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Photographie | Granite | Géographie | Dessins et plans | Granite -- Affleurements | Gravure | Phares -- France | Géologie -- Cartes | Phares | Géologie | Côte de Granit rose (Côtes-d'Armor) | Granite (exploitations minières) -- Carrières | Monuments historiques | Signaux et signalisation | Massif armoricain (France) | Inselbergs | Roches -- Érosion | Art contemporain | Architecture | Patrimoine mondial culturel et naturel | ...
Faciès métamorphiques. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a2ac49-facies-metamorphiques

Faciès métamorphiques

Faciès métamorphiques en fonction de la profondeur, de la pression et de la température : schistes bleus, schistes verts, éclogite, éolite, amphibolite, granulite, sanidinite, cornéenne.

Aiguille du Midi. Source : http://data.abuledu.org/URI/509545ef-aiguille-du-midi-12-jpg

Aiguille du Midi

Sommet de l'Aiguille du Midi (Mont-Blanc). Grandes Jorasses au fond à droite, Grand Combin au fond à gauche.

Arène granitique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50951441-arene-granitique

Arène granitique

Granite pourri et arène granitique : chaos de Targassonne près de Font-Romeu, Pyrénées-Orientales (66). Au premier plan : Arène granitique. Au second plan : Granite très altéré. L'arène, ou gore, est un sable grossier formant une roche sédimentaire meuble. Elle est issue de l'altération in situ de roches magmatiques ou métamorphiques (en particulier les granites et leur évolution métamorphique, les gneiss) riches en quartz et feldspaths. Ce sable ni transporté, ni érodé car resté très proche de sa source, a des grains anguleux. Les arènes granitiques sont des formations résiduelles (ou altérites) constituées d'une « pâte » argileuse rouge (car colorée par les oxydes de fer) et de grains de quartz.

Armoiries de la Bolivie. Source : http://data.abuledu.org/URI/5379056e-armoiries-de-la-bolivie

Armoiries de la Bolivie

Armoiries de la Bolivie : c'est durant la présidence de Manuel Isidoro Belzu Humerez que le congrès détermine la dernière modification par le décret de loi du 5 novembre 1851. La forme et les couleurs sont réglementées par décret suprême du 14 juillet 1888. Le condor des Andes est l'oiseau national de la Bolivie. Situé sur le dessus du blason, il symbolise l'horizon sans limite de la Bolivie. la couronne de laurier et d'olivier est donc composée de deux arbres différents qui sont le laurier et l'olivier. Elle est située derrière le condor. Le laurier symbolise le triomphe et la gloire après la guerre. L'olivier est symbole de la paix et de la gloire des peuples. Les pavillons sont placés sur chacune des lances, il y en a donc six au total. Ces pavillons ont les mêmes couleurs que le drapeau, c'est-à-dire trois bandes de couleur, rouge, jaune et verte. Ils symbolisent donc la Bolivie. La hache représente l'autorité et le commandement de la Bolivie. Elle est située au-dessus à droite, derrière le canon. Les canons du XVIIIe et XIXe siècle ainsi que les fusils et les lances symbolisent les armes de la Bolivie. Il y a deux canons disposés en croix, quatre fusils avec baïonnette disposés également en croix par paire et alors 6 lances, deux fois trois lances, disposées en croix également. La casquette de la liberté est de couleur rouge et située sur l'extrémité de l'un des deux canons. Elle est le symbole de liberté. L'ovale est une ellipse de couleur bleu-ciel. Dans sa partie inférieure se trouvent 10 étoiles dorées et dans sa partie supérieurs on peut lire l'inscription "BOLIVIA" en lettres dorées et majuscules. À l'intérieur de cet ovale se trouve une ligne dorée. La couleur bleu-ciel représente le littoral perdu durant la guerre du Pacifique (1879-1884). La ligne dorée est utilisée comme décoration. Le Cerro Rico : au centre de l'image sont dessinées deux montagnes, une petite devant une grande. Celle-ci est appelée le Cerro Rico, une montagne située à Potosí. Elle est appelée la montagne riche car elle contient une énorme quantité de minerai d'argent. Elle fut découverte par Diego Huallpa et est encore exploitée de nos jours. La représentation de cette montagne symbolise donc la richesse des ressources naturelles de Bolivie. Le Cerro Menor constitue en quelque sorte un autel pour le Cerro Rico. La chapelle située sur le Cerro Menor, juste devant le Cerro Rico est une chapelle avec l'image du sacré-cœur de Jésus avec les bras ouverts. C'est une construction faite en granite et l'image du sacré-cœur de Jésus est en bronze. La botte de blé : céréale appelée kutmu en quechua. Il fut introduit en Amérique du Sud par les Espagnols et a atteint très vite la Bolivie. Il symbolise l'abondance des ressources alimentaires en Bolivie. Le palmier que l'on peut voir au premier plan de l'image du centre dont le nom scientifique est Parajubæa représente la richesse végétale de la Bolivie. Le soleil situé sur la gauche, derrière le Cerro Rico, c'est un soleil qui se lève. Il symbolise la naissance et la splendeur de la Bolivie. Le ciel possède les couleurs du lever du jour. Il symbolise la naissance et la splendeur de la République. Le lama situé au premier plan symbolise la richesse de la faune de la Bolivie. Les étoiles au nombre de 10 sont situées dans la partie inférieure de l'ovale bleu. Elles sont considérées comme un symbole de chance, de destin, de conquête. Ce sont des étoiles à 5 points et chacune d'elles représente un département de la Bolivie. Les voici dans l'ordre de gauche vers la droite : Chuquisaca, La Paz, Potosí, Cochabamba, Santa Cruz, Oruro, Littoral (perdu durant la guerre du Pacifique de 1879-1884), Tarija, Beni, Pando. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Armes_de_la_Bolivie

