle sylvogénétique dans le temps. Après un certain temps survient une perturbation qui fait reprendre le "cycle" à son début (ou à un stade intermédiaire si la perturbation est peu importante). Dans le bas de l'image est représentée l'accroissement de biomasse (sur pied et dans le sol, animale, végétale et fongique), de biodiversité et d'épaisseur de sol (qui a une importance en termes de puits de carbone. Au fur et à mesure de cette succession, les communautés végétales (et les communautés microbiennes, fongiques et animales qui leur sont associées) évoluent en se remplaçant les unes les autres.

Explosion météorique en 1995. Source : http://data.abuledu.org/URI/534310ab-explosion-meteorique-en-1995

Explosion météorique en 1995

Image de l'explosion de météore Alpha-Monocerotid en 1995. Une étoile filante est le phénomène lumineux qui accompagne l'entrée dans l'atmosphère d'un corps appelé météoroïde, qui correspond à un petit corps circulant dans l'espace à des vitesses de l'ordre de 70 km/s, son orbite croisant celle de la Terre. Cette traînée lumineuse est causée par la vaporisation du corps et l'ionisation de l'air sur sa trajectoire, ce qui provoque la combustion de ce corps qui laisse derrière lui un sillage de gaz ionisé, le plasma. Ce phénomène est du principalement à la compression de l'atmosphère en avant du corps supersonique et non à la friction. L'étoile filante est une fine poussière cosmique qui est vaporisée entièrement avant d'atteindre le sol tandis que le bolide, météoroïde de masse et taille importantes, produit un disque lumineux intense lors de sa rentrée atmosphérique. Ce bolide peut exploser, généralement à 90 ou 70 kilomètres d'altitude ou atteindre le sol (bolide lui-même ou les fragments issus de son explosion), devenant une ou des météorites. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89toile_filante Le phénomène se passe généralement entre 120 et 85 kilomètres d'altitude, bien que certaines étoiles filantes peuvent être visibles à 400 ou 600 km au-dessus du sol.

Force appliquée selon un appui plan. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c735aa-force-appliquee-selon-un-appui-plan

Force appliquée selon un appui plan

Force appliquée selon un appui plan : la liaison appui plan, appelée aussi liaison plane, présente 3 degrés de liaison. Ils forcent le mouvement à rester dans un plan. Les deux translations et la rotation dans ce plan sont libres. L'appui des trois pieds d’un tabouret sur un sol plan constitue une liaison plane. Le quatrième pied d’une chaise ne touche le sol que si les extrémités des pieds sont parfaitement coplanaires ; le système est alors hyperstatique les liaisons étant en surnombre par rapport au besoin de guidage. Un mécanisme est l'association de plusieurs pièces liées entre elles par des contacts physiques qui les rendent totalement ou partiellement solidaires, selon qu'ils autorisent ou non des mouvements relatifs. La liaison mécanique est le modèle utilisé pour décrire cette relation dont la considération est primordiale dans l'étude des mécanismes. Elle emploie des représentations mathématiques qui diffèrent suivant qu'on l'aborde sous l'aspect cinématique (étude des mouvements ou guidages) ou sous l'aspect statique (étude de la transmission d'efforts). La notion de liaison mécanique se définit plus généralement entre groupes de pièces, appelés classes d'équivalence contenant respectivement des pièces entièrement solidaires. Un mécanisme est l'association de plusieurs pièces liées entre elles par des contacts physiques qui les rendent totalement ou partiellement solidaires, selon qu'ils autorisent ou non des mouvements relatifs. Elle emploie des représentations mathématiques qui diffèrent suivant qu'on l'aborde sous l'aspect cinématique (étude des mouvements ou guidages) ou sous l'aspect statique (étude de la transmission d'efforts). La notion de liaison mécanique se définit plus généralement entre groupes de pièces, appelés classes d'équivalence contenant respectivement des pièces entièrement solidaires.

Forêt de bambous à Taïwan. Source : http://data.abuledu.org/URI/513af3ef-foret-de-bambous-a-taiwan

Forêt de bambous à Taïwan

Forêt de bambous près de Shizhuo (Comté de Shiayi à Taïwan). Cette île est située au sud-est de la Chine continentale, au sud du Japon et au nord des Philippines, et bordée à l’est par l’océan Pacifique, au sud par la mer de Chine méridionale, à l’ouest par le détroit de Taïwan et au nord par la mer de Chine orientale. Elle sera longtemps connue en français sous le nom de Formose et Formosa dans la majorité des autres langues européennes (ceci durant toute la période antérieure aux années 1960), puisque les marins portugais l’appelaient Ilha Formosa, la « belle île ». Le bambou est une graminée ligneuse. Il peut fixer 30 % de plus de CO2 que les arbres feuillus, jusqu'à 12 tonnes de CO2/ha/an (3 tonnes pour une forêt de feuillus). Il libère donc 30 % d'oxygène de plus que des arbres. L'étroitesse de ses feuilles améliore l'infiltration de l'eau dans le sol (deux fois plus qu'une forêt de feuillus). Il limite l'érosion des sols (grâce à son réseau racinaire très dense sur 60 centimètres de profondeur) et restaure des sols appauvris. On l'utilise pour l’élimination de certaines toxines du sol (phyto-remédiation), et sa culture ne nécessite peu ou pas d'engrais, ni de produits phytosanitaires. Mais les bambous sont répertoriés parmi les espèces invasives. Certaines espèces, par leurs aptitudes à s'étendre via leurs rhizomes, peuvent porter un réel préjudice à la biodiversité des écosystèmes, à l'échelle locale. Le tronc du bambou est utilisé pour sa résistance et sa légèreté pour les échafaudages des gratte-ciel. Parmi les dix plus hauts du monde, ceux du Two International Finance Center (416 m) et Central Plaza (374 m) de Hong Kong, la Jin Mao Tower (421 m) de Shanghai, le Shun Hing Square (384 m) Shenzhen ou le Citic Plaza (391 m) de Guangzhou (Canton), en Chine, ont notamment utilisé ce matériau.

