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Textes, Dix-neuvième siècle, Romantisme (mouvement littéraire), Poètes français, Charles Baudelaire (1821-1867), Passantes
À une passante, 1861, de Charles Baudelaire (1821-1867). Source : wikisource. (115 mots).
Photographie, Dix-neuvième siècle, Romantisme (mouvement littéraire), Poètes français, Charles Baudelaire (1821-1867), Leiden (Pays-Bas)
Poème "À une passante" de Charles Baudelaire (1821-1867) sur un mur à Leyde, aux Pays-Bas.
Dessins et plans, Lumière, Lumière -- Propagation, Matière, Ondes électromagnétiques, Absorption, Lumière -- Absorption, Physique nucléaire, Transfert d'énergie
Processus d'interaction entre la lumière et la matière : illustration du phénomène d'absorption entre les niveaux atomiques : Le photon d'énergie h u fait passer l'atome de son état fondamental 1 vers l'état excité 2. Lorsqu'il est éclairé par un rayonnement électromagnétique (la lumière), un atome peut passer d'un état n à un état n' > n, en prélevant l'énergie correspondante sur le rayonnement. Ce processus est résonnant : la fréquence du rayonnement omega doit être proche d'une fréquence de Bohr atomique pour qu'il puisse se produire. Les fréquences de Bohr atomiques sont définies par hbaromega_{nn'}=(E_{n'}-E_n), où E_{n'} > E_n sont les énergies des états n' et n. On peut interpréter ce processus comme l'absorption d'un photon du rayonnement (d'énergie hbaromega=h u) faisant passer l'atome du niveau d'énergie E_n vers le niveau d'énergie E_{n'}. La condition de résonance correspond alors à la conservation de l'énergie.
Photographie, Grenouilles, Amphibiens, Grenouille verte, batraciens, Accouplement (comportement animal), Animaux -- Reproduction, Dimorphisme sexuel chez les animaux
Accouplement de grenouilles vertes (Pelophylax lessonae) Binnenveld, Wageningen aux Pays-Bas. A la saison de reproduction, le mâle passe au jaune citron.
Gravure, Boissons, Alice au pays des merveilles - Lewis Carroll (1832-1898), Fillettes, Dix-neuvième siècle, Littérature pour la jeunesse, Lewis Carroll (1832-1898), Croissance, Croissance, Troubles de la
Alice grandit encore, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (1820 – 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : Tout en causant ainsi, Alice était entrée dans une petite chambre bien rangée, et, comme elle s’y attendait, sur une petite table dans l’embrasure de la fenêtre, elle vit un éventail et deux ou trois paires de gants de chevreau tout petits. Elle en prit une paire, ainsi que l’éventail, et allait quitter la chambre lorsqu’elle aperçut, près du miroir, une petite bouteille. Cette fois il n’y avait pas l’inscription BUVEZ-MOI — ce qui n’empêcha pas Alice de la déboucher et de la porter à ses lèvres. « Il m’arrive toujours quelque chose d’intéressant, » se dit-elle, « lorsque je mange ou que je bois. Je vais voir un peu l’effet de cette bouteille. J’espère bien qu’elle me fera regrandir, car je suis vraiment fatiguée de n’être qu’une petite nabote ! » C’est ce qui arriva en effet, et bien plus tôt qu’elle ne s’y attendait. Elle n’avait pas bu la moitié de la bouteille, que sa tête touchait au plafond et qu’elle fut forcée de se baisser pour ne pas se casser le cou. Elle remit bien vite la bouteille sur la table en se disant : « En voilà assez ; j’espère ne pas grandir davantage. Je ne puis déjà plus passer par la porte. Oh ! je voudrais bien n’avoir pas tant bu ! » Hélas ! il était trop tard ; elle grandissait, grandissait, et eut bientôt à se mettre à genoux sur le plancher. Mais un instant après, il n’y avait même plus assez de place pour rester dans cette position, et elle essaya de se tenir étendue par terre, un coude contre la porte et l’autre bras passé autour de sa tête. Cependant, comme elle grandissait toujours, elle fut obligée, comme dernière ressource, de laisser pendre un de ses bras par la fenêtre et d’enfoncer un pied dans la cheminée en disant : « À présent c’est tout ce que je peux faire, quoi qu’il arrive. Que vais-je devenir ? »
Armoiries de Robert Surcouf : D'argent au chevron de sable chargé de trois coquilles d'or, au chef de sable chargé d'un lion passant d'or.