Ballon de foot en pierre à Salzbourg. Source : http://data.abuledu.org/URI/55180f99-ballon-de-foot-en-pierre-a-salzbourg

Ballon de foot en pierre à Salzbourg

Ballon de foot en pierre à Salzbourg en Autriche : 2 mètres de diamètre, 2,5 mètres de hauteur, 32 morceaux de granite, par Helmut Moster.

Banc en granite. Source : http://data.abuledu.org/URI/56549478-banc-en-granite

Banc en granite

Banc en granite, Windrush Square, Brixton, mars 2011.

Bec-en-sabot du Nil. Source : http://data.abuledu.org/URI/52ed7869-bec-en-sabot-du-nil

Bec-en-sabot du Nil

Couple de Bec-en-sabot du Nil (Balaeniceps rex), 1850, Société zoologique de Londres, par Joseph Wolf (1820–1899). Le Bec-en-sabot est un grand échassier (100 à 120 cm) à longues pattes sombres et au bec énorme. Son envergure peut atteindre 2,30 m. Il pèse de 4 à 7 kg. Le plumage chez les adultes des deux sexes est gris, légèrement bleuté, à l'aspect granité. Les plumes principales sont noires à l'extrémité; les plumes secondaires peuvent présenter des reflets verdâtres. Le dessous de l'oiseau est légèrement plus clair que le dessus. Le Bec-en-sabot présente, sur l'arrière de la tête, une petite touffe de plumes qu'il peut ériger comme une crête. La forme du bec apparaît, en fait, très adaptée à la pêche en eaux troubles, peu profondes et encombrées de végétaux. Au lieu de harponner à la manière des hérons, le bec-en-sabot écope à l'horizontale. Il arrache ainsi du marais une véritable pelletée de matériaux où frétille la proie visée. Le crochet qui arme sa mandibule supérieure lui sert à pincer sa prise, les bords tranchants à la découper. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Bec-en-sabot_du_Nil.

Borne milliaire de Kerscao. Source : http://data.abuledu.org/URI/58588aeb-borne-milliaire-de-kerscao

Borne milliaire de Kerscao

Kernilis : borne milliaire de Kerscao (Musée départemental breton de Quimper), en granite, datée de 45 ou 46 après JC. C'est la plus ancienne connue en Bretagne.

