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Dessins et plans | Photographie | Dix-neuvième siècle | Pois protéagineux | Louis van Houtte (1810-1876) | Capsicum | Salta (Argentine. - province) | Gand (Belgique) | Cuisine (piments) | Pépinières | Gravure | Sahel (Tunisie) | Serres | Botanistes | Horticulteurs | Politique agricole -- Pays de l'Union européenne | Plantes potagères | Pisum sativum | Féculerie | Pois fourrager | ...
Le semeur. Source : http://data.abuledu.org/URI/514ed2e2-le-semeur

Le semeur

Le semeur, 1965, par Jean-François Millet (1814-1875). Paysage de la campagne de Barbizon avec un laboureur, un vol de corbeaux et la tour de Chailly. L'école de Barbizon désigne le centre géographique et spirituel d'une colonie de peintres paysagistes désirant travailler « d’après nature ». L'appellation tient son nom du village de Barbizon, situé en lisière de la forêt de Fontainebleau (Seine-et-Marne), autour duquel certains artistes peintres affluèrent pendant près de cinquante ans entre 1825 et 1875. Au cours de la révolution de 1848, les peintres de l'école de Barbizon ou l'école de Crozant se réunirent et optèrent de suivre délibérément les préceptes de John Constable, afin de rendre la nature elle-même sujet de leurs peintures. Parmi eux, Millet étendit sa vision des paysages aux personnages, peignant la paysannerie et les travaux des champs.

Calao de Gingi mangeant des fruits de lilas de Perse. Source : http://data.abuledu.org/URI/5223515e-calao-de-gingi-mangeant-des-fruits-de-lilas-de-perse

Calao de Gingi mangeant des fruits de lilas de Perse

Calao de Gingi gris (Ocyceros birostris) mangeant des fuits de Lilas de Perse (Melia azedarach) à Calcutta, au Bengale occidental, en Inde. Le fruit est une drupe à mince enveloppe charnue sphérique de 1-3 cm de diamètre jaune-crème à maturité suspendu sur l'arbre tout l'hiver et persistant jusqu'à la floraison suivante en devenant de plus en plus ridée et presque blanche. Le noyau de la drupe est blanc sale, côtelée dans le sens de la longueur, avec un petit trou au centre apical. Il contient trois à six petites graines noires ressemblant à de petits grains de riz. Les semences sont dispersées par les oiseaux et certains mammifères qui consomment les fruits.

Communauté des Etats sahélo-sahariens. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d2950d-communaute-des-etats-sahelo-sahariens

Communauté des Etats sahélo-sahariens

Carte des états membres de la Communauté des États sahélo-sahariens (CEN-SAD) : organisation internationale regroupant 28 États africains. Elle a été créée le 4 février 1998 à Tripoli (Libye) à l’issue du sommet réunissant les chefs d’État de la Libye, du Mali, du Niger, du Soudan et du Tchad. Le président du Burkina Faso était représenté. Lors du sommet des 1er et 2 juin 2005 à Ouagadougou (Burkina Faso), les chefs d’État ont décidé de créer une « haute autorité de l’eau, de l’agriculture et des semences » afin de permettre aux pays membres de développer leur agriculture par une meilleurs maîtrise des ressources en eau et la sélection des semences. D’autre part, le sommet à décidé de mettre en étude la construction d’une ligne de chemin de fer reliant la Libye, le Tchad, le Niger, avec des bretelles vers le Burkina Faso, le Mali et le Sénégal, afin de faciliter les échanges et de désenclaver l’espace Cen-Sad. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Communaut%C3%A9_des_%C3%89tats_sah%C3%A9lo-sahariens

La pépinière de Gentbrugge en 1850. Source : http://data.abuledu.org/URI/539cd0a6-la-pepiniere-de-gentbrugge-en-1850

La pépinière de Gentbrugge en 1850

La pépinière de Gentbrugge en 1850 près de Gand. Les connaissances botaniques de Van Houtte, sa maîtrise des langues étrangères et son sens des affaires le mènent au succès commercial et au poste de maire de Gentbrugge. L'Europe est en proie à une véritable folie des orchidées et Van Houtte envoie dès 1845 des collecteurs rapporter des orchidées et d'autres plantes exotiques des Amériques. Il produit également des semences pour les serres européennes et cultive ainsi le premier spécimen de Victoria amazonica sur le continent, avec l'aide d'Eduard Ortgies. L'entreprise de van Houtte atteint le sommet de son succès dans les années 1870, couvrant une surface de quatorze hectares avec cinquante serres. Son fils lui succède après sa mort. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Louis_van_Houtte

Piments en train de sêcher. Source : http://data.abuledu.org/URI/529efe95-piments-en-train-de-secher

Piments en train de sêcher

Piments à Cachi, Province de Salta (Argentine). Pour certains Espagnols arrivés en Amérique, tout ce qui piquait était piment. À tel point qu'en Amérique, mais jamais en Europe, et en particulier en Espagne, il fallut spécifier du Chili (pimienta de Chile) pour distinguer le poivre noir. Les botanistes eux-mêmes, ont baptisé du nom générique Capsicum les très nombreuses et différentes variétés de piments forts au fur et à mesure de leur découverte. Les piments furent utilisés comme légumes ou comme épices. Au fur et à mesure que les Européens s'implantaient et cultivaient les terres américaines, ils découvraient l'incroyable diversité de forme et de taille de ces fruits : ronds, coniques, longs, tordus, en forme de bouton, de carotte, de poire, verts, orangés, écarlates, jaunes, presque blancs, certains très féroces (les plus petits en général), certains dont la grande taille accompagnaient une grande douceur. Ils découvrirent la facilité d'hybridation de cette plante, qui permettait de créer de nouvelles formes et toute une gamme de saveurs plus ou moins piquantes. Les semences issues des variétés du Mexique, se transportant et s'acclimatant si facilement, se disséminèrent en Asie et en Afrique si rapidement que pendant de nombreuses années, les Européens crurent que les piments étaient originaires d'Orient.