Blanchiment interdit. Le terme blanchiment désigne le fait de rendre la couleur d'un objet plus blanc, ou de passer une couleur blanche sur un objet.
Photographie, Phares, Navires, Armoiries, Basque (langue), Blasons, Falaises, Lettres (alphabet) -- Dessin, Devises héraldiques, Pays basque, Bidart (Pyrénées-Atlantiques), Lettres ornées
Céramique ornant un des murs de la mairie de Bidart portant les armes de la ville depuis 1958 : BIDARTEAN ZUZENA OHENA. Blasonnement : Parti, au premier, de sinople au rocher d'argent mouvant du flanc dextre sommé d’une tour d’or ajourée et enflammée de gueules ; au deuxième, de gueules au bateau d'or mouvant de face, la voile d'argent chargée d'une croix basque de sable, le tout des deux parties posé sur une mer d’argent ; à la vergette d'or brochant sur la partition accostée à chaque flanc de cinq billettes du même. Le blasonnement définitif fut adopté par le conseil municipal le 3 mars 1958 avec l'ajout d'ornements extérieurs : L’écu sommé de deux ondes d’argent dans lesquelles plonge un grand harpon de sable en pal, passant sous l’écu et le listel bordant en pointe cet écu. L'anneau du harpon en chef retenant un cordage d’or dont les entrelacs forment à dextre la lettre majuscule anglaise B contournée, puis passe sous l’écu pour former à senestre la même lettre B. Le cordage retenant le listel d’argent chargé de la devise basque « bidartean zuzena onena » (parmi les chemins, le plus droit est le meilleur).
Dessin du blason du Béarn (France) : ''d'or aux deux vaches de gueules, accornées, colletées et clarinées d'azur, passant l'une sur l'autre''.
On peut considérer que les nombres entiers de 1 à 12, inscrits sur le cadran de l’horloge, sont les douze nombres des heures, ou les numéros de douze virages le long d’une piste de course. Le long de la boucle, il y a quarante-huit ponts. Chaque ligne droite croise huit autres parties de la piste, en passant alternativement en dessous et au-dessus. Avec ce dessin de nœud, il est facile d’expliquer l’arithmétique modulo 12. Par exemple, si maintenant il est onze heures, dans cinq heures l’aiguille de l’horloge indiquera quatre heures, parce que 11 + 5 = 4 modulo 12. En tournant dans le sens des aiguilles d’une montre, on passe par les termes d’une progression arithmétique de raison +5 ou –7. Cela explique aussi "{12,5}" : une notation de Schläfli qui désigne des dodécagones réguliers étoilés, tous semblables.
Gravure, Poires, Métaphore, Dessin de portraits, France (Louis-Philippe) (1830-1848), Politique et gouvernement -- Caricatures et dessins humoristiques, Honoré Daumier (1808-1879)
Le passé, le présent, l'Avenir (Louis-Philippe d'Orlèans) lithographie, 19,6 x 21 cm.
Photographie, Contes de fées, Hainaut (Belgique), Architecture médiévale, Beloeil (Belgique) -- Château
Château de Beloeil en Hainaut de nuit. C'est dans ce château que se passe la version anglaise du conte du Bal des douze princesses de Lang. Source : http://en.wikisource.org/wiki/The_Red_Fairy_Book/The_Twelve_Dancing_Princesses.
Un chiffonnier est une personne dont le métier consiste à passer dans les villes et villages pour racheter des choses usagées et les revendre à des entreprises de transformation. Ce métier a été exercé en France jusque dans les années 1960 et continue à l'être dans de nombreuses régions du monde.
Tableau de H-H. La Thangue représentant un jeune garçon soufflant dans une coque dans la rue du village. À l'arrière-plan des poules, un âne attelé. La scène se passe en Espagne.
Dessins et plans, Géométrie, Compas, Parallèles (géométrie), Constructions géométriques, Milieux (géométrie), Segments (géométrie)
Construction au compas seul du milieu d'un segment : Le point A' est le symétrique de A par rapport à B. Les cercles de centre A' passant par A et de centre A passant par B se rencontrent en C et D. Le point D' est le symétrique de D par rapport à A. I est le quatrième point du parallélogramme AD'CI.