Boule de granite rose. Source : http://data.abuledu.org/URI/50954a02-boule-de-granite-rose

Boule de granite rose

Rocher granitique curieux en forme de boule sur la côte de Trégastel. La sphère étant l'objet géométrique permettant d'obtenir le plus gros volume avec le moins de surface spécifique, l'altération des parallélépipèdes tend vers un objet sphérique.

Calanques de l'Estérel. Source : http://data.abuledu.org/URI/530c8cd3-calanques-de-l-esterel

Calanques de l'Estérel

Calanques de l'Estérel. De Saint-Raphaël à Mandelieu-la-Napoule, le massif de l'Esterel tombe à pic dans la mer, qui découpe de multiples criques sauvages ou habitées (Agay, le Trayas). Caractérisées par le contraste entre la couleur rouge de la roche granitique du massif volcanique primaire, et le bleu de la Méditerranée elles composent l'un des paysages les plus remarquables de la Côte d'Azur. Contrairement aux calanques marseillaises, les calanques de l'Estérel sont très accessibles. De nombreuses épaves antiques gisent aussi sur les hauts fonds proches de la côte, passage obligé, dangereux pour les embarcations de l'époque, des voies de commerce méditerranéen. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Calanque.

Carrière de granite dans les Vosges. Source : http://data.abuledu.org/URI/5095482b-carriere-de-granite-dans-les-vosges

Carrière de granite dans les Vosges

Carrière de granite rouge de Vieux-Moulin (canton de Senones dans les Vosges).

Carte géologique de la Lorraine. Source : http://data.abuledu.org/URI/506ca93c-carte-geologique-de-la-lorraine

Carte géologique de la Lorraine

Carte géologique de la Lorraine : beige-Alluvions récentes, gris-Alluvions anciennes, vert-Crétacé, bleu clair-Jurassique supérieur et Jurassique moyen, bleu foncé-Jurassique inférieur, rose-Trias supérieur, mauve clair-Trias moyen, violet-Trias inférieur, orange-Granites hercyniens, rose pâle-Paléozoïque et antérieur.

Carte géologique de la Lorraine. Source : http://data.abuledu.org/URI/52088ff3-carte-geologique-de-la-lorraine

Carte géologique de la Lorraine

Carte géologique de la Lorraine : en blanc Alluvions récentes ; en gris Alluvions anciennes ; en vert Crétacé ; en bleu clair Jurassique supérieur et moyen ; en bleu foncé Jurassique inférieur ; en violet Trias supérieur, moyen et inférieur ; en orange Granites hercyniens ; en rose Paléozoïque et antérieur.

Carte géologique de la Lorraine. Source : http://data.abuledu.org/URI/50957a9c-carte-geologique-de-la-lorraine

Carte géologique de la Lorraine

Carte géologique de la Lorraine : Alluvions récentes (gris clair), Alluvions anciennes (gris foncé), Crétacé (vert), Jurassique supérieur, moyen et inférieur (bleu), Trias supérieur, moyen et inférieur (violet), Granites hercyniens (orange), Paléozoïque et antérieur (rose). Source : BRGM. La carte géologique est un outil de connaissance géologique fondé sur la représentation des formations affleurantes. On y retrouve les trois principaux types de formations : magmatiques, sédimentaires et métamorphiques, ainsi que les informations géologiques relevées par le cartographe (failles, pendages, mines...). Afin de s'y retrouver, la légende de la carte géologique est découpée en plusieurs parties. Chaque type de formation est représentée par une gamme de couleur et un type de code. Par contre, une même formation présente sur plusieurs cartes peut avoir des nuances de couleurs et/ou des figurés différents en fonction de l'auteur de la carte et de ses besoins. De même, les codes des formations peuvent varier d'une carte à l'autre, mais doivent toujours respecter des critères globaux.

