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Gravure, Trains à vapeur, Humour, Dessin en noir et blanc, Plaisir, Stations balnéaires -- France, Tourisme -- Affiches
Les trains de plaisir, le touriste en chemin de fer, Paris - R. Lebrasseur éditeur, 47, rue de la Victoire. Lith. de Becquet frères, à Paris.
Photographie, Antiquités, Antiquités gréco-romaines, Antiquités grecques, Philosophes grecs, Épicurisme, Motivation (psychologie)
Buste d'Épicure, fondateur de l'épicurisme, copie romaine d'un original hellénistique. Épicure (en grec Ἐπίκουρος) est un philosophe grec, né fin -342 ou début -341 et mort en -270. Il est le fondateur, en -306, de l'épicurisme, l'une des plus importantes écoles philosophiques de l'Antiquité. En physique, il soutient que tout ce qui est se compose d'atomes indivisibles. Les atomes se meuvent aléatoirement dans le vide et peuvent se combiner pour former des agrégats de matière. L'âme en particulier serait un de ces agrégats d'atomes, et non une entité spirituelle, notamment d'après son disciple Lucrèce. En éthique, le philosophe grec défend l'idée que le souverain bien est le plaisir, défini essentiellement comme « absence de douleur ». En logique ou épistémologie, Épicure considère que la sensation est à l'origine de toute connaissance et annonce ainsi l'empirisme. La doctrine d'Épicure peut être résumée par ce que les épicuriens ont appelé le tetrapharmakon (quadruple-remède, ou "quadruple-poison" : car tout est question de posologie), que fit graver Diogène d'Œnoanda sur le mur d'un portique, formulé ainsi : on ne doit pas craindre les dieux ; on ne doit pas craindre la mort ; le bien est facile à atteindre ; on peut supprimer la douleur. Épicure classait les besoins et aspirations en quatre catégories : Besoins naturels indispensables à la vie (boire, manger, dormir), au bien-être (maison, hygiène, diététique, affection), et au bonheur (philosophie, amitié, sagesse) ; Aspirations naturelles dont on peut à la rigueur se passer (le sexe, l'amour, jeux, arts, sciences, etc.) ; Aspirations de création humaine et donc artificielles (richesse, gloire, etc.) ; Aspirations mystiques et non réalisables (désirs d'immortalité, etc.).
Photographie, Vêtements, Hommes, Chapeaux d', Femmes, Chapeaux de, Canotage à la rame, Canotiers (vêtements)
À Paris, les canots à voile font leur apparition sur la Seine dès le début du XIXe. La préfecture de Police en autorise la circulation sous certaines conditions en 1840. De nombreux individus se mettent à ramer (des « canotiers »), ils conduisent eux-mêmes leur embarcation. Le canot devient un divertissement. Ramer est un plaisir, tout comme s’encanailler dans les différentes guinguettes et autres lieux de plaisance de cette époque. Le canotage suscite de nombreuses réactions. Par des chansons, et évidemment en peinture. Les premiers canotiers parisiens de la fin du XIXe et du début du XXe siècle ne veulent pas rester en bourgeois pour conduire leur bateau et adoptent un costume qui s’inspire volontiers de ceux des matelots ou des mariniers, notamment à travers le chapeau rond orné d’un ruban qui faisait alors partie de la tenue de sortie réglementaire des hommes d’équipage. Dans la Marine, deux versions du chapeau rond coexistaient : une version en paille naturelle pour le service dans les pays chauds et une version imperméabilisée avec du goudron ou de la toile cirée noire pour le service dans les pays pluvieux. Le canotier est le chapeau emblématique de Gabrielle Chanel. Elle le porta très tôt en réaction aux couvre-chefs si garnis des femmes à son époque. Il devient particulièrement célèbre au XXe siècle quand les vedettes de music-hall comme Maurice Chevalier ou Fred Astaire s’en emparent. Maurice Chevalier s'illustra, en 1962, dans une chanson : le Twist du canotier, enregistrée avec le groupe rock français les Chaussettes noires.
Photographie, Géométrie, Illusions d'optique, Art contemporain, Art optique, Art abstrait, Op art, Pécs (Hongrie), Victor Vasarely (1908-1997)
Œuvre de Vasarely (1908-1997) devant l'église Pálosok (Pálosok templom), rue János Hunyadi (Hunyadi János utca), à Pécs, en Hongrie. Op art, ou art optique, est une expression utilisée pour décrire certaines pratiques et recherches artistiques faites à partir des années 1960, et qui exploitent la faillibilité de l'œil à travers des illusions ou des jeux optiques. Les œuvres d'op art sont essentiellement abstraites. Les pièces donnent l'impression de mouvement, d'éclat de lumière et de vibration ou de mouvements alternés. Ces sollicitations visuelles placent le corps du spectateur en situation instable, entre plaisir et déplaisir, plongé dans une sensation de vertige proche de certains états d’ivresse légère. Ce phénomène est parfois renforcé par le caractère monumental des pièces, parfois des environnements, voire dans le cas d’art opticocinétique de réelles sources de lumière jaillissant de l’ombre. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Op_Art
Deux Bouledogues, un adulte et un chiot. Le bouledogue français est un chien fidèle et amical. Il adore son maître, et c'est pour cela qu'il est assez jaloux. En général une cohabitation avec d'autres animaux se passe bien, mais là encore attention à la jalousie notamment avec d'autres animaux de compagnie où le bouledogue pourrait en venir à tuer. Le bouledogue français est joueur et facétieux, son éducation est aisée tant il a envie de faire plaisir à son maître.
