Transfert en cours..., vous êtes sur le "nouveau" serveur data.abuledu.org dont l'hébergement est financé par l'association abuledu-fr.org grâce à vos dons et adhésions !
Vous pouvez continuer à soutenir l'association des utilisateurs d'AbulÉdu (abuledu-fr.org) ou l'association ABUL.
Suivez la progression de nos travaux et participez à la communauté via la liste de diffusion.
Dessins et plans, Musique, Notation musicale, Partitions (musique), Ut, Arnaud Pérat, Notes (musique), RyXéo, Notes, Partitions -- Lecture et déchiffrage
La note do (début de domine), anciennement appelée ut, est la première note de la gamme majeure. Le do est la seule note de musique à avoir changé de nom. Le nom ut est cependant conservé dans les termes techniques ou théoriques. Ainsi, on parle par exemple de trompette en ut, de clé d'ut, de contre-ut pour le chant. la clef de sol, qui indique le sol no 3, proche du la du diapason concerne les sons aigus. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Do_%28note_de_musique%29
Photographie, Musique, Hochets (jouets), Instruments à percussion, Bois (instruments de musique), Idiophone, Instruments de musique -- Indonésie, Angklung, Bambou(Instruments de musique), Patrimoine culturel immatériel de l'humanité en Asie et Océanie
L’angklung est à la fois un instrument de musique en bambou et un ensemble de musiciens l'utilisant. Il s'agit d'un hochet complexe d'Indonésie populaire dans toute l’Asie du Sud-Est. L’angklung indonésien a été inscrit en 2010 par l'UNESCO sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité. On obtient de la musique de l'angklung en le secouant, faisant ainsi claquer les résonateurs de bambou sur les montants. Chaque instrument produit ainsi deux ou trois notes. Il est souvent disposé en série croissante si bien qu'au lieu d'avoir un ou deux instruments par musicien, ce dernier pourra en manipuler plusieurs dizaines. Généralement, trois personnes ou plus ont un angklung dans leurs mains, qui produisent des sons sur différents tons. De cette façon, il est possible de jouer une mélodie pentatonique complète. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Angklung
Photographie, Musique, Accordéon, Musique d', Instruments de musique, Instruments à vent, Accordéon, Instruments à clavier, Accordéon chromatique, Bayan, Instruments de musique -- Russie
Le bayan ou accordéon à basses chromatiques, est l'accordéon chromatique de concert russe, apparu vers 1850 et dont l’usage s’est développé au début du XXe siècle. Il doit son nom au légendaire vieux chanteur et narrateur russe (ou slave) Bayan (ou Boyan) qui se produisit devant plusieurs princes au XIe siècle. Le bayan est doté d’un clavier de 105 boutons disposés sur 5 rangées (pour la main droite), et d’un clavier de 120 boutons disposés sur 6 rangées (pour la main gauche). Le système main gauche est caractérisé par un "déclencheur" permettant de convertir le clavier traditionnel à basses composées (un bouton correspond à un accord) en un clavier chromatique à basses libres (un bouton correspond à une note). Le bayan donne toutes les notes de la gamme chromatique tempérée, et la disposition des touches permet de jouer dans n’importe quelle tonalité sans changer de doigté. Grâce à l’étendue qu’offre l’instrument et la qualité de son timbre, ce modèle complet d'instrument permet d'aborder tous types de musiques de l'époque baroque à nos jours ; il est souvent utilisé par des virtuoses qui interprètent aussi bien de la musique classique que de la musique contemporaine. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Bayan_%28instrument%29
Photographie, Instruments de musique, Instruments à vent, Cornemuse, Objets usuels, Biniou, instrument à vent, Anches
"Biniou Kozh", ou "vieux biniou", instrument typique de Bretagne, fait par Jorj Bothua. Le biniou est le terme générique en breton pour désigner la cornemuse, instrument à vent à anche double et à poche de réserve d'air. Il est joué par un sonneur (soner ou biniaouer). Traditionnellement, le terme désigne les cornemuses utilisées en Bretagne bretonnante, qui ne sont pas les mêmes que celles utilisées dans d'autres pays celtiques. Structurellement, le biniou se compose d'un réservoir de cuir (sac'h) alimenté par un petit tuyau (sutell) permettant au préalable de le gonfler. Ce sac, placé sous l'aisselle gauche du sonneur laisse échapper, sous la pression du bras contre les côtes, l'air qu'il contient par deux autres tuyaux : d'une part le chalumeau (levriad) à anche double, percé de six trous offrant la possibilité de jouer une octave de notes selon un doigté voisin de celui de la bombarde, et d'autre part, le bourdon (c'horn-boud) à anche simple, qui fait entendre un son grave, continu et invariable correspondant à ce que l'on appelle une pédale de tonique en harmonique. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Biniou
Dans le solfège, la blanche est une figure de note représentée par un ovale de couleur blanche, attaché à une hampe. La position de cet ovale sur la portée indique la hauteur : ici sol et do. Dans une mesure chiffrée 4/4 la blanche vaut deux temps, soit la moitié de cette mesure. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Mesure_%28solf%C3%A8ge%29
Photographie, Venise (Italie), Photographie en noir et blanc, Canaux -- Italie, Alfred Stieglitz (1864-1946), Pictorialisme (photographie)
Canal à Venise ("Venetian Canal" ou "A Bit of Venice") par Alfred Stieglitz, 1897 : Camera Notes, Vol 1 No 2 1897.