Chaine hercynienne. Source : http://data.abuledu.org/URI/506bdcc5-chaine-hercynienne

Chaine hercynienne

Schéma des structures de déformation de la chaine hercynienne : La chaîne varisque ou chaîne hercynienne est la grande chaîne de montagne qui se forme du Carbonifère au Permien lors de la collision des continents Gondwana et Laurentia-Baltica pour former le super-continent Pangée. Cette chaîne est aujourd'hui érodée et la plupart des témoins géologiques de cette collision sont des roches métamorphiques et des granites, roches qui constituaient autrefois la racine profonde du massif. Le géologue français Marcel Bertrand a employé le terme « hercynien » (du latin Hercynia silva, forêt hercynienne, qui s'étendait sur l'Allemagne centrale) pour désigner ces reliefs formant l'armature de l'Europe.

Chaine hercynienne. Source : http://data.abuledu.org/URI/51ccac76-chaine-hercynienne

Chaine hercynienne

Schéma des structures de déformation de la chaine hercynienne. La chaîne varisque ou chaîne hercynienne est la grande chaîne de montagne qui se forme du Carbonifère au Permien lors de la collision des continents Gondwana et Laurentia-Baltica pour former le super-continent Pangée. Cette chaîne est aujourd'hui érodée et la plupart des témoins géologiques de cette collision sont des roches métamorphiques et des granites, roches qui constituaient autrefois la racine profonde du massif.

Chaos granitique. Source : http://data.abuledu.org/URI/5095126b-chaos-granitique

Chaos granitique

Chaos granitique au sommet du puy de la Souche (commune de St Laurent de Muret, Lozère, France, altitude : 1295 m)

Col du Géant. Source : http://data.abuledu.org/URI/5230e6f9-col-du-geant

Col du Géant

Esquisse de la dent du Géant depuis le campement d'Horace-Bénédict de Saussure au col du Géant en 1788 : "Vue de la Dent du Géant" depuis le col du Géant, 1796, par Nicolas Théodore de Saussure (1767-1845). Source : Horace-Bénédict de Saussure, Voyages dans les Alpes : précédés d'un essai sur l'histoire naturelle des environs de Genève, 1779-1796. Elle se présente comme un monolithe de protogine (le granite du massif du Mont-Blanc), de près de 200 mètres de haut, surplombant sur sa face sud. Elle comporte deux pointes distantes d'une trentaine de mètres : la pointe Graham (au nord-est, point culminant, 4 013 m), qui fait partie de la liste officielle des 82 sommets des Alpes de plus de 4 000 mètres, et la pointe Sella (au sud-ouest, 4 009 m). Elle se détache au début de l'arête de Rochefort, neigeuse et à peu près horizontale, et qui se poursuit d'ouest en est par l'aiguille de Rochefort et le dôme de Rochefort jusqu'au col des Grandes Jorasses. Elle a donné son nom au tout proche col du Géant, qui est un des principaux passages alpins entre la France et l'Italie, et au glacier du Géant.

Enceintes de pierre sèche du Grand Zimbabwe. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d2d651-enceintes-de-pierre-seche-du-grand-zimbabwe

Enceintes de pierre sèche du Grand Zimbabwe

Enceintes de pierre sèche du Grand Zimbabwe. Zimbabwe est une forme courte de « ziimba remabwe », mot shona (dialecte : tchikaranga), qui signifie « la grande maison faite de pierres ». Le Grand Zimbabwe est inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO.

Façade ouest du phare d'Eckmühl dans le Finistère. Source : http://data.abuledu.org/URI/53a98431-phare-d-eckmuhl

Façade ouest du phare d'Eckmühl dans le Finistère

Le phare d'Eckmühl est un phare maritime situé sur la pointe de Saint-Pierre, à Penmarc'h, dans le Finistère en France. Il mesure plus de 60 mètres de haut. Il sécurise l'une des côtes les plus dangereuses de France en raison de ses nombreux récifs. Ses murs sont entièrement bâtis en granite de Kersanton et la paroi interne de sa cage d'escaliers est recouverte de plaques d'opaline. C'est aujourd'hui l'un des monuments les plus visités du Finistère. Le phare fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le 23 mai 2011. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_d%27Eckm%C3%BChl

Inselberg au Zimbawe. Source : http://data.abuledu.org/URI/52778615-inselberg-au-zimbawe

Inselberg au Zimbawe

Inselberg de Granite de la région de Mbalabala au Zimbabwe. Les kopjes sont souvent occupés par de nombreux animaux, telles que les éléphants, les lions ou les guépards. Paradoxalement, on constate que de nombreux herbivores y viennent car la surélévation des lieux permet de voir venir les prédateurs de loin, alors que ces mêmes prédateurs les utilisent pour pouvoir guetter leurs futures proies.