Pois protéagineux dans l'Union européenne 1973-2007. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d0be99-pois-proteagineux-dans-l-union-europeenne-1973-2007

Pois protéagineux dans l'Union européenne 1973-2007

Évolution de la production de pois protéagineux dans l'Union européenne de 1973 à 2007. L'Union européenne est le deuxième producteur mondial de pois, derrière le Canada, mais reste importatrice nette. Les pois protéagineux (pois secs) sont très majoritairement destinés à l'alimentation animale. Ainsi au cours de l'exercice 2005/2006, sur une consommation totale de 3,85 millions de tonnes, 3,33 Mt (86,5 %) ont été incorporés dans les aliments composés pour animaux, tandis que l'alimentation humaine, les semences et l'export représentaient respectivement 5,2 %, 4,5 % et 3,7 %. La production communautaire avait fourni pour ce même exercice 2,44 Mt, soit un taux d'autosuffisance de 63,2 %. La France est de loin le premier producteur (avec 48,6 % du total) devant l'Allemagne, l'Espagne et le Royaume-Uni. Le développement de la culture du pois protéagineux en Europe a été lancée après l'embargo américain de 1973 sur les tourteaux de soja qui avait révélé la forte dépendance de l'Europe vis-à-vis des importations de protéines végétales du continent américain et la fragilité de l'approvisionnement de ses élevages hors-sol (porcins, volailles). Cette situation était la conséquence des accords du GATT de 1962, par lesquels la CEE pouvait maintenir des droits de douane élevés sur les céréales en contrepartie du libre accès des graines oléo-protéagineuses importées notamment des États-Unis). En France, la production de pois protéagineux, qui avait atteint son maximum à près de 3,8 millions de tonnes en 1993, a beaucoup baissé, atteignant 1,04 million de tonnes en 2006. Le pois y représente 75 % de la production totale de protéagineux (pois, féverolle, lupin). Le développement du pois (des plantes protéagineuses en général) et de son utilisation en alimentation animale a nécessité un important effort de recherche fondamentale et appliquée, tant sur le plan de la génétique que de ses applications agronomiques et zootechniques, mobilisant de nombreux organismes, comme l'INRA en France ou le John Innes Centre au Royaume-Uni. Ces recherches sont coordonnées au niveau européen par l'association européenne des protéagineux (AEP), dont les activités sont vulgarisées sur Internet par le « Grain Legume Portal».

Publicité pour Vilmorin en 1914. Source : http://data.abuledu.org/URI/544e93fa-publicite-pour-vilmorin-en-1914

Publicité pour Vilmorin en 1914

Publicité de 1914 pour les semences Vilmorin dans "Le Miroir" : "ON RÉCOLTE CE QUE L'ON SÈME. Il ne suffit pas de confier à la terre des semences qui germent. Il faut encore qu'elles produisent bien la variété demandée. C'est ce que l'on peut attendre des GRAINES VILMORIN. Cette importante Maison vient de faire paraître son nouvel album descriptif de Graines sélectionnées. Demandez ce catalogue 40 chez Vilmorin-Andrieux & Cie, 4 quai de la Mégisserie, à Paris, vous le recevrez gratis".

Utilisation des Pois secs en 2003. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d0c0da-utilisation-des-pois-secs-en-2003

Utilisation des Pois secs en 2003

Utilisations des pois secs (''Pisum sativum'') au niveau mondial en 2003. Source : FAOSTAT. Alimentation humaine 48% ; Alimentation animale 35% ; Semences 8% ; Transformés 5% ; Pertes 3% ; Variation de stock 1%. Concernant l'alimentation humaine, sur une consommation mondiale d'un peu moins de 4 millions de tonnes, le sous-continent indien en représente 37,2 %, dont 31,2 % pour l'Inde. Dans cette région du monde, les légumineuses jouent un rôle important dans l'apport en protéines dans l'alimentation, la majorité de la population étant végétarienne, toutefois le pois n'y joue qu'un rôle secondaire après de nombreuses autres espèces dont le pois chiche, le pois cajan, diverses sortes de haricots secs, les lentilles etc. Les autres consommateurs importants sont la Chine (12,8 %), le Royaume-Uni (5,8 %), la Russie (5,7 %), les États-Unis (4,1 %) et l'Éthiopie (3,7 %). L'Inde joue un rôle majeur sur le marché international du pois sec ; ce pays est en effet le premier consommateur mondial, le premier importateur et le quatrième producteur. L'Uttar Pradesh est la principale région productrice. Concernant l'alimentation animale, la consommation est fortement concentrée en Europe et en Chine. Les trois premiers pays consommateurs, Russie, France et Chine, totalisent près de 60 % du total (respectivement 22,1 %, 18,7 % et 17,7 %). La transformation industrielle des pois pour en tirer des dérivés amylacés et protéiques est relativement marginale. En France, le groupe Roquette Frères a créé en 2007 une usine de transformation de pois protéagineux en convertissant l'ancienne féculerie de Vic-sur-Aisne.