Dessins et plans, Illustration botanique, Notes, esquisses, etc., Contribution à la géométrie, Institut de France -- Musées, Renaissance
Photo d'une page d'un carnet de Léonard de Vinci : figure géométrique et dessin botanique, 1490, Bibliothèque de l'institut de France.
Photographie, Main, Anglais (langue), Art et photographie, Cahiers, Carnets, Écriture minuscule, Écriture manuscrite, Journaux de bord, Marque-pages
Carnet manuscrit de notes en anglais : histoire de l'architecture du photographe.
Dessins et plans, Musique, Mesures, Musique -- Lecture et déchiffrage, Partitions (musique), Solfège, Notes (musique), Partitions -- Lecture et déchiffrage, Mesure, Mesures (musique)
Les deux nombres du chiffrage forment une fraction (sans la barre horizontale) dont l'unité de valeur est toujours la ronde. Le chiffrage 4/4 est parfois représenté par un "C", et le chiffrage 2/2 par un "C barré". Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Mesure_%28solfege%29
Photographie, Musique, Instruments de musique, Instruments à cordes pincées, Instruments à cordes, Cap-Vert, Cimboa, Cordophones, Cordophones frottés, Cap-Vert -- Moeurs et coutumes, Ethnologie -- Cap-Vert
La cimboa /sĩˈboɐ/ (ou cimbó /sĩˈbɔ/) est un instrument de musique originaire du Cap-Vert. Il s’agit d’un cordophone frotté, qui était traditionnellement utilisé pour accompagner les danses de batuque. Sur l’origine exacte de l’instrument, on ne sait presque rien, sauf qu'il vient de l’Afrique continentale. Certains auteurs notent cependant la ressemblance de la cimboa avec des instruments africains situés à des milliers de kilomètres de distance, comme le kiki des Tédas et Dazagadas du Tibesti et de Borkou, le nini des Zaghawa, le fini des Kanembou, ou encore le kiki des Maba de la région de Ouaddaï. La hauteur des notes est obtenue en pressant la corde en divers endroits du manche et en arquant le manche flexible.
Photographie, Instruments de musique, Cithare, Musique de, Cithare, Instruments à cordes pincées, Instruments à cordes, Musique pour cithare
Si son origine remonte à la Grèce antique, de nos jours, la cithare (en allemand, Zither) est un instrument de musique à cordes pincées faisant partie du folklore autrichien ou germanique, répandu aussi en Suisse, en Slovénie et en France. La caisse de résonance a une forme trapézoïdale, relativement plate. La table d'harmonie a une grosse ouïe centrale et des décorations y sont souvent appliquées. La cithare possède autant de cordes que de notes jouables (par la main droite) pour la mélodie, et quelques chœurs, ensembles de quatre cordes assurant les accords de l'accompagnement (qui sont joués de la main gauche). Les cordes mélodiques sont fines et décroissent en longueur de la gauche vers la droite, c’est-à-dire des sons graves vers les sons aigus. Les chœurs consistent en groupes de quatre cordes approximativement de même longueur mais de grosseurs très différentes pour produire des accords montants lorsqu'elles sont grattées de la droite vers la gauche. Des chevilles en métal assurent fixation et accord. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Cithare.
