Transfert en cours..., vous êtes sur le "nouveau" serveur data.abuledu.org dont l'hébergement est financé par l'association abuledu-fr.org grâce à vos dons et adhésions !
Vous pouvez continuer à soutenir l'association des utilisateurs d'AbulÉdu (abuledu-fr.org) ou l'association ABUL.
Suivez la progression de nos travaux et participez à la communauté via la liste de diffusion.

Votre recherche ...

Nuage de mots clés

Photographie | Dessins et plans | Bicyclettes | Dix-neuvième siècle | Supercheries scientifiques | Vélocipèdes | Draisienne | Inventions | Ernst Haeckel (1834–1919) | Naturalistes | Art et nature | Dynamique | Faune marine | Nature (esthétique) | Art nouveau (décoration) | Latin (langue) | Mollusques | Savants allemands | Octopodes | Vélos tout terrain | ...
Le tricycle à vapeur Serpollet en 1888. Source : http://data.abuledu.org/URI/55a0ac64-le-tricycle-a-vapeur-serpollet-en-1888

Le tricycle à vapeur Serpollet en 1888

Le tricycle à vapeur Serpollet exposé au Musée des Arts et Traditions de Paris. Léon Serpollet (1858-1907), inventeur et industriel. - Concepteur, avec son frère Henri, d'un générateur de vapeur à vaporisation instantanée, constructeur de moteurs et de véhicules automobiles à vapeur (notice data-bnf). Source : https://commons.wikimedia.org/wiki/File:TricycleSerpollet.jpg

Bicyclette Célérifère. Source : http://data.abuledu.org/URI/50edd449-bicyclette-celerifere

Bicyclette Célérifère

Le Comte Mede de Sivrac est un personnage créé, en 1891, par le journaliste français, spécialiste de la locomotion terrestre, Louis Baudry de Saunier (1865-1938) et supposé inventeur du célérifère. Aucun Comte Mede de Sivrac n'a jamais existé. Après la défaite de 1870, ce journaliste et chroniqueur Louis Baudry de Saunier trouve plus valorisant pour la nation de faire remonter l'invention à 1790 et de l'attribuer à un Français, dans son "Histoire générale de la vélocipédie" qui parut en 1891. Il crée donc de toutes pièces un inventeur fictif, le Comte de Sivrac, et dessine les plans de l'engin qu'il prétend être l'ancêtre de la draisienne : le célérifère. Sur ces plans, le célérifère ressemble en fait beaucoup à la draisienne. C'est également une « machine à courir » en bois, sans pédales et sans freins, dotée de deux roues, mais qui en revanche ne permet pas de faire pivoter la roue avant, ce qui la rend quasiment inutilisable. Les musées nationaux ne possédant pas cette machine — et pour cause ! —, ils en fabriquèrent, d'après les plans conçus par Baudry de Saunier, des « copies », que l'on peut encore admirer. La supercherie fut finalement découverte dans la deuxième moitié du XXe siècle, notamment lorsque l'on s'aperçut qu'un brevet avait bien été déposé le 4 juin 1817 par un certain Jean-Henri Siévrac pour un célérifère, mais la machine en question s'est avérée être... une voiture à cheval.

Célérifère. Source : http://data.abuledu.org/URI/537486f1-celerifere

Célérifère

Le célérifère est un canular fomenté en 1891 par le journaliste français Louis Baudry de Saunier (1865-1938), vulgarisateur scientifique et chroniqueur automobile, spécialiste de la locomotion terrestre. Il s’agit d’une "machine à courir" prétendument inventée en 1790 par un certain comte Mede de Sivrac, et qui ressemble à la draisienne, laquelle a été (réellement) inventée 27 ans plus tard par un Allemand. Engin ressemblant à une draisienne avec une tête de Dragon ou de Reptile exposée au "Deutsches Museum Verkehrszentrum" de Munich, en Allemagne. (Voir http://es.wikipedia.org/wiki/Celer%C3%ADfero).

Kangaroo Australia. Source : http://data.abuledu.org/URI/5045cfe3-kangaroo-australia-

Kangaroo Australia

Le kangourou est un marsupial de la famille des macropodidés. On les trouve exclusivement en Australie (sur le continent et en Tasmanie), ainsi qu'en Nouvelle-Guinée pour les kangourous arboricoles. On estime les kangourous d'Australie à quarante millions. Les kangourous sont nocturnes. La queue du kangourou lui sert de trépied au repos, et de balancier quand il saute : cette locomotion est appelée « crawl-walking » en anglais, littéralement « la marche rampante ».

Photo de Louis Blériot sur son monoplan. Source : http://data.abuledu.org/URI/52fe0d42-photo-de-louis-bleriot-sur-son-monoplan

Photo de Louis Blériot sur son monoplan

Locomotion aérienne - Louis Blériot, sur son monoplan entre 1900 et 1925. Source : George Grantham Bain Collection No. 35.