Construction du symétrique d'un point par rapport à une droite par origami : On construit la perpendiculaire à (L) passant par P puis la perpendiculaire à cette perpendiculaire passant par P (autrement dit, la parallèle à (L) passant par P). On construit les deux bissectrices en P à la parallèle à (L) et la perpendiculaire à (L). Ces deux bissectrices vont couper (L) en deux points d'où l'on trace deux nouvelles perpendiculaires à (L). Deux dernières bissectrices vont se couper en le symétrique à P cherché.
Dessins et plans, Géométrie, Compas, Règles, Parallèles (géométrie), Symétrie, Constructions géométriques
Construction à la règle et au compas d'une parallèle à une droite passant par un point donné : La parallèle à la droite (AB) passant par un point C se construit à l'aide de la propriété de la droite des milieux. On construit le symétrique C1 du point C par rapport à A puis le symétrique C2 du point C1 par rapport à B. la droite recherchée est la droite (CC2). Le théorème des milieux est un cas particulier de la réciproque du théorème de Thalès.
Dessins et plans, Géométrie, Compas, Règles, Constructions géométriques, Médiatrices, Perpendiculaires
Construction à la règle et au compas d'une perpendiculaire à une droite passant par une point extérieur à la droite : La perpendiculaire à la droite (AB) passant par un point C non situé sur (AB) est la droite (CC') joignant le point C à son symétrique par rapport à la droite (AB). Si le point C est situé sur (AB), il suffit de prendre le symétrique A' (ou B') du point A (ou du point B) par rapport à C, la perpendiculaire est alors la médiatrice de [AA'] (ou de [BB']).
Construction au compas seul du milieu d'un arc : OABC est un parallélogramme de la forme OA=OB, I est le milieu de l'arc AB de centre O, D est le point de la demi-droite [OI) telle que CA=CD, alors OD=CI. En effet, CD^2=CA^2=2CO^2+OA^2. Ensuite il suffit d'appliquer le théorème de Pythagore dans les deux triangles rectangle COI et COD : CI^2=CO^2+OI^2=CO^2+OA^2, OD^2=CD^2-CO^2=CO^2+OA^2. Or cette figure est réalisable au compas seul et permet donc de placer le point I. Si l'on suppose donnés le point O et l'arc AB, on construit le point C intersection du cercle de centre B et passant par A avec le cercle de centre O et de rayon AB. On construit de même le point C' intersection du cercle de centre A passant par O et du cercle de centre O et de rayon AB. Le point D est à l'intersection des cercles de centre C et C' et passant par A et B. Le point I est à l'intersection des cercles de centre C et C' et de rayon OD.
Construction au compas seul du symétrique d'un point par rapport à un point : Le symétrique du point A par rapport au point B est le point situé sur le cercle de centre B et passant par A et diamétralement opposé à A. Il se construit en reportant trois fois le rayon sur le cercle.
Dessins et plans, Poids (physique), Jeux -- Matériel, Vert, Balancements du corps, Physique, Culbuto, Jouets -- Design, Ramponneau, Orange
Lorsqu'on pousse la figurine de Culbuto (ou Ramponneau), le centre de masse devient plus haut (il passe de la ligne verte à la ligne orange), et n'est plus à la verticale du point de contact avec le sol.
Les coniques propres, quand le plan de coupe ne passe pas par le sommet du cône ; les coniques dégénérées, quand le plan contient le sommet du cône.
Dilatation temporelle : les deux observateurs considèrent que le temps passe plus lentement dans l'autre référentiel. Selon la théorie de la relativité restreinte, une horloge animée d'une certaine vitesse par rapport à un référentiel qualifié de fixe sera observée comme battant le temps à un rythme plus lent que celui des horloges de ce référentiel. Cette constatation est réciproque, c'est-à-dire que l'horloge dans le repère "fixe" sera également observée comme plus lente que celles du référentiel en mouvement, à partir de ce dernier référentiel, ce qui semble à première vue paradoxal. Ceci peut être visualisé avec un diagramme de Minkowski. Pour un observateur en A, le temps "simultané" de l'autre référentiel est le temps en B qui est inférieur à A. L'observateur en A peut donc logiquement conclure que le temps se passe plus lentement dans l'autre référentiel. Réciproquement, pour un observateur en B, le temps « simultané » de l'autre référentiel est en C, qui est inférieur à B, et observe également un ralentissement du temps dans l'autre référentiel.