Inselberg d'Andringitra à Madagascar. Source : http://data.abuledu.org/URI/52779874-inselberg-d-andringitra-a-madagascar

Inselberg d'Andringitra à Madagascar

Parc national d'Andringitra à Madagascar. Formé au Précambrien, ce massif est constitué essentiellement de granite, de syénite à pyroxène ou de granite syénitique. La plupart des failles qui fracturent le massif sont longitudinales, ou disposées en étoile. La roche cristalline dure a été fortement érodée par les eaux de ruissellement, qui ont creusé des sillons de dimension métrique.

L'île de Tombelaine depuis le Mont Saint-Michel. Source : http://data.abuledu.org/URI/5357c400-tombelaine

L'île de Tombelaine depuis le Mont Saint-Michel

Tombelaine est un îlot granitique situé dans la baie du mont Saint-Michel, sur la rive droite du chenal de la Sée, à quelques kilomètres au nord du mont Saint-Michel. L'important marnage (plus de 10 mètres) de la baie permet à cet îlot d'être atteint à pied sec par basse mer (3,5 km depuis la côte du Cotentin au nord-est). L'îlot culmine à 45 mètres. Ses dimensions sont de 250 mètres de long pour 150 de large, avec une superficie de 0.40 km2. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Tombelaine

Lame mince de granite. Source : http://data.abuledu.org/URI/50954ab0-lame-mince-de-granite

Lame mince de granite

Lame mince de granite au microscope en lumière polarisée analysée. Quartz en blanc-gris, feldspaths plagioclases maclés, en orange la biotite.

Le jeu de billard. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d94cc1-le-jeu-de-billard

Le jeu de billard

Le jeu de billard, 1807, par Louis-Léopold Boilly (1761-1845). Le billard est un jeu de table à un ou plusieurs joueurs qui se pratique sur une buche, appelée billard, bordée de bandes, sur laquelle on fait rouler des jetons de billard (appelées aussi billes ou boules) que l’on frappe à l’aide d’une queue. Le billard met en jeu des billes de 5 à 7 cm de diamètre, celui-ci variant avec le type du billard, sur une table. Cette table, autrefois en chêne ou en granite, est aujourd'hui constituée de plaques d'ardoises recouvertes d'un drap de laine tendu. Les bords internes de la table sont capitonnés avec des bandes de caoutchouc recouvertes du même drap : les bandes. La table peut avoir des trous, ou poches. Les billes sont empochées lorsqu’elles y tombent.

Le Mont Saint-Michel au crépuscule. Source : http://data.abuledu.org/URI/5357c1ef-mont-saint-michel-

Le Mont Saint-Michel au crépuscule

Le Mont-Saint-Michel au crépuscule. Le mont Saint-Michel est un îlot rocheux granitique d’environ 960 mètres de circonférence situé à l’est de l’embouchure du fleuve du Couesnon, dans le département de la Manche. Avant l'année 709, il était connu comme le "mont Tombe ». Pendant tout le Moyen Âge, il est couramment appelé "Mont Saint-Michel au péril de la mer" (Mons Sancti Michaeli in periculo mari). Le mont Saint-Michel baigne dans la baie du mont Saint-Michel, ouverte sur la Manche. L’îlot atteint 92 mètres d’altitude et offre une superficie émergée d’environ 7 ha. Cet îlot s’élève dans une grande plaine sablonneuse. C'est le troisième site touristique le plus fréquenté de France après la tour Eiffel et le château de Versailles, avec plus de 3 500 000 visiteurs chaque année ; la commune et la baie figurent depuis 1979 sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO. Les marées dans la baie du mont Saint-Michel ont une amplitude de près de treize mètres les jours de fort coefficient, la mer se retire à grande vitesse sur une dizaine de kilomètres, mais revient aussi vite : l’expression consacrée est "qu’elle revient à la vitesse d’un cheval au galop". Le Mont-Saint-Michel n’est entouré d'eau et ne redevient une île qu’aux grandes marées d'équinoxe, cinquante-trois jours par an, pendant quelques heures. Mais c’est un spectacle impressionnant qui attire de nombreux touristes ces jours là. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Mont_Saint-Michel