Planche de céphalopodes Gamochonia en 1904. Source : http://data.abuledu.org/URI/535d2fa7-planche-de-cephalopodes-gamochonia-en-1909

Planche de céphalopodes Gamochonia en 1904

Planche de céphalopodes Gamochonia, Ernst Haeckel (1834–1919), "Kunstformen der Natur" (1904), planche 54 : Chiroteuthis veranyi, Histioteuthis rüppellii, Pinnoctopus cordiformis, Octopus vulgaris, Octopus granulatu. Les céphalopodes (Cephalopoda, du grec képhalé, la tête, et pous, podos, le pied) sont des animaux de l'embranchement des mollusques, dont le pied, divisé en bras, surmonte la tête. Leur tête, distincte de la masse viscérale, comporte un véritable cerveau contenu dans un crâne cartilagineux ; des yeux perfectionnés, un bec corné, etc. Leur pied, qui s'attache à la tête, est divisé en bras munis de ventouses. Le manteau ventral, contractile, constitue avec le siphon un puissant organe de locomotion. Les céphalopodes existent depuis la fin du Cambrien, il y a 500 millions d'années. Les céphalopodes actuels sont des prédateurs marins. Ils se nourrissent de mollusques, de poissons, et de crustacés. Ils tiennent leur proie avec leurs bras, et la déchiquettent avec leur bec corné. Quand ils sont sédentaires, on peut facilement repérer leur présence par l'amas de coquilles vidées devant leur trou. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/C%C3%A9phalopode

Promener son chien. Source : http://data.abuledu.org/URI/5027859e-promener-son-chien
Sabot d'un cheval. Source : http://data.abuledu.org/URI/52e8d598-sabot-d-un-cheval

Sabot d'un cheval

Le pied du cheval (sabot) a un rôle fondamental dans sa locomotion, d'autant qu'à eux quatre, ils supportent le poids total de l'animal. Sa fonction première est de protéger l'extrémité inférieure du membre.

Une bicyclette. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d58c87-une-bicyclette

Une bicyclette

Une bicyclette, ou un vélo, est un véhicule terrestre composé de deux roues alignées (d'où le nom « bicyclette »). La force motrice est fournie par son conducteur (appelé « cycliste »), en position le plus souvent assise, par l'intermédiaire de deux pédales entraînant la roue arrière par une chaîne. La bicyclette est l'un des principaux moyens de transport dans de nombreuses parties du monde. Sa pratique, le cyclisme, constitue à la fois un usage quotidien, un loisir populaire et un sport. Par rapport à la marche, le vélo est trois fois plus efficace à effort égal et entre trois et quatre fois plus rapide. Il a été également calculé qu'en termes de conversion en mouvement de l'énergie issue de la nourriture, il s'agit d'une forme de locomotion plus efficace que celle de n'importe quel organisme biologique. La bicyclette ne dispose que de deux points d'appui au sol : elle se trouve nécessairement en équilibre instable. On parle d'équilibre métastable, car le passage de la position d'équilibre temporaire à une position de déséquilibre perceptible est relativement lent. Les principales forces en action sont : la gravité, qui tend à attirer le vélo vers le sol ; la force centrifuge, qui lorsque le vélo vire, tend à le redresser vers l'extérieur du virage. L'équilibre est maintenu dynamiquement par les actions du cycliste, qui s'emploie à toujours redresser sa machine en la faisant tourner légèrement dans la direction où elle commence à tomber. Le cycliste jongle donc en permanence entre ces deux forces pour compenser les effets de l'une avec l'autre et réciproquement. Il est aidé en cela par la chasse du vélo : il s'agit de la distance entre l'intersection de l'axe de la fourche avec le sol et du point de contact de la roue avant au sol. En effet, l'axe de la fourche est incliné de manière à ce que son intersection avec le sol se trouve en avant du point de contact de la roue avec le sol. Ainsi, si le vélo est penché d'un côté, la roue avant va être forcée à se placer de manière à faire tourner le vélo du même côté, engageant ainsi un virage tendant à équilibrer cette inclinaison. Enfin, on peut noter que lorsque le vélo roule, l'effet gyroscopique lié à la rotation des roues vient contrarier toute variation de la position de leurs axes. Ce phénomène est proportionnel à la vitesse de rotation des roues et à leur masse. Cet effet reste habituellement négligeable et est normalement imperceptible par le cycliste. En effet, la masse et donc l'inertie du vélo et de son pilote sont d'un ordre de grandeur supérieur à celle des roues, ce qui réduit considérablement l'influence de l'effet gyroscopique. Lorsque la vitesse augmente, l'effet gyroscopique augmente en proportion et devient plus perceptible.