En solfège, une clef (ou clé) est un signe graphique placé au début de la portée qui indique la hauteur des notes associées à chaque ligne.
En solfège, une clef (ou clé) est un signe graphique placé au début de la portée qui indique la hauteur des notes associées à chaque ligne.
Photographie, Instruments de musique, Instruments à vent, Cor, Cuivres (instruments de musique), Inventions, Cor d'harmonie
Cor à deux pistons - Michel Rivet, Lyon, milieu du XIXème siècle - Paris, Musée de la musique. La paternité de cette invention revient au corniste Heinrich Stölzel et au hauboïste Friedriech Blühmel en 1815. Stölzel proposa le premier cor d'harmonie avec deux pistons (abaissant, respectivement, l'accord d'un demi-ton et d'un ton), actionnés par la main droite. Le cor d'harmonie à deux pistons était presque chromatique (seules trois notes manquaient) sur une 22ème diminuée (3 octaves et une quinte diminuée). Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Cor_d%27harmonie
Coupe d'un piano à queue : 1 et 14) Cadre métallique, 2) Abattant du couvercle, 3) Capo d'astro ou barre harmonique, 4) Tête d'étouffoir, 5) Couvercle, 6) Chevalet d'étouffoir (ou pivot des étouffoirs ?), 7) Rail des chevalets d'étouffoir (ou barre de forte ?), 8) Barre de transmission de la pédale forte, 9) Levier de la transmission du forte, 10) Tige de Lyre, 11) Pédale, droite (forte), gauche (piano), 12) Chevalet, 13) Cheville d'accord (pointe d'accroche), 15) Table d'harmonie, 16) Corde. Le piano à queue est constitué : d'un clavier, généralement à 88 touches (7 octaves 1/4), muni d'un couvercle ; d'un barrage, structure en poutres ; d'une table d'harmonie, mise en vibration par les cordes par l'intermédiaire de chevalets ; de cordes : une par note dans les graves, deux dans les notes intermédiaires, trois dans les aiguës. Les cordes d'aigus sont nues, les cordes de graves sont filées ; d'un cadre métallique au-dessus de la table d'harmonie (sur les pianos modernes) ; d'une ceinture, coffrage entourant la table d'harmonie ; d'un couvercle s'ouvrant à 45° ; d'une mécanique de percussion ; d'un pédalier (lyre) ; d'un pupitre.
Dessins et plans, Musique, Temps -- Mesure, Partitions (musique), Codage, Solfège, Musique -- Classification, Demi-pause, Silences (musique), Partitions -- Lecture et déchiffrage
Dans le solfège, un silence est un moment pendant lequel n'est émis aucun son, il correspond à une pause dans l'exécution du morceau. Comme pour les notes de musique, chaque durée de silence a son symbole, ici silence équivalant à la moitié d’une pause, égal à une blanche. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Silence_%28musique%29
Photographie, Musique, Instruments de musique, Instruments à clavier, Diapasons, Instruments de musique anciens, Dulcitone
Un dulcitone (à l'origine forks piano, où fork = diapason) est un instrument de musique dont le son est produit par une rangée de diapasons métalliques, qui vibrent sous l'action de marteaux similaires à ceux du piano, activés par un clavier à échappement simple (2 modèles : 3 octaves, ou 5 octaves 1/2). Sa fabrication date de la fin du XIXe siècle, début du XXe siècle, par la firme écossaise Thomas Machell & Sons (Glasgow). Sa sonorité fait penser à celle d'un marimba dans les notes graves, atteignant progressivement celle d'un célesta dans les aiguës. Une forme plus ancienne apparaît sous le nom de typophone dans Le Chant de la cloche (Op. 18, création 1886) de Vincent d'Indy. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Dulcitone
Dessin d'une femme en blouse blanche de laboratoire manipulant un tube à essai et prenant des notes sur un carnet.
Dessins et plans, Musique, Musique -- Intervalles et gammes, Partitions (musique), Solfège, Arnaud Pérat, Notes (musique), RyXéo, Musique -- Classification, Note de musique, Musique -- Associations, Fa, Partitions -- Lecture et déchiffrage
La note représente par sa forme une durée (dimension horizontale du solfège). De par sa position sur la portée, elle représente une hauteur (dimension verticale). Tout son musical (ou note) possède une fréquence fondamentale correspondant à sa hauteur. Deux notes dont les fréquences fondamentales ont un ratio qui est une puissance de deux (c'est-à-dire la moitié, le double, le quadruple...) donnent deux sons très similaires. Cette observation permet de regrouper toutes les notes qui ont cette propriété dans la même catégorie de hauteur.