En géométrie euclidienne, dans un triangle non équilatéral, l'orthocentre H, le centre de gravité ou isobarycentre G et le centre du cercle circonscrit \Omega sont alignés et ne sont pas confondus. On appelle droite d'Euler la droite passant par ces trois points. Traduction en français Christophe Catarina.
Effet "lifté" au tennis : Le lift est un effet très utilisé chez les joueurs de tous niveaux, car il est relativement simple à exécuter et procure plusieurs avantages. Son principal attrait tient à la sécurité qu'il procure par rapport au filet, car une balle liftée et tournoyante suivra une trajectoire bombée par rapport à une balle à plat. En outre, cette même rotation imprimée à la balle lui permet de retomber plus rapidement qu'une balle frappée avec un autre effet, et de perdre moins de vitesse après le rebond (la vitesse de la balle diminuera seulement de 25 %). Une autre application efficace du lift est le lob (balle de défense qui vise à passer l'adversaire au filet) car un lob lifté va s'élever très rapidement, et retomber assez vite dans le court. Bien exécuté, il permet donc de passer un joueur au filet. Le lift est un effet utilisé en attaque comme en contre-attaque. Sur une balle courte, il permet d'accélérer avec une marge de sécurité importante, mais peut aussi permettre de changer de rythme. Chez les joueurs professionnels, le lift est utilisé quasiment en permanence, même si cela ne semble pas perceptible : les balles totalement à plat ne sont en effet utilisées que pour terminer le point. En outre, certaines surfaces prennent mieux le lift que d'autres ; la terre battue permet par exemple aux grands lifteurs de prendre l'avantage dans de longs échanges, alors que sur gazon, où le rebond est beaucoup plus bas, le lift est moins employé, ou en tout cas moins efficace.
Photographie, Ostréiculture, Mississippi (États-Unis), Hine Lewis Wickes (1874-1940), Travail des enfants, Huîtres -- Industrie et commerce
Enfants américains écailleurs d'huitres, le 25 février 1916 : retour du travail de Pass Christian Cannery à 17h : Lena Krueger, 7 ans, au milieu, a vidé 6 pots ce jour-là ; Annie Kadeska, 9 ans, à droite, 10 pots; et Rosie Zinsoska à gauche (ne connait pas son âge) 6 pots. Pass Christian, Mississippi. Hine Lewis Wickes (1874-1940).
Evolution de l'emballage d'une lessive liquide. Pour une même contenance, le bouchon doseur passe de 45 à 120ml, augmentant discrètement la consommation du produit.
Géométrie du vélo horizontal à traction directe : Un vélo couché à traction directe se différencie du vélo couché traditionnel par son pédalier, solidaire de la direction. La plupart des vélos couché sont dits "à propulsion". Leur géométrie est calquée sur celles des vélos droits, ou bicyclettes. La chaîne transmet la force du pédalier à la roue arrière, passant par toute la longueur du cadre. Si celui-ci n'est pas extrêmement rigide, une bonne partie de l'énergie fournie au pédalier est perdue. La géométrie du vélo à traction directe permet de minimiser cette perte en transmettant l'énergie à la roue avant. La conséquence est que le pédalier tourne avec la direction, nécessitant un apprentissage. L'appui sur les pédales influence la direction. On parle d'interaction pédalage/direction. Ce modèle fourni les paramètres recommandés afin d'obtenir un vélo qui soit le plus stable possible et dont l'interaction pédalage/direction soit des plus faibles. Les pourcentages indiquent l'importance de certains paramètres par rapport aux autres afin d'assurer une stabilité maximale. Plus le pourcentage est bas, moins une variation du paramètre a d'influence sur la conductabilité du vélo. La maîtrise du pilote est l'élément primordial. Une grande interaction pédalage-direction devient inexistante après plusieurs centaines de km. Respecter ces paramètres aide à avoir un vélo le plus stable possible. L'apprentissage fait le reste. En basse vitesse, c'est l'utilisateur/trice qui crée l'équilibre. A haute vitesse, les forces auto-stabilisantes sont prépondérantes. Un appui naturel de la jambe part du fémur du même côté. Pour que la force passe par l'axe D et ainsi annuler l'interaction PD, il faut inverser cet appui. Lorsque la jambe droite appuie, c'est la hanche côté gauche qui reçoit l'appui.