Foudre descendante nuage-sol. Source : http://data.abuledu.org/URI/533c7992-foudre-descendante-nuage-sol

Foudre descendante nuage-sol

Coup de foudre (éclair nuage-sol), juillet 2006 près d'Issoudun dans l'Indre (36). Il existe deux types de foudre nuage-sol : soit descendant (sommet du nuage vers le sol) ou soit ascendant (sol vers base du nuage). Le type descendant est le plus fréquent. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Foudre

Fourche-bêche. Source : http://data.abuledu.org/URI/51ddd329-fourche-beche

Fourche-bêche

Fourche-bêche, utiliser pour retouner le sol au jardin.

Front d'orages : vue panoramique à angle d'élévation constant. Source : http://data.abuledu.org/URI/5232d227-front-d-orages-vue-panoramique-a-angle-d-elevation-constant

Front d'orages : vue panoramique à angle d'élévation constant

Image d'un front d'orages en réflectivité (en dBZ), vu sur PPI, (plan position indicator). Comme les données sondées par le radar se font à un angle d'élévation à la fois, les premières images ont été celles d'un affichage panoramique des données de chaque angle individuellement (PPI). Ce type de données doit être interprété en se rappelant que le faisceau radar s'élève au-dessus du sol à mesure qu'on s'éloigne du radar. Donc ce qu'on voit près du radar est à beaucoup plus bas niveau que ce que l'on voit à 200 km. Il en résulte qu'un nuage avec des taux de pluie élevé à 30 km du radar peut sembler diminuer ou augmenter d'intensité à mesure qu'il s'éloigne du radar. En fait, comme notre faisceau est plus haut dans le nuage au second temps, il regarde une autre section de ce dernier. Un PPI est également affligé de retours venant du sol près du radar car une partie de l'énergie émise se retrouve dans les lobes secondaires hors de l'axe du faisceau principal. Ceci donne de très forts retours qui peuvent être mal interprétés comme étant des précipitations fortes. USAGE : Tous les types de données: réflectivité, vitesse radiale et les différents champs de polarimétrie.

Garçon jouant aux jeux vidéo. Source : http://data.abuledu.org/URI/538d08d4-garcon-jouant-aux-jeux-video

Garçon jouant aux jeux vidéo

Garçon jouant aux jeux vidéo allongé sur un tapis de sol représentant une marelle.

Globulaire commune. Source : http://data.abuledu.org/URI/5070132c-globulaire-commune

Globulaire commune

Planche botanique N°273 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, 1894 : Globulaire commune (Globularia vulgaris). Appelée aussi globulaire piquante, c'est une plante vivace rencontrée surtout dans le sud de l'Europe et sur sol basique, souvent en moyenne montagne, dans les prés secs et les lieux caillouteux. Floraison d'avril à juin : fleurs fleues.

Hervé le carré s'écrase au sol. Source : http://data.abuledu.org/URI/54ab1463-herve-le-carre-s-ecrase-au-sol

Hervé le carré s'écrase au sol

Hervé le carré s'écrase au sol, in "Le carré qui voulait devenir rond", histoire imaginée par Odysseus pour Noël 2014. Source : http://odysseuslibre.be/mondelibre/le-carre-qui-voulait-devenir-rond/

Hervé le carré s'écrase au sol. Source : http://data.abuledu.org/URI/54ac75d7-herve-le-carre-s-ecrase-au-sol

Hervé le carré s'écrase au sol

Hervé le carré s'écrase au sol, in "Le carré qui voulait devenir rond", histoire imaginée par Odysseus pour Noël 2014. Source : http://odysseuslibre.be/mondelibre/le-carre-qui-voulait-devenir-rond/

Hervé le carré s'écrase au sol et s'aplatit. Source : http://data.abuledu.org/URI/54ac7194-herve-le-carre-s-ecrase-au-sol-et-s-aplatit

Hervé le carré s'écrase au sol et s'aplatit

Hervé le carré s'écrase au sol et s'aplatit, in "Le carré qui voulait devenir rond", histoire imaginée par Odysseus pour Noël 2014. Source : http://odysseuslibre.be/mondelibre/le-carre-qui-voulait-devenir-rond/

Houe. Source : http://data.abuledu.org/URI/51c4626e-houe

Houe

Une houe est un outil agricole, horticole et de jardinage utilisé pour le travail superficiel du sol dans les champs et les jardins. Elle est indispensable pour effectuer de nombreux travaux, notamment pour remuer et émietter la terre après bêchage, désherber, butter les pommes de terre, et creuser le sol pour les plantations.

Intérieur d'un sapin de Noël. Source : http://data.abuledu.org/URI/54919ae9-interieur-d-un-sapin-de-noel

Intérieur d'un sapin de Noël

Intérieur d'un sapin de Noël à la Puerta del Sol de Madrid, en Espagne, décembre 2013.

La et clef de sol en solfège. Source : http://data.abuledu.org/URI/53450506-la

La et clef de sol en solfège

Le la est compris entre le sol et le si. En musique, le diapason est un outil de musicien donnant la hauteur (fréquence en hertz) d'une note-repère conventionnelle, en général le la, afin que celui-ci accorde son instrument. Par extension, le diapason désigne la hauteur absolue de la note de référence mondialement acceptée (actuellement la fréquence du la3 est de 440 Hz). Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Diapason

La note LA en clé de sol. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c4a496-la-note-la-en-cle-de-sol

La note LA en clé de sol

La note LA en clé de sol, sur une portée musicale.