Dessins et plans, Musique, Musique -- Intervalles et gammes, Partitions (musique), Solfège, Notes (musique), Musique -- Classification, Musique -- Associations, Partitions -- Lecture et déchiffrage, Musique -- Théorie
En musique, une gamme musicale est un ensemble déterminé de notes conjointes s'étendant sur une octave. Une gamme se définit également par la succession des intervalles qui subdivisent une octave. Par exemple, la gamme de do majeur, ou gamme « classique », comporte sept notes : do (ou ut), ré, mi, fa, sol, la, si. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Gamme_musicale
Dessins et plans, Bisons, Altamira (Espagne), Grottes d', Art pariétal préhistorique, Controverses historiques, Émile Cartailhac (1845-1921), Marcelino Sanz de Sautuola (1831-1888)
Relevé du plafond aux polychromes publié par M. Sanz de Sautuola en 1880 (d'après Cartailhac, 1902). Les peintures d'Altamira ont été découvertes en 1879, lors de fouilles conduites par Marcelino Sanz de Sautuola. La grotte était connue depuis 1868 et Sanz de Sautuola y effectuait des visites depuis 1876. Il avait observé la présence de dessins géométriques sur les parois sans y accorder d'importance mais c'est sa fillette Maria, alors âgée de huit ans, qui remarqua la première la présence de «toros» dessinés au plafond. Sanz de Sautuola publia dès 1880 « Brèves notes sur quelques objets préhistoriques de la province de Santander ». Émile Cartailhac avait été un des plus grands adversaires de l'authenticité d'Altamira. À partir de 1895, la découverte de gravures et de peintures dans les grottes françaises de la Mouthe, des Combarelles et de Font-de-Gaume, lui firent reconsidérer sa position. Après avoir visité les grottes, il écrivit dans la revue L'Anthropologie (1902) un article intitulé « La grotte d'Altamira. Mea culpa d'un sceptique ». Après cet article le caractère paléolithique des peintures d'Altamira fut universellement reconnu.
Le güiro est un instrument de musique de percussion de la famille des idiophones, fréquent à Cuba et Porto Rico, constitué d'un racloir percé de trous dans lesquels on passe le pouce et le majeur pour le tenir. On tient l'instrument avec la main gauche, et on gratte avec la main droite les rainures du racloir à l'aide d'une petite baguette de bois avec un mouvement d'aller et retour de la main pour produire le son par raclement. Des mouvements lents émettent des sons plutôt graves, tandis que des mouvements rapides émettent des sons plus aigus. Ainsi, l'alternance de mouvements lents et rapides permet l'accentuation de certaines notes, les notes aigües étant les accents.
Dernier né de la famille, il permet de jouer toute la gamme chromatique de façon simple. Par contre, il ne dispose pas, de par la disposition de ses notes, de beaucoup de possibilités de jeu en accords. Ses possibilités rythmiques sont donc inférieures à l'harmonica diatonique.
Photographie, Musique, Instruments à vent, Instruments de musique électroniques, Synthétiseur (instrument de musique)
Instrument à vent électronique (EWI) permettant de piloter un synthétiseur. L'EWI possède un bec équipé de capteurs de pression d'air (contrôle du volume) et de pression des lèvres (vibrato). Les clefs ne se déplacent pas, la détection des doigtés se fait par conductivité (détection de la position des doigts par courant électrique), ce qui permet de jouer très rapidement. L'octave est choisie parmi sept en positionnant le pouce gauche sur un ensemble de rouleaux. Le capteur de pression d'air permet une grande étendue dynamique, en particulier en combinaison avec un synthétiseur analogique. Le contrôleur à vent indique les notes à jouer à un synthétiseur intégré ou externe, il est possible de le connecter à une station de travail numérique afin de produire une plus grande variété de sons. Cet instrument a été utilisé tout particulièrement par les musiciens smooth jazz. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Electronic_Wind_Instrument
Dessins et plans, Musique -- Intervalles et gammes, Mathématiciens, Solfège, Son, Musique en muséologie, Philosophes grecs dans l'Antiquité, Accords (musique), Pythagore (0580?-0500? av. J.-C.)