Un hachoir est un ustensile de cuisine pour hacher la viande. Le hachoir existe en différents types. Le hachoir a été inventé dans le milieu du XIXe siècle par Karl Drais. La plupart des hachoirs fonctionnent en forçant la viande à passer à travers de petits trous à sa sortie au moyen d'une vis sans fin (extrusion).
Jeu de puzzle avec hexagones, créé par Tom Beaumont. Le joueur fait avancer un personnage qui doit détruire tous les hexagones verts en sautant dessus. Les hexagones gris sont des point sûrs, sur lesquels il est possible de passer indéfiniment.
Le Kangourou roux (Macropus rufus) est le plus grand des kangourous. Animal emblématique de l'Australie, il apparaît sur les armoiries du pays. Il a deux bras antérieurs réduits avec de petites griffes et deux pattes arrière puissantes lui permettant des bonds de 12 m de long. La queue très puissante sert de balancier pour la course ou d'appui pour le repos. C'est un animal vivant en petits groupes dirigés par un vieux mâle, passant les heures chaudes de la journée à l'ombre à dormir, à se reposer, à essayer de se rafraîchir en haletant, transpirant, se léchant pour faire évaporer sa salive, s'aérant en agitant les bras. Il mène une vie active du coucher du soleil au lever du jour. Les kangourous se déplacent par petits bonds, à une vitesse de croisière d'environ 30 km/h, et peuvent alors parcourir de longues distances. En cas de danger, ils peuvent passer à la vitesse supérieure et courir en zigzags très rapides, jusqu'à 60 km/h en moyenne avec des pointes à 80 - 90 km/h sur de très courtes distances. Parfois, ils peuvent faire des sauts aériens, jusqu'à 3,50 mètres de haut et 13 mètres en longueur, grâce à leurs ressorts et leurs longues pattes fines. Avec leurs grande rapidité et leurs agilité à bondir, ils n'ont pas vraiment de prédateurs (hormis l'homme qui le chasse avec des armes à feu).
Gravure, Physique, Lumière, Lumière -- Propagation, Dix-neuvième siècle, Savants français, Lumière, Théorie ondulatoire de la, Léon Foucault (1819-1868)
Dessin de l'appareil ayant servi à l'expérience de Fizeau-Mascart en 1851. Fizeau avait réalisé son expérience en 1849, entre Montmartre et le mont Valérien à Suresnes, ces deux points étant distants d'exactement 8 633 m. La lumière de la lampe passe dans la première lunette et se réfléchit sur un miroir semi-transparent incliné à 45°. Elle passe alors à travers la roue dentée, par une des échancrures, puis part dans l'axe de la seconde lunette située à 8 633 m de là, sur la butte Montmartre. Cette 2e lunette est munie d’un miroir lui permettant de renvoyer la lumière de là où elle vient, à Suresnes. La lumière est alors récupérée par la première lunette, passe à nouveau à travers la roue dentée, par une des échancrures, traverse le miroir semi-transparent, puis est observée par Fizeau au moyen d'une lunette. En 1850, Fizeau et Foucault reprennent l'expérience dans l'eau. L'année suivante, Foucault mesure la célérité c' de la lumière dans de l'eau en translation à la vitesse u et trouve c' = frac{c}{n} + u (1 - frac{1}{n^{2}}) où n est l'indice de réfraction de l'eau. La relativité restreinte donnera en 1905 une explication complète de ce résultat.
"Le Maître chat ou le chat botté"in "Histoires ou Contes du Temps passé : Les Contes de ma Mère l'Oye"(1697) par Charles Perrault (1628-1703) illustré par Gustave Doré, 1867 : l'ogre.
Gravure, Contes de fées, Charles Perrault (1628-1703), La Belle au bois dormant - Charles Perrault (1628-1703), Gustave Doré (1832-1883), Contes de ma mère L'Oye - Charles Perrault (1628-1703)
Illustration pour le conte de Charles Perrault (1628-1703) "La Belle au Bois Dormant" dans "Histoires ou Contes du Temps passé : Les Contes de ma Mère l'Oye" (1697) ; édition de 1867 par Gustave Doré (1832-1883).
Gravure, Contes de fées, Sommeil, Charles Perrault (1628-1703), La Belle au bois dormant - Charles Perrault (1628-1703), Gustave Doré (1832-1883), Contes de ma mère L'Oye - Charles Perrault (1628-1703)
Illustration du conte de Charles Perrault "La Belle au Bois Dormant" dans "Histoires ou Contes du Temps passé : Les Contes de ma Mère l'Oye" (1697). Gustave Doré, 1867 : Le prince découvre la princesse endormie.