Poivre (à gauche) et Moutarde (à droite), deux terriers Dandie Dinmont. C'est le roman Guy Mannering de Sir Walter Scott qui a popularisé la race en mettant en scène un personnage nommé Dandie Dinmont et ses terriers, tous nommés Pepper (Poivre) ou Mustard (Moutarde). Andrew (Dandie) Dinmont, fermier des collines du Liddesdale (comté de Roxburgh). Il possède (sans compter les autres chiens) six terriers : trois s’appellent Pepper, et trois Mustard. Le Dandie Dinmont Terrier doit son nom à ce personnage de Scott, rude mais hospitalier, franc, honnête, fidèle, fort, courageux. Noble figure, tout en générosité. « J’ai plus de plaisir, dit l’avocat Paulus Pleydell, à voir ce brave fermier qu’à me trouver en face du meilleur festin ! » Et Mannering d’assurer que « sa redingote et ses gros souliers feraient honneur au palais d’un roi ».
Gravure, Géants -- Mythologie, Gustave Doré (1832-1883), Chevaliers et chevalerie, Don Quichotte, Miguel de Cervantes Saavedra (1547-1616), Exploits
Planche XVIII des illustrations de Gustave Doré, 1863, pour Miguel de Cervantes "Don Quixote": Récit des exploits de Félix-Mars d'Hyrcanie. "Faites-moi donc le plaisir de lire ce que j'ai ouï dire de Félix-Mars d'Hyrcanie qui, d'un seul revers, coupait cinq géants par le milieu du corps."
Contes, Gravure, soleil, Dix-neuvième siècle, Savants, Hans Christian Andersen (1805-1875), Ombres portées, Sud
Illustration par Bertall du conte d'Andersen, "L'ombre" : "mais, dans les pays chauds, tout repousse bien vite, et, au bout de huit jours, il remarqua, à son grand plaisir, qu’une nouvelle ombre sortait de ses jambes lorsqu’il se promenait au soleil." (wikisource, 1876).
Dessins et plans, Magasins, Garçons, Courses, Chariots, Cartables d'écoliers, Littérature de jeunesse, Listes, Classes (éducation) -- Conduite, Classes (éducation) -- Environnement, Magasins à grande surface
LA LISTE : J'ai l'impression qu'elle s'allonge d'année en année et que mon caddy s'alourdit. Cette année c'est le comble, le caddy déborde de fournitures scolaires et pourtant j'ai essayé de faire au plus juste, comme ils disent. D'ailleurs, je ne vois pas ce qu'il y a de juste là-dedans. Enfin, pour leur faire plaisir, j'ai réutilisé les classeurs et les fiches transparentes de l'an dernier, mais le caddy est quand même plein à ras-bord et mon sac à dos ne pourra pas tout contenir ; il va falloir que je fasse le vide dans ma chambre.
Gravure, France (Louis XIV) (1643-1715), Histoire, Dix-septième siècle, Allemand (langue), Vers alexandrin, Français (langue) -- Versification, Insoumission, Pardon (droit), Pardon judiciaire, Savoie -- 1416-1713 (Duché de Savoie), Soumission
Le pardon royal de Louis XIV en 1697 : "Les soumissions du Duc de Savoie à Louis XIV", à Cologne chez Pierre Marteau -- Mon Fère à vos genoux, confus, humilié, J'implore aujourd'hui votre grâce ; Avec vos ennemis, je me suis allié ; Pour m'être à ce point oublié, Ordonnez et réglez ce qu'il faut que je fasse. -- Un prince si petit ne saurait m'irriter, Non plus que nuire à ma couronne ; Avec plaisir pourtant je vous vois rétracter ; Et voulant bien vous exempter D'un juste châtiment, allez, je vous pardonne. (orthographe rectifiée).
Gravure, Pêcheurs à la ligne, Caricatures et dessins humoristiques, Chapeaux d'homme, Pluie, Rivières, Imperméables, Grandville (1803-1847), Dessin en noir et blanc, Cannes à pêche, Proverbes français
Grandville (1803-1847), "Cent Proverbes", 1845, "Chacun prend son plaisir où il le trouve" : un pêcheur à la ligne s'acharne sous la pluie, de l'eau jusqu'aux cuisses, chapeau dégoulinant, sanglé dans une redingote, sa canne à la main.