Littoral granitique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50954b98-littoral-granitique

Littoral granitique

Côte de granite rose : Modelés granitiques en Côte d'Armor (Bretagne).

Métamorphisme. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a2b533-metamorphisme

Métamorphisme

Phase de métamorphisme des roches sédimentaires et dépôts calcaires. 1 : Phase de dépôt calcaire. 2 : soulèvement des plaques et métamorphisme. Le marbre primitif est issu de terrains calcaires qui se sont formés à une période où il n’existait aucune vie marine. Le dépôt de cette matière calcaire, sur des roches anciennes, ne s’est pas fait de manière égale, car des circonstances particulières des attractions plus ou moins fortes déterminèrent la formation de quelques couches plus épaisses que les autres, et moins mêlées de feuillets schisteux. Au cours du cycle hercynien (-416 à –251 millions d’années), la couche inférieure de roches ancienne (granite) souleva les couches de sédiments primaires les plus épaisses et encore semi-fluides, qui retombèrent sur elles-mêmes et qui formèrent, aux pieds des grandes chaînes, des cordons de collines calcaires mêlées de schistes et de serpentines. Des bouleversements physico-chimiques transformèrent cette roche sédimentaire des collines en roche métamorphique, qui donna naissance aux marbres primitifs, grenus, sensiblement cristallisés et généralement d’une seule couleur, blanc, gris, rouge ou noir.

Mineurs allemands du XVIème siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/47f53508-mineurs-allemands-du-xvieme-siecle

Mineurs allemands du XVIème siècle

Gravure extraite du livre des métiers de Jost Amman, 1568, représentant un mineur la hache sur l'épaule, un autres pénétrant dans une carrière à flanc de rocher, une lampe à la main et un troisième sortant d'un tunnel en poussant un wagonnet.

Phare de Ouistreham, gardien de l'estuaire de l'Orne . Source : http://data.abuledu.org/URI/535e6233-phare-de-ouistreham-

Phare de Ouistreham, gardien de l'estuaire de l'Orne

Le phare de Ouistreham) est un phare à terre, cylindrique, mesurant 38 m de haut, fabriqué en granite et peint en rouge et blanc. Il fut mis en service en 1905. Il a été construit à côté de l'usine hydraulique, fonctionnant à l'époque et toujours visible de nos jours. Le phare d'Ouistreham est le "gardien de l'estuaire de l'Orne", il est visible à 16 milles marins à la ronde. La "signature" lumineuse du phare est de trois secondes de lumière blanche suivi d'une seconde d'obscurité. Le phare indique les dangereux rochers des Essarts grâce à un secteur rouge montrant la direction aux marins. Grâce à ses 171 marches de granite bleu de Vire, on accède à l'optique, une lampe halogène derrière une demi-lentille de Fresnel. Il est automatisé, gardienné et visitable. Au cours de l'été 2005, à l'occasion du centenaire, un jeu de lumière a été installé sur le phare. Il éclaire la base de l'édifice, et permet aux Ouistrehamais, en fonction de la couleur, de savoir si la mer est montante ou descendante : il est bleu lors de la marée montante, blanc le reste du temps. Il est peint en rouge en son haut, en écho aux balises latérales bâbord de la zone A. En effet, il est implanté sur la gauche du chenal quand on entre au port. Hauteur : 38.20 m - Elévation : 43 m - Portée : 16 milles nautiques ; Feux : lancs 1 occ., 4 secondes secteurs blanc et rouge ; Optique : demi-lentille de Fresnel, focale 0.25 m. ; Lanterne : lampe halogène 1 500 w. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Ouistreham