Contes, Gravure, Forêts, Châteaux, La Belle au bois dormant - Charles Perrault (1628-1703), Gustave Doré (1832–1883)
Illustration pour Charles Perrault "La Belle au Bois Dormant" : Histoires ou Contes du Temps passé, Les Contes de ma Mère l'Oye, 1697, par Gustave Doré, 1867.
Contes, Gravure, Forêts, Sommeil, La Belle au bois dormant - Charles Perrault (1628-1703), Gustave Doré (1832–1883)
Illustration pour Charles Perrault "La Belle au Bois Dormant" : Histoires ou Contes du Temps passé, Les Contes de ma Mère l'Oye, 1697, par Gustave Doré, 1867.
Contes, Gravure, Sommeil, Châteaux, Princes, La Belle au bois dormant - Charles Perrault (1628-1703), Gustave Doré (1832–1883)
Illustration pour Charles Perrault "La Belle au Bois Dormant" : Histoires ou Contes du Temps passé, Les Contes de ma Mère l'Oye, 1697, par Gustave Doré, 1867.
Contes, Gravure, Sommeil, La Belle au bois dormant - Charles Perrault (1628-1703), Gustave Doré (1832–1883)
Illustration pour Charles Perrault "La Belle au Bois Dormant" : Histoires ou Contes du Temps passé, Les Contes de ma Mère l'Oye, 1697, par Gustave Doré, 1867.
Contes, Gravure, Princesses, Sommeil, La Belle au bois dormant - Charles Perrault (1628-1703), Gustave Doré (1832–1883)
Illustration pour Charles Perrault "La Belle au Bois Dormant" : Histoires ou Contes du Temps passé, Les Contes de ma Mère l'Oye, 1697, par Gustave Doré, 1867.
Photographie, Pyla-sur-Mer (Gironde), Géographie, Arcachon (Gironde. - région), Banc d'Arguin (Gironde)
Le Banc d'Arguin à marée basse vu depuis la Dune du Pilat, le 27/10/2014, entre la passe sud (à gauche) et la passe nord bordée par la barre des brisants de l'océan atlantique. Cliché NS.
Le chat botté, couverture des "Contes du temps passé", édition L. Curmer de 1843 ; illustrée par Pauquet, Marvy, Jeanron, Jacque, Beaucé ; texte gravé par Blanchard.
Illustration du conte anglais de "Monsieur Miacca" de Joseph Jacobs, 1892, par Batten : Tom, enfermé sous le fauteuil par Mr Miacca doit lui tendre une jambe à couper pour mettre dans le ragoût, et lui fait passer un pied de fauteuil. (voir le conte norvégien de "Bouton d'or")
Dessins et plans, Basket-ball, basketball, Sports, Joueurs de basket-ball, Joueurs de basket-ball noirs américains, Équipes sportives, Filets de but, Paniers
Panier de basket-ball, dimensions réglementaires. Au basket-ball, le panier est le cerceau métallique à travers lequel les joueurs doivent faire passer le ballon pour marquer des points. Il y a deux paniers sur un terrain de basket-ball, et chaque équipe doit tenter de marquer dans l'un tout en empêchant l'équipe adverse de marquer dans l'autre. Un filet ouvert vers le bas, de 45 cm de diamètre, est attaché en dessous du panier. L'ensemble est fixé, à la hauteur règlementaire de 3,05 m, à un panneau rectangulaire vertical de 1,80 m par 1,05 m. Par extension, un joueur marque un panier lorsqu'il fait passer la balle dans l'arceau du panier de l'équipe adverse. Un panier a lieu en cours de jeu et rapporte deux (ou trois) points à l'équipe, alors qu'on parle de lancer franc lorsque le joueur marque une pénalité suite à une faute d'un joueur adverse, ce qui rapporte un seul point.
Gravure, Le petit Poucet - Charles Perrault (1628-1703), Charles Perrault (1628-1703), Gustave Doré (1832-1883)
Illustration n°5 pour le conte de Charles Perrault (1628-1703) "Le Petit Poucet", "Histoires ou Contes du Temps passé : Les Contes de ma Mère l'Oye" (1697), par Gustave Doré (1832-1883) "Les Contes de Perrault", 1867.