Représentation graphique d'une gamme pythagoricienne : il est possible de représenter une gamme pythagoricienne particulière en mettant les apotomes et les limmas les uns à la suite des autres selon les intervalles obtenus, le limma étant plus court que l'apotome d'un comma. Les deux demi-tons, qui sont identiques dans la gamme tempérée, sont nommés dans la gamme pythagoricienne : apotome, pour l'intervalle formé par une note et sa version altérée ; limma, pour l'intervalle formé par une note altérée et la note voisine ne portant pas le même nom. Ces intervalles sont disposés ainsi : do - apotome - do♯ - limma - ré, pour les quintes ascendantes ; do - limma - ré♭ - apotome - ré, pour les quintes descendantes. Dans la gamme pythagoricienne, les notes bémolisées sont inférieures d'un comma pythagoricien à leurs notes conjointes diésées, on en déduit l'ordre suivant : do - ré♭ - do♯ - ré. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Accord_pythagoricien
Photographie, Musique, Piano, Musique -- Intervalles et gammes, Instruments à clavier, Touches (instruments de musique), Ivoires, Ébène
Touches du clavier de piano en ivoire et en ébène : touches blanches pour les sept notes de la gamme diatonique, touches noires pour les cinq notes restantes de la gamme chromatique.
Photographie, Musique, Instruments à cordes frottées, Ethnologie -- Finlande, Instruments à cordes, Lyre, Instruments à cordes frottées -- Archet, Crwth, Instruments de musique finlandais
Le jouhikko ou jouhikannel est un instrument arrivé en Finlande après avoir traversé la Norvège. Il est proche du "crwth" gallois. L'instrument fait partie de la famille des lyres à archet. C'est un instrument constitué généralement de 3 cordes de crin (parfois 2) se jouant à l'archet ; sa caisse présente un dos évidé fortement bombé et une table plate. Une ouverture à gauche permet à l'instrumentiste de passer le bout des doigts pour raccourcir l'une des cordes en la touchant au côté et non en y appuyant, et ainsi changer la hauteur de la note. La deuxième corde joue le rôle de bourdon. Un instrument à deux cordes permet de jouer 5 notes, soit la tessiture d'une quinte. Si une troisième corde est présente sur l'instrument, elle permet de jouer une note plus grave d'un ton, étendant la tessiture totale de l'instrument à une sixte majeure. L'instrument est joué en le positionnant sur la jambe gauche, son extrémité inférieure s'appuyant sur le genou droit. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Jouhikko.
Dessins et plans, Musique, Musique -- Intervalles et gammes, Partitions (musique), Solfège, Arnaud Pérat, Notes (musique), RyXéo, Musique -- Classification, Note de musique, Musique -- Associations, La, Partitions -- Lecture et déchiffrage
Le la est compris entre le sol et le si. En musique, le diapason est un outil de musicien donnant la hauteur (fréquence en hertz) d'une note-repère conventionnelle, en général le la, afin que celui-ci accorde son instrument. Par extension, le diapason désigne la hauteur absolue de la note de référence mondialement acceptée (actuellement la fréquence du la3 est de 440 Hz). Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Diapason
Illustration par John D. Batten du recueil de contes de fées en anglais de Joseph Jacobs, 1892 (avec notes sur les sources) : conte écossais intitulé "Childe Roland" (Le jeune Roland) ; l'illustration sert de fontispiece à l'ouvrage.
Photographie, Armures, Renaissance, Léonard de Vinci (1452-1519), Automates, Armures médiévales, Robots
Modèle de robot, basé sur des croquis de Léonard de Vinci (exposition à Berlin en 2005). Le premier exemple d’un robot de forme humaine fut donné par Léonard de Vinci en 1495. Ses notes à ce sujet recélaient des croquis montrant un cavalier muni d’une armure qui avait la possibilité de se lever, bouger ses membres tels que sa tête, ses pieds et ses mains. Le plan était probablement basé sur ses recherches anatomiques compilées dans l’homme vitruvien. On ne sait pas s’il a tenté de construire ce robot.