Peinture, Diable, Rêves, Satiristes français, Giuseppe Tartini (1692–1770), Musique (18e siècle), Musique baroque, Sonates (violon et basse)
Le Songe de Tartini, 1824, par Louis-Léopold Boilly (1761-1845). Illustration de l'anecdote légendaire sur l'origine de la Sonate des trilles du Diable de Giuseppe Tartini (1692–1770) : « Une nuit (en 1713), je rêvais que j'avais fait un pacte, et que le Diable était à mon service. Tout me réussissait au gré de mes désirs, et mes volontés étaient toujours prévenues par mon nouveau domestique. J'imaginai de lui donner mon violon, pour voir s'il parviendrait à me jouer quelques beaux airs ; mais quel fut mon étonnement lorsque j'entendis une sonate si singulièrement belle, exécutée avec tant de supériorité et d'intelligence que je n'avais même rien conçu qui pût entrer en parallèle. J'éprouvai tant de surprise, de ravissement, de plaisir, que j'en perdis la respiration. Je fus réveillé par cette violente sensation. Je pris à l'instant mon violon, dans l'espoir de retrouver une partie de ce que je venais d'entendre ; ce fut en vain. La pièce que je composais alors est, à la vérité, la meilleure que j'aie jamais faite, et je l'appelle encore la Sonate du Diable ; mais elle est tellement au-dessous de celle qui m'avait si fortement ému, que j'eusse brisé mon violon et abandonné pour toujours la musique, s'il m'eût été possible de me priver des jouissances qu'elle me procure. »
Les corbeaux (Corvus corax) de la Tour de Londres. Selon une légende, l'Angleterre ne succombera pas à une invasion étrangère tant qu'il y aura des corbeaux à la tour de Londres ; le gouvernement en maintient plusieurs en résidence, tant comme assurance que pour faire plaisir aux touristes. Cela est souvent considéré comme un ancien mythe, mais des études récentes n’ont trouvé aucune trace de cette légende avant le XIXe siècle et il semble s’agir d’une invention romantique de l’époque victorienne basée sur le récit de Bran le Béni. En effet, la tour de Londres a connu de longues périodes sans corbeaux et ceux-ci ont été réintroduits pour la dernière fois après la Seconde Guerre mondiale. Les pennes des individus de la tour de Londres sont taillées périodiquement pour s’assurer que les oiseaux ne quittent pas les lieux.
Peinture, Peintres anglais, Dix-huitième siècle, Philosophie, Allan Ramsay (1713-1784), David Hume (1711-1776), Peintres écossais
Portrait par Allan Ramsay (1713-1784) de David Hume (1711-1776), philosophe anglais. Auteur de "Traité de la nature humaine" (1740), il veut fonder un système complet des sciences morales. Hume fait de la justice une vertu ; de manière empirique il procède à une classification des vertus. L'action vertueuse remarque-t-il est celle qui procure un certain plaisir à celui qui l'observe.
Dessins et plans, Musique, Dessin en noir et blanc, Loisirs, Électrophones, Disques vinyle, RyXéo, Dictionnaires en images, ryxeo-yvain coudert, ryxeo-yvain coudert-imagier2013
Un tourne-disque ou électrophone est un appareil électronique destiné à restituer un enregistrement sonore réalisé sur disques microsillons. Appelé aussi pick up (table tournante au Québec), il est le successeur électronique du phonographe. Une platine, platine tourne-disque ou « table de lecture », ne comprend que les mécanismes de lecture des disques, sans amplification ni haut-parleurs. C’est la forme la plus courante de tourne-disques depuis la fin des années 1970. De nombreux électrophones « grand public » se présentaient sous la forme d’une sorte de valise, dont le couvercle amovible contenait parfois le haut-parleur large bande qui, par le mode de construction de l’appareil, ne restituait les sons que dans une gamme réduite de fréquences, mais suffisante pour que le public ait plaisir à écouter ses disques. Le socle de l’appareil supportait le tourne-disque qui se composait lui-même d’une tête de lecture généralement piézo-électrique supportée par un bras articulé, et d’un plateau de dimensions en général assez réduites, de l’ordre de 20 cm de diamètre, mis en rotation par un moteur électrique, et sur lequel le disque à écouter était posé. Ce disque était centré par une broche située au centre du plateau. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Platine_tourne-disques
Gravure, Caricatures et dessins humoristiques, Esquisses (art), Dix-neuvième siècle, Analyse du discours, Croquis (art), Discours, Discours français, France (3e République) (1870-1940), Gambetta, Léon Michel, 1838-1882, Satire française
Légendes traduites des croquis : Préliminaire -- L'homme qui se tient devant vous… -- Et après tout, messieurs… -- Pour ma part, je vous assure… -- Les hommes ne sont rien… -- La France est avant tout… -- C'est avec l'émotion la plus profonde… -- Un souvenir toujours douloureux… -- Ce n'est pas pour le plaisir futile d'élever des statues… -- Si telle est la volonté de Dieu -- Je bois à la santé de tous les amis présents et absents -- Final. Illustrations du magazine "Canadian Illustrated News" géré par la bibliothèque nationale du Canada. Titre : "An Election Speech of M. Gambetta" 15 octobre 1881 (vol.XXIV, no. 16, 252).