Phare du Paon dans les Côtes d'Armor. Source : http://data.abuledu.org/URI/537f69e8-phare-du-paon-dans-les-cotes-d-armor

Phare du Paon dans les Côtes d'Armor

Le phare du Paon est situé sur la roche du Paon au nord de l'île de Bréhat, dans les Côtes-d'Armor au large de Paimpol. Avec le phare du Rosédo, il donne la direction du passage par l'écueil de la Horaine. En 1944, le phare est dynamité par les troupes allemandes. En 1952, il est reconstruit à l'identique, en granite rose de Bréhat et de Ploumanac'h. Il est automatisé. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_du_Paon

Pont de la Margineda en Andorre. Source : http://data.abuledu.org/URI/55172ae5-pont-de-la-margineda-en-andorre

Pont de la Margineda en Andorre

Pont de la Margineda, Santa Coloma, Andorre. Le Pont de la Margineda sur la Valira, à Santa Coloma d'Andorra, dans la paroisse d'Andorre-la-Vieille, en Andorre. Il date du 14e ou 15e siècle. Ses arches sont en pierre ponce, pour garder une structure légère, tandis que les piles sont en granit.

Rochers roses à Ploumanach. Source : http://data.abuledu.org/URI/5040e53b-rochers-roses-a-ploumanach

Rochers roses à Ploumanach

Rochers sur la Côte de granite rose

Sémaphore de Gatteville. Source : http://data.abuledu.org/URI/51b88901-semaphore-de-gatteville

Sémaphore de Gatteville

Les courants forts au large de la pointe de Barfleur, et les nombreux naufrages rendent indispensable l'édification d'un phare. En 1774, sous le règne de Louis XVI, la Chambre de commerce de Rouen décide de faire construire un premier phare en granite, de 25 mètres. À son sommet, un feu de bois et de charbon brûlait continuellement. Le charbon était approvisionné à dos d'homme et laissait peu de repos aux gardiens. En 1780 le feu à charbon fut remplacé par un système de réverbères constitué de 16 lampes à huile dans une lanterne vitrée. Ce phare étant trop petit pour recevoir les lentilles modernes, et trop faible pour pouvoir être exhaussé de 32 mètres, on décide d'ériger une nouvelle tour en 1825. L'ancien phare devient sémaphore. Celui-ci est inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du 11 mai 2009.

Traineau de transport égyptien. Source : http://data.abuledu.org/URI/50aea6a2-traineau-de-transport-egyptien

Traineau de transport égyptien

Traineau de transport des barques funéraires du complexe funéraire de Sésostris III à Dahchour : il mesure 4,21 m de long pour une largeur de 0,78 m. Afin d'acheminer les pierres extraites des lointaines carrières (Assouan est situé à près de mille kilomètres de la région memphite des pyramides), le transport fluvial sur le Nil était nécessaire. Le transport par voie fluviale, parfaitement maîtrisé, était essentiel aux anciens Égyptiens. Ils avaient à leur disposition des embarcations spécialement adaptées aux lourdes charges (barges transportant des colonnes monolithiques et sans doute des blocs de granite à fond de cale ou suspendus dans l'eau entre deux embarcations), comme l'atteste le bas-relief de la chaussée d'Ounas. L'activité atteignait son maximum durant la période des inondations, mais, afin de remédier aux difficultés liées aux périodes de décrue, une voie navigable a été creusée parallèlement et à l'ouest du Nil, permettant aux convois de débarquer leurs lourdes charges dans les ports situés à l'emplacement des temples bas des divers chantiers.

Vieux pont sur l'Aulne à Poullaouen dans le Finistère. Source : http://data.abuledu.org/URI/56d55639-vieux-pont-sur-l-aulne-a-poullaouen-dans-le-finistere

Vieux pont sur l'Aulne à Poullaouen dans le Finistère

Poullaouen (Finistère) : vieux pont en granite sur l'Aulne (Base Mérimée : IA00005042).