Dessins et plans, Musique, Mathématiques, Notes (musique), Espaces harmoniques, Harmoniques (musique)
Cette image indique les harmoniques du do1 sur une portée, et précisent par les flèches et les chiffres (en cents) l’écart de hauteur entre chacun des 16 premiers harmoniques et la note la plus proche dans la gamme tempérée. Considérant que le demi-ton (du tempérament égal) fait 100 cents, la déviation de 49 cents de l'harmonique 11 est donc quasiment à mi-chemin entre deux notes existantes, c’est-à-dire un quart de ton.
Dessins et plans, Musique, Musique -- Intervalles et gammes, Partitions (musique), Solfège, Notes (musique), Musique -- Classification, Note de musique, Mi, Musique -- Associations, Partitions -- Lecture et déchiffrage
En musique, une note désigne soit un symbole permettant de représenter la hauteur et la durée relative d'un son, soit la hauteur elle-même d'un son. Dans le solfège, la note de musique est littéralement "notée" sur une partition afin d'être lue par le musicien interprète. On lui attribue quatre caractéristiques principales : durée, hauteur, intensité et timbre. La note représente par sa forme une durée (dimension horizontale du solfège). De par sa position sur la portée, elle représente une hauteur (dimension verticale). Le mi est situé entre le ré et fa. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Mi_%28note_de_musique%29
Textes, Angleterre (GB), Dix-huitième siècle, Charles-Louis de Secondat Montesquieu (baron de La Brède et de, 1689-1755)
Extrait de "Notes sur l’Angleterre", par Montesquieu (1689-1755) : observations sur la société et la politique anglaises au dix-huitième siècle. 630 mots.
Textes, Football, Rugby -- Compétitions, Clubs de rugby -- France, Rugby, Football -- France, Rugby -- Sociologie
PIERRE DE COUBERTIN, Président du Comité international des jeux olympiques, "Notes sur le foot-ball", 1897 ("La Nature", revue des sciences et de leur applications aux arts et à l'industrie. 8 mai 1897). 2802 mots, 9 paragraphes.
Textes, Clubs de rugby -- France, Rugby, Rugby -- Sociologie, Pierre de Coubertin (1863-1937), Sports d'équipe, Jeux olympiques -- Philosophie, Joueurs de rugby, Sports de ballon
Notes sur le foot-ball, 1897, par Pierre de Coubertin (1863-1937), Président du Comité international des jeux olympiques. Source : La Nature, revue des sciences et de leur applications aux arts et à l'industrie, 8 mai 1897. 2803 mots.
Dessins et plans, Musique, Partitions (musique), Solfège, Arnaud Pérat, RyXéo, Silences (musique), Partitions -- Lecture et déchiffrage, Pauses (musique)
Un silence est un élément qui indique au musicien de ne pas jouer pendant un certain laps de temps. Leur organisation est identique à celle des notes, avec une durée qui varie du simple au double à chaque étape. La pause vaut comme la ronde.
Dessins et plans, Enfants, Bricolage, Ateliers de bricolage (éducation), Salières, Pliages en papier, Bonne aventure, Prédiction de la, Miguel de Unamuno (1864-1936), Prédictions
Pliage d'une salière en papier en douze étapes : Le jeu de la cocotte en papier ou salière est un origami qui permet de jouer le diseur de bonne aventure. Le philosophe espagnol Miguel de Unamuno a écrit un traité sur ce jeu à partir de notes rédigées en 1910, Apuntes para un tratado de cocotología.
Dessins et plans, Musique, Notation musicale, Partitions (musique), Solfège, Notes (musique), Musique -- Classification, Musique -- Associations, Partitions -- Lecture et déchiffrage, Portée
Dans le solfège, la portée est un ensemble de cinq lignes horizontales permettant de représenter les hauteurs. Elle est destinée à recevoir la figure de notes et de silences, les clefs, les altérations, et quelques autres symboles annexes. Dans le solfège, la représentation des hauteurs utilise six types de signes : la portée, les lignes supplémentaires, les figures de note, les clés, les signes d'octaviation et les altérations. Les cinq lignes de la portée sont également espacées et forment entre elles quatre interlignes. Les lignes et les interlignes sont numérotés du bas vers le haut. Le nombre de lignes a varié jusqu'à la Renaissance où il fut définitivement fixé à cinq. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Port%C3%A9e_%28musique%29
Peinture, Lunettes, Perruques, Peinture de portraits, Bustes (sculpture), Benjamin Franklin (1706-1790), Isaac Newton (1642-1727), Mouvement des Lumières, Journalistes américains, Écrivains américains, Scientifiques américains, David Martin (1737–1797)
Portrait de Benjamin Franklin en 1767 par David Martin (1737–1797). Benjamin Franklin (1706-1790), philosophe, physicien, publiciste. - Homme d'État. - Imprimeur. - Auteur de dessins. - Membre associé de l'Académie des sciences (élu en 1772 et en 1785). Traduction de notes tirées de "Art in the White House, A Nation's Pride" (L'art de la maison Blanche : la fierté d'une nation) par Kloss, William et coll : Le portrait de Benjamin Franklin a été commandé par Robert Alexander, de la firme William Alexander & Sons, à Édimbourg. L'impressionant document couvert de scellés que tient Franklin dans le portrait n'est pas un traité ni un délibéré du parlement, mais un acte notarié produit par le commanditaire...! Les autres livres suggèrent la culture nécéssaire au jugement d'un homme sage. Le buste de Newton, dont le regard est directement tourné vers Franklin, évoque l'un des sommets de la raison anglaise. Ce portrait est fermement ancré dans la pensée des lumières. La pression du pouce sur le menton exprime la pression de la pensée concentrée, et le reflet des lunettes de Franklin sur sa pommette renforce cet effet. Pour cette raison, ce portrait a parfois été appellé "Le portrait au pouce". Source : The White House Historical Association.
Quinte du loup et comma pythagoriciens dans le cercle des quintes justes construit à partir du do. En musique, le loup est une perturbation d'un ordre établi. Traditionnellement la quinte du loup est l'intervalle formé par les notes laflat - miflat dans les instruments à claviers construits à la renaissance et pendant la période baroque (orgue et clavecin).
Dessins et plans, Musique, Notation musicale, Musique -- Intervalles et gammes, Partitions (musique), Solfège, Notes (musique), Musique -- Classification, Associations de musique, Note de musique, Ré, Partitions -- Lecture et déchiffrage, Guido d'Arezzo (0990?-1050)
La note ré est la seconde note de la gamme majeure. Il a été choisi par Guido d'Arezzo (0990?-1050) pour nommer la seconde note de la gamme. Le ré est placé entre la note do et la note mi. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9_%28note_de_musique%29
Photographie, Musique -- Intervalles et gammes, Carillons, Percussions (instruments de musique), Notes (musique), Ethnologie, Confort (Finistère)
Roue à carillon de l'église Notre Dame de Confort (Confort-Meilars, Finistère, Bretagne). Monument Historique de la base Palissy, mobilier PM29000555). D'un diamètre de 1,75 m, elle possède douze clochettes de notes différentes, du Do au Do supérieur. La roue à carillons — appelée aussi roue de guérison, roue de fortune ou roue de gloire — est un instrument de musique de percussion, de type idiophone, d'origine bretonne, généralement constitué d'une douzaine de cloches produisant autant de notes différentes.
Douze sablés crus à la pulpe d'ananas, en forme de flèches, notes de musique et main.
Dessins et plans, Méduses, Cnidaires, Biologie marine, Caraïbes (région), Coloriages, Dessin en noir et blanc
Schéma de cuboméduse (Tripedalia cystophora). Source : Conant, F.S. "Notes on the cubomedusae". Johns Hopkins University Circulars, No. 132, fig. 9. November, 1897.
Scribe médiéval. Source : Rodwell, G. F.: “South by East: Notes of Travel in Southern Europe” (1877).
Serinette fabriquée par Bennard à Mirecourt, dans les Vosges, en 1757 exposée au Musée Historique de Lausanne : une serinette est un instrument de musique mécanique primitif assimilable à un orgue destiné à apprendre des mélodies courtes à des oiseaux siffleurs. Elle est à l'origine du verbe "seriner" (répéter de nombreuses fois). Ces instruments sont relativement simples. Ils sont composées d'un cylindre de bois comportant des pontets en métal. Ceux-ci commandent l'ouverture de petits clapets qui admettent de l'air dans des tubes d'orgue (généralement en étain) accordés au notes de l'instrument. L'air est brassé par deux soufflets en peau eux-mêmes actionnés par une manivelle. C'est également cette manivelle qui fait tourner le cylindre avec la mélodie au moyen d'une vis sans fin. Le morceau « enregistré » sur le cylindre dure de 10 à 20 secondes, dépendant beaucoup de la personne qui joue de l'instrument. